La BPCO progresse souvent en silence, mais ses ravages, eux, ne passent pas inaperçus : elle figure désormais parmi les principales causes de mortalité dans le monde. Longtemps cantonnée à l’image du « fumeur malade », elle touche pourtant aussi des travailleurs exposés à des vapeurs, poussières...
On en voit partout, mais on ignore presque tout : le protoxyde d’azote fait exploser les hospitalisations, et ses dégâts cachés vont bien au-delà de la simple inhalation festive.