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Il y a quelques mois, je vous parlais de ma découverte du
cadre photo numérique Pexar
(
l’article est à lire ici
). J’adore tout ce produit : j’ai conservé mon exemplaire, ma sœur a désormais le sien dans sa maison, et l’ami Korben a également son exemplaire qui trône dans son salon. Je compte même en offrir de nouveaux à mes proches pour les fêtes. Et c’est parce que nous utilisons et apprécions réellement ce produit que nous avons décidé de mettre en jeu quatre exemplaires, fournis par Pexar, qui vous seront expédiés rapidement pour arriver chez vous avant Noël !
Pour rappel, la force du
cadre photo Pexar
, c’est son écran tactile de 11 pouces offrant une résolution 2K. Sa particularité est sa finition mate qui absorbe les reflets, et propose un rendu visuel très proche d’une véritable photographie papier, loin des écrans brillants habituels. Il s’intègre plutôt sobrement dans n’importe quel décor sans trop faire gadget technologique.
L’expérience utilisateur est portée par l’excellente application Frameo. L’installation est immédiate et permet d’inviter toute la famille à envoyer des photos ou vidéos à distance. Le transfert est quasi instantané, idéal pour le partage de souvenirs en direct. Avec 32 Go de mémoire interne (environ 40 000 photos) et une extensibilité jusqu’à 1 To via USB ou SD, le stockage est large, et ça n’est même pas un sujet. J’ai mis 800 photos sur le mien pour la petite histoire, et il m’arrive régulièrement d’en ajouter sur le cadre photo de ma soeur qui habite à 500km, et elle fait de même sur le mien !
Pour tenter de gagner l’un des quatre cadres, renseignez simplement votre e-mail dans le formulaire disponible ici avant ce dimanche soir minuit. Le tirage au sort aura lieu lundi matin et les gagnants seront contactés immédiatement pour l’envoi. E pour être très transparents avec vous : nous ne conservons aucun e-mail. Cette liste sert uniquement au tirage au sort et sera intégralement supprimée dès lundi matin, une fois le tirage au sort effectué. Bonne chance à tous ! (
et sinon ce cadre photo est disponible ici
si vous ne voulez pas participer au concours !)
Mise à jour du 08/12 à 14h : le tirage au sort a été fait, et les mails partiront dans l’après-midi, surveillez votre boîte ! (surtout si vous vous appelez Damien, Yoann, Seb ou Aurélie :p)
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J’ai dû abandonner mon iPhone habituel pour une quinzaine de jours, le temps de prendre en main et de tester en profondeur le tout nouveau smartphone
Realme GT8 Pro pour Mac4Ever
. Si la transition vers Android s’est faite sans heurts sur mes usages quotidiens, un manque s’est rapidement fait sentir : la localisation de mes affaires.
Mes AirTags étant devenus inopérants dès lors que j’ai changé de carte SIM, il me fallait une solution équivalente et fiable compatible avec l’OS de Google. C’est dans ce contexte que j’ai mis la main sur le pack de
quatre traceurs UGREEN FineTrack G
, une solution qui promet de combler ce vide avec quelques arguments techniques intéressants.
Au premier contact, le produit ne dépayse pas. On retrouve un petit galet en plastique gris, discret et léger, conçu pour se glisser dans un portefeuille, une valise ou s’accrocher à un trousseau de clés via son encoche intégrée. Cependant, une différence majeure saute aux yeux dès l’inspection du boîtier : la présence d’un port USB-C sur la tranche !
Contrairement à la quasi-totalité de ses concurrents, y compris chez Apple, UGREEN a fait le choix audacieux d’intégrer une batterie lithium-polymère rechargeable plutôt que de nous obliger à utiliser des piles boutons CR2032 jetables. Le constructeur annonce une autonomie d’environ un an par charge, un point que je n’ai évidemment pas pu vérifier sur deux semaines, mais la simple possibilité de recharger le traceur avec le même câble que mon téléphone est un confort indéniable qui évite la gestion des piles de rechange.
L’installation et la configuration passent par l’application Google de localisation, qui sert de passerelle pour l’enregistrement du produit. La procédure est élémentaire : un appui sur le bouton central du traceur suffit à l’activer, et le téléphone le détecte presque instantanément via Bluetooth. Une fois appairé, le dispositif rejoint le réseau “Localiser mon appareil” de Google.
C’est ici que réside tout l’intérêt du produit face aux anciens traceurs Bluetooth classiques. Le FineTrack G ne se contente pas de votre propre connexion ; il s’appuie sur le maillage gigantesque des centaines de millions d’appareils Android en circulation pour relayer la position de votre objet de manière sécurisée et anonyme. Durant mon test, la localisation s’est avérée précise et la mise à jour de la position sur la carte a été réactive, même lorsque le traceur était hors de portée de mon propre Realme GT8 Pro.
En matière de recherche de proximité, le dispositif est très efficace pour retrouver des clés égarées dans un appartement. L’application permet de déclencher une sonnerie via le haut-parleur intégré au traceur. Avec une puissance annoncée de 80 dB, le son produit est suffisamment fort pour être entendu distinctement même si l’objet est enfoui au fond d’un sac ou coincé entre les coussins d’un canapé.
L’application propose également une interface visuelle pour vous guider lorsque vous êtes à portée Bluetooth, même si on ne retrouve pas la précision millimétrique de la technologie Ultra-Wideband présente sur les AirTags. Mais bon, pour un usage courant, le système de bip sonore couplé à l’indication de proximité remplit parfaitement son rôle.
Au final, après ces deux semaines de test en compagnie de mon nouveau Realme GT8 Pro, le bilan de ces
UGREEN FineTrack G
est franchement positif. Vendus en lot de quatre à un tarif très correct, ils offrent un rapport qualité-prix difficile à battre sur le marché actuel. L’intégration au réseau Google est fluide, la fabrication est sérieuse, et le choix de la batterie rechargeable via USB-C est un gros plus. Pour tout utilisateur Android cherchant une solution fiable pour surveiller ses affaires sans se ruiner en piles, c’est une recommandation facile,
et vous pouvez les trouver ici sur Amazon
.
Et puisque vous savez lu jusque ici, pensez aussi à lire le test de cet
Android Realme GT8 Pro
que j’ai trouvé excellent !
Je pense que comme moi, vous n’avez jamais vu un fauteuil roulant monter des escaliers ? Hé ça va changer en lisant cet article puisque Toyota vient de présenter un truc complètement dingue lors du Japan Mobility Show 2025. Il s’agit d’un fauteuil roulant autonome avec des pattes articulées qui lui permettent de se déplacer comme un crabe.
Le bestiau s’appelle “Walk Me” et c’est pas juste un concept de designer sous acide puisque ce machin dispose de quatre pattes repliables inspirées de la locomotion animale, notamment celle des chèvres, des crabes et des petits vieux chez Auchan le mardi matin à 8h30. Et quand je dis inspirées, c’est pas du bullshit marketing car les ingénieurs de Toyota ont vraiment étudié comment ces animaux se déplaçaient sur des terrains accidentés pour reproduire leurs mouvements.
Concrètement, quand le Walk Me grimpe un escalier, les papattes avant déterminent la hauteur de la marche et tirent la structure vers le haut, pendant que les papattes arrière maintiennent l’équilibre et poussent le corps. C’est fluide, c’est stable, et surtout, contrairement à vous qui ne pouvez rien faire sans votre femme, c’est autonome ! Donc pas besoin de quelqu’un derrière pour vous porter ou vous pousser.
Et pour éviter de se vautrer ou de percuter des obstacles, le Walk Me embarque des capteurs LiDAR et des caméras qui scannent en permanence l’environnement. Le système crée alors une représentation 3D en temps réel de ce qui l’entoure et s’adapte automatiquement comme ça, si un obstacle apparaît (genre un bébé ninja), il s’arrête tout seul !
Et le truc malin, c’est que quand vous n’avez pas besoin des pattes, elles se replient sous le siège, du coup le fauteuil devient suffisamment compact pour rentrer dans un coffre de voiture ou dans vos bagages. Le système peut même se déployer et se stabiliser tout seul sans intervention de l’utilisateur.
Bon, bien sûr, le Walk Me reste un prototype sans date de commercialisation annoncée mais sa présentation au Japan Mobility Show montre que Toyota prend au sérieux la mobilité inclusive. Y’a encore du boulot avant de voir ce genre d’engin dans les rues, mais ça donne quand même un bon aperçu d’un futur où les fauteuils roulants ne seront plus limités par les escaliers, les trottoirs défoncés ou les terrains un peu roots qu’on ne connait que trop bien en France…
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Il y a des aspirateurs robots sont là pour facilierun peu le quotidien, et puis il y a le Roborock Saros 10R, qui donne l’impression d’avoir engagé un petit employé silencieux à domicile. Mon aspirateur robot à 300 balles de chez Eufy avait tendance à faire n’importe quoi (alors qu’il était neuf), je l’ai donc renvoyé, et j’ai craqué sur ce monstre à cause d’une promotion Black Friday (850 € au lieu des 1 280 € habituels), est c’est assez fou tout ce que peut faire un aspirateur robot de nos jours. Précisons que c’est un aspirateur qui nettoie aussi le sol, et qui le fait bien.
Le Saros 10R est déjà très surprenant par son design. Roborock a totalement supprimé la traditionnelle tourelle LIDAR pour intégrer la technologie StarSight 2.0, un système de cartographie et d’évitement basé sur trois LIDAR répartis sur le corps du robot, avec une caméra RVB frontale. Résultat : un robot extrêmement bas, moins de 8cm. Dans les faits, il passe sous les meubles où la poussière pensait être tranquille pour la décennie à venir. Et surtout, cette nouvelle approche de la navigation lui permet d’anticiper les obstacles, d’éviter les câbles et d’analyser les formes pour contourner sans jamais cogner. Sous les pieds de chaises, il se faufile comme s’il connaissait le plan par cœur.
Et ça fonctionne ! C’est le premier aspirateur robot qui n’a aucun problème à contourner les câbles, même les plus fins, et à ne pas paniquer pour se faufiler entre plein de pieds de chaise.
Côté nettoyage, Roborock mise sur son nouveau duo de brosses censées éliminer les emmêlements. Et en utilisation réelle, c’est très efficace : les poils ne s’enroulent pas autour de la brosse principale, et la brosse latérale extensible récupère ce qui traîne dans les coins. Sur sol dur, le Saros 10R offre une aspiration très puissante, avec un passage souvent suffisant pour retrouver un sol impeccable. Sur tapis, il s’en sort aussi très bien, et il n’hésite pas à faire un deuxième passage si besoin. L’intelligence embarquée permet aussi de lever automatiquement les serpillières dès qu’il détecte un tapis. Pour tout vous dire c’est ce point qui m’a fait craquer, parce que j’ai beaucoup de tapis chez moi, et effectivement, quand il nettoie le sol à l’eau, il arrive à ne pas les mouiller DU TOUT.
Le robot impressionne également par son système qui ajuste indépendamment les trois roues pour franchir les seuils jusqu’à 4 cm. Chez moi, là où mon Eufy restait bloqué sans raison apparente, le Saros 10R continue simplement son chemin. C’est tout bête, mais ça change l’expérience d’usage : un robot qui ne nécessite pas votre aide toutes les 5 minutes est un robot que l’on garde.
La pièce maîtresse de cet appareil c’est sa station 4.0, probablement ce qui se fait de plus avancé aujourd’hui. Une fois le robot retourné à sa base, celle-ci vide complètement le bac à poussière, lave les serpillières avec de l’eau chaude, les sèche à 55°C, remplit automatiquement le réservoir d’eau propre, distribue le détergent (facultatif, vous pouvez rester à l’eau) et procède même à un nettoyage interne. En clair, c’est l’un des rares appareils que l’on peut réellement qualifier de “sans entretien”, avec une intervention humaine presque inexistante d’une semaine à l’autre.
L’intégration à la maison connectée est excellente. On peut lui parler avec la commande “hello rocky”, mais il se pilote aussi via Alexa, Google Assistant, Siri, et même via Matter. L’application Roborock reste l’une des plus claires du marché : cartographie ultra détaillée, zones interdites, programmation précise, tout y est, et sans jamais se perdre dans des menus compliqués. L’autonomie de plus de 3 heures permet de couvrir de grands espaces d’un seul trait.
Au final, le Saros 10R coche toutes les cases du robot ultra premium : intelligent, puissant, silencieux, autonome et capable de se débrouiller seul dans une maison moderne remplie d’obstacles. À son prix d’origine de 1 280 €, c’est clairement un produit de luxe, efficace mais difficile à recommander (sauf si vous êtes franchement blindé). À 850 €, en revanche, ça se considère déjà un peu plus pour réduire votre charge mentale liée au ménage. Dispo ici sur Amazon, et pensez à cocher le coupon !
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Le
UGREEN NASync DH2300
n’est clairement pas le boîtier le plus connu du marché, mais il a une mission simple : offrir une solution de stockage compacte, silencieuse et abordable pour ceux qui veulent centraliser leurs données ou monter un petit serveur multimédia sans se prendre la tête. UGREEN m’a envoyé le modèle DH2300 accompagné de deux disques durs de 4 To pour le mettre à l’épreuve. Pour ce test, j’ai choisi de l’utiliser comme “second NAS” branché à mon Mac mini M4 (via ma Livebox), uniquement dédié à Plex et au stockage de films en 4K. Et disons-le tout de suite : il a largement dépassé ce que j’attendais d’un NAS de cette taille.
Un NAS compact mais sérieux
Le DH2300 est un NAS 2 baies au format vraiment miniature. Son design reste sobre, silencieux et très élégant, avec une ventilation maîtrisée qui reste discrète même lorsqu’on le sollicite un peu, contrairement à mon NAS Synology. À l’intérieur, on trouve un processeur ARM quad-core associé à 4 Go de RAM, ce qui le place dans la catégorie des NAS “grand public” mais suffisamment musclés pour encaisser une utilisation quotidienne variée : sauvegardes Time Machine, petites VM, hébergement de fichiers ou serveur multimédia.
UGREEN met en avant son système “UGOS Pro”, une interface moderne, propre, qui n’essaie pas de singer Synology ou QNAP mais propose les fonctionnalités essentielles : gestion des dossiers partagés, snapshots, applications intégrées, accès à distance, partage de fichiers, et même des options avancées comme le montage NFS ou le support SMB multicanal. L’installation est rapide : on insère les deux disques, on lance l’initialisation, et on est opérationnel en moins de dix minutes. C’est simple, clair et rapide.
Mon cas d’usage : un NAS dédié à Plex sur Mac
Je voulais tester le DH2300 dans un cadre très précis : en faire un second NAS, dédié uniquement à Plex. Le Mac mini M4 fait tourner le serveur Plex, et le
DH2300
contient la vidéothèque 4K. Résultat : aucun ralentissement, une navigation fluide, des transferts stables via le réseau 2,5 GbE, et une parfaite compatibilité avec macOS. Le NAS ne décode pas lui-même les vidéos (ce n’est pas sa vocation), mais il assure parfaitement l’accès aux fichiers lourds en 4K HDR. Pour un setup Plex simple et efficace, il coche vraiment toutes les cases.
D’autres usages (et pour qui ?)
Le UGREEN NASync DH2300 s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux indépendants et petites entreprises qui veulent une solution de stockage fiable sans se ruiner. Comme NAS familial, il gère parfaitement la sauvegarde, la synchronisation de documents, le partage photo/vidéo ou la création d’un espace collaboratif. Sur Windows ou macOS, l’intégration SMB est impeccable.
Pour un freelance, cela devient un petit hub centralisé pour projets, archives, clients et sauvegardes automatisées. Grâce aux snapshots, on peut même restaurer rapidement un dossier en cas d’erreur ou de fichier supprimé. Le NAS supporte également l’accès distant sécurisé, ce qui permet de récupérer des documents depuis n’importe où sans passer par un cloud externe.
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Et pour les bidouilleurs, l’écosystème d’applications permet d’installer un serveur web, un conteneur ou des apps type Transmission pour une utilisation plus polyvalente. On n’est pas au niveau d’un Synology haut de gamme, mais à ce prix-là, la proposition est franchement solide, et simple d’accès.
Une très bonne affaire
Au passage, si vous lisez cet article avant le 1er décembre, bonne nouvelle :
UGREEN propose –20 % sur le NASync DH2300
. Son prix descend à
167,99 € (ici par exemple
, ce qui en fait probablement l’un des meilleurs rapports qualité-prix en NAS 2 baies actuellement. À ce tarif-là, difficile de trouver une solution aussi propre et aussi simple à prendre en main. Si vous avez des disques durs qui traînent chez vous, c’est l’occasion de les faire briller à nouveau.
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Le
UGREEN DH2300
n’a pas vocation à remplacer les NAS professionnels ou les machines très complètes du marché, mais il excelle dans ce pour quoi il est conçu : un NAS accessible, silencieux, efficace et très simple à utiliser. Pour un usage Plex, pour centraliser ses données à la maison ou pour un indépendant qui veut un stockage fiable sans aller chercher une usine à gaz, c’est un excellent choix. Et avec la promo actuelle, c’est une option franchement immanquable.
Il est dispo ici
, sur Amazon, par exemple.
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Le porte-cartes MagSafe d’ESR fait partie de ces accessoires auquel on ne s’intéresse pas vraiment au début, mais qui finissent par s’intégrer naturellement dans le quotidien.
Vendu autour de 32 €
lors des promotions Black Friday (ça tombe bien on est en plein dedans), il se positionne comme une alternative sérieuse aux modèles MagSafe classiques, tout en ajoutant une fonctionnalité rare dans ce segment : l’intégration directe à l’app Localiser.
Un porte-cartes connecté qui reste discret
Avec son support complet de Localiser, le wallet se comporte comme un AirTag intégré, sans accessoire supplémentaire à ajouter. Si on le laisse sur une table de café, si on le fait tomber en ville ou si on se demande simplement où il a disparu chez soi, il suffit d’émettre un son ou de consulter sa position, et c’est tellement rassurant. Niveau autonomie, une charge de 1h30 avec le câble fourni suffit pour environ trois mois d’utilisation et permet de ne pas trop y penser.
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Une bonne capacité dans un format compact
Contrairement à beaucoup de porte-cartes MagSafe limités à deux ou trois cartes, celui d’ESR permet d’en transporter jusqu’à cinq, ou quatre accompagnées de quelques billets. Le format reste compact, et l’ensemble ne rend pas le téléphone trop épais. L’accès aux cartes est fluide grâce à une découpe bien placée qui évite de lutter pour sortir une carte de crédit ou un badge. La protection RFID ajoute une couche de sécurité bienvenue, même si ce n’est pas ce qui motivera l’achat en premier lieu.
Une fixation magnétique plus ferme que la moyenne
Le principal défaut des wallets MagSafe basiques est leur tendance à glisser ou se décrocher au moindre mouvement. ESR améliore ce point grâce à vingt aimants N52 qui offre une fixation bien plus fiable que celle de nombreux concurrents. Sur une coque MagSafe classique, l’ensemble tient parfaitement en poche, même lorsqu’on manipule le téléphone. Ce n’est pas un accessoire qui demande de la vigilance pour éviter de le perdre, ce qui renforce l’intérêt du Localiser intégré. Le design reste sobre, bien fini, et suffisamment discret pour convenir à un usage quotidien sans attirer l’attention.
Au final, ESR propose un porte-cartes MagSafe bien pratique : une fixation solide, une capacité de rangement supérieure à la moyenne et une intégration à Localiser qui améliore la tranquillité d’esprit au quotidien. Le produit n’essaie pas d’en faire trop et s’adresse surtout à ceux qui veulent limiter ce qu’ils transportent sans sacrifier la sécurité ou la praticité. Une solution simple qui fonctionne comme prévu, ce qui est finalement ce qu’on attend d’un bon accessoire MagSafe.
Ajoutons qu’ESR
propose aussi un modèle
avec un petit support bien pratique pour transformer votre iPhone en réveil, toujours compatible avec Localiser.
Amazon vient d’annoncer
qu’ils bloquaient désormais les applications de piratage sur
leurs Fire TV Stick
(lien affilié) et cela sur tous les appareils. Les nouveau, les anciens, peu importe… Ainsi, si une app est identifiée comme distribuant du contenu illégal, elle dégage ! Même si vous l’avez sideloadée.
Ce grand ménage a commencé en France et en Allemagne, et s’étendra au monde entier dans les prochains mois. Sniiff… Ça sent la fin d’une époque.
Ainsi, pendant des années, Amazon a vendu des millions de Fire Stick en sachant parfaitement ce que les gens en faisaient. Ils en ont bien profité les coquins ! Votre collègue qui vous proposait un Fire Stick modifié à 80 balles avec un abonnement IPTV 12 mois inclus et accès à Sky Sports, TNT Sports, et les films encore au cinéma, c’était la baaase et Amazon voyait bien tout ça passer.
Selon une analyse d’Enders
, 59% des personnes qui regardent du contenu piraté au Royaume-Uni utilisent un Fire Stick. 59% !! Ça fait environ 4,7 millions d’adultes britanniques qui on streamé illégalement du sport ces six derniers mois. L’architecture même des Fire Stick facilitait le détournement puisque c’était un Android ouvert, avec du sideloading activable en trois clics dans les paramètres, et une excellente compatibilité avec toutes les apps tierces notamment pour l’IPTV.
Amazon avait conçu la streaming machine parfaite !!
Sauf Sky en a eu marre. La chaîne britannique a fait une grosse pression sur Amazon durant des mois et cela a été payant ! Amazon a enfin eu une révélation, une prise de conscience soudaine et miraculeuse sur l’importance de la sécurité et du respect de la propriété intellectuelle. Mais mdrrrr…
Et hop, un petit partenariat avec l’Alliance for Creativity and Entertainment, plus tard (c’est la coalition anti-piratage menée par la Motion Picture Association avec Disney, HBO, Netflix, tous les gros bonnets) et nous y voilà. Leur dernier né, le
Fire TV Stick 4K Select
(lien affilié) est même le premier appareil tournant sous Vega OS. C’est un système d’exploitation maison basé sur Linux, et pas Android, donc plus moyen d’exécuter les applications Android sideloadées avec ça.
Snif !
Après, les services pirates ne vont pas disparaître puisque
certains services IPTV passent déjà aux web apps
qui tournent dans le navigateur… mais bon l’âge d’or du Fire TV Stick en tant que box à piratage semble être terminée.
Bref, Amazon ferme le robinet… après avoir biiiien rempli la piscine !
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –
Au départ, j’étais persuadé que c’était encore un gadget pour geeks.
Une lampe pour écran à plus de 130 euros
? Vraiment ? Et puis, après avoir vu la moitié de mes collègues journalistes et amis l’utiliser, j’ai craqué. Résultat : la
BenQ ScreenBar Pro
est devenue un indispensable de mon bureau, au point que je me demande comment j’ai pu bosser sans elle.
Un design discret mais redoutablement bien pensé
J’ai opté pour le modèle argenté, celui que vous voyez sur la plupart des bureaux bien rangés sur Instagram. Dès le déballage, BenQ donne le ton : pas de plastique, un design minimaliste digne d’un accessoire Apple. La ScreenBar Pro se fixe sur le haut de l’écran sans le moindre outil, grâce à une pince articulée en métal qui respire la solidité. Elle s’adapte à tous les moniteurs, même incurvés, et ne bloque ni la webcam ni l’affichage.
La lampe se branche simplement en USB-C (vous pouvez utiliser un port de votre écran ou de votre ordinateur, ou le chargeur fournit), et elle s’allume sans effort. Pas de câble en pagaille, pas de socle qui prend de la place : on gagne en espace, et visuellement, c’es épuré. Le résultat est élégant, presque invisible une fois installée.
Un éclairage intelligent et ultra-confortable
La promesse de BenQ, c’est un éclairage asymétrique qui n’éblouit pas l’écran. Et pour une fois, le marketing dit vrai : la lumière ne se reflète jamais sur la dalle, même sur un moniteur brillant. L’éclairage est puissant (jusqu’à 1000 lux), parfaitement diffus, et surtout réglable. On peut ajuster la température de couleur (du blanc froid pour la concentration au ton chaud pour la soirée), ainsi que la luminosité sur 16 niveaux.
La
ScreenBar Pro
va même plus loin avec un capteur de luminosité ambiante et un détecteur de présence : elle s’allume toute seule quand vous approchez et s’éteint après quelques minutes d’absence. C’est un détail, mais ça donne une impression de produit “vivant”, pensé pour s’intégrer dans le quotidien.
Résultat : fini les maux de tête en fin de journée ou les reflets pénibles sur le clavier. L’espace de travail est uniformément éclairé, agréable et propice à la concentration. Je me surprends même à la laisser allumée pour lire ou regarder une vidéo, juste parce que la lumière est douce et reposante.
Une qualité de fabrication exemplaire
Tout, dans cette ScreenBar Pro, respire le sérieux : le corps en aluminium brossé, les touches tactiles rétroéclairées, la stabilité de la pince. Même après plusieurs semaines d’usage quotidien, rien ne bouge. Elle reste froide au toucher, même après dix heures de travail.
Le modèle blanc que j’ai testé se marie parfaitement avec un setup clair, et c’est peut-être un détail, mais elle donne immédiatement un côté plus professionnel à l’espace. Ce n’est pas seulement une lampe, c’est une amélioration visible de l’ambiance du bureau.
À 139,50 €, elle n’est pas donnée, mais comparée à des lampes design comme la Dyson Lightcycle, elle fait presque figure de bonne affaire. Et contrairement à d’autres modèles concurrents, elle ne nécessite ni application ni Wi-Fi : tout se règle directement sur la barre tactile.
Difficile de s’en passer
Je fais partie de ces gens qui se moquaient des accessoires “de setup” trop perfectionnistes. Mais la
BenQ ScreenBar Pro
m’a fait changer d’avis. C’est un vrai confort visuel, une lumière parfaitement maîtrisée et un produit aussi beau qu’efficace. Elle complète ma lampe de bureau, et c’est vraiment nickel.
Pour tout vous dire, ça m’a même réglé un problème. Tous les jours, en fin de journée, j’avais les yeux qui pleurent. Je ne sais pas si c’est de fatigue ou quoi. Depuis que j’ai cette lampe, ce n’est plus du tout le cas. Je ne sais pas si c’est directement lié, mais je pense varient que l’éclairage d’un bureau, c’est presque aussi important qu’une bonne souris ou une chaise confortable.
Si vous passez vos journées devant un écran, c’est un investissement que vous ne regretterez pas,
et vous pouvez la commander en blanc en cliquant ici
, mais elle est aussi disponible en noire,
en cliquant ici
. Et croyez-moi, une fois que vous y avez goûté, vous ne revenez plus en arrière. Notez au passage que si votre écran est collé à un mur, vous avez aussi cette version, la
BenQ ScreenBar Halo 2
, qui éclaire aussi votre mur délicatement !
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On ne va pas se mentir : trimballer un disque dur externe, aujourd’hui, ça ressemble un peu à sortir un baladeur CD. C’est bruyant, fragile, lent, bref, on passe. Les SSD portables, eux, ont tout changé : finis les plateaux qui tournent et les transferts qui prennent des heures.
Un bon SSD, c’est du silence, de la vitesse (jusqu’à 2 000 Mo/s, contre 120 en moyenne pour un disque dur), et la possibilité d’enregistrer directement ses vidéos 4K ProRes sur un iPhone sans remplir sa mémoire interne.
Lexar, marque bien connue dans la photo et la vidéo, s’est fait une spécialité de ces modèles rapides et compacts, et comme elle m’en a envoyé plusieurs pour les tester (merci bien Lexar), je vous propose ici un petit comparatif rapide de chacun d’entre eux : le SL500, le ES5, et le Professional Go avec Hub. Trois approches et trois usages différents. Les trois fonctionnent très bien sur ordinateur, PC ou Mac, sur smartphone, iPhone ou Android, et même sur tablette genre iPad.
Lexar SL500 : un SSD rapide tout simplement
Le SL500, c’est surtout un SSD rapide. Il exploite l’interface USB 3.2 Gen 2×2, capable d’atteindre jusqu’à 2 000 Mo/s en lecture et 1 800 Mo/s en écriture, du moins sur un ordinateur compatible (les Mac et iPhone non “Pro” se limitent à 10 Gb/s, soit environ 1 000 Mo/s). Dans la pratique, on tourne autour de 1 600 à 2 000 Mo/s, de quoi transférer un film en 4K en quelques secondes.
Il a un design en aluminium, pèse 95 grammes et a en option un étui magnétique MagSafe (le truc au dessus sur la photo) qui lui permet de se fixer directement à un iPhone (ce que vous n’êtes pas du tout obligé de faire hein, c’est aussi un très bon SSD pour ordinateur). Il est certifié IP54, supporte les chutes jusqu’à deux mètres.
En usage réel, c’est un SSD à l’aise partout : montage vidéo, photo RAW, sauvegarde de projet, il encaisse tout. Là tout de suite on le trouve en dessous des 100 euros en version 1 To, c’est l’un des meilleurs rapports vitesse/prix du moment. Idéal pour les freelances, étudiants ou créateurs polyvalents qui veulent du sérieux sans se ruiner.
L’ES5, c’est le SSD qui ne craint pas de sortir du bureau. Même interface rapide que le SL500 (USB 3.2 Gen 2×2), mais un look et une conception différents : coque en silicone, 49 g sur la balance, IP65 et résistance aux chutes jusqu’à 3 mètres. En clair, il encaisse bien la poussière, la pluie, et être jeté à l’arrache dans un sac.
Il est aussi magnétique, avec un aimant puissant et une bague métallique pour l’attacher à n’importe quel smartphone ou laptop. Avec les iPhone « Pro », il permet d’enregistrer en ProRes 4K 60 ou 120 fps. Il dispose d’une application mobile pour sauvegarder automatiquement photos et vidéos sans passer par le cloud, et reste bien sûr compatible PC/Mac.
Côté performance, rien à redire : autour de 1 800 à 2 000 Mo/s, il se est constant, même sur de longs transferts. En France, on le trouve à environ 150 € en 1 To, 220 euros en 2 To. C’est un peu plus cher que le SL500, mais son format plus compact et sa robustesse justifient l’écart. Le public visé ? Les vloggers, journalistes, créateurs de terrain ou voyageurs qui ont besoin d’un SSD à la fois rapide, solide et pratique à accrocher à leur setup.
Lexar Professional Go avec Hub : pour les vidéastes
Le Professional Go est une petite curiosité. Ultra-compact (13 g seulement), il se branche directement en USB-C à l’iPhone, sans câble intermédiaire. Les vitesses sont plus modestes (1 050 Mo/s en lecture, 1 000 Mo/s en écriture) mais largement suffisantes pour enregistrer des vidéos 4K ProRes sans saturer la mémoire du téléphone.
Sa particularité, c’est son hub intégré : quatre ports USB-C permettant de brancher un micro, une lumière, une batterie externe ou un autre accessoire. Une sorte de mini-station de tournage qui transforme l’iPhone en rig complet. Le tout est IP65, protégé contre la poussière et les éclaboussures, et livré avec un bumper en silicone pour encaisser les coups.
L’ensemble est un peu plus cher, environ 190 € en 1 To et 280 € en 2 To, mais c’est un produit assez unique. On peut tout brancher sans adaptateur ni multiprise, et garder un setup léger. Pour les vidéastes iPhone, c’est un outil redoutable : rapide, bien pensé, et surtout très pratique.
Bah, c’est assez simple en fait. Le Lexar SL500 mise sur la vitesse pure et un bon rapport qualité-prix. Il vise aussi les utilisateurs grand public qui veulent un disque rapide, bien fini et polyvalent.
Le Lexar ES5 s’adresse plus aux créateurs mobiles, qui veulent la même puissance mais dans un format plus solide, prêt pour les tournages en extérieur. C’est le modèle que je préfère, sans aucun doute.
Le Lexar Professional Go avec Hub, lui, cible clairement les vidéastes iPhone : un mini setup complet pour filmer en ProRes tout en branchant micro et lumière.
Ces trois modèles couvrent pratiquement tous les usages, de la sauvegarde quotidienne au tournage pro, avec un vrai souci du détail et des prix cohérents. Quoi qu’il en soit, si vous hésitez encore à passer du disque dur au SSD, croyez-moi : après avoir goûté à 2 000 Mo/s, vous ne reviendrez plus jamais en arrière.