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Reçu aujourd’hui — 15 novembre 2025

Le lien mystérieux entre la possession de chats et la schizophrénie est réel, selon une étude

Une étude surprenante révèle un lien mystérieux entre la possession de chats et la schizophrénie. Les chercheurs australiens ont analysé 17 études sur 44 ans, couvrant 11 pays. Leur conclusion ? Vivre avec un félin pourrait doubler le risque de troubles schizophrènes. Cette découverte soulève...

Reçu — 11 novembre 2025

« Le psychopathe intégré » : un livre pour détecter et éviter les pièges des psychopathes

Le saviez-vous : 1 % de la population se situe dans le haut du spectre de la psychopathie ? C’est peu et beaucoup à la fois. On entend souvent le terme « psychopathe » pour identifier un tueur sanguinaire... Le livre de Vicente Garrido Le psychopathe intégré définit et explique ce qu’est...

Reçu — 10 novembre 2025

Les chercheurs découvrent que vos yeux peuvent détecter la démence… jusqu’à 12 ans à l’avance

Une découverte majeure dans le domaine de la santé mentale vient de bouleverser le monde médical. Des chercheurs ont mis en lumière un lien étonnant entre notre vision et la démence. Cette étude révolutionnaire pourrait bien changer la donne dans le diagnostic précoce de cette maladie redoutée....

Reçu — 4 novembre 2025

À court de problèmes personnels, elle commence à sortir avec un barman

4 novembre 2025 à 15:00

J’ai commencé à envier les gens qui avaient des drames, des chagrins d’amour et que je voyais exploser soudainement en sanglots aux terrasses de café” explique la trentenaire. “Alors j’ai plaqué Philippe, mon mari ennuyeux contrôleur de gestion chez L’Oréal pour Maxime, un barman de La Fourmi, tatoué et accro à la cocaïne. Depuis, chaque jour est un calvaire. Comme dans les films” s’enthousiasme-t-elle.

Car très vite, la relation avec Maxime apporte la dose de drame espérée “Il a commencé par me ghoster des semaines et à ne répondre à mes textos que vers 4h du matin” explique-t-elle. Puis pour fêter leurs trois mois, le jeune homme emprunte 3000€ à la jeune femme et la plante au restaurant pour retrouver son dealer. “Le mois prochain on devrait passer un cap puisqu’il compte me présenter sa deuxième copine” confesse-t-elle émue. 

Non content de lui apporter des problèmes personnels, Maxime compte bien aller plus loin en apportant à Maud des problèmes cliniques. Parmi ces derniers, celle-ci espère prochainement attraper la syphilis, développer une addiction à la drogue de synthèse et même tomber enceinte provoquant le départ de Maxime. “Mais chaque chose en son temps, je ne veux pas aller trop vite” nuance la jeune femme avec modestie. 

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Reçu — 16 octobre 2025

OpenAI passe en mode Cinquante Nuances d'IA

Par :Korben
16 octobre 2025 à 08:40

Vous vous souvenez quand ChatGPT vous cassait les couilles dès que vous osiez lui demander d’écrire une scène un peu olé-olé pour votre “roman” ? Eh bien, Sam Altman vient d’annoncer que c’est bientôt fini .

Hé oui, en décembre, ChatGPT va enfin traiter les adultes comme des adultes ! L’IA va pouvoir vous pondre des histoires de fesses à la demande ! Mis à part la démission de Macron, que pourrait on demander de plus ?

L’entreprise qui vous empêchait de dire “zut”, “prout”, “merde” à son chatbot parce que ce sont des gros mots qui choquent l’Amérique, va donc maintenant vous laisser générer du contenu pour les grands garçons et les grandes filles.

Quel virage !

D’ailleurs, sur X, Sam Altman justifie ce changement avec toute la diplomatie d’un PDG qui sait qu’il va se faire déchirer dans les deux sens. D’un côté, il explique qu’OpenAI avait rendu ChatGPT ultra-restrictif pour “faire attention aux problèmes de santé mentale” et de l’autre, il admet que ça rendait le truc “moins utile et agréable” pour les utilisateurs.

Évidemment, la vraie raison derrière ces restrictions, c’était surtout le drame d’ Adam Raine , ce jeune de 16 ans qui s’est suicidé après avoir développé une dépendance émotionnelle à son chatbot. OpenAI s’était alors pris une tempête médiatique monumentale du coup, ils ont serré la vis. Et beaucoup trop à mon goût, à tel point que ChatGPT refusait de vous aider à écrire une blague un peu graveleuse ou à imaginer un dialogue erotico-romantique pour votre prochaine nouvelle d’écrivain maudit et solitaire.

Du coup, les utilisateurs se sont plaints, les créateurs de contenu ont râlé (pas moi, je précise) et évidemment, les concurrents les moins frileux se sont faufilés dans la brèche et ont donc commencé à grignoter des parts de marché. Bref OpenAI a fait ce que toute boîte tech fait dans cette situation, à savoir un gentil petit pivot marketing camouflé en “évolution basée sur les retours utilisateurs”.

Donc à partir de décembre, si vous êtes un adulte vérifié, vous pourrez demander à ChatGPT de vous pondre du contenu érotique. Ce sera heureusement optionnel. Vous ne l’aurez que si vous le demandez explicitement donc y’aura pas de mauvaise surprises dans vos discussions ambiguës du style sur “Quelles sont les meilleures croquettes pour ma chatte” ou “J’ai besoin d’une recette de moules marinières”.

OpenAI va donc se reposer sur son système de détection d’âge et si le système vous catégorise par erreur comme mineur, vous devrez uploader une pièce d’identité pour prouver que vous avez plus de 18 ans. Mais ce n’est pas tout car Altman annonce aussi que ChatGPT va retrouver une personnalité plus “humaine” un peu comme l’était GPT-4o qui était beaucoup plus sympa et collait des émojis à la con partout.

Pour bien montrer qu’ils prennent le truc au sérieux, OpenAI a aussi annoncé la création d’un comité d’experts sur le bien-être et l’IA. Huit personnes vont donc conseiller l’entreprise sur comment l’intelligence artificielle affecte la santé mentale, les émotions et la motivation des utilisateurs. Rien sur la dégradation de notre intelligence par contre…

Maintenant, autoriser ChatGPT à générer du contenu érotique pour adultes, c’est rigolo mais j’ai quand même quelques interrogations… D’abord comment OpenAI va gérer les demandes vraiment limites ? Parce qu’entre “écris-moi une scène romantique un peu osée” et “génère-moi du contenu illégal pour détraqué”, la frontière peut devenir floue… J’imagine que leurs systèmes de modération vont avoir du boulot. Ensuite, il y a le risque de dépendance car si ChatGPT devient trop “humain” et trop complaisant, certains utilisateurs risquent de développer des relations émotionnelles malsaines avec l’IA… Vous verrez que dans 2 ans, y’en a qui vont se marier avec leur ChatGPT.

Mais surtout, il y a un truc qu’on oublie trop souvent… tout ce que vous tapez dans ChatGPT peut potentiellement être stocké, analysé, et un jour retenu contre vous. Ah bah oui, vous pensez vraiment qu’OpenAI va juste effacer vos conversations érotiques dans un coin sans y toucher ? Que nenni ! Ces données vont servir à entraîner les futurs modèles, vos petites fantaisies vont nourrir l’IA de demain et la NSA connaitra le moindre de vos fantasmes.

Puis si un jour il y a une fuite de données ou une assignation judiciaire qui force OpenAI à fournir l’historique complet de votre compte ? Ouch l’air con… Ça me fait un peu penser à Ashley Madison , ce site de rencontres extraconjugales qui s’est fait hacker en 2015 et à cause duquel des millions de vies ont explosé en vol quand les données ont fuité… Bref, gardez quand même ça dans un coin de la tête avant que ça parte en couille.

Voilà… Alors est ce qu’autoriser du contenu érotique généré par IA, c’est un progrès ou pas ? Perso, je pense que oui, car c’est très bien que ces services qui sont avant tout des outils arrêtent de traiter leurs utilisateurs comme des bambins. Mais d’un autre côté, ça pose plein d’autres soucis notamment sur la vérification de l’age (est ce que ce sera fiable ?) et sur ce qu’ils feront de ces conversations aussi intime ?

Perso, je ne suis pas en méga confiance…

Source

Reçu — 28 septembre 2025

La santé mentale, l’invité méconnu du bien-vivre ensemble

28 septembre 2025 à 09:57

Aymeric Robin : « La santé mentale est une composante essentielle de la santé »

Le sujet est complexe, mais les données chiffrées sont implacables. « La santé mentale, c’est la première cause de suicide chez les jeunes de 15 à 25 ans », commente Olivier Rovere, Directeur adjoint de l’ARS(Agence Régionale de Santé) Hauts de France. C’est pourquoi, il est essentiel que  la santé mentale ne soit plus stigmatisée d’où la diversité des signataires de ce CLSM (Contrat Local de Santé Mentale), le Ministère public avec la présence de Mme la Procureure, la CAF, les outils publics de santé comme le CH de Valenciennes et Denain, et bien sûr les trois communautés médicales dans le Hainaut (CPTS-communautés professionnels territoriales de santé).

Ce contrat ne débouche pas sur la création d’une institution, voire d’un siège social, mais de manière plus pragmatique d’un poste de coordonatrice, Laurie Lefort, dont la mission sera de mettre en oeuvre un réseau de santé mentale, une coordination, une concertation, afin d’améliorer la détection et une prise en charge plus rapide de la santé mentale sur le Valenciennois. 

« 1ère cause de dépenses de l’assurance maladie », Direction CPAM

La chaîne sanitaire de santé à un coût et concrètement, l’arrivée dans le champ sanitaire de cette offre de soins a investi l’assurance maladie. « C’est la 1ère cause de dépenses de l’assurance maladie devant les cancers ou les problèmes cardiaques », souligne la Direction de la CPAM du Hainaut. 

A cet effet, une plateforme « Viapsy » https://viapsy.fr a été mis en ligne afin de « fluidifier les demandes et les recherches d’interlocuteurs », indique le responsable de l’ARS. Autre création, totalement méconnue, issue de la loi de février 20025 sur le handicap protéiforme, la création des GEM (Groupes d’Entraide Mutuelles). Ces derniers sont portés par et pour des usagers en santé mentale. Dans le département, elles sont au nombre de 19 et 2 sur le Valenciennois. 

La Maison des Adolescents…

Véronique Delcourt, Présidente de la CAF

Autre sujet abordé, la situation des 130 « Maisons des Adolescents » françaises a été exposée compte tenu de sa place centrale, en terme d’écoute, de lien avec les jeunes de 11 à 25 ans, voire d’orientation vers un acteur adapté à sa pathologie. 

Dans ce cadre, pour sortir des 4 murs de ce bâti sociétal, l’association AFEJI a été retenue afin de porter une mission de mobilité vers cette jeunesse en souffrance. « C’est le van des possibles. Nous passons dans les collèges, les lycées où nous constatons une explosion des demandes. Cette consultation est gratuite et confidentielle », explique une représentante de l’ AFEJI.

Ensuite, l’association Unicités, très identifiée sur le Valenciennois, a recruté « six jeunes en service civique afin de travailler dans les associations dédiées. » Ce passage en revue des initiatives afin de mieux détecter un trouble de la santé mentale n’est pas un aboutissement, mais le début du commencement d’une prise en charge collective et responsable.

« Cette signature n’est pas une conclusion », Aymeric Robin

Assurément, cet acte officiel prend date sur une thématique sociétale. « Aujourd’hui, la santé mentale est une composante essentielle de la santé. Toutefois, cette signature n’est pas une conclusion, mais la confirmation d’un accompagnement de tous ces partenaires », conclut le Président de la CAPH.

Voilà, cet éventail de certains dispositifs existants, voire nouveaux, peut permettre un nouvel éclairage sur cette pathologie sérieuse, sévère, et parfois trop invisible. En clair, la santé mentale est l’affaire de tous, la famille, les ami(e)s, les acteurs éducatifs voire de santé du quotidien. Pour cela, il faut oublier… aussi le comportement du « pas de vagues » des anciennes pratiques si destructeur, si obséquieux à certains égards, si lâche dans la réalité, qui a culpabilisé des générations de jeunes en mal de compréhension sur leur état psychologique.

Daniel Carlier

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