Votre cerveau pourrait être plus jeune que votre âge… si vous changez juste ça dans votre semaine !





Préparez-vous à plonger dans le nouveau mode Histoire palpitant de Plants vs Brainrots, une addition excitante qui fait écho au jeu classique Plants vs Zombies. Votre mission ? Protéger votre jardin des Brainrots implacables et débloquer de nouveaux personnages et récompenses en cours de route. Lisez la suite pour découvrir tout ce que vous devez […]
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À mesure que la jeunesse s’éloigne dans le passé, la crainte de vieillir peut s’installer. Pourtant, des recherches publiées récemment dans la revue Intelligence par Gilles E. Gignac et son collègue démontrent qu’il existe d’excellentes raisons de se réjouir : pour beaucoup d’entre nous, le fonctionnement psychologique global culmine entre 55 et 60 ans. Comprendre ... Lire plus
L'article Une étude révèle l’âge surprenant auquel le cerveau atteint son apogée est apparu en premier sur Fredzone.L’article propose que la vision classique du stockage de la mémoire dans le cerveau, basée sur les synapses comme unités de stockage numérique, est insuffisante pour expliquer des cas comme l’hyperthymésie, où des individus se rappellent de décennies de souvenirs avec une fidélité « cinématographique ».[1]
Les auteurs soulignent que la capacité de stockage théorique du cerveau, même dans une version généreuse, est dépassée par le volume et la richesse du rappel de certaines personnes à mémoire autobiographique exceptionnelle (HSAM). Selon cette critique, les connexions synaptiques serviraient davantage d’index ou de points d’accès que de véritables lieux de stockage de l’information.[1]
L’article avance que la physique moderne considère l’espace-temps comme un substrat actif, capable de conserver des “empreintes quantiques” laissées par les interactions des particules et, par extension, par la dynamique neuronale. Ainsi, la mémoire ne serait pas uniquement contenue dans le cerveau, mais aussi inscrite dans le tissu de l’espace-temps lui-même, accessible par résonance.[1]
Des structures subcellulaires comme les microtubules seraient à la fois des résonateurs naturels et des moyens d’accès à ces empreintes dans le champ quantique. La formation du souvenir impliquerait l’imprégnation d’un “pattern” dans ce champ et le rappel se ferait par syntonisation résonante.[1]
Le texte évoque la possibilité que l’Intrication quantique et l’effet de mémoire gravitationnelle participent au processus : chaque mouvement de matière laisse une trace permanente dans l’espace-temps, et le cerveau pourrait y accéder en retrouvant la configuration résonante correspondante.[1]
Cette approche n’exclut pas le rôle des neurones, mais propose un changement de paradigme : la synapse est un guide et l’espace-temps le support. Cela ouvrirait la voie à de nouvelles technologies biomimétiques de stockage par résonance et champ quantique, ainsi qu’à des approches thérapeutiques visant la restauration de la mémoire par résonance subcellulaire.[1]
En résumé, l’article explore l’idée que la mémoire pourrait être une propriété fondamentale de l’espace-temps, accessible grâce à une interface biologique sophistiquée impliquant microtubules, résonance quantique et Intrication, au-delà des limites computationnelles classiques du cerveau.[1]
Est-ce que vous êtes déjà demandé pourquoi les soldats blessés au combat ne réalisent pas immédiatement qu’ils pissent le sang ? Ou pourquoi votre mal de dos disparaît mystérieusement quand vous êtes en retard pour un truc important ?
Hé bien des chercheurs de l’ Université de Pennsylvanie viennent de trouver l’interrupteur neuronal responsable et c’est assez dingue comme découverte, vous allez voir !
L’équipe de J. Nicholas Betley a identifié un groupe de neurones dans le tronc cérébral qui agissent comme un bouton “Ne pas déranger” pour la douleur chronique. Ces neurones, qu’on appelle Y1R, se trouvent dans une zone appelée le noyau parabrachial latéral . Un nom compliqué pour un truc très basic… en gros, votre cerveau a un système de priorisation brutal : La survie d’abord, le confort après !
Quand vous avez faim, soif ou peur, votre cerveau libère un neuropeptide appelé NPY. Ce neuropeptide vient se fixer sur les récepteurs Y1 de ces neurones du tronc cérébral, et quand ça arrive, les signaux de douleur chronique sont réduits. Pas coupés complètement, mais clairement atténués.
Votre cerveau vous dit en gros : “Écoute bonhomme, je sais que tu as mal au dos, mais là on a un problème plus urgent à gérer”.
L’équipe a utilisé pour cela l’imagerie calcique pour observer l’activité neuronale en temps réel chez des souris. Et ils ont constaté que les neurones Y1R ne réagissaient pas aux douleurs courtes et aiguës. Par contre, ils restaient actifs en continu pendant les douleurs prolongées. C’est ce qu’on appelle une activité tonique, et quand les chercheurs ont bloqué artificiellement l’activité de ces neurones, les souris ont vu leur douleur chronique diminuer.
Mais elles réagissaient toujours normalement aux dangers immédiats comme toucher une surface chaude par exemple. Le système de douleur aiguë fonctionnait toujours, mais la douleur persistante était très réduite.
Ça pourrait expliquer par exemple pourquoi vous oubliez votre migraine quand vous êtes concentré sur un truc urgent. Ou pourquoi l’adrénaline d’une situation stressante peut vous faire oublier une blessure. C’est votre cerveau qui active ce circuit sans vous demander votre avis.
Il priorise selon ses propres critères et ses critères datent de l’époque où on chassait le mammouth ^^.
Betley dit que cette découverte ouvre une nouvelle voie de traitement, car si on arrive à mesurer l’activité de ces neurones Y1R, on pourrait avoir un biomarqueur fiable de la douleur chronique. C’est un truc qui manque cruellement aux médecins et aux labos pharma car aujourd’hui, la douleur chronique se mesure surtout par ce que vous racontez. C’est subjectif, c’est très difficile à quantifier et donc très difficile à traiter.
Là, ceux qui en font des caisses en hurlant à la mort alors qu’ils n’ont presque rien devraient vite se faire repérer (coucou les footballeurs)… alors que ceux qui douillent vraiment, mais qui serrent les dents seront peut-être mieux pris en charge.
Avec ce biomarqueur neuronal, on pourrait donc objectiver la chose et développer des médicaments qui ciblent spécifiquement ces neurones, ou même explorer des thérapies comportementales qui activent naturellement ce circuit.
Par exemple, l’idée que la faim pourrait techniquement réduire la douleur chronique est plutôt drôle… J’image déjà sur Doctissimo les articles à la con : “Jeûnez pour ne plus avoir mal au dos !” alors qu’évidemment ce n’est pas si simple. Mais bon, ça montre à quel point notre cerveau fonctionne selon des priorités qu’on ne contrôle pas consciemment.
Betley et son équipe continuent évidemment leurs recherches, car ils veulent comprendre plus précisément comment ces neurones interagissent avec les autres circuits cérébraux afin de pouvoir à terme les activer de façon ciblée sans passer par la case “avoir faim, soif ou flipper sa race”.
Y’a aussi la question des traitements médicamenteux, car comme le neuropeptide Y existe déjà, on pourrait théoriquement développer des agonistes du récepteur Y1 qui imitent son action. Les premiers tests cliniques explorent des voies intranasal et intrathecal où des molécules viendraient se fixer sur ces récepteurs pour réduire la douleur chronique sans toucher à la douleur aiguë.
Ça va nous changer du doliprane ^^ !
Bref, les prochaines étapes vont être intéressantes notamment, le passage de la souris à l’humain, qui est toujours un défi.
Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, l’article complet est disponible sur Nature .

Grâce à une récente étude, le chercheur Peter Coppola a réussi à fournir des réponses à l’un des plus grands mystères : l’origine de la conscience. Découverte !
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