Une récente étude sur l’impact des modèles de langage sur notre cerveau et nos capacités cognitives a été mal interprétée dans certains médias, donnant lieu à une légère désinformation sur la question.
À l'instar des poux, des puces ou des vers solitaires, les téléphones intelligents sont des parasites pour l'humain, fait remarquer cet article de The Conversation.
Si vous êtes du genre à ne jamais éteindre vos notifications, à faire plusieurs choses en même temps et à ne jamais prendre le temps de vous détendre vraiment, vous souffrez probablement de problèmes d’attention liés à une fatigue mentale. Des médecins donnent des pistes pour reprendre la main…...
Et si la clé d’un trouble mental aussi complexe que le TOC ne se cachait pas là où on l’attendait ? Pendant des années, on a cherché les causes dans le cerveau, mais une étude récente pointe vers une piste bien plus surprenante...
On sait que certains mammifères produisent des neurones même à l’âge adulte. Mais chez l’humain, ceci n’avait jamais été démontré de manière parfaitement claire. Dans une nouvelle étude, des chercheurs suédois expliquent comment ils sont parvenus à mettre en évidence la présence de cellules...
L’hypothèse d’un lien entre la maladie d’Alzheimer et le virus de l’herpès (HSV-1) refait surface, suggérant que des infections virales pourraient jouer un rôle dans l’apparition de lésions cérébrales caractéristiques de cette pathologie – et peut-être d'autres maladies...
Rester assis trop longtemps pourrait nuire à notre cerveau plus que nous ne le pensons. Une étude récente révèle que la position assise prolongée est associée à une réduction du volume cérébral et à des troubles cognitifs chez les personnes de plus de 50 ans. Contrairement aux idées reçues, une...
Pour réduire la facture énergétique de l’IA, des scientifiques américains cherchent à imiter la structure complexe du cerveau humain afin de gagner en efficacité. C’est ce qu’on appelle l’informatique neuromorphique. Explications.
L’étude de l’activité cérébrale d’un petit échantillon de 54 personnes ayant réalisé trois sessions espacées sur quatre mois montrerait que, sur le plan neuronal, linguistique et comportemental, les utilisateurs de ChatGPT sous-performeraient systématiquement par rapport aux personnes qui n’utilisent pas le chatbot pour les mêmes tâches.
83,3 % des utilisateurs de ChatGPT soumis au test de l’étude seraient incapables de citer des passages d’essais qu’ils avaient rédigés quelques minutes auparavant.
Dans cette expérimentation, 55 % de la « charge cognitive » nécessaire pour rédiger un essai sans aucune assistance diminuerait avec l’utilisation d’un LLM provoquant une sorte d’atrophie cérébrale.
Dans le temps, écrire avec ChatGPT ferait accumuler une « dette cognitive » rendant difficile un retour à une activité cérébrale normale pour les tâches effectuées sans LLM.
Un preprint est un article qui n’a pas encore fait l’objet d’une évaluation par les pairs. Des erreurs méthodologiques sont donc possibles et les conclusions sont susceptibles d’être substantiellement modifiées : en particulier la nature des enregistrements effectués pourrait ne pas permettre d’établir les inférences présentées dans l’étude.