Jordan Fulghum, un super papa des amériques, a trouvé un moyen pour que ses enfants puissent écouter de la musique dématérialisée de manière ludique et tangible, comme on le faisait avant avec par un CD ou une cassette.
Pour cela, il a mis au point
des cartes à collectionner avec des puces NFC
qui lancent un album complet d’un simple tap. Ce sont donc des cartes physiques façon Pokémon, avec un artwork d’albums dessus et une puce NFC collée au dos. Son fils pose alors une carte sur son téléphone, et hop, l’album démarre automatiquement sur les enceintes de la maison via
PlexAmp
. Pas d’écran à regarder, pas de menu où naviguer, et surtout pas de choix à faire parmi 100 millions de titres.
Pour fabriquer ses cartes, Jordan utilise de l’IA pour étendre les pochettes d’albums au format carte à jouer et il imprime ça sur du papier autocollant afin de les coller sur des cartes vierges avec des tags NFC intégrés, et voilà ! Et comme PlexAmp a justement une fonction pour programmer ces tags NFC avec un lien direct vers un album spécifique, c’est assez facile à faire.
Sa première collection s’appelle “Albums That Dad Wants You to Listen To”, et ça lui permet d’imposer une sélection de 30 albums aux gamins qui comme ça, ne se retrouvent pas noyés dans 100 millions de choix. Jordan a même imprimé en 3D un présentoir pour ranger les cartes, histoire que ça ressemble vraiment à une vraie collection et ses enfants peuvent choisir un album exactement comme on choisissait un CD à l’époque.
Le système tourne donc avec un serveur Plex à la maison qui contient tous les MP3, et PlexAmp gère le reste. Ce qui est marrant, c’est que les cartes NFC musicales, ça existe déjà dans le commerce mais là c’est du DIY avec du MP3 tombé du camion alors c’est meilleur pour le karma ^^.
Si ça vous chauffe de faire pareil, sachez que Jordan a mis toutes les infos sur
son site
, avec les liens vers les tags NFC sur Amazon, les modèles 3D pour le présentoir, et même les templates Canva pour créer vos propres cartes.
Les *arrs c’est du « chinois » pour vous ? Vous n’avez pas de machine assez puissante pour les faire tourner en sus d’un lecteur ? Vous voulez faire simple ?
CineSync, qui s’installe en Docker et peut tourner sur des machines peu puissantes avec 1 core et 1GB de RAM, permet, via une clé API (gratuite) TMDB, d’indexer et trier un dossier de fichiers en vrac (films et séries uniquement). Ça trie et organise via des symlinks (liens qui ne prennent aucune place) pour pouvoir ensuite profiter de ça via Plex/Jellyfin/Emby/Kodi ou un lecteur type VLC. Ce n’est pas un lecteur, juste un organiseur.
Pratique si vous avez accès à un FTP, un remote rClone, des APIs RealDebrid, AllDebrid ou TorBox, un montage NFS/sshFS… enfin n’importe quel espace de stockage avec des films et séries.
EDIT 06.10.25 : DjNiklos insiste à juste titre sur le fait qu’on peut combiner les dossiers sources en les séparant par des ,
Monitoring manuel ou automatique évidemment.
Je le teste avec mon montage AllDebrid de Decypharr, le dossier _ _ all _ _ où tous les fichiers sont en vrac. Le travail peut prendre un peu de temps selon la quantité de fichiers à traiter, les ressources allouées (cores/RAM) et les options demandées.
Et ça donne ce genre de tri (j’ai aucun contenu pour enfants mais ça les met à part également)
root@StreamBox:/mnt/Bibliothèques# ls CineSync/
4KMovies 4KShows CineSync Movies Shows
Le dossier CineSync = Collections, quand on demande leur création
Y’a plus qu’à indexer ça avec son lecteur favoris ou y accéder avec VLC ou autre et c’est nickel !
Supervision et automatisation en temps réel
CineSync intègre des fonctions avancées de surveillance et d’automatisation en temps réel, assurant une bibliothèque multimédia toujours parfaitement organisée — sans aucune intervention manuelle. Son interface web moderne offre un contrôle complet sur les paramètres d’automatisation et la supervision en direct de toutes les activités de traitement.
Système de surveillance intelligent
Détection instantanée : des algorithmes avancés repèrent immédiatement les nouveaux fichiers via les événements du système de fichiers.
Mode auto-traitement : activez ou désactivez le traitement automatique directement depuis l’interface web, pour un fonctionnement totalement mains libres.
Intégration streaming : les serveurs multimédias (Plex, Jellyfin, Emby) sont mis à jour en temps réel pour des bibliothèques toujours à jour.
Prévention des doublons : le système évite intelligemment le retraitement des mêmes contenus.
Flux de travail automatisés
Analyse initiale intelligente : un scan complet et une réorganisation de la bibliothèque au démarrage.
Surveillance continue : détection en temps réel des nouveaux fichiers, avec intervalles configurables.
Traitement en lot : gestion efficace de multiples fichiers grâce au traitement parallèle.
Récupération automatique : nouvelle tentative sur les opérations échouées, avec temporisation exponentielle.
Tableau de bord en temps réel
Statistiques en direct : visualisez instantanément la progression et l’état de la bibliothèque.
Suivi des ajouts récents : traçabilité automatique des contenus récemment ajoutés.
File d’attente visible : surveillance graphique des opérations en cours et à venir.
La surveillance en temps réel de CineSync est désormais une fonctionnalité native des scripts et images Docker, assurant une intégration fluide dans votre flux de travail. Grâce à elle, la gestion de votre médiathèque devient automatique et sans effort.
Automatisation personnalisable
Planification flexible : configurez les intervalles de surveillance et les horaires de traitement.
Règles spécifiques par contenu : appliquez des logiques différentes pour les films, séries, animés ou contenus jeunesse.
Nettoyage intelligent : suppression automatique des liens symboliques cassés et des entrées orphelines dans la base de données.
Intégration avec les serveurs multimédias
Jellyfin / Emby : actualisation instantanée via des liens symboliques compatibles inotify.
Plex : mise à jour automatique des bibliothèques grâce à l’API Plex.
Streaming direct : accès en temps réel aux contenus organisés par plusieurs méthodes.
Le système d’automatisation de CineSync transforme la gestion des médias d’une corvée manuelle en un processus fluide, intelligent et permanent.
Séparation intelligente des contenus
Contenu jeunesse : détection automatique des médias familiaux via les classifications TMDB (G, PG, TV-Y, TV-G, TV-PG) et les genres familiaux.
Organisation 4K : détection et séparation automatique des contenus UHD dans des dossiers dédiés.
Classification animés : gestion spécifique pour les animés, avec tri distinct entre films et séries.
Tri par résolution : classement intelligent selon la qualité vidéo (720p, 1080p, 4K, etc.).
Options d’organisation flexibles
Structure CineSync : organisation simplifiée en dossiers Movies et Shows.
Préservation de la structure source : possibilité de conserver les arborescences d’origine.
Nommage personnalisé : configuration libre des noms de dossiers selon le type de contenu.
Regroupement par collections : organisation automatique des sagas et franchises dans des répertoires communs.
Plutôt que de tout configurer via l’interface Web, on peut y adjoindre un .env. Fichier à placer dans le dossier /home/aerya/docker/cinesync/db dans mon cas, le montage local de /app/db. Le fichier de base est ici et il faut surtout y configurer la clé API TMDB et les dossiers source/destination.
# Directory Paths
# ========================================
# Source directory for input files
SOURCE_DIR="/mnt/decypharr/alldebrid/__all__"
# Destination directory for output files
DESTINATION_DIR="/mnt/Bibliothèques/CineSync"
Comme les *arrs quand ils travaillent sur les fichiers hébergés chez AllDebrid, accessibles dans /mnt/decypharr/alldebrid/_ _ all _ _, CineSync va les organiser et structurer localement via des symlinks dans /mnt/Bibliothèques/CineSync où Plex/Jellyfin/whatever pourra les indexer et lire.
admin/admin si vous ne changez pas dans la config
si pas de .env, il faut tout configurer via la WebUI
Et il n’y qu’à le laisser travailler ensuite
On peut éditer chaque fiche de contenu indexé pour déplacer vers un autre dossier selon l’orga de chacun (moi je laisse CineSync faire par défaut) et/ou éditer les informations d’un média.
On peut suivre et éditer/corriger l’indexation
La configuration est entièrement éditable via la WebUI
Et il peut même se faire passer pour Radarr et Sonarr auprès de Bazarr pour la gestion automatisée des sous-titres !
C’est vraiment super bien fait et très pratique quand on récupère « juste » un accès à une API ou un montage rClone dont on ne maitrise pas le contenu…
Je zyeute MediUX depuis très longtemps mais le côté « Faut parcourir le site, télécharger le .zip, l’importer dans mon lecteur, l’appliquer » m’avait clairement rebuté dès les… 52 premières secondes.
L’équipe derrière MediUX propose l’outil Aura, encore en early stage donc on utilise tous une unique clé API de « test », qui permet de parcourir les sets liés à ses bibliothèques via une WebUI.
Ne reste qu’à choisir un set et l’appliquer de suite via un clic ou le prévoir pour une mise à jour automatique en cron. Et on peut en plus lui indiquer de surveiller les MàJ du set sélectionné pour les appliquer.
Si on peut l’intégrer à Kometa, en revanche pour Aphrodite il faut bien veiller à faire mouliner Aura puis ensuite Aphrodite pour les overlays. Comme vous le verrez plus bas, Aura se lance à minuit chaque jour alors qu’Aphrodite est lancé chaque heure. Au pire, il n’y a plus aucun overlay entre minuit et 1h du matin, « pas grave ».
Cet outil se destine aux amateurs de beaux visuels et de personnalisation. Malgré un maximum d’automatisation, rien ne pourra remplacer l’action de parcourir ses contenus et, pour chaque, de parcourir à leur tour les embellissements disponibles pour ensuite les appliquer.
Merci TiMac pour la belle découverte !
Compatibilité multi-serveurs : fonctionne avec Plex, Emby et Jellyfin.
Navigation visuelle : prévisualisez les visuels dans une interface claire et organisée.
Mises à jour automatiques : enregistrez les ensembles d’images choisis et gardez-les synchronisés automatiquement.
Stockage local : possibilité d’enregistrer les images à côté de vos fichiers multimédias pour un accès facile.
Support Docker : déploiement simple avec Docker ou docker-compose.
Le docker-compose est à récupérer localement et on peut l’éditer rapidement pour l’adapter
services:
aura:
image: ghcr.io/mediux-team/aura:latest
container_name: aura
restart: always
ports:
- 3064:3000 # Web UI PORT
- 8888:8888 # API PORT
volumes:
- /home/aerya/docker/aura:/config
- /mnt/Bibliothèques/:/data/media
labels:
- com.centurylinklabs.watchtower.enable=true
Avant de le lancer il convient de faire de même avec le fichier de configuration. Son remplissage est déterminant pour le fonctionnement d’Aura. Les paramètres ne sont en effet pour l’instant accessibles qu’en lecture seule via l’interface. Vous pouvez vous aider de la documentation mais c’est pas compliqué.
Voici le mien pour Jellyfin, avec 2 bibliothèques, SANS authentification (derrière Authelia chez moi), avec notifications Discord. Si vous voulez utiliser un mot de passe, il devra être hashé. Il faudra une clé API Jellyfin (ou un token Plex) et une clé API (pas le token) TMDB. Le cron servira pour la MàJ auto (si sélectionnée) des sets, on voit ça plus bas.
# Configuration Sample - aura
# For full documentation, see: https://mediux-team.github.io/AURA/config
# This file should be located in /config on the docker container
# Auth - Configuration for authentication
# This is used to configure the authentication for the application.
# Enable - Whether to enable authentication or not.
# Password - The Argon2id hashed password for the user.
Auth:
Enable: false
Password: $argon2id$v=19$m=12,t=3,p=1$Z3k1YnkwZzh5OTAwMDAwMA$lJDoyKZy1BMifB1Mb2SWFQ
# CacheImages - Whether to cache images or not. Caching images can improve performance but will use more disk space.
CacheImages: true
# SaveImageNextToContent - Whether to save images next to the Media Server content or not.
# If set to true, images will be saved in the same directory as the Media Server content.
# If set to false, images will still be updated on the Media Server but will not be saved next to the content.
# The benefit of this is that you have local images that are not dependent on the Media Server database in case of migration.
# If you are using Emby or Jellyfin, this option being set does not matter. This is determined by Emby or Jellyfin.
# If you are using Plex, this option will determine if the images are saved next to the content or not.
SaveImageNextToContent: false
# Logging - Configuration for logging
# Level - The level of logging. Can be one of: TRACE, DEBUG, INFO, WARNING, ERROR
Logging:
Level: DEBUG
# AutoDownload - Configuration for auto-downloading images
# Enabled - Whether to enable auto-downloading of images or not.
# You have the option when selecting a set to save it to the database.
# This will look for updates to the set and download them automatically.
# Cron - The cron schedule for auto-downloading images. This is a standard cron expression.
# For example, "0 0 * * *" means every day at midnight
AutoDownload:
Enabled: true
Cron: "0 0 * * *"
# Notifications - Configuration for notifications
# Enabled - Whether to enable notifications or not.
# Providers - A list of notification providers to use. Currently supported providers are:
# - Discord
# - Pushover
# You can set multiple providers at the same time. aura will send notifications to all. You also have the option to enable each provider. This gives you flexability to turn off the ones that you don't want to use.
# When provider is Discord, you must set the Webhook URL
# When provider is Pushover, you must set the Token and UserKey
# Sample:
# - Provider: "Pushover"
# Enabled: true
# Pushover:
# Token: your_pushover_token
# UserKey: your_pushover_user_key
# - Provider: "Discord"
# Enabled: true
# Discord:
# Webhook: your_discord_webhook_url
Notifications:
Enabled: true
Providers:
- Provider: "Discord"
Enabled: true
Discord:
Webhook: "https://canary.discord.com/api/webhooks/xxx"
- Provider: "Pushover"
Enabled: false
Pushover:
Token: your_pushover_api_token
UserKey: your_pushover_user_key
# MediaServer - Configuration for your Media Server
# Type - The type of Media Server. This can be one of: Plex, Jellyfin, Emby
# URL - The URL of the Media Server. This should be the IP:Port of the Media Server or your Media Server reverse proxy domain.
# Token - The token for the Media Server. This can be found in the Media Server web interface.
# Libraries - A list of libraries to scan for images. Each library should have the following fields:
# - Name: The name of the library to scan for content. Please note that this application will only work on Movies and Series libraries.
# SeasonNamingConvention - The season naming convention for Plex. This is a Plex exclusive requirement. This can be one of: 1 or 2. This will default to 2
# 1 - Season 1 (non-padded)
# 2 - Season 01 (padded)
MediaServer:
Type: "Jellyfin" # The type of Media Server. This can be one of: Plex, Jellyfin, Emby
URL: https://jelly.domaine.tld:443
Token: xxx
Libraries:
- Name: "Films"
- Name: "Séries"
# - Name: "4K Movies"
# - Name: "4K Series"
# SeasonNamingConvention: 1 # This is a Plex exclusive requirement. This is the season naming convention for Plex. This can be one of: 1 or 2
# Kometa - Configuration for Kometa
# RemoveLabels - Whether to remove labels or not. This will remove all specific labels from the Media Server Item.
# Labels - A list of labels to add to the Media Server Item. This will be used to identify the item in the Media Server.
# This is also a Plex exclusive requirement. This will only work on Plex.
Kometa:
RemoveLabels: false
Labels:
- "Overlay"
# TMDB - Configuration for TMDB (The Movie Database) This is not used yet.
# ApiKey - The API key for TMDB. This can be obtained by creating an account on TMDB and generating an API key.
TMDB:
ApiKey: xxx
# Mediux - Configuration for Mediux
# Token - The token for Mediux. This can be obtained by creating an account on Mediux and generating a static token.
# !!!! NOTE: This is not yet available to the public. It is currently in development and will be available in the future.
# If you would like to test this app, you will need a MedUX. You can contact us on Discord to get access.
# DownloadQuality: The quality of the images to download. Options are: "original" or "optimized"
Mediux:
Token: N_l1upAQrVJ05J6Fwjz89HEoo348l1u-
DownloadQuality: "optimized"
Une fois lancé ça indexe nos contenus globaux ou par bibliothèque, avec un minimum de tri. Et ça ffiche les posters actuels. Aphrodite n’est pas encore passé mettre des overlays.
De là on peut sélectionner 1 film ou 1 série et parcourir les sets MediUX tout en visualisant le poster actuel. En l’occurrence, pour Carnivàle j’ai le choix entre 3 sets. C’est pas foufou MAIS des gens ont pris le temps de les réaliser et partager sur MediUX alors merci à eux.
Aura indique si c’est ou non déjà en base de données
Tout est expliqué et détaillé dans la documentation (en anglais, mais on est en 2025, donc go les d’jeuns ! – je suis de 73- ).
La sélection d’un set de série offre plusieurs choix : – Poster : l’affiche de la série – Backdrop : l’image d’arrière plan si vous avez activé l’option dans Plex/.Jellyfin – Season poster : les affiches des saisons – Auto DL : vérifiera périodiquement les nouvelles mises à jour de cet ensemble. C’est utile si vous souhaitez télécharger et appliquer automatiquement les nouvelles titlecards ajoutées lors de futures mises à jour de cet ensemble. C’est à ça que cert le cron entré dans la configuration.
– Future updates ONLY : ne téléchargera rien pour le moment. C’est utile si vous avez déjà téléchargé l’ensemble et que vous souhaitez uniquement appliquer les mises à jour futures. Par exemple uniquement 1x par jour.
Notez qu’il n’y a pas toujours de backdrop de proposé.
Et je constate la mise à jour dans la foulée sur Jellyfin
On peut parcourir les sets proposés par un utilisateur par rapport à nos contenus indexés par Aura, pratique si on apprécie son travail et qu’on veut en profiter pour d’autres séries ou films.
Ok, y’a déjà whatmille solutions de recommandations et découverte de contenus : les listes prises à droite à gauche et ajoutées aux arrs ou à ListSync, Overseerr/Jellyseerr, Suggestarr etc BAH EN VOICI UNE DE PLUS !
Recommendarr de fingerthief permet d’avoir des recommandations faites par une IA à partir des contenus vus sous Plex/Jellyfin, Trakt, Tautulli (eh non ! pas encore mort) et de ceux indexés par Radarr et Sonarr. Attention, tous les synopsis etc sont en anglais.
Quand je parle d’IA, c’est vaste et comprend l’autohébergé (j’ai testé avec OpenAI) :
Services d’IA compatibles
Vous pouvez utiliser n’importe lequel de ces services avec une API compatible OpenAI :
OpenAI : URL par défaut (https://api.openai.com/v1) avec votre clé API OpenAI
LM Studio : URL locale (ex. http://localhost:1234/v1) exécutant des modèles sur votre ordinateur
Ollama : URL locale (ex. http://localhost:11434/v1) pour des modèles hébergés en local
Anthropic Claude : API d’Anthropic avec l’URL de base appropriée
Auto-hébergé : votre propre serveur d’API LLM compatible avec OpenAI
Mistral, Groq, Cohere : la plupart des fournisseurs d’IA avec des endpoints compatibles OpenAI
Honnêtement, vu que je passe 90% de mon temps à tester des trucs plutôt qu’à profiter de mon setup, les recommandations que j’ai sont certes logiques (plus que celles de TMDB, en bas des fiches du moins) mais je ne sais pas si elles reflètent vraiment la qualité de cet outil. Ce dont je ne doute pas.
L’installation est simple puisque tout se configure via la WebUI
Et ensuite on peut connecter ses outils/comptes. Dans mon cas Trakt, TMDB, Jellyfin et Radarr/Sonarr. Je pense que ça venait de mon navigateur mais impossible d’accéder à la configuration en cliquant sur un autre bouton que Configure AI Service ou le menu des paramètres.
Pour l’IA j’ai utilisé mon compte OpenAI avec le modèle gpt-5-chat-latest (pas comme sur le screen). Choix complètement fait au pifomètre, je suis preneur de conseils.
Et ensuite…. magie…. Ou presque. L’IA ne fera qu’aller chercher des contenus par rapport à notre demande. Il faut donc paramétrer la demande. Au moins le nombre de recommandations.
Dans la partie IA, en sus du modèle à choisir et son degré de précision, on peut demander à ce que Recommandarr utilise un sous-ensemble de la bibliothèque afin de réduire l’utilisation de jetons tout en fournissant des recommandations pertinentes.
On sélectionne la catégorie visée (films/séries) et le nombre de recommandations souhaitées.
Puis on peut affiner la recherche en sélectionnant des genres.
Puis sélectionner un prompt pré-défini ou en créer
Style « Vibe »
Se concentre sur l’atmosphère émotionnelle et l’expérience sensorielle du contenu de votre bibliothèque. Les recommandations privilégient la correspondance avec le ressenti et l’ambiance de vos films/séries préférés plutôt que le simple genre ou la similarité de l’intrigue. Idéal pour : Trouver du contenu qui évoque la même sensation, capturant des tons et atmosphères spécifiques.
Style analytique
Procède à une analyse détaillée des structures narratives, des motifs thématiques et des techniques formelles. Les recommandations reposent sur une analyse en profondeur des éléments cinématographiques et télévisuels qui relient les œuvres à un niveau plus substantiel. Idéal pour : Une exploration intellectuelle et la découverte de contenus partageant une approche artistique ou une profondeur thématique similaire.
Style créatif
Dépasse les catégorisations classiques pour trouver des liens inattendus entre les œuvres. Met en avant les parcours émotionnels, la vision artistique et les approches narratives originales. Idéal pour : Découvrir des recommandations surprenantes, qui peuvent sembler éloignées au premier abord mais partagent une même essence créative.
Style technique
Se focalise sur l’artisanat de la production, les techniques de réalisation et l’exécution technique. Analyse les méthodes de mise en scène, la cinématographie, les styles de montage et les éléments de production. Idéal pour : L’appréciation des aspects techniques et la recherche de contenus offrant une qualité de production ou une innovation technique similaire.
Comme souvent on peut sélectionner la langue préférée du contenu (séries plutôt en langue française etc). On pourra aussi de temps en temps rescanner les bibliothèques.
Et enfin, découvrir les reco. À noter qu’on ne peut pas les ajouter à Radarr/Sonarr directement, sans passer par Overseerr/Jellyseerr/whatever.
Voici par exemple pour les films
Évidemment, avec Decypharr, ça tombe en quelques secondes.
Et pour les séries, on peut évidemment sélectionner les saisons
C’est sympa à tester, on peut y créer plusieurs utilisateurs donc c’est intéressant mais avec un LLM autohébergé ça doit consommer pas mal de ressources. Avec OpenAI ça ne consomme en revanche rien que le serveur donc je vais le garder dans un coin mais je doute l’utiliser tous les jours, avec tout le reste…
L’idéal serait de couler ça à Overseerr/Jellyseerr…
J’avais complètement zappé de présenter le fabuleux SugestArr il y a quelques mois, remédions à ça de suite !
On ajoute tous les contenus découverts sur le Web, sur IMDB, TMDB, Trakt, par des connaissances, via des forums, via Overseerr ou Jellyseerr…
Cet outil de guiseppe99barchetta devrait vous ravir puisqu’il permet d’avoir des recommandations personnalisées et est, je trouve, relativement complet :
Prise en charge multi-médias : compatible avec Jellyfin, Plex et Emby pour récupérer le contenu.
Intégration TMDb : recherche de films et séries similaires via TMDb.
Requêtes automatisées : envoie des demandes de téléchargement pour les contenus recommandés vers Jellyseer ou Overseerr.
Interface web : interface conviviale pour la configuration et la gestion.
Journaux en temps réel : visualiser et filtrer les logs en direct (ex. INFO, ERROR, DEBUG).
Sélection des utilisateurs : possibilité de choisir quels utilisateurs peuvent initier des requêtes, avec gestion et validation des contenus demandés automatiquement.
Gestion des tâches cron : modification du planning des cron jobs directement depuis l’interface web.
Pré-validation de configuration : vérifie automatiquement les clés API et les URLs lors de l’installation.
Filtrage de contenu : exclut les demandes de contenus déjà disponibles sur les plateformes de streaming dans votre pays.
Support de bases de données externes : possibilité d’utiliser PostgreSQL ou MySQL en plus de SQLite pour plus de performance et d’évolutivité.
Y’a pas d’application AndroidTV/smarthone mais c’est responsive et on peut automatiser les ajouts.
Pour l’utiliser il faut une clé API TMDB et évidemment une ou des instances Plex/Emby/Jellyfin et Oberseerr/Jellyseerr.
Une fois lancé, on se connecte avec notre lecteur favori, on ajoute une clé TMDB
Dans le cas de Plex, ça liste les serveurs disponibles (pour faire simple j’ai sélectionné un local) et ça en détaille les librairies et utilisateurs. On peut aussi mettre une URL directement
On enchaine avec Overseerr ou Jellyseerr
Je reste sur du SQLite. Si vous voulez une BDD robuste à part, il faut revoir le docker-compose pour l’ajouter
Configuration rapide :
Note minimale sur TMDB et nombre minimum d’avis,
Je n’inclus pas le contenu sans note J’exclus le contenu déjà téléchargé et/ou vu
Je n’exclus aucun genre ni aucun service (Disney+, Netflix, Youtube, Canal+…)
Je sélectionne English pour la langue originale des contenus que je veux en recommandation. Je ne suis absolument pas fan de Plus belle la vie et autres trucs français. Je préfère les séries US notamment. Précision : ça ne limite pas aux contenus produits en langue anglais mais ça la priorise
Et je souhaite des recommandations de contenus produits à partir des années 90
Pour chaque film en historique de lecture je veux 8 suggestions, 5 pour chaque série,
Suggestarr me fera des recommandations par rapport aux 5 derniers contenus lus,
Le Search Size définissant combien de suggestions en tout je demande (si j’ai bien pigé ?) Et le cron, pour l’exécution. J’ai changé après la capture, j’ai mis toutes les 6h (0 */6 * * *)
Et la récap de fin avant le 1er lancement
Et ça ajoute les recommandations dans Overseerr ou Jellyseerr selon votre configuration. Attention du coup si, comme moi, tout est automatiquement validé, ça peut vite accroître les bibliothèques ! Mon setup étant tout récent je n’ai hélas pas de screen à vous montrer mais vous pouvez voir ce que ça donne avec la fin de cette vidéo YouTube avec UNRAiD.
J’aime bien avoir une idée des notes IMDB/TMDB des contenus répertoriés par Plex. Kometa, un script Python empaqueté dans un Docker pour plus de simplicité, permet de m’auditer les jaquettes des contenus indexés et créer celles de collections et playlists. On peut presque faire la même chose sur Emby/Jellyfin, avec Posterizarr qui fonctionne aussi pour Plex)
On peut y mettre les infos qu’on souhaite, à l’endroit qu’on veut et créer/afficher ou non les listes par diffuseur etc. Tout est configurable, pour peu qu’on prenne le temps de lire la documentation.
Je partage ma configuration actuelle, qu’il faudrait encore peaufiner, et vous pouvez en trouver d’autres ici ou là.
Voici un Docker qui fonctionne très bien. Au besoin, pour UNRAiD, Synology, QNAP, Kubernetes, la doc est complète.
Et voici mon config.yml Il faut le domaine Plex + token, les clés API TMDB, FanART et MDBlist. Je voulais tester les playlists, pas encore pris le temps…
Attention, dans la partie « libraries » les noms des librairies doivent être ceux de Plex, ici Films et Séries TV
Je continue mon tour d’horizon des solutions de streaming à la carte, légales ou non selon les pays, et qui permet de se créer et maintenir une bibliothèque multimédia sans stockage local.
Je n’aborderai pas publiquement les solutions de streaming depuis des .nzb directement.
Je vais détailler ici l’installation manuelle de Decypharr, Prowlarr et Radarr/Sonarr/Plex mais tout est notamment inclus dans le script SSDv2 (avec une grosse et belle nouveauté à venir).
J’en profite pour remercier Laster13 et Teal-C pour leurs réponses à mes questions.
La dernière mouture de Decypharr embarque rClone et sa configuration sera automatisée. Mes tests sont réalisés avec Prowlarr et des indexeurs FR publics dont YGG via « api.eu », le débrideur AllDebrid ; et je ne « tape » que dans le contenu en cache chez AD (donc aucun téléchargement). Verdict : RàS pour les films, quelques saisons de séries manquantes uniquement dans le cache, OK avec le téléchargement.
Le plus important est de bien comprendre que si on demande aux *arrs d’organiser les bibliothèques dans /mnt/Bibliothèques, ils ne vont y mettre que des symlinks vers le montage rClone d’AllDebrid (/mnt/decypharr). Les *arrs, pour traiter les fichiers, tout comme Plex (ou autre) pour leur lecture, doivent avoir accès à ce montage rClone. C’est pourquoi il est impératif de monter ce dossier en volume pour chaque Docker devant y avoir accès.
Bibliothèques : dossier racine pour les *arrs Data/rCloneCache : j’avais déjà le dossier pour autre chose, j’utilise le même
decypharr/alldebrid : montage de mon compte AD decypharr/qbit : dossier de téléchargement (simulé) des fichiers. Les sous-dossiers radarr/sonarr seront ajoutés automatiquement lors de la configuration de Decypharr (tags)
Il faut installer et lancer Decypharr avant le reste vu que tout dépend ensuite du montage du débrideur et des symlinks. Idem s’il faut relancer le Docker Decypharr, il faut relancer les autres ensuite.
/mnt/decypharr/qbit devant être commun aux *arrs et Plex, on y montera /mnt:/mnt dans chaque ainsi que /mnt/decypharr/qbit:/mnt/decypharr/qbit dans les *arrs qui sauront directement où aller chercher les fichiers à traiter.
La configuration n’est pas vraiment expliquée dans la doc, la mienne n’est peut-être pas optimale mais fonctionne.
Je n’ai rien modifié dans l’onglet général. J’ai testé les notifications Discord (attention on voit la passkey des trackers utilisés) mais y’a vraiment pas d’intérêt si on ne fait qu’utilise le cache du débrideur (pas de téléchargement).
Pour la partie débrideur, on fait notre choix, on colle une clé API (ou plusieurs) et j’ai configuré le montage dans
/mnt/decypharr/alldebrid/__all__
On peut ajouter plusieurs débrideurs. On pourra les attribuer à un *arr lié à Decypharr et même les sélectionner lors de l’ajout manuel d’un .torrent
J’utilise le WebDav et je NE COCHE PAS la case Download Uncached pour qu’il ne télécharge aucun fichier (sur AD) mais n’utilise que son cache. Je fais ça parce que je voulais tester le cache d’AD et ne voulais pas télécharger des fichiers sans les partager. On peut tout à fait faire les 2 mais attention, il n’y aura pas de seed (donc ratio 0). A ne pas faire chez les Tier 1 sous peine de voir son compte banni ! Certains ont créé des scripts qui captent les .torrent utilisés pour les mettre en seed depuis un client local ou sur un serveur. Dans ce cas, Decypharr est utilisable sans crainte sur les trackers privés.
Configuration du client qBittorrent émulé. Je met le chemin qui correspond au volume local dont je parlais au début
/mnt/decypharr/qbit
On peut ajouter les *arrs soit depuis Decypharr soit depuis les *arrs eux-mêmes. Je n’ai qu’AD en débrideur j’ai donc laissé la sélection auto mais on peut choisir. Par exemple Radarr sur AD et Sonarr sur RD ou Sonarr4K sur TB etc. Selon les goût de chacun. Ce qui est certain, c’est que le cache de contenu MULTi/FRENCH est évidemment plus important sur AD et RD que sur TB, principalement utilisé par les anglophones pour Stremio.
Le Repair est le contrôle et la réparation des symlinks. Qui peuvent être cassés si le contenu lié est effacé du débrideur. Dans ce cas, selon la config, ça peut soit rechercher sur le débrideur (si le fichier a été renommé, vu que ça fonctionne avec le hash et non le nom) soit ça ira chercher un autre .torrent via les *arrs. Pour l’instant je laisse l’option par défaut à savoir « per torrent » mais il est peut-être préférable d’utiliser « per file ». Dans le cas d’un .torrent de saison complètement, que ça ne recherche que l’épisode manquant (du cache) plutôt que de tout relancer. Je l’ai mis en autotmatique, toutes les 24h.
Et enfin la partie rClone. Le monte globalement dans /mnt/decypharr et souhaite utiliser un cache (100Go) dans un dossier (et disque) qui me sert déjà à ça : /mnt/Data/rCloneCache On peut sans doute améliorer cette configuration mais Plex lit un fichier de 94Go sans broncher…
Avec le mode de téléchargement activé, voici le rendu. PausedUP signifie que le .torrent est complété (et de fait plus en seed).
Je ne montre que l’exemple de configuration de Radarr. Pour Sonarr c’est la même logique. Chez moi c’est derrière un VPN pour des interrogations de sources hors Prowlarr et NZBHydra, il n’y a donc pas de port de publié. Je retire tous les volumes par défaut pour ne monter que /mnt/decypharr/qbit:/mnt/decypharr/qbit et /mnt:/mnt
Configuration du dossier racine : /mnt/Bibliothèques/Films
Configuration du client de téléchargement si on n’a pas ajouté Radarr depuis Decypharr. Il faut sélectionner qBittorrent
Et dans l’adresse il faut mettre l’URL (ou l’IP) de Decypharr et le port (et SSL si vous utilisez une URL et un reverse proxy). Le nom d’utilisateur et le mot de passe sont l’URL de Radarr et sa clé API. La catégorie : radarr (et donc sonarr pour Sonarr ofc!)
Ne surtout pas cocher la case Sequential Order (sinon ça DL localement)
Et comme le même chemin/volume est monté dans chaque Docker, il n’y a aucun Remote Path Mapping à mettre
Lors de l’ajout d’un film, la complétion est quasi instantanée pour peu que le fichier cherché soit déjà dans le cache d’AllDebrid. Si vous activez le téléchargement des fichiers non encore en cache, ça peut prendre quelques minutes.
En regardant de plus près, on voit bien que c’est un symlink vers le cache d’AllDebrid
aerya@StreamBox:/mnt/Bibliothèques/Films$ ls -l Alien\ -\ Romulus\ \(2024\)/
total 4
lrwxrwxrwx 1 root root 208 Aug 25 18:55 Alien.Romulus.2024.MULTi.VFF.2160p.UHD.BluRay.REMUX.DV.HDR.HEVC.TrueHD.7.1.Atmos-ONLY.mkv -> /mnt/decypharr/alldebrid/__all__/Alien.Romulus.2024.MULTi.VFF.2160p.UHD.BluRay.REMUX.DV.HDR.HEVC.TrueHD.7.1.Atmos-ONLY/Alien.Romulus.2024.MULTi.VFF.2160p.UHD.BluRay.REMUX.DV.HDR.HEVC.TrueHD.7.1.Atmos-ONLY.mkv
ncdu 1.19 ~ Use the arrow keys to navigate, press ? for help
--- /mnt/Bibliothèques/Films/Alien - Romulus (2024)- ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
@ 4.0 KiB [###################################################] Alien.Romulus.2024.MULTi.VFF.2160p.UHD.BluRay.REMUX.DV.HDR.HEVC.TrueHD.7.1.Atmos-ONLY.mkv
Plus globalement, tous les fichiers sont bien chez AllDebrid, monté via WebDav/rClone et je n’ai localement que des symlinks qui ne prennent aucune place. En théorie, on pourrait se faire cette installation sur une Carte MicroSD de quelques Go
ncdu 1.19 ~ Use the arrow keys to navigate, press ? for help
--- /mnt ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
15.9 TiB [###################################################] /decypharr
4.0 MiB [ ] /Bibliothèques
Pour terminer, la configuration de Plex. Toujours avec /mnt:/mnt de monté pour garantir l’accès aux symlinks.
Il y a quelques années, j’utilisais un plugin pour Plex pour synchroniser les visionnages. L’intérêt étant surtout de pouvoir ajouter/retirer des contenus, voire réinstaller un serveur Plex, tout en ne perdant pas le chemin parcouru
On peut synchroniser de Plex vers Trakt et/ou Trakt vers Plex, par bibliothèque et utilisateur.
Voici un exemple d’installation et de configuration, sans prise en compte de Watchlists (que je n’ai pas vu qu’ici on passe par Overseerr uniquement). Il faut une application Trakt.tv vérifiée (gratuit) pour récupérer ses clés d’accès. Et si vous voulez les notifications Discord, l’OS hôte (mon script est externe) doit avoir curl et jq.
Installation du Docker. Ofelia étant un cron qui permet de lancer la synchronisation selon nos préférences, je le lance toutes les 6h (0 */6 * * *). Pour paramétrer, aidez-vous de Cron Guru au besoin.
En suivant le ReadMe, lancer le Docker la 1ère fois créera le fichier de configuration config.yml. Mais on peut aussi l’éditer à la main, tout comme servers.yml. Pour sélectionner le serveur, utiliser les flèches du clavier.
Je me suis trompé de serveur, j’ai édité la conf à la main ensuite, du coup il cherchait à valider un SSL alors que j’avais mis un serveur en IP locale. Il faut lui laisser un peu le temps mais ensuite c’est bon.
Si ce n’est pas déjà fait, il explique la marche à suivre pour se faire une application Trakt.tv
Quand je vois SickGear dans mes applications… ça rappelle de sacrés souvenirs !
Il convient tout de même d’éditer un peu la configuration à la main, notamment si on veut exclure des bibliothèques ou watchlists. Ici c’est basique, je n’ai qu’un utilisateur et synchronise tout mais pour aller plus dans le détail je vous recommande de suivre son ReadMe. C’est config.yml dans /home/aerya/docker/plextraktsync/config
cache:
path: $PTS_CACHE_DIR/trakt_cache
# You may want to use per server libraries config instead:
# - https://github.com/Taxel/PlexTraktSync#libraries
excluded-libraries:
- Private
config:
dotenv_override: true
plex:
timeout: 30
logging:
append: true
# Whether to show timestamps in console messages
console_time: false
debug: false
filename: plextraktsync.log
# Additional logger names to apply filtering
filter_loggers:
# - plexapi
# - requests_cache.backends
# - requests_cache.backends.base
# - requests_cache.backends.sqlite
# - requests_cache.policy.actions
# - requests_cache.session
# - trakt.core
# - urllib3.connectionpool
filter:
# # Filter out all messages with level WARNING
# - level: WARNING
# # Filter out message with level WARNING and containing a text
# - level: WARNING
# message: "not found on Trakt"
# - message: "because provider local has no external Id"
# - message: "because provider none has no external Id"
# - message: "Retry using search for specific Plex Episode"
# # Filter out messages by requests_cache
# - name: requests_cache.backends
# - name: requests_cache.backends.base
# - name: requests_cache.backends.sqlite
# - name: requests_cache.policy.actions
# - name: requests_cache.session
# settings for 'sync' command
sync:
# Setting for whether ratings from one platform should have priority.
# Valid values are trakt, plex or none. (default: plex)
# none - No rating priority. Existing ratings are not overwritten.
# trakt - Trakt ratings have priority. Existing Plex ratings are overwritten.
# plex - Plex ratings have priority. Existing Trakt ratings are overwritten.
rating_priority: plex
plex_to_trakt:
collection: false
# Clear collected state of items not present in Plex
clear_collected: false
ratings: true
watched_status: true
# If plex_to_trakt watchlist=false and trakt_to_plex watchlist=true
# the Plex watchlist will be overwritten by Trakt watchlist
watchlist: false
trakt_to_plex:
liked_lists: true
ratings: true
watched_status: true
# If trakt_to_plex watchlist=false and plex_to_trakt watchlist=true
# the Trakt watchlist will be overwritten by Plex watchlist
watchlist: false
# If you prefer to fetch trakt watchlist as a playlist instead of
# plex watchlist, toggle this to true (is read only if watchlist=true)
watchlist_as_playlist: false
# Sync Play Progress from Trakt to Plex
playback_status: false
# Configuration for liked lists
liked_lists:
# Whether to keep watched items in the list
keep_watched: true
# Configuration override for specific lists
#liked_list:
# "Saw Collection":
# keep_watched: true
# settings for 'watch' command
watch:
add_collection: false
remove_collection: false
# what video watched percentage (0 to 100) triggers the watched status
scrobble_threshold: 80
# true to scrobble only what's watched by you, false for all your PMS users
username_filter: true
# Show the progress bar of played media in terminal
media_progressbar: true
# Clients to ignore when listening Play events
ignore_clients: ~
xbmc-providers:
movies: imdb
shows: tvdb
De même, on peut venir éditer le fichier du ou des serveurs Plex à synchroniser : servers.yml
Et donc, toutes les 6h, le Docker se lance et synchronise Plex et Trakt.tv pour mettre à jour les films et séries lus/non lus. La 1ère fois peut prendre un peu de temps selon le nombre de fichiers.
Je voulais les notifications sur Discord, j’ai donc créé un script qui lance le Docker et envoie la récap en notification :
Nécessite curl et jq. Pour l’icône, ici comme pour Heimdall, j’utilise dashboardicons.com Et il faut retirer Ofelia et les labels inhérents du compose plus haut puisque c’est maintenant l’hôte, via crontab par exemple, qui va exécuter le script qui va lui-même lancer le Docker de plextraktsync.