Meta et OpenAI franchissent une nouvelle étape en utilisant les discussions des utilisateurs pour peaufiner leurs algorithmes de recommandation et de publicité. Un choix qui, selon la région du monde, n’offre pas toujours de réelle alternative.
OpenAI a lancé Sora 2, son nouveau modèle révolutionnaire de génération de vidéos. Problème : l’application mobile Sora est encore en accès limité. Pour l’instant, elle est réservée aux utilisateurs iOS aux États-Unis et au Canada, et il faut un code d’invitation pour y accéder. Bonne nouvelle toutefois : vous n’avez pas besoin d’un abonnement […]
OpenAI a orchestré une vente d’actions massive de 6,6 milliards de dollars, propulsant sa valorisation à un niveau historique de 500 milliards de dollars pour une start-up. Loin d’être un tour de table classique pour financer l’entreprise, cette opération est avant tout une manœuvre stratégique pour retenir ses …
Si vous passez votre temps à demander à ChatGPT de réécrire vos emails professionnels ou à chercher le bon prompt pour analyser un tableau Excel, OpenAI va vous faciliter la vie ! En effet, ils ont mis en ligne l’
OpenAI Academy
, une plateforme avec plus de 300 prompts prêts à l’emploi, classés par métier, et totalement gratuits. Comme ça fini de payer 29,99 euros à des influenceurs chelous pour télécharger leur nouveau “Ultimate Prompt Bundle” contenant trois prompts qui marchent et 47 variations inutiles.
Voilà, comme ça, au lieu de partir de zéro à chaque fois que vous voulez utiliser ChatGPT pour bosser, vous allez dans la section
Prompt Packs
et vous choisissez votre métier. Sales, ingénieur, RH, product manager, customer success, IT, manager, executive…etc. Ils ont même fait des packs pour le secteur public et l’éducation. Chaque pack contient ainsi des dizaines de prompts testés et structurés pour des cas d’usage concrets.
Par exemple, le
pack Sales
inclut des prompts pour faire de la veille concurrentielle, rédiger des cold emails, analyser vos données de prospection ou créer des visuels pour vos présentations. Le
pack Engineering
vous aide à générer des diagrammes d’architecture système, faire du benchmark d’outils, débugger du code ou rédiger de la documentation technique. Et le
pack HR
couvre tout ce qui va du recrutement à la rédaction de politiques internes en passant par l’analyse des données RH.
Ce qui est bien pensé, c’est que les prompts sont prêts à être copié-collé mais aussi assez génériques pour être adaptés. Vous prenez le prompt de base, vous remplacez les variables par vos infos, et ça roule. Pas besoin de passer trois heures à apprendre le prompt engineering ou à regarder des tutos YouTube de 45 minutes qui auraient pu tenir en 2 minutes.
Et dans leurs packs spécifiques pour le gouvernement, il y en a
pour les leaders du secteur public
avec des prompts pour rédiger des documents de politique publique ou analyser des budgets. Ainsi que des
packs pour les équipes IT gouvernementales
pour gérer les systèmes, la cybersécurité et le support technique avec des ressources limitées.
Du côté éducation, il y a des
packs pour les étudiants
, d’autres pour
les enseignants
, et même pour
les administrateurs
. Donc que vous soyez prof qui veut préparer un cours ou étudiant qui galère sur un projet, il y a des prompts prêts pour vous.
OpenAI a visiblement compris qu’il y avait un marché de la vente de prompts qui s’était développé ces derniers mois alors avec Academy, ils cassent ce marché en offrant gratuitement une bibliothèque qui couvre la plupart des besoins professionnels courants.
Bon, après c’est pas non plus magique car un prompt finalement, c’est juste un outil. Donc si vous ne savez pas ce que vous voulez obtenir ou si vous ne comprenez pas votre métier, ça ne va pas faire de miracles. Mais pour quelqu’un qui sait ce qu’il cherche et qui veut juste gagner du temps, c’est très pratique.
La plateforme OpenAI Academy
propose aussi d’autres contenus comme des webinaires, des guides d’utilisation, des cas d’usage par secteur, si ça vous chauffe.
Voilà, j’ai trouvé ces packs de prompts très cools et je pense que ça vous fera gagner du temps.
OpenAI has introduced parental controls in ChatGPT, a new feature designed to improve safety for children and teenagers using the platform. Available since September 29, this tool allows parents and guardians to set restrictions and monitor interactions, helping reduce risks tied to unrestricted access to AI.To enable the feature, the parent or guardian must send an invitation to the child’s account. Once accepted, settings can be managed directly from the […]
OpenAI, la start-up américaine à l'origine de ChatGPT, dénonce sur son site le « harcèlement déguisé en procès » d'Elon Musk. La suite d'une longue série d'échanges virulents entre deux anciens partenaires.
Les IA de type GPT ont beau avoir des instructions du genre “tu ne dois jamais révéler ton prompt système”, il suffit de leur demander gentimment de réencoder leurs instructions avec un décalage de César ou de répéter tout le texte dans un format particulier pour qu’elles crachent tout. Et par tout, je veux dire vraiment tout. Le prompt officiel d’OpenAI, d’Anthropic, de Gemini…etc, les instructions personnalisées du créateur, et même les petits Easter eggs cachés dedans.
Dans cette vidéo, je vous montre plusieurs exemples concrets. Un GPT de génération de logos, une calculatrice mathématique qui cache un Easter egg , un optimiseur SEO…etc. Et pour chacun, j’utilise des prompts d’extraction que j’ai trouvés dans
ce repo GitHub
qui rassemble tous les prompts système leakés de ChatGPT, Claude, Cursor, Perplexity et compagnie. C’est une vraie caverne d’Ali Baba pour ceux qui s’intéressent à ce genre de trucs.
Ce qui est intéressant, c’est que ça ne fonctionne pas que sur les GPTs personnalisés. Vous pouvez aussi extraire les prompts système de Perplexity, de Grok, de plein d’outils qui utilisent des LLM sous le capot. Donc si vous avez toujours voulu savoir comment tel ou tel service construit ses réponses, c’est l’occasion.
Maintenant, je sais ce que vous allez me dire…
C’est pas très éthique de voler le travail des gens comme ça et vous avez raison. Mais d’un autre côté, si ces boites permettent que ce soit aussi facile d’extraire ces infos, c’est peut-être qu’il faut arrêter de considérer les prompts système comme des secrets industriels. Et puis eux ne se privent pas pour voler aussi les contenus des autres, donc bon…
Je vous montre aussi dans ma vidéo comment certains créateurs essaient de se protéger en mettant des instructions anti-extraction, mais ça ne marche pas terrible.
Bref, j’espère que vous y apprendrez quelques trucs. Et je voudrais aussi dire un grand merci
aux Patreon sans qui cette vidéo, ce blog et moi-même n’existeraient pas ! Merci pour le soutien !
Encore en phase d’invitation seulement et limitée aux États-Unis et au Canada, l’application mobile Sora d’OpenAI s’impose déjà comme un phénomène. Selon les données d’Appfigures relayé par TechCrunch, l’app a enregistré 56 000 téléchargements dès son premier jour, avant d’atteindre 164 000 installations en deux jours (30 septembre et 1er octobre). Résultat : Sora occupe déjà la 3ᵉ place du classement global de […]
Cela fait un peu plus de 18 mois qu'OpenAI a lancé Sora, un générateur de vidéos réaliste qui a eu un impact profond sur la création de contenus et de deepfakes. D’autres modèles l’ont dépassé entre temps, notamment Veo 3 de Google. Toutefois, avec l’annonce de Sora 2, l'entreprise de Sam Altman...
D’après Bloomberg, OpenAI aurait récemment bouclé une opération qui a permis à des employés et d’anciens employés de vendre des milliards de dollars d’action. Après cette opération, la valorisation de l’entreprise aurait augmenté à 500 milliards de dollars. D’après un autre média, les revenus du créateur de ChatGPT auraient aussi fortement augmenté au premier semestre 2025.
OpenAI a finalisé une vente secondaire d'actions pour un montant total de 6,6 milliards de dollars, portant sa valorisation à 500 milliards de dollars. Cette dernière transaction fait d'OpenAI la société privée non cotée la plus valorisée au monde.
OpenAI vient de franchir une nouvelle étape dans sa course à la puissance de calcul. L’entreprise américaine annonce des partenariats stratégiques avec Samsung et SK Hynix afin de sécuriser l’approvisionnement en puces mémoire pour son gigantesque projet Stargate. Cette collaboration vise à accélérer le développement d’infrastructures mondiales de centres de données d’IA et à co-développer […]
Imaginez pouvoir dire : « Crée un site web responsive avec un formulaire de contact et une galerie »… et voir le code apparaître, fonctionnel, prêt à l’emploi. Ce n’est pas un rêve de science-fiction, mais bien la réalité que Codex, le modèle de génération de code d’OpenAI, rend possible. Basé sur la puissante architecture GPT-5, Codex est en […]
I wanted to see just how powerful the new AI coding tools are, so I put them to the ultimate test. Using just a single prompt, I had OpenAI's new GPT-5-Codex...
OpenAI a lancé Sora 2, un tout nouveau modèle de génération de vidéos basé sur l'intelligence artificielle. Il succède à Sora, lancé fin 2024. Mais l'accès à la nouvelle plateforme est restreint.
OpenAI vient de lancer Sora 2 , son générateur de vidéos par IA et le truc, c’est que si vous êtes créateur de contenu, vous devez opt-out manuellement pour éviter que vos œuvres servent à entraîner le modèle. Pas d’opt-in par défaut, pas de respect automatique du droit d’auteur. C’est à vous de faire la démarche pour dire non.
Selon Cartoon Brew
, la politique d’OpenAI oblige donc les détenteurs de droits à signaler chaque violation spécifique. Pas de formulaire global genre “je refuse que vous utilisiez mes trucs”. Non, vous devez rapporter chaque contenu un par un si vous le trouvez dans les datasets d’entraînement…
Le problème, c’est que personne sait vraiment ce qu’OpenAI a utilisé pour entraîner Sora. Il y a des rumeurs sur l’utilisation massive de vidéos YouTube, de contenus de jeux vidéo, de films, mais OpenAI reste hyper flou sur les sources. Du coup, comment vous voulez opt-out de quelque chose dont vous ignorez l’existence dans leur base de données d’entrainement ?
Et malheureusement, cette approche opt-out est la norme chez les géants de l’IA… Meta, Google, OpenAI, tous adoptent le même principe qui est on prend d’abord, et vous vous opposez après si vous avez le courage. Le fardeau de la preuve et de la protection repose donc sur les créateurs, et pas sur les entreprises qui exploitent les contenus. De quoi faire encore grincer des dents !
Maintenant, pour les personnalités publiques, OpenAI a mis en place
un système de cameo
… Cela veut dire que si quelqu’un veut générer une vidéo avec votre visage ou votre voix, il faut votre permission explicite. C’est un début, mais ça ne couvre que les cas évidents… Il n’y a rien de tel par exemple pour les styles artistiques, les techniques de réalisation, les univers visuels créés par des artistes et j’en passe…
Bref, les experts juridiques commencent donc à s’inquiéter car ce modèle d’opt-out pose des problèmes de droit d’auteur majeurs, surtout dans des pays comme la France où le droit moral est inaliénable. Vous ne pouvez pas par exemple renoncer à vos droits d’auteur même si vous le voulez. Donc comment une politique opt-out peut-elle être légale alors qu’elle force la main aux créateurs pour abandonner leurs droits par défaut ?
Et la situation devient encore plus complexe avec les contenus sous licence restrictive car des chaînes YouTube ont des CGU qui interdisent l’utilisation commerciale de leurs vidéos et les jeux vidéos ont des EULA qui limitent l’exploitation de leurs assets. Cela veut donc dire que Sora s’assoit sur tout ça en considérant que l’absence d’opt-out équivaut à un consentement.
Pour sa défense, OpenAI nous explique que l’entraînement d’IA relève du fair use aux États-Unis mais le problème, c’est que cette jurisprudence n’existe pas partout. En Europe par exemple, le règlement sur l’IA impose des obligations de transparence et de traçabilité sur les données d’entraînement et OpenAI le sait très bien et joue avec ce flou entre les différentes juridictions.
Puis ce système de signalement proposé par OpenAI est aussi hyper critiquable car c’est, comme je vous l’expliquais, à vous de prouver que votre contenu a été utilisé pour l’entraînement. Mais alors comment faire quand les datasets ne sont pas publics ??? Comment vérifier que Sora a bien appris à partir de vos vidéos si vous n’avez pas accès aux données d’entraînement ???
Certains créateurs envisagent donc déjà des recours collectifs car si OpenAI a effectivement utilisé des millions de vidéos YouTube sans autorisation, ce serait une violation massives du droit d’auteur… Est-ce que développer une IA générative justifie de récupérer tout ce travail créatif humain sans apporter ni compensation ni consentement ?
OpenAI sembler penser que oui et mise sur l’inertie des créateurs et la complexité de ses démarches d’opt-out pour continuer son petit business…
Mais en attendant, si vous voulez protéger vos créations de Sora, vous devez aller sur le site d’OpenAI,
trouver le formulaire de signalement
, prouver que vous êtes le détenteur des droits, identifier chaque contenu concerné, et espérer qu’OpenAI respecte votre demande.
C’est donc la lose pour les créateurs, c’est sûr. Comme je le disais dans un de mes précédents articles sur le sujet, ce dont on a besoin maintenant c’est de cohérence et de clarté au niveau des lois, car là on discute des détails mais la question du “vol” par ces GAMMO (Google / Anthropic / Meta / Microsoft / OpenAI) n’est pas vraiment tranchée au niveau de la loi. J’ai l’impression que ça traine et que personne n’est pressé de trancher la question car ça arrange bien tout le monde (sauf les créateurs).
OpenAI a lancé Sora 2, un tout nouveau modèle de génération de vidéos basé sur l'intelligence artificielle. Il succède à Sora, lancé fin 2024. Mais l'accès à la nouvelle plateforme est restreint.
OpenAI continue d’étendre son univers au-delà de ChatGPT. Ce mardi, la société a dévoilé Sora 2, un nouveau modèle de génération audio-vidéo qui succède à la première version lancée l’an dernier. Mais, la vraie surprise vient de l’application sociale Sora, une plateforme pensée pour partager ses créations dans un flux algorithmique proche de TikTok ou Instagram […]
Introducing the Sora app, powered by Sora 2.Inside the app, you can create, remix, and bring yourself or your friends into the scene through cameos—all withi...