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Reçu aujourd’hui — 13 novembre 2025

Les PC Android se rapprochent et seront équipés du Snapdragon X Elite.

13 novembre 2025 à 15:12
De nouveaux éléments laissent penser que Qualcomm prépare ses processeurs Snapdragon X Elite pour les futurs PC Android . Ces indices proviennent du code source d'Android 16 et des mises à jour publiées dans les archives officielles ; ils sont donc très fiables et laissent entrevoir un avenir où Android dominera de plus en plus, même en dehors du monde mobile. L'analyste @Jukanlosreve a publié des captures d'écran sur X montrant la présence de processeurs Snapdragon X dans le code source interne d'Android 16. Ce code source indique clairement la prise en charge des modèles destinés au marché PC . Parallèlement, Qualcomm a mis en ligne le code nécessaire sur les dépôts publics du projet afin de permettre la prise en charge des puces Snapdragon X Elite et Snapdragon X d'entrée de gamme . Cette mise à jour n'a pas d'incidence sur les performances, mais elle confirme les avancées techniques en vue du déploiement de la plateforme Android sur PC. Google et Qualcomm ont annoncé l'arrivée l'année prochaine de PC fonctionnant sous Android , une expérience que le PDG de Qualcomm a qualifiée d'« incroyable ». Les entreprises n'ont encore présenté aucun modèle, mais les références dans le code permettent au moins de comprendre où le matériel commencera. Après tout, le Snapdragon X Elite s'est distingué en 2024 en démontrant sa capacité à faire tourner Windows sur ARM avec des performances solides, après des années de résultats mitigés. Cela augure bien pour le futur Snapdragon X2 Elite , prévu pour 2026, qui pourrait profiter non seulement aux appareils Windows, mais aussi à ceux sous Android. Après tout, ce petit robot est optimisé pour les SoC Qualcomm depuis des années , et c'est forcément un avantage , n'est-ce pas ? (Lire la suite)

Le piratage sur Amazon Fire TV Stick, c'est terminé !

Par :Korben
13 novembre 2025 à 10:27

Amazon vient d’annoncer qu’ils bloquaient désormais les applications de piratage sur leurs Fire TV Stick (lien affilié) et cela sur tous les appareils. Les nouveau, les anciens, peu importe… Ainsi, si une app est identifiée comme distribuant du contenu illégal, elle dégage ! Même si vous l’avez sideloadée.

Ce grand ménage a commencé en France et en Allemagne, et s’étendra au monde entier dans les prochains mois. Sniiff… Ça sent la fin d’une époque.

Ainsi, pendant des années, Amazon a vendu des millions de Fire Stick en sachant parfaitement ce que les gens en faisaient. Ils en ont bien profité les coquins ! Votre collègue qui vous proposait un Fire Stick modifié à 80 balles avec un abonnement IPTV 12 mois inclus et accès à Sky Sports, TNT Sports, et les films encore au cinéma, c’était la baaase et Amazon voyait bien tout ça passer.

Selon une analyse d’Enders , 59% des personnes qui regardent du contenu piraté au Royaume-Uni utilisent un Fire Stick. 59% !! Ça fait environ 4,7 millions d’adultes britanniques qui on streamé illégalement du sport ces six derniers mois. L’architecture même des Fire Stick facilitait le détournement puisque c’était un Android ouvert, avec du sideloading activable en trois clics dans les paramètres, et une excellente compatibilité avec toutes les apps tierces notamment pour l’IPTV.

Amazon avait conçu la streaming machine parfaite !!

Sauf Sky en a eu marre. La chaîne britannique a fait une grosse pression sur Amazon durant des mois et cela a été payant ! Amazon a enfin eu une révélation, une prise de conscience soudaine et miraculeuse sur l’importance de la sécurité et du respect de la propriété intellectuelle. Mais mdrrrr…

Et hop, un petit partenariat avec l’Alliance for Creativity and Entertainment, plus tard (c’est la coalition anti-piratage menée par la Motion Picture Association avec Disney, HBO, Netflix, tous les gros bonnets) et nous y voilà. Leur dernier né, le Fire TV Stick 4K Select (lien affilié) est même le premier appareil tournant sous Vega OS. C’est un système d’exploitation maison basé sur Linux, et pas Android, donc plus moyen d’exécuter les applications Android sideloadées avec ça.

Snif !

Après, les services pirates ne vont pas disparaître puisque certains services IPTV passent déjà aux web apps qui tournent dans le navigateur… mais bon l’âge d’or du Fire TV Stick en tant que box à piratage semble être terminée.

Bref, Amazon ferme le robinet… après avoir biiiien rempli la piscine !

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Reçu hier — 12 novembre 2025

Samsung pourrait abandonner les cœurs à faible consommation d'énergie.

12 novembre 2025 à 17:54
Il faut un certain courage pour lancer une tendance sur l'ensemble du marché, et c'est précisément ce qu'a fait MediaTek en présentant le processeur Dimensity 9300 en novembre 2023, en abandonnant complètement les cœurs basse consommation. Deux ans plus tard, le nouveau Dimensity 9500 offre des performances comparables à celles du Qualcomm Snapdragon 8 Elite Gen 5 sur certains points, et légèrement inférieures sur d'autres, démontrant ainsi que l'abandon des cœurs basse consommation était la bonne décision – une leçon que les développeurs du Samsung Exynos 2600 auraient tout intérêt à retenir. Le dernier processeur haut de gamme de Qualcomm à intégrer des cœurs basse consommation était le Snapdragon 8 Gen 3, sorti en octobre 2023. Son architecture se composait d'un cœur Cortex-X4, de trois cœurs Cortex-A720, de deux cœurs Cortex-A720 et de deux cœurs Cortex-A520 plus économes en énergie. Le Snapdragon 8 Elite Gen 4 de nouvelle génération, prévu pour 2024, a complètement abandonné les cœurs basse consommation, au profit de deux cœurs Oryon hautes performances (Phoenix L) et de six cœurs Oryon milieu de gamme (Phoenix M). Ainsi, MediaTek, auparavant considéré comme un outsider sur le marché des processeurs mobiles, s'est associé à Samsung en 2023 en modifiant l'architecture de ses puces, rejoignant ainsi l'un des plus grands acteurs du marché. Cet événement a marqué un tournant et est rapidement devenu une nouvelle tendance pour l'ensemble du secteur. Samsung pourrait bien suivre cette voie avec sa prochaine génération de puces. (Lire la suite)

Steam Frame

12 novembre 2025 à 18:28
Oh pétard !  Steam sort son propre casque VR ???
Ce casque a son propre CPU/GPU et ne nécessite pas un ordinateur à côté.

EDIT: Et aussi une console de salon : https://store.steampowered.com/sale/steammachine

Et on notera à propos de la console "Steam Machine" : « La Steam Machine a beau être optimisée pour le jeu, elle n'en reste pas moins votre PC. Installez vos propres applications, ou même un autre système d'exploitation. Qui sommes-nous pour vous dire comment utiliser votre ordinateur ? »
🖕🖕🖕MAXI FUCK À NINTENDO🖕🖕🖕 (et aux autres systèmes verrouillés)
(Permalink)
Reçu — 11 novembre 2025

Le Samsung Galaxy S26 sera commercialisé avec deux processeurs.

11 novembre 2025 à 18:04
Il y a quelque temps, les médias occidentaux ont rapporté des déclarations de la direction de Qualcomm, confiante de conserver environ 75 % de ses propres processeurs dans la future gamme Samsung Galaxy S26 grâce au Snapdragon 8 Elite Gen 5. Les 25 % restants seraient donc réservés à la puce Exynos 2600, également développée par Samsung. Cette information est désormais confirmée par un nouveau rapport, confortant ainsi l'hypothèse de cette répartition précise : 75 % pour Qualcomm et 25 % pour Exynos. Selon le média sud-coréen ZDNet, Samsung renoue avec sa stratégie à double processeur : la majorité des smartphones de la gamme Galaxy S26 seront équipés du Snapdragon 8 Elite Gen 5. De plus, le Galaxy S26 Ultra, modèle phare, sera exclusivement équipé d'un processeur Qualcomm à l'échelle mondiale. Les modèles Galaxy S26 et S26+ de base intégreront également ce processeur dans la plupart des régions, notamment aux États-Unis et dans l'Union européenne. En moyenne, pour trois appareils dotés d'un processeur Snapdragon 8 Elite Gen 5, on trouvera un appareil équipé d'un Exynos 2600, soit un ratio de 75 à 25. Le processeur Exynos 2600, développé par Samsung et gravé en 2 nanomètres (procédé GAA), jouera un rôle secondaire. Il équipera les Galaxy S26 et Galaxy S26+ de base sur certains marchés, principalement la Corée du Sud, la Chine et plusieurs pays en développement. Cette situation pourrait s'expliquer par le faible rendement de production des puces dans les usines de Samsung. (Lire la suite)
Reçu — 10 novembre 2025

BenQ ScreenBar Pro : la lampe de bureau que je prenais pour un gadget (et que je ne peux plus quitter)

Par :Korben
10 novembre 2025 à 13:19
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Au départ, j’étais persuadé que c’était encore un gadget pour geeks. Une lampe pour écran à plus de 130 euros ? Vraiment ? Et puis, après avoir vu la moitié de mes collègues journalistes et amis l’utiliser, j’ai craqué. Résultat : la BenQ ScreenBar Pro est devenue un indispensable de mon bureau, au point que je me demande comment j’ai pu bosser sans elle.

Un design discret mais redoutablement bien pensé

J’ai opté pour le modèle argenté, celui que vous voyez sur la plupart des bureaux bien rangés sur Instagram. Dès le déballage, BenQ donne le ton : pas de plastique, un design minimaliste digne d’un accessoire Apple. La ScreenBar Pro se fixe sur le haut de l’écran sans le moindre outil, grâce à une pince articulée en métal qui respire la solidité. Elle s’adapte à tous les moniteurs, même incurvés, et ne bloque ni la webcam ni l’affichage.

La lampe se branche simplement en USB-C (vous pouvez utiliser un port de votre écran ou de votre ordinateur, ou le chargeur fournit), et elle s’allume sans effort. Pas de câble en pagaille, pas de socle qui prend de la place : on gagne en espace, et visuellement, c’es épuré. Le résultat est élégant, presque invisible une fois installée.

Un éclairage intelligent et ultra-confortable

La promesse de BenQ, c’est un éclairage asymétrique qui n’éblouit pas l’écran. Et pour une fois, le marketing dit vrai : la lumière ne se reflète jamais sur la dalle, même sur un moniteur brillant. L’éclairage est puissant (jusqu’à 1000 lux), parfaitement diffus, et surtout réglable. On peut ajuster la température de couleur (du blanc froid pour la concentration au ton chaud pour la soirée), ainsi que la luminosité sur 16 niveaux.

La ScreenBar Pro va même plus loin avec un capteur de luminosité ambiante et un détecteur de présence : elle s’allume toute seule quand vous approchez et s’éteint après quelques minutes d’absence. C’est un détail, mais ça donne une impression de produit “vivant”, pensé pour s’intégrer dans le quotidien.

Résultat : fini les maux de tête en fin de journée ou les reflets pénibles sur le clavier. L’espace de travail est uniformément éclairé, agréable et propice à la concentration. Je me surprends même à la laisser allumée pour lire ou regarder une vidéo, juste parce que la lumière est douce et reposante.

Une qualité de fabrication exemplaire

Tout, dans cette ScreenBar Pro, respire le sérieux : le corps en aluminium brossé, les touches tactiles rétroéclairées, la stabilité de la pince. Même après plusieurs semaines d’usage quotidien, rien ne bouge. Elle reste froide au toucher, même après dix heures de travail.

Le modèle blanc que j’ai testé se marie parfaitement avec un setup clair, et c’est peut-être un détail, mais elle donne immédiatement un côté plus professionnel à l’espace. Ce n’est pas seulement une lampe, c’est une amélioration visible de l’ambiance du bureau.

À 139,50 €, elle n’est pas donnée, mais comparée à des lampes design comme la Dyson Lightcycle, elle fait presque figure de bonne affaire. Et contrairement à d’autres modèles concurrents, elle ne nécessite ni application ni Wi-Fi : tout se règle directement sur la barre tactile.

Difficile de s’en passer

Je fais partie de ces gens qui se moquaient des accessoires “de setup” trop perfectionnistes. Mais la BenQ ScreenBar Pro m’a fait changer d’avis. C’est un vrai confort visuel, une lumière parfaitement maîtrisée et un produit aussi beau qu’efficace. Elle complète ma lampe de bureau, et c’est vraiment nickel.

Pour tout vous dire, ça m’a même réglé un problème. Tous les jours, en fin de journée, j’avais les yeux qui pleurent. Je ne sais pas si c’est de fatigue ou quoi. Depuis que j’ai cette lampe, ce n’est plus du tout le cas. Je ne sais pas si c’est directement lié, mais je pense varient que l’éclairage d’un bureau, c’est presque aussi important qu’une bonne souris ou une chaise confortable.

Si vous passez vos journées devant un écran, c’est un investissement que vous ne regretterez pas, et vous pouvez la commander en blanc en cliquant ici , mais elle est aussi disponible en noire, en cliquant ici . Et croyez-moi, une fois que vous y avez goûté, vous ne revenez plus en arrière. Notez au passage que si votre écran est collé à un mur, vous avez aussi cette version, la BenQ ScreenBar Halo 2 , qui éclaire aussi votre mur délicatement !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

SanDisk augmente ses prix de mémoire de 50 %, provoquant un véritable séisme dans le secteur

10 novembre 2025 à 13:32
SanDisk, l'un des géants de l'industrie du stockage, a annoncé des hausses de prix pour ses contrats de mémoire flash NAND, qui devraient atteindre jusqu'à 50 % en novembre 2025. Ce changement n'est pas fortuit et s'inscrit parfaitement dans la tendance actuelle du marché de la mémoire, où la demande croissante d'appareils dotés d'IA et la rareté des plaquettes de silicium entraînent une flambée des prix. Selon les études de marché, cette décision a provoqué des remous dans toute la chaîne d'approvisionnement, incitant des fabricants de mémoire clés tels que Transcend, Innodisk et Apacer Technology à suspendre leurs livraisons et à revoir leur offre. D'après les rapports du secteur, la hausse des prix de SanDisk est due à la demande croissante de mémoire flash NAND, elle-même alimentée par l'essor de l'intelligence artificielle. Si l'IA est un moteur essentiel de ce marché, les problèmes de production de plaquettes de silicium limitent simultanément les capacités de production. Cette combinaison d'une forte demande et d'une offre limitée de mémoire NAND entraîne des augmentations de prix apparemment sans fin. Des entreprises comme Transcend, dont le chiffre d'affaires a progressé de 27 % par rapport au trimestre précédent, et Innodisk, dont le bénéfice net a bondi de 250 %, ont pleinement subi les conséquences de cette situation. Les transformations du marché de la mémoire sont désormais visibles à tous les niveaux de la chaîne d'approvisionnement. Cependant, au-delà des résultats financiers, l'évolution de la structure même du marché est tout aussi cruciale, notamment avec l'émergence de nouveaux modèles de mémoire comme la DDR5 et la HBM, indispensables aux centres de données modernes. La demande croissante de mémoire DRAM et de mémoire flash NAND, liée à l'intelligence artificielle et notamment aux besoins des centres de données, rend les produits plus anciens comme la mémoire DDR4 de plus en plus rares. Cette situation entraîne une hausse des prix pour les fabricants comme pour les utilisateurs finaux. La mémoire DDR4, encore utilisée dans les systèmes industriels et d'entreprise, devient de plus en plus difficile à trouver. Actuellement, les marchés des SSD et de la RAM connaissent une pénurie structurelle, ce qui n'est pas de nature à faire baisser les prix. Des fabricants comme Apacer, qui a enregistré une croissance record de son chiffre d'affaires de 70 %, témoignent d'une transition vers des technologies de mémoire plus rentables, ce qui accentue simultanément la pénurie des anciennes générations de mémoire. Par conséquent, ces puces mémoire plus anciennes deviennent plus chères et les fabricants hésitent à augmenter rapidement leur production, privilégiant les technologies à plus forte marge. Les usines de mémoire qui produisaient traditionnellement des puces pour appareils grand public, comme les SSD et les modules de RAM, consacrent désormais une partie de leurs ressources à la fabrication de composants pour accélérateurs d'IA et processeurs graphiques. De ce fait, les segments grand public tels que les SSD, les modules de mémoire embarquée et la mémoire DDR4 se raréfient, aggravant les problèmes de disponibilité. Un autre aspect important de ce phénomène est que les usines de mémoire privilégient désormais la production de puces destinées aux technologies d'intelligence artificielle avancées, plutôt qu'aux applications grand public traditionnelles. Par exemple, les mémoires DRAM de nouvelle génération, telles que la DDR5, restent rares malgré une demande considérable. Il est important de noter que non seulement les prix de la mémoire ont augmenté, mais que la structure même du marché a également évolué, l'accent étant mis sur la production de puces mémoire plus performantes plutôt que sur la satisfaction de la demande en composants traditionnels. Bien que de nombreux indicateurs laissent présager une hausse continue des prix des mémoires NAND et DRAM, les experts sont incapables de prédire la durée de cette tendance. Le risque existe que l'intelligence artificielle continue d'accaparer toutes les ressources de production disponibles, entraînant une hausse inéluctable des prix. Dans ce contexte, pour les entreprises produisant des ordinateurs, des serveurs et des appareils mobiles, investir dès maintenant dans les mémoires NAND et DRAM devient crucial. (Lire la suite)

Un overclockeur établit un record d'overclocking de la mémoire DDR5

10 novembre 2025 à 13:24
Hier, un autre overclockeur passionné a battu le record du monde de vitesse de mémoire DDR5 récemment établi : 13 153 MT/s. Le précédent record, détenu par l’utilisateur Saltycroissant, a tenu près de quatre jours, une durée considérable dans la course actuelle aux fréquences d’horloge, où de nouveaux exploits sont réalisés quasiment chaque jour. Aujourd’hui, l’overclockeur AiMax a fait sensation en enregistrant officiellement un nouveau résultat sur HWBot, confirmé par CPU-Z : 13 211 MT/s. Il s’agit de la vitesse la plus élevée jamais atteinte par de la mémoire DDR5. Son système utilisait la même carte mère GIGABYTE Z890 AORUS Tachyon ICE que les précédents détenteurs du record, dont Saltycroissant. Ce modèle particulier semble posséder des composants exceptionnels, idéaux pour l'overclocking extrême de la mémoire. AiMax a utilisé un module Patriot Viper Xtreme 5 de 24 Go et un processeur Intel Core Ultra 7 265K. Le refroidissement à l'azote liquide a été utilisé pour le processeur et la mémoire, permettant d'atteindre une fréquence de 6 605,7 MHz, soit 13 211 MT/s. Les latences sont restées identiques au précédent record : CL68-127-127-127-2. Bien qu'une augmentation de 58 MT/s en performances réelles n'apporte probablement pas de gain significatif, pour les overclockeurs comme AiMax, c'est une question de principe : repousser les limites du matériel moderne. Et il est probable que de nombreux autres records de ce type seront établis prochainement. (Lire la suite)
Reçu — 7 novembre 2025

La nouvelle norme Bluetooth a été dévoilée. BT 6.2, c'est la fin des problèmes.

7 novembre 2025 à 17:05
Bluetooth Core 6.2 est une norme qui apporte de nombreuses améliorations. Ces modifications visent à améliorer la réactivité et la sécurité du Bluetooth, ainsi qu'à faciliter son intégration avec divers appareils. L'une des principales nouveautés de Bluetooth 6.2 est la réduction du temps de connexion pour les appareils Bluetooth LE, ramenant le temps de connexion minimal de 7,5 ms à 375 µs (microsecondes). Les appareils répondront ainsi beaucoup plus rapidement, ce qui est particulièrement utile pour les applications exigeant une faible latence. De plus, la version 6.2 de Bluetooth prend en charge de nouveaux modes de transfert de données USB, facilitant ainsi l'intégration avec les systèmes audio et les périphériques USB. Un nouveau mode de sérialisation en masse standardise le transfert de données isochrone, améliorant l'intégration audio Bluetooth LE avec divers appareils. Cette technologie est également plus résistante aux attaques exploitant l'amplitude des ondes radio, ce qui vise à renforcer la sécurité dans des environnements tels que les systèmes automobiles, les maisons intelligentes et les applications industrielles. La spécification 6.2 inclut également des améliorations au niveau des tests des appareils, permettant des tests sans fil sans avoir besoin de câbles complexes. En résumé, Bluetooth Core 6.2 représente une avancée dans l'évolution du Bluetooth qui ne bouleverse pas complètement la norme, mais apporte des améliorations significatives en matière de performances et de sécurité. (Lire la suite)

Elon Musk veut sa propre usine de semi-conducteurs. TSMC risque-t-elle de perdre un client important ?

7 novembre 2025 à 15:43
Lors de son assemblée générale annuelle des actionnaires, Tesla a dévoilé son projet de construction d'une usine géante de semi-conducteurs. Elon Musk a présenté le projet « Tesla Terra Fab », qui vise à fournir à l'entreprise les puces nécessaires au développement de l'intelligence artificielle et des robots humanoïdes Optimus. Il estime que les fabricants mondiaux actuels ne seront pas en mesure de répondre aux besoins de Tesla dans les années à venir. Musk a déclaré que même en supposant des cadences de production maximales, les capacités de Taiwan Semiconductor Manufacturing Company et de Samsung resteraient insuffisantes. Tesla souhaite s'affranchir des contraintes du marché et lancer sa propre usine de semi-conducteurs. Cela marque un tournant dans la stratégie de l'entreprise, qui s'appuyait jusqu'alors sur la collaboration avec les grands fabricants de puces. Parallèlement, des rumeurs de discussions avec Intel ont refait surface. L'entreprise est en difficulté depuis plusieurs années, mais son intégration au projet Terra Fab pourrait renforcer sa position sur le marché des puces d'IA haute performance. Selon Musk, Tesla prévoit que Terra Fab atteindra une production de 100 000 plaquettes de semi-conducteurs par mois lors de sa phase initiale. L'objectif est d'atteindre un million de plaquettes par mois, une capacité comparable à celle des leaders du marché. À titre de comparaison, en 2024, TSMC traitait environ 1,42 million de plaquettes par mois. Musk a annoncé que l'accès facilité aux puces est une condition essentielle à la réalisation de sa vision : développer des robots capables d'opérer à l'échelle mondiale. Musk a souligné que l'alliance de la robotique avancée et de l'intelligence artificielle pourrait décupler la croissance économique mondiale. Il a précisé que le robot Optimus ne représente qu'une première étape. Toutefois, pour que ce développement devienne réalité, une infrastructure de production suffisamment importante pour fabriquer les puces Tesla AI5 et AI6 est indispensable. Musk a annoncé que ces puces « écraseront la concurrence ». Les prochains mois devraient apporter une décision quant à l'emplacement de la nouvelle usine. Musk a souligné que sa construction créera de nombreux emplois, de l'ingénierie à la maintenance des infrastructures. Le choix du site sera stratégiquement important pour Tesla et pour l'économie locale. (Lire la suite)

Une carte mère Corsair pré-assemblée à 5000 $ a grillé le processeur à trois reprises. Le fabricant a fait une grosse erreur.

7 novembre 2025 à 13:25
Matthew Wieland, technicien et créateur de la chaîne YouTube Matt's Computer Services, a rapporté que son client avait dû renvoyer le processeur de son ordinateur Corsair à 5 000 $ à trois reprises au cours de l'année écoulée. Après une série de tests, Wieland a découvert que le problème ne venait pas du processeur, mais d'un BIOS obsolète dans le système Corsair. Comme l'explique Matt, le problème provient d'un bug de tension Vmin qui a provoqué une vague de pannes sur les processeurs Intel de 13e et 14e générations en 2024. Initialement, Intel a accusé les fabricants de cartes mères d'utiliser des BIOS personnalisés dont les protections thermiques et d'alimentation étaient désactivées. Ce n'est qu'après plusieurs mois qu'Intel a admis que le bug était également présent sur ses propres processeurs. Le correctif final, numéroté 0x12F, a été mis à disposition des fabricants en mai 2025. Cette mise à jour était censée résoudre définitivement le problème d'instabilité des processeurs. Malheureusement, six mois après sa publication, Corsair n'a toujours pas intégré ce correctif à son BIOS. ERJJp-5HdQs L'ordinateur du client, assemblé par Corsair, est basé sur une carte mère Asus Prime Z790-P WiFi. Wieland a tenté de mettre à jour le BIOS depuis le site web officiel d'Asus, mais le système a refusé le fichier. Le technicien a expliqué que Corsair bloque la mise à jour des BIOS d'origine, utilisant des versions de firmware propriétaires, ce qui rend impossible la résolution du problème dans ce cas précis. Actuellement, le BIOS du système ne possède que la version 0x12B, antérieure au correctif Intel. La seule solution est d'attendre la publication par les ingénieurs de Corsair de leur propre mise à jour du BIOS, la version 0x12F. Wieland a reconnu que le service client de Corsair s'était montré poli et coopératif, mais qu'il était impuissant sans une nouvelle version du BIOS. Heureusement, Intel a étendu la garantie de tous les processeurs concernés par ce problème d'instabilité, permettant ainsi au client de remplacer la puce défectueuse. Cependant, comme le souligne le technicien, sans mise à jour du BIOS, le nouveau processeur est lui aussi vulnérable : « Je ne peux pas, en toute conscience, livrer cet ordinateur au client tant que Corsair n’aura pas publié de correctif. Sinon, un autre i9 partira tout simplement en fumée. » Cette situation met en lumière les risques liés à l'achat de systèmes pré-assemblés avec un BIOS verrouillé. Si ces solutions visent à protéger les utilisateurs moins expérimentés des erreurs, elles peuvent aussi empêcher la résolution rapide de problèmes critiques. En attendant que Corsair publie une mise à jour du BIOS avec 0x12F, la seule option réelle reste le remplacement de la carte mère, ce qui semble absurde pour un ordinateur coûtant environ 5000 dollars, mais c'est peut-être le seul moyen d'éviter une quatrième panne consécutive. (Lire la suite)
Reçu — 6 novembre 2025

Les nouveaux pilotes NVIDIA ont rendu des jeux injouables, et aucune solution n'est prévue

6 novembre 2025 à 15:02
Les mises à jour des pilotes de cartes graphiques sont généralement synonymes d'amélioration des performances et de la stabilité des jeux. Nvidia insiste depuis des années sur le fait que chaque version de son logiciel apporte des améliorations pour les nouveaux titres et les GPU les plus récents. Cependant, cette fois-ci, le dernier pilote, la version 580, a causé un problème important aux joueurs qui redécouvrent les jeux Forza classiques. Des utilisateurs du forum Nvidia signalent que les anciens jeux Forza ne détectent plus correctement leur carte graphique après une mise à jour des pilotes. Ce problème affecte principalement Forza Motorsport 6 Apex, Forza Motorsport 7 et Forza Horizon 3. Au lancement, les jeux affichent une erreur AP204 indiquant une incompatibilité du GPU. La situation a rapidement été confirmée par un employé de Nvidia, qui a déclaré explicitement que le problème avait été reproduit dans un environnement de test. Il a également laissé entendre qu'aucun correctif ne serait disponible immédiatement. La raison réside dans la manière dont les jeux effectuent les vérifications de compatibilité matérielle. Il semblerait qu'ils utilisent des mécanismes que Nvidia ne peut modifier sans l'accord des développeurs. Les anciens jeux Forza ont été retirés du Microsoft Store il y a plusieurs années en raison de l'expiration des licences de musique et de modèles de véhicules. Ils ne sont plus disponibles pour les nouveaux utilisateurs, mais les possesseurs d'anciennes copies peuvent toujours y jouer. L'absence de distribution signifie également l'absence de mises à jour. Microsoft ne développe plus ces jeux, et les chances de voir apparaître des correctifs sont minimes. Par conséquent, Nvidia ne peut compter sur aucun support de la part du développeur. Les joueurs n'ont donc plus qu'une seule option s'ils souhaitent retrouver l'univers des jeux de course classiques. Les tests effectués par la communauté confirment que le retour au pilote Nvidia 576.88 résout complètement le problème. Cette version antérieure reconnaît correctement la carte graphique et les jeux se lancent sans problème. Le souci est que ce retour à un pilote antérieur entraîne la perte des optimisations pour les nouveaux titres et des derniers correctifs de sécurité. Pour de nombreux joueurs, cela signifie choisir entre nostalgie et modernité. Ceux qui souhaitent revisiter les circuits australiens de Forza Horizon 3 ou s'affronter sur les pistes de Forza Motorsport 7 devront volontairement limiter les performances de leur carte graphique. Les conflits entre les nouveaux pilotes et les jeux anciens ne sont pas nouveaux. Avec l'évolution du matériel, les fabricants sont de plus en plus réticents à maintenir une compatibilité totale avec les titres sortis il y a dix ans. La série Forza n'en est qu'un exemple, mais la communauté craint que des problèmes similaires ne commencent à affecter d'autres jeux devenus des classiques. (Lire la suite)
Reçu — 5 novembre 2025

Le prix de la mémoire DRAM augmente plus vite que celui de l'or.

5 novembre 2025 à 14:24
L'année 2025 restera dans l'histoire de l'industrie technologique comme une période de forte augmentation des prix de la mémoire DRAM. D'après les dernières données du CTEE, les prix contractuels de ce composant essentiel pour les ordinateurs et les serveurs ont augmenté de 171,8 % en glissement annuel au troisième trimestre 2025. L'ampleur de ces hausses est telle que la DRAM devient plus chère que… l'or. Le principal responsable de cette flambée des prix est, bien sûr, l'industrie de l'intelligence artificielle. L'essor des centres de données prenant en charge les modèles d'IA génératifs et l'apprentissage neuronal avancé a engendré une demande sans précédent en mémoire serveur, notamment en modules HBM (High Bandwidth Memory) et RDIMM. Selon Chen Libai, président d'ADATA, le quatrième trimestre 2025 devrait marquer le début d'un « marché haussier pour la DRAM », et l'on peut s'attendre à une grave pénurie de ce composant en 2026. Cela signifie que les prix pourraient augmenter encore plus rapidement, les consommateurs en ressentant les effets avec un certain délai, car les taux contractuels plus élevés commencent tout juste à se répercuter sur le marché de détail. La croissance est manifeste depuis des mois, mais elle s'est récemment accélérée, les prix contractuels des mémoires NAND et DRAM augmentant de 15 à 20 % en septembre 2025. En octobre, on évoquait déjà des hausses de prix d'environ 30 %, qui ont atteint jusqu'à 50 % en quelques semaines. À présent, en cette fin d'année, les données confirment que l'ampleur de la croissance annuelle a dépassé toutes les prévisions. Le marché grand public est particulièrement difficile. Des fabricants comme Samsung, Micron et SK Hynix réorientent de plus en plus leurs lignes de production, délaissant les modules DDR5 pour ordinateurs personnels au profit de la mémoire serveur à large bande passante. Par conséquent, les utilisateurs d'ordinateurs paient des prix toujours plus élevés pour des produits identiques. La demande croissante de serveurs d'IA n'affecte pas seulement la DRAM. La mémoire flash NAND et les disques durs, qui constituent la base de l'infrastructure de stockage de données dans les centres de calcul, voient également leur prix augmenter. Les fournisseurs de composants prévoient que cette tendance se poursuivra pendant au moins quatre ans, soit la période durant laquelle certains fabricants ont déjà signé des contrats d'approvisionnement avec les géants du secteur, Samsung et SK Hynix. (Lire la suite)
Reçu — 4 novembre 2025

Un overclockeur établit un nouveau record d'overclocking DDR5

4 novembre 2025 à 16:27
La compétition d'overclocking de la mémoire vive DDR5 est de plus en plus féroce, les passionnés battant des records du monde quasiment chaque jour. Après que l'overclockeur Sergmann a dépassé les 13 000 MT/s pour la première fois le mois dernier, la compétition s'est intensifiée. Désormais, de nouvelles performances sont publiées à quelques heures d'intervalle. Hier encore, le célèbre overclockeur Hicookie a overclocké sa mémoire à 13 034 MT/s avec une carte mère GIGABYTE Z890 AORUS Tachyon ICE, mais CENS a rapidement surpassé ce résultat en atteignant 13 040 MT/s. Et aujourd'hui, un nouveau record est tombé : l'overclockeur Saltycroissant a overclocké une barrette de 24 Go de DDR5 Corsair Vengeance sur la même carte mère Z890 AORUS Tachyon ICE. Il est non seulement parvenu à une légère amélioration, mais à une augmentation de près de 119 MT/s par rapport au résultat de Hicookie et de 113 MT/s par rapport à celui de CENS. Finalement, Saltycroissant est devenu le premier à dépasser la barre des 13 100 MT/s, atteignant l'impressionnant score de 13 153 MT/s. Il utilisait un processeur Intel Core Ultra 7 265K, et ses latences sont restées identiques à celles des overclockeurs précédents : CL68-127-127-127-2, selon CPU-Z. De telles latences élevées ne se traduisent pas par de réels gains de performances, mais c'est le prix à payer pour des fréquences extrêmes. De plus, les overclockeurs sont déterminés à atteindre l'incroyable chiffre de 14 000 MT/s ; ce sera extrêmement difficile, mais au vu des progrès rapides, ce n'est qu'une question de temps. (Lire la suite)
Reçu — 3 novembre 2025

Vous cherchez un SSD externe ? J’en ai testé trois et je vous dis lequel choisir

Par :Korben
3 novembre 2025 à 09:26

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

On ne va pas se mentir : trimballer un disque dur externe, aujourd’hui, ça ressemble un peu à sortir un baladeur CD. C’est bruyant, fragile, lent, bref, on passe. Les SSD portables, eux, ont tout changé : finis les plateaux qui tournent et les transferts qui prennent des heures.

Un bon SSD, c’est du silence, de la vitesse (jusqu’à 2 000 Mo/s, contre 120 en moyenne pour un disque dur), et la possibilité d’enregistrer directement ses vidéos 4K ProRes sur un iPhone sans remplir sa mémoire interne.

Lexar, marque bien connue dans la photo et la vidéo, s’est fait une spécialité de ces modèles rapides et compacts, et comme elle m’en a envoyé plusieurs pour les tester (merci bien Lexar), je vous propose ici un petit comparatif rapide de chacun d’entre eux : le SL500, le ES5, et le Professional Go avec Hub. Trois approches et trois usages différents. Les trois fonctionnent très bien sur ordinateur, PC ou Mac, sur smartphone, iPhone ou Android, et même sur tablette genre iPad.

Lexar SL500 : un SSD rapide tout simplement

Le SL500, c’est surtout un SSD rapide. Il exploite l’interface USB 3.2 Gen 2×2, capable d’atteindre jusqu’à 2 000 Mo/s en lecture et 1 800 Mo/s en écriture, du moins sur un ordinateur compatible (les Mac et iPhone non “Pro” se limitent à 10 Gb/s, soit environ 1 000 Mo/s). Dans la pratique, on tourne autour de 1 600 à 2 000 Mo/s, de quoi transférer un film en 4K en quelques secondes.

Il a un design en aluminium, pèse 95 grammes et a en option un étui magnétique MagSafe (le truc au dessus sur la photo) qui lui permet de se fixer directement à un iPhone (ce que vous n’êtes pas du tout obligé de faire hein, c’est aussi un très bon SSD pour ordinateur). Il est certifié IP54, supporte les chutes jusqu’à deux mètres. 

En usage réel, c’est un SSD à l’aise partout : montage vidéo, photo RAW, sauvegarde de projet, il encaisse tout. Là tout de suite on le trouve en dessous des 100 euros en version 1 To, c’est l’un des meilleurs rapports vitesse/prix du moment. Idéal pour les freelances, étudiants ou créateurs polyvalents qui veulent du sérieux sans se ruiner.

Lexar ES5 : le baroudeur pour créateurs mobiles

L’ES5, c’est le SSD qui ne craint pas de sortir du bureau. Même interface rapide que le SL500 (USB 3.2 Gen 2×2), mais un look et une conception différents : coque en silicone, 49 g sur la balance, IP65 et résistance aux chutes jusqu’à 3 mètres. En clair, il encaisse bien la poussière, la pluie, et être jeté à l’arrache dans un sac.

Il est aussi magnétique, avec un aimant puissant et une bague métallique pour l’attacher à n’importe quel smartphone ou laptop. Avec les iPhone « Pro », il permet d’enregistrer en ProRes 4K 60 ou 120 fps. Il dispose d’une application mobile pour sauvegarder automatiquement photos et vidéos sans passer par le cloud, et reste bien sûr compatible PC/Mac.

Côté performance, rien à redire : autour de 1 800 à 2 000 Mo/s, il se est constant, même sur de longs transferts. En France, on le trouve à environ 150 € en 1 To, 220 euros en 2 To. C’est un peu plus cher que le SL500, mais son format plus compact et sa robustesse justifient l’écart. Le public visé ? Les vloggers, journalistes, créateurs de terrain ou voyageurs qui ont besoin d’un SSD à la fois rapide, solide et pratique à accrocher à leur setup.

Lexar Professional Go avec Hub : pour les vidéastes

Le Professional Go est une petite curiosité. Ultra-compact (13 g seulement), il se branche directement en USB-C à l’iPhone, sans câble intermédiaire. Les vitesses sont plus modestes (1 050 Mo/s en lecture, 1 000 Mo/s en écriture) mais largement suffisantes pour enregistrer des vidéos 4K ProRes sans saturer la mémoire du téléphone.

Sa particularité, c’est son hub intégré : quatre ports USB-C permettant de brancher un micro, une lumière, une batterie externe ou un autre accessoire. Une sorte de mini-station de tournage qui transforme l’iPhone en rig complet. Le tout est IP65, protégé contre la poussière et les éclaboussures, et livré avec un bumper en silicone pour encaisser les coups.

L’ensemble est un peu plus cher, environ 190 € en 1 To et 280 € en 2 To, mais c’est un produit assez unique. On peut tout brancher sans adaptateur ni multiprise, et garder un setup léger. Pour les vidéastes iPhone, c’est un outil redoutable : rapide, bien pensé, et surtout très pratique.

Alors on choisit lequel ?

Bah, c’est assez simple en fait. Le Lexar SL500 mise sur la vitesse pure et un bon rapport qualité-prix. Il vise aussi les utilisateurs grand public qui veulent un disque rapide, bien fini et polyvalent.

Le Lexar ES5 s’adresse plus aux créateurs mobiles, qui veulent la même puissance mais dans un format plus solide, prêt pour les tournages en extérieur. C’est le modèle que je préfère, sans aucun doute.

Le Lexar Professional Go avec Hub, lui, cible clairement les vidéastes iPhone : un mini setup complet pour filmer en ProRes tout en branchant micro et lumière.

Ces trois modèles couvrent pratiquement tous les usages, de la sauvegarde quotidienne au tournage pro, avec un vrai souci du détail et des prix cohérents. Quoi qu’il en soit, si vous hésitez encore à passer du disque dur au SSD, croyez-moi : après avoir goûté à 2 000 Mo/s, vous ne reviendrez plus jamais en arrière.

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Reçu — 31 octobre 2025

Les routeurs TP-Link font l'objet d'une enquête du FBI et du Pentagone.

31 octobre 2025 à 14:30
D'après les informations du Washington Post, le département du Commerce américain envisage d'interdire la vente des routeurs TP-Link aux États-Unis. Cette décision serait le fruit de plusieurs mois de consultations interministérielles impliquant le Département de la Sécurité intérieure, le Département de la Justice et le Département de la Défense (récemment rebaptisé Département de la Guerre). Bien qu'aucune décision officielle n'ait encore été prise, le dossier prend de l'ampleur et ses raisons sous-jacentes, comme dans de nombreux cas similaires, sont d'ordre politique et technologique. Selon des sources proches de l'administration américaine, la principale raison de cette interdiction potentielle serait d'ordre sécuritaire. Bien que TP-Link se soit officiellement séparée de sa maison mère chinoise, TP-Link Technologies, en 2022 et opère désormais comme une entité indépendante, certains responsables américains doutent de son absence réelle de liens avec Pékin. D'après des sources interrogées par le Washington Post, les services de renseignement américains craignent que, sous la pression, les autorités chinoises ne contraignent l'entreprise à coopérer avec les services de renseignement locaux. Concrètement, cela pourrait se traduire, par exemple, par la mise à jour à distance du logiciel du routeur afin d'obtenir des données ou de créer des failles de sécurité. En réponse à ces informations, un porte-parole de TP-Link a déclaré que l'entreprise « n'a aucun lien avec le gouvernement de la République populaire de Chine » et que d'éventuelles sanctions n'affecteraient pas la Chine, mais la filiale américaine. Cette dernière souligne qu'elle n'est pas soumise aux lois chinoises sur la coopération en matière de renseignement et qu'elle opère conformément à la législation américaine. L'entreprise souligne que ses produits figurent parmi les plus populaires aux États-Unis et, selon des données internes, représentent environ 36 % du marché des routeurs. Cependant, d'anciens responsables de la cybersécurité, dont Rob Joyce, affirment que la part de marché réelle pourrait atteindre 60 %, notamment en raison de la politique tarifaire agressive du fabricant. L'affaire TP-Link s'inscrit dans le contexte plus large des tensions commerciales entre Washington et Pékin. Ces dernières années, l'administration américaine a systématiquement restreint l'influence des entreprises technologiques chinoises sur son marché, et des mesures similaires avaient déjà été prises contre Huawei et ZTE. Cependant, la situation est cette fois-ci plus complexe, car TP-Link opère officiellement comme une entreprise américaine. D'après des sources du Washington Post, une éventuelle interdiction des routeurs TP-Link pourrait constituer un levier dans les négociations commerciales en cours avec la Chine. Malgré quelques progrès récents dans les pourparlers entre les deux pays, TP-Link devrait rester un atout dans la stratégie de négociation de l'administration américaine. (Lire la suite)

Cette manette de jeu 8bitDo, fonctionne sur PC, sur Switch, sur Android, sur Mac, sur iPad... partout !

Par :Korben
31 octobre 2025 à 10:55
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

On a tous le même problème. Une manette pour la Switch, une autre pour le PC, et impossible de jouer sur son Mac ou son iPad sans devoir acheter encore un autre accessoire. On passe son temps à chercher quel câble va où, ou à se battre avec les menus “Bluetooth” pour “oublier cet appareil” et le reconnecter ailleurs. C’est pénible.

Et si je vous disais qu’il existe une seule manette pour les contrôler tous ? J’ai passé la semaine avec la 8BitDo Pro 2 (édition Hall Effect) , et laissez-moi vous dire que c’est peut-être bien la manette parfaite pour la maison.

Le timing était idéal. Je devais justement rendre mon verdict sur le service de Cloud Gaming GeForce Now Ultimate pour les amis de Mac4Ever, que vous pouvez lire en cliquant ici (oui, je mène une double vie de testeur). J’ai donc fait d’une pierre deux coups : j’ai passé des heures à streamer Forza 5 en qualité maximale sur un MacBook Air et un iPad, le tout piloté par cette 8BitDo Pro 2 . Un test croisé parfait.

Je vous parle du service de jeu là-bas, mais ici, on va se concentrer sur la manette, car elle le mérite vraiment.

Ce qui est fort avec cette 8BitDo, c’est la polyvalence. Au dos de la manette, il y a un petit interrupteur physique à 4 positions. C’est simple comme bonjour : “S” pour la Switch, “A” pour les appareils Apple (Mac, iPhone, iPad), “D” pour Android, et “X” pour le PC. Le truc brillant, c’est que la manette mémorise un appareil pour chaque mode. Je jouais sur mon Mac (mode A), et quand j’ai voulu passer sur la Switch (mode S), je n’ai eu qu’à basculer le bouton. Pas de menu, pas de galère d’appairage. Ça marche, tout simplement. C’est exactement ce qu’on demande à la technologie.

En main, c’est le confort immédiat. La forme rappelle un peu la manette classique de la PlayStation, et elle tombe parfaitement sous les doigts, même pendant de longues sessions. La croix directionnelle est un pur régal, surtout si vous aimez les jeux rétro : elle est précise et bien plus agréable que celle de la plupart des manettes modernes. Et pour ceux qui aiment bien personnaliser leur expérience, une application (sur PC ou smartphone) permet de tout régler, et même d’utiliser deux boutons supplémentaires cachés à l’arrière, super pratiques pour des raccourcis.

Cette nouvelle version apporte aussi une technologie appelée “Effet Hall” pour les joysticks. Sans rentrer dans des détails techniques ennuyeux, cela signifie simplement que les mécanismes utilisent des aimants. L’avantage ? C’est ultra précis, et surtout, c’est conçu pour ne pas s’user. Fini ce bug horrible que l’on voit parfois sur les vieilles manettes, où le personnage se met à bouger tout seul à l’écran (le fameux “stick drift”). Ici, les sticks sont faits pour durer, tout en offrant une fluidité incroyable.

Enfin, 8BitDo a pensé au truc qui fâche : la panne de batterie. La manette est livrée avec une batterie rechargeable qui tient vraiment longtemps. Mais si jamais vous tombez en rade en plein milieu d’une partie et que vous n’avez pas le temps de la brancher, il y a une solution géniale. Le compartiment est aussi conçu pour accepter… deux piles AA classiques ! Vous prenez celles de votre télécommande, et c’est reparti. C’est tout bête, mais c’est le genre de détail qui montre qu’une marque respecte ses utilisateurs (pour ceux qui ont une Xbox, bah c’est pareil que dans les manettes de Xbox, sauf que ça oblige pas à acheter la batterie en plus).

Bref, cette 8BitDo Pro 2 Hall Effect est une réussite totale. Elle est confortable, incroyablement facile à utiliser sur toutes les plateformes, précise, et faite pour durer. Si vous cherchez une manette à tout faire pour jouer sur votre PC, votre Mac, votre iPad, votre Switch ou votre téléphone Android ou iPhone, sans vous prendre la tête, c’est tout simplement le meilleur choix que vous puissiez faire aujourd’hui. Surtout à moins de 50 balles .

Vous pouvez l’acheter en cliquant ici , et lire mon test de GeForce Now Ultimate ici , et ça vaut vraiment le coup, croyez moi !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Reçu — 30 octobre 2025

Voici NEO, un nouveau robot humanoïde destiné à nous remplacer dans les tâches ménagères.

30 octobre 2025 à 23:32
NEO est le premier modèle de ce type qui, selon le fabricant, est prêt pour un usage quotidien à domicile. Ce robot peut effectuer diverses tâches, comme plier le linge, ranger les étagères et faire le ménage. NEO fonctionne grâce à un modèle de langage étendu (LLM), qui constitue le fondement de l'intelligence artificielle. Le robot apprend les préférences de l'utilisateur, les mémorise et peut lui apporter une assistance, par exemple en lui rappelant des dates importantes ou en lui suggérant des recettes. Les acquéreurs de NEO pourront lui enseigner de nouvelles compétences avec l'aide de leurs employés. L'une des principales caractéristiques de ce robot est sa fonctionnalité : il est équipé du Wi-Fi, du Bluetooth et d'un haut-parleur à trois niveaux de volume, ce qui lui permet de servir de système de divertissement mobile. Selon le fabricant, ce robot a pour objectif de libérer les gens des tâches quotidiennes afin qu'ils puissent passer plus de temps en famille. j31dmodZ-5c Malgré ces fonctionnalités avancées, des tests menés par le Wall Street Journal montrent que NEO pourrait nécessiter l'intervention d'un utilisateur. Les représentants de l'entreprise peuvent également « voir » à distance à travers les yeux du robot pour faciliter certaines tâches. NEO peut soulever plus de 68 kg et transporter 25 kg lors de ses tâches quotidiennes. Ce robot sera disponible aux États-Unis en 2026 et sur d'autres marchés d'ici 2027. Son prix sera de 20 000 $ (environ 17 060 €) ou de 499 $ par mois (425,70 €) par abonnement. Le lancement de NEO coïncide avec celui du robot Figure 03 de Figure AI, bien que ce modèle ne soit pas encore disponible en précommande. Il convient également de noter l'arrivée sur le marché d'autres appareils innovants, tels que l'aspirateur intelligent SwitchBot K20+ Pro, qui aspire et lave les sols tout en surveillant les animaux domestiques. (Lire la suite)
Reçu — 29 octobre 2025

NVIDIA a dévoilé un nouveau supercalculateur dédié à l'IA.

29 octobre 2025 à 15:53
Lors de la conférence GTC à Washington, NVIDIA a dévoilé sa nouvelle puce phare, la Vera Rubin Superchip, conçue pour alimenter une nouvelle génération de systèmes d'IA. Selon Huang, les GPU Rubin sont déjà en phase de tests en laboratoire, et les échantillons présentés sont les premiers à être produits dans les usines TSMC à Taïwan. Chaque GPU est composé de huit modules HBM4 et de deux puces, tandis que le processeur Vera intègre 88 cœurs ARM personnalisés prenant en charge 176 threads. La production en série de la Rubin devrait débuter au troisième ou quatrième trimestre 2026, en parallèle des livraisons de la gamme Blackwell Ultra GB300 actuelle. Côté spécifications, la plateforme NVIDIA Vera Rubin NVL144 combine deux nouvelles puces. Le GPU Rubin est intégré sur deux puces de taille maximale, offrant une puissance de calcul FP4 jusqu'à 50 pétaflops et 288 gigaoctets de mémoire HBM4. Il est associé à un processeur Vera à 88 cœurs doté d'une architecture ARM, prenant en charge 176 threads et une bande passante d'interface NVLINK-C2C pouvant atteindre 1,8 téraoctet par seconde. Cette nouvelle plateforme affiche des performances impressionnantes : 3,6 exaflops en inférence FP4 et 1,2 exaflops en entraînement FP8, soit une augmentation de 3,3 fois par rapport à la GB300 NVL72. La bande passante totale de la mémoire HBM4 atteint 12 téraoctets par seconde, et la capacité de la mémoire rapide est de 75 téraoctets par seconde. (Lire la suite)
Reçu — 28 octobre 2025

Des scientifiques créent des ordinateurs à partir de champignons. Le silicium deviendra-t-il obsolète ?

28 octobre 2025 à 16:59
Des scientifiques de l'Université d'État de l'Ohio ont découvert que les champignons shiitake peuvent traiter et stocker des informations numériques. Cette découverte ouvre de nouvelles perspectives pour le développement informatique. L'expérience a examiné comment les tissus des champignons pourraient servir de substituts organiques aux puces électroniques métalliques. Les champignons attirent depuis longtemps l'attention des scientifiques grâce à leurs réseaux biologiques complexes et à leur résilience à divers environnements. Il s'avère que ces mêmes systèmes biologiques peuvent être intégrés à des dispositifs stockant la mémoire de l'activité électrique. Des solutions similaires existent déjà dans les puces de silicium traditionnelles, mais l’équipe de l’Ohio State a cherché à trouver un équivalent organique qui fonctionnerait selon les principes de la bioélectronique, un domaine en pleine croissance qui combine la biologie et l’informatique. Selon les recherches, les structures des champignons, comme le mycélium, constituent une base naturelle pour la conduction et le stockage des signaux électriques. Lors de l'expérience, des champignons, dont des shiitakes et des champignons de Paris, ont été cultivés dans des conditions contrôlées, puis séchés pour préserver leur structure. Des électrodes ont été fixées à différentes parties des chapeaux et des tiges des champignons pour mesurer la réponse du matériau aux impulsions électriques de différentes tensions et fréquences. Les résultats ont montré que les circuits en forme de champignon pouvaient basculer entre des états électriques jusqu'à 5 850 fois par seconde, atteignant une rétention du signal de près de 90 %, ce qui est similaire au fonctionnement de la RAM dans les ordinateurs. Cette capacité de commutation a diminué à des fréquences plus élevées, mais les chercheurs ont amélioré les performances en combinant plusieurs échantillons de champignons pour créer des réseaux qui se comportaient comme des voies neuronales. John LaRocco, chercheur au département de psychiatrie de l'université d'État de l'Ohio et auteur principal de l'étude, a déclaré que les résultats indiquent que les matériaux fongiques peuvent imiter certains schémas d'activité neuronale sans nécessiter une alimentation électrique constante. Cette faible consommation d'énergie pourrait offrir des avantages en termes d'efficacité de calcul et de consommation d'énergie. Contrairement aux circuits intégrés traditionnels, la fabrication de memristors fongiques ne nécessite pas de métaux de terres rares ni de consommation énergétique élevée. Leur structure organique les rend également biodégradables, ce qui pourrait contribuer à réduire les déchets électroniques. (Lire la suite)
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