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Hier — 11 janvier 2025Shaarlist

Le 100ème singe : une clé de l'évolution

11 janvier 2025 à 21:03

La méditation et le 100ème singe

Il existe une autre expérience qui montre l’effet d’une minorité sur l’ensemble d’une population. “L’Assemblée pour une Amérique Invincible”, lancée par Maharishi Mahesh Yogi le 23 Juillet 2006, se tient aux États-Unis, à l’Université Maharishi de Management et Maharishi Vedic City, dans l’Iowa, avec près de 2000 experts qui pratiquent les programmes de Méditation Transcendantale et de Vol Yogique.

2000 méditants quotidien est les chiffres de la criminalités de Chicago sont aux plus bas depuis plus de 30 ans.

Aujourd’hui les chiffres varient sur la masse critique nécessaire pour un changement de conscience collective. Certains s’accordent sur √1% de la population totale. Pour l’expérience de Chicago cela corresponds à 2500 méditants.

Je suis certains que dès que ce chiffres sera atteint nous aurons des nouvelles sur la toile.


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Au volant d’une voiture sans permis....

11 janvier 2025 à 18:41

D'accord avec le raisonnement mais ça "Moi j'ai 46 ans, 28 ans de permis, jamais un accident."

==> Cet argument d'autorité tout perrave là, garde-le pour toi stp.... Des accidents peuvent être causés par des chauffards même si tu maitrises ton véhicule, t'es pas à l'abri qu'on vienne te tamponner sans que tu t'y attendes....

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Voyage Virtuel : Top 5 des Salles VR à Découvrir en France

11 janvier 2025 à 16:34

Découvrez les salles de réalité virtuelle incontournables à explorer en France ! Plongez dans des expériences immersives uniques qui combinent technologie et divertissement. Que vous soyez novice ou aventurier aguerri, notre sélection des meilleures salles VR vous promet des moments inoubliables. Ne manquez pas cette opportunité de vivre des sensations fortes et d'explorer de nouveaux mondes en plein cœur de la France.


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Au volant d’une voiture sans permis, un adolescent de 14 ans percute une poussette sur un passage protégé : "pronostic vital engagé" pour le bébé de 8 mois toujours en réanimation - lindependant.fr

11 janvier 2025 à 13:05
Ah, la sécurité routière ...

On autorise des gamins de 14 à conduire des "voitures sans permis" ...
=> il faut juste obtenir le BSR, avec formation pratique de "8h" ...
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2890

Moi j'ai 46 ans, 28 ans de permis, jamais un accident.
Mais on va me faire chier si jamais on me choppe à dépasser la vitesse limite de 3 km/h sur voie rapide ...

Bordel, un gamin de 14 ans, ça devrait pas être laissé seul au volant d'un véhicule de ce type.

(Et il devrait y'avoir tolérance 0 sur les téléphones au volant, l'alcoolémie, et les drogues ...)
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MON AVIS Ernest Cole, photographe ★★☆☆

11 janvier 2025 à 11:51

!https://www.world-lolo.com/images/uploads/image.num1736596311.of.world-lolo.com.jpg

Issu d’une famille sud-africaine modeste, Ernest Cole (1940-1990) a documenté l’apartheid en Afrique du Sud avant de s’exiler aux Etats-Unis. C’est à New York que ce photographe naturaliste, héritier de Cartier-Bresson, publie en 1967 son unique album, parfois considéré comme l’un des plus marquants du XXe siècle : House of Bondage.

Ses héritiers ont demandé à Raoul Peck de lui consacrer un film, après avoir vu comment ce documentariste haïtien – qui fut l’éphémère ministre de la Culture de son pays en 1996/7 avant de prendre le chemin de l’exil – avait dans I Am Not Your Negro sublimé l’œuvre de James Baldwin. Ils lui ont offert en prime un bonus et une énigme : 60.000 négatifs laissés en dépôt dans une banque suédoise et découverts un quart de siècle après sa mort sans qu’on sache comment ils étaient arrivés là.

Raoul Peck ne force pas son talent pour raconter la vie en deux chapitres de ce photographe injustement méconnu. Le premier se déroule dans l’Afrique du Sud de l’apartheid ; le second dans l’Amérique de la ségrégation et du combat des Afro-Américains pour la reconnaissance de leur dignité. On y voit des photos d’Ernest Cole, parmi lesquelles beaucoup d’inédites retrouvées à Stockholm. On y entend la voix off de Raoul Peck s’exprimant à la première personne en lieu et place d’Ernest Cole sans qu’on sache s’il s’agit d’extraits des carnets du photographe ou de réflexions que le documentariste lui prête.

À vingt-six ans à peine, Ernest Cole a fui l’Afrique du Sud. Il n’y est jamais revenu, sa nationalité lui ayant été retirée et ses demandes de visa rejetées. Loin de l’Eldorado qu’il avait fantasmé, les États-Unis des années 60 l’ont profondément déçu. Comme il le résume d’une phrase : « En Afrique du Sud, à cause de la couleur de ma peau, je craignais de me faire arrêter ; dans le Sud des États-Unis, je craignais de me faire tuer » Après avoir tant bien que mal vécu de son art pendant une quinzaine d’années, Ernest Cole s’est lentement enfoncé dans la misère et a fini sa vie SDF.

En prime de cette histoire en deux parties, Raoul Peck a hérité d’une postface : 60.000 négatifs mystérieusement retrouvés en Suède – où on apprendra qu’Ernest Cole a fait quelques séjours dans les années 70. On pense à Vivian Maier et à la célébrité posthume que la découverte de ses photos lui a valu. Mais hélas, cette histoire fait long feu : à ce jour, les circonstances du dépôt de ces négatifs et de leur conservation demeurent inconnues.

Bande annonce => https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=20611104&cfilm=316222.html
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