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Aujourd’hui — 1 juillet 2024High-Tech

Pourquoi la fibre met-elle autant de temps à arriver dans tous les foyers français ?

1 juillet 2024 à 11:33

Internet

La fibre est désormais accessible dans plus de 86% des foyers français. Et pour les 14% restants ? Visiblement, le projet de complétude pour une fibre installée partout risque de se heurter à une dure réalité : l'argent manque.

Test Hisense 65U7NQ : un téléviseur Mini-Led au très bon rapport qualité-prix

1 juillet 2024 à 10:00
Le Hisense U7NQ (poétiquement baptisé U79NQ par les revendeurs) est un téléviseur UHD 4K qui profite d'une dalle Mini-Led, ainsi que d’un taux de rafraîchissement de 144 Hz. ## PrésentationHisense revient cette année avec un énorme catalogue de téléviseurs qui couvre tous les tarifs. Nous nous attardons aujourd'hui sur le 65U7NQ, que l'on trouve égal...

Maison connectée et fuite de donnée, une relation qui fonctionne

Par : Korben
1 juillet 2024 à 08:00

Maison autonome et écologique DIY

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Comment ça va de votre côté ? On se prépare doucement à la pause estivale ? En ce qui me concerne, j’en termine déjà avec le premier mois de mon trimestre de pause … ça file à une vitesse ma bonne dame, c’est dingue ! Mais s’il y en a qui ne prennent jamais de repos, ce sont bien les espions à l’affut de nos données.

Au travers de mes précédents articles, j’ai déjà fait le tour de pas mal d’outils, objets et services qui nous surveillent en quasi permanence. Les voitures intelligentes par exemple, ou les applications d’IA ainsi que celles dédiées au shopping. Bref tout ce qui stocke de la data personnelle est susceptible de fuiter ou d’être utilisé à vos dépens et sans votre autorisation. Le plus souvent c’est « seulement » pour vous bombarder de pubs ciblées, mais parfois c’est plus dangereux que cela (escroquerie, vol d’identité …). Et comme je l’ai montré dans ces mêmes articles, cela arrive de plus en plus fréquemment, la data numérique étant la nouvelle manne financière d’un pan entier du web.

Aujourd’hui on va s’intéresser à quelque chose d’autre : les maisons intelligentes. Car vous le savez aussi bien que moi, nous avons de plus en plus d’objets du quotidien connecté via des applications (IoT). Quelques exemples ? Brosse à dents, montre connectée, aspirateur robot, porte de garage, système de surveillance, machine à café, frigo, système de chauffage ou d’éclairage, volets de fenêtres ou encore les classiques assistant virtuel type Alexa. Alexa qui fête déjà ses 10 ans cette année, le temps passe vite ma bonne dame ! (je sais, je me répète, c’est l’âge … le temps passe vite ma …).

Surfshark nous a pondu une étude sur la question et épingle notamment Google et Amazon comme les plus avides de nos données (quelle surprise Sherlock). Mais ils ne sont pas les seuls puisque la majorité des quasi 300 applis testées récoltent et stockent diverses infos comme vos noms, votre email, vos interactions avec le produit (heures & Co) ou encore votre localisation précise. Infos qui vont aller gonfler nos profils chez les centaines de courtiers en données dès qu’elles se retrouveront dans la nature.

Amazon Alexa est de loin la pire de toutes, collectant 28 données différentes sur 32 analysées … qui, en plus, sont directement liées à votre identité personnelle. Au calme. Google fait un peu mieux, avec « seulement » 22 données récupérées (adresse, photos et vidéos, données de santé …). L’une des catégories les plus touchées ce sont les caméras de sécurité … qui ne font donc pas que surveiller les voleurs, mais les habitants de la maison eux-mêmes. On a aussi dans la liste des jouets connectés pour enfants (décidément après les applis mobiles pour gamins, ils ne sont jamais tranquilles nos mouflets). Vous pouvez retrouver tout le détail de l’étude sur cette page, si vous voulez creuser un peu par vous-mêmes.

Bon vous allez me dire, en quoi est-ce problématique ? Je n’ai rien à cacher ! (hahaha … OK boomer). Ces gadgets collectent vos données, augmentant ainsi votre empreinte digitale, et parfois utilisent ces mêmes données pour afficher des publicités ciblées. Chiant, mais pas mortel. Au niveau de la sécurité, le risque de mauvaise gestion ou de fuites de données augmente, car les données sont distribuées à travers plusieurs bases de données. Qui finiront pas fuiter, se faire hacker ou être revendues à des datas brokers. Ce qui arrive quotidiennement.

Prenons un exemple concret : vous avez installé une caméra de sécurité pour filmer si quelqu’un entre par effraction chez vous. Jusque là rien de spécial. Mais si cette caméra vous enregistre vous en train de tondre votre pelouse à moitié à poil et que la vidéo finit dans les mains d’un hacker quelconque … là c’est une autre histoire. Imaginez l’intimité du chef de l’Internet révélée aux yeux du grand public. Le monde n’est pas prêt.

Maintenant, comment lutter contre ce fléau ? Et bien déjà en se posant la question de savoir si l’on a vraiment besoin de ce type de gadget. La caméra si vous êtes dans une zone à risque ça peut avoir du sens. La brosse à dents ou la machine à café connectée … ce n’est peut-être pas vital. Ou au moins, essayez de trouver une alternative open source (pour creuser le code et voir comment elle fonctionne vraiment) et moins avide de tout savoir sur vos habitudes.

Prenez également le temps de mettre à jour les paramètres pour limiter au strict minimum ce que vous partagez. Si votre aspirateur robot a besoin du microphone ou que votre air fryer dispose d’un accès caméra, posez-vous des questions ^^ Pensez aussi à sécuriser vos connexions Wi-Fi et chiffrer tout votre trafic. C’est là que va intervenir Surfshark, l’un des plus réputés du marché que je vous recommande depuis des années. Il vous évitera de voir vos flux de données interceptés par un tiers, ou tout du moins de les rendre inexploitables si cela devait arriver. Je ne vous refais pas la présentation des multiples intérêts de l’outil, je l’ai déjà fait dans ma présentation de Surfshark VPN.

Surtout que vous pouvez en bénéficier au prix d’environ 71€ pour 27 mois (moins de 2.65€/mois) avec l’abonnement 2 ans. Ou opter pour la boite à outils complète Surfshark One (avec l’antivirus, la surveillance de fuites & co) pour à peine plus cher (3.23€/mois). Pas cher payé le prix de tranquillité d’esprit.

Testez le VPN de Surfshark !

OpenDevin – L’IA qui code

Par : Korben
1 juillet 2024 à 07:00

Après Devin et Devika, OpenDevin est un projet open source qui vous permet de disposer d’un ingénieur logiciel IA autonome. Créé par Cognition Labs, ce petit génie du code est capable d’exécuter des tâches complexes et de collaborer activement avec les développeurs sur des projets.

C’est encore en développement, donc loin de remplir toutes ses promesses, mais OpenDevin va pouvoir de manière totalement autonome générer du code, détecter les bugs, optimiser nos programmes…

Pour l’installer, vous aurez besoin de :

  • Linux, Mac OS, ou WSL sur Windows
  • Docker (pour ceux sur MacOS, assurez-vous d’autoriser l’utilisation de la socket Docker par défaut depuis les paramètres avancés !)
  • Python >= 3.11
  • NodeJS >= 18.17.1
  • Poetry >= 1.8

Ensuite, vous devrez « construire » le projet, ce qui inclut la configuration de l’environnement et l’installation des dépendances. Cette étape garantit qu’OpenDevin est prêt à fonctionner sans problème sur votre système.

make build

Notez qu’OpenDevin prend en charge une grande variété de modèles de langage (LM) grâce à la puissante bibliothèque litellm. Par défaut, c’est donc GPT-4 d’OpenAI qui est le modèle par défaut, mais vous avez le choix.

Pour configurer le LM de votre choix, suivez ces étapes :

  1. Utiliser le Makefile : Avec une seule commande, vous pouvez avoir une configuration de LM fluide pour votre expérience OpenDevin. Exécutez simplement : make setup-config Cette commande vous invitera à saisir la clé API du LLM et le nom du modèle, en veillant à ce qu’OpenDevin soit adapté à vos besoins spécifiques.
  2. Ou passez à la configuration manuelle : Vous pouvez mettre à jour manuellement le fichier config.toml situé dans le répertoire racine du projet. Vous y trouverez les champs llm_api_key et llm_model_name, où vous pouvez définir le LM de votre choix.

Une fois la configuration terminée, lancer OpenDevin est aussi simple qu’exécuter une seule commande. Cette commande démarre à la fois les serveurs backend et frontend de manière transparente, vous permettant d’interagir avec OpenDevin sans aucun problème.

make run

Si vous préférez, vous pouvez démarrer le serveur backend indépendamment pour vous concentrer sur les tâches ou les configurations liées au backend.

make start-backend

De même, vous pouvez démarrer le serveur frontend seul pour travailler sur les composants ou les améliorations de l’interface liés au frontend.

make start-frontend

Et si vous avez besoin d’aide :

make help

Et voilà ! Vous êtes maintenant prêt à vous lancer dans l’utilisation d’OpenDevin. Perso, je préfère encore l’approche manuelle en mode Chef de Projet avec Cursor notamment. Mais peut-être qu’un jour, un outil comme OpenDevin sera suffisamment malin pour tout faire de A à Z… qui sait ?

Actualité : Cette IA devenue virale a appris à mentir à ses utilisateurs

Par : Benoit Bayle
1 juillet 2024 à 05:58
Avec l'avènement et la démocratisation de l'intelligence artificielle sont arrivées diverses peurs plus ou moins rationnelles. La plus évidente, quoiqu'originellement plutôt attribuée à de la science-fiction, réside dans la capacité possédée ou non par une intelligence artificielle à mentir. Une IA dotée d'une telle fonctionnalité pourrait rapidement...

Actualité : Partenariat imminent entre Apple et Google Gemini : ce que cela va changer

Par : Benoit Bayle
1 juillet 2024 à 08:17
La keynote d'ouverture de la WWDC 2024 en juin dernier fut l'occasion pour Apple de certifier toutes ses ambitions liées à l'intelligence artificielle. Outre la création d'Apple Intelligence, sa propre intelligence artificielle générative, la marque à la pomme a par ailleurs annoncé l'intégration native de ChatGPT dans l'écosystème Apple. Dès cette a...

Hier — 30 juin 2024High-Tech

Commentaires sur Comment Coyote se réinvente pour vous faire oublier Waze et Google Maps par BENOIST PATRICE

30 juin 2024 à 10:04

Franchement….faire un copié collé du dossier de presse de coyote en guise d’introduction est indigne….
J’ai été client de coyote pendant 13 ans, j’ai fais remonter des dizaines de critiques constructives…. jamais de réponse…. pas de fidelisation du client… coyote n’en a rien à faire de ses clients… coyote est une machine à cash rien de plus…
J’utilise désormais waze et franchement je ne vois pas la différence à part sur mon compte en banque….

Actualité : TV Oled : le marquage est-il encore un problème en 2024 ?

30 juin 2024 à 09:15
Si les gens (et nos lecteurs bien sûr) connaissent désormais plutôt bien les avantages des téléviseurs Oled et QD-Oled — technologie cousine et très proche de l’Oled — avec des noirs profonds et des contrastes infinis, on entend également souvent parler d’un inconvénient majeur sur ce type de dalle : le marquage, aussi appelé brûlure ou encore burn-i...

Miru – Pour mater vos animés préférés tout en douceur

Par : Korben
30 juin 2024 à 07:00

Aujourd’hui, on part pour un tour dans la matrice du streaming avec Miru, un ovni débarqué tout droit du futur qui combine le meilleur de qBittorrent, Taiga et MPV, le tout condensé dans un pack 100% JavaScript, pour des sessions de streaming d’animés dont vous me direz des nouvelles.

Sur Miru, pas de pubs, pas de tracking, pas de collecte de données, c’est du 100% libre avec de la qualité, des téléchargements à la vitesse de la lumière et des releases toutes fraîches. L’outil est plutôt joli avec une interface de site de streaming sauf qu’en coulisses, c’est BitTorrent qui turbine avec des fonctionnalités très cools :

  • 🔍 Recherche d’anime par nom, genre, saison, année, format, statut
  • 📺 Visualisation des animes en cours/prévus et ajout/suppression en un clic
  • ✅ Marquage auto des épisodes visionnés
  • 🎞️ Bandes-annonces et previews des animes
  • 🌟 Notation des animes
  • 🔗 Visualisation des animes liés
  • 🌐 Détection auto des releases par torrent RSS
  • 🔎 Recherche d’animes par image
  • 📜 Support complet des sous-titres (VTT, SSA, ASS, SUB, TXT)
  • 🕹️ Raccourcis clavier pour toutes les actions (avance rapide, retour arrière, volume, sous-titres, lecture suivant/précédent, plein écran, picture in picture)
  • 🎮 Compatibilité manette
  • 🖼️ Mode mini-lecteur
  • 🎧 Affichage des infos de lecture
  • 🔑 Prise en charge des touches média
  • 👾 Rich Presence Discord
  • 🖱️ Prévisualisation des miniatures
  • ⏸️ Pause auto si perte de focus
  • ⏯️ Lecture auto de l’épisode suivant
  • 🔊 Support multi-audio
  • 📈 Progression du téléchargement sur la barre de lecture
  • 🗂️ Sélection du dossier de téléchargement
  • 🚦 Contrôle des vitesses d’upload/download
  • 🧩 Support des extensions pour ajouter des sources et trackers

Et c’est également prêt à l’emploi sur AUR et au format Deb pour linux ou avec les .exe et le .dmg pour Windows et macOS. Et bien sûr les sources sont ici.

Évidemment, y’a à boire et à manger sur cet outil donc avant d’attaquer votre binge watching, assurez-vous quand même de regarder uniquement des choses tombées dans le domaine public ou libre de droits. Ce serait dommage de vous faire griller par Hādōpī.

À partir d’avant-hierHigh-Tech

OpenCanary – Le pot de miel pour piéger les cyber criminels

Par : Korben
29 juin 2024 à 07:00

OpenCanary, c’est le pot de miel nouvelle génération pour attraper tous ces satanés cybercriminels. Ce petit logiciel va simuler plein de services réseau, comme un serveur web, un partage Windows, un serveur SSH…etc Bref, un vrai buffet à appâts numériques et dès qu’un hacker tombe dans le panneau et interagit avec, paf, vous recevez une alerte !

L’outil est hyper léger et s’installe facilement, même sur un Raspberry Pi ou un VM. Et comme c’est du logiciel libre, vous pouvez l’adapter à vos besoins et surtout vous éviter une solution proprio payante.

Alors comment ça fonctionne ? Et bien c’est simple comme bonjour :

  • Vous installez OpenCanary sur une machine de votre réseau interne
  • Vous le configurez pour imiter les services qui vous bottent (serveur web, FTP, base de données…)
  • Vous attendez patiemment qu’un hacker morde à l’hameçon
  • Dès qu’il interagit avec le honeypot, vous recevez une belle alerte qui vous file son IP et plein d’infos sur l’intrusion

C’est pas beau ça ?

En plus, vous pouvez même envoyer les alertes par mail, SMS ou même les agréger dans un outil de monitoring. Bon, je vous cache pas qu’il faut quand même un minimum de connaissances techniques pour faire tourner le bouzin. Mais si vous n’avez pas peur de mettre les mains dans le cambouis et de jouer avec la ligne de commande, c’est à la portée de n’importe quel barbu un peu motivé.

Et puis c’est quand même super fun de tendre des pièges aux méchants hackers et de les voir se faire avoir comme des bleus. Mais attention hein, faut pas non plus tomber dans la paranoïa et transformer son réseau en véritable champ de mines. Faudra doser pour que ça reste digeste sinon, vous allez avoir beaucoup de bruit dans vos alertes.

En tout cas, moi je dis bravo aux petits gars de Thinkst qui nous ont pondu cet outil. Pour les plus motivés, voici le lien Github du projet : https://github.com/thinkst/opencanary.

Amusez-vous bien et happy hacking !

Send – Partagez des fichiers chiffrés de manière éphémère

Par : Korben
28 juin 2024 à 07:00

Vous cherchez une solution pour partager des fichiers de manière sécurisée et confidentielle ? Ne cherchez plus, Send est là pour vous !

Cet outil open source, fork de Firefox Send, vous permet d’envoyer des fichiers chiffrés qui s’autodétruisent après un temps défini. C’est le rêve de tout paranoïaque de la vie privée comme vous !

Avec Send, vous pouvez dire adieu aux services de partage de fichiers qui fouinent dans vos données. Ici, tout est chiffré de bout en bout et vos fichiers seront protégés tel le précieux anneau unique. Même Sauron ne pourra pas y accéder ^^ !

L’interface est simple comme bonjour. Vous glissez-déposez vos fichiers, définissez une limite de téléchargements et une date d’expiration, et boom ! Vous obtenez un lien à partager avec vos amis, collègues ou agents secrets.

Le code est disponible sur GitHub ce qui vous permettra de monter votre propre instance de Send si vous le souhaitez. Et si c’est la flemme, rassurez-vous, y’a plein d’instances disponibles.

Pour l’installer :

  1. Clonez le dépôt GitHub de Send avec git clone https://github.com/timvisee/send.git
  2. Installez les dépendances avec npm install
  3. Configurez les variables d’environnement (voir la doc pour les détails)
  4. Lancez le serveur avec npm start
  5. Accédez à l’interface web sur http://localhost:8080
  6. Enjoy !

Alors n’attendez plus, c’est par ici : https://github.com/timvisee/send.

Actualité : Youtube fait le plein de nouvelles fonctionnalités pour ses abonnés Premium

Par : Benoit Bayle
28 juin 2024 à 05:26
YouTube a pu annoncer de nouvelles fonctions pour ses abonnés Premium au cours de la nuit. Accessibles directement pour smartphones Android aux États-Unis, elles devraient faire leur arrivée sur iOS plus tard dans l'année. Débutons avec "Jump Ahead", un outil qui emploie l'intelligence artificielle pour analyser les données d'audience afin d'identifi...

Actualité : Honor Magic V3 : un smartphone pliable ultra fin pour rivaliser avec les géants asiatiques du marché

Par : Benoit Bayle
28 juin 2024 à 05:57
Avec sa gamme Honor Magic, la firme chinoise s'est imposée comme une concurrente à ne pas sous-estimer dans la guerre livrée entre géants asiatiques sur le marché des smartphones pliables. Pour se différencier, Honor a mis un point d'honneur à délivrer le modèle pliable le plus fin possible, un objectif largement atteint l'an dernier avec son Magic V...

Test Seagate Game Drive PS5 2 To : un SSD pour PS5 et PC très rapide et parfaitement refroidit

27 juin 2024 à 15:00
Le Seagate Game Drive est un SSD Nvme M.2 dédiée à la PS5, mais il peut bien sûr être utilisé dans un PC. Il est équipé d'un dissipateur thermique et le fabricant annonce des débits rapides avec 7300 Mo/s en lecture et 6900 Mo/s en écriture. ## PrésentationLe Seagate Game Drive est un SSD équipé d'un dissipateur thermique compatible PS5, mais comme t...

Actualité : Truepic : Cette entreprise encore méconnue risque bien de devenir très importante à l'avenir

Par : Benoit Bayle
27 juin 2024 à 07:38
Avec la démocratisation de plus en plus évidente de l'intelligence artificielle sur différents canaux d'internet, il va devenir de plus en plus difficile de discerner le vrai du faux, l'artificiel du réel. Il existe déjà, à l'heure actuelle, de nombreux outils dont l'objectif principal est de déterminer si des images ou du texte ont été générés par i...

Les outils de crise indispensables pour Linux

Par : Korben
27 juin 2024 à 07:00

Aujourd’hui, on va causer d’un sujet qui nous tient tous à cœur (du moins je l’espère 😅) : les outils de crise sous Linux ! Parce que quand ça part en sucette et que les serveurs rament, pas question de perdre un temps précieux. C’est que souvent, quand la caca-strophe pointe le bout de son nez, vous vous rendez compte que vous n’avez pas les bons outils installés. Et là, c’est le drame… SSH qui rame, les serveurs qui répondent plus, les paquets qui veulent pas s’installer, le firewall qui fait des siennes… Un vrai calvaire !

Alors, quels sont ces fameux outils qu’il est impératif d’avoir sous la main quand le caca touche le ventilo ? Je dirais que y a déjà les classiques comme ps, vmstat, top et compagnie pour avoir un aperçu rapide de ce qui cloche. Rien que ça, ça peut déjà vous sauver les miches.

Mais si vous voulez jouer dans la cour des grands, va falloir sortir l’artillerie lourde. Je parle bien sûr des outils de tracing comme perf, bpftrace, opensnoop, execsnoop et toute la clique. Ça vous permettra de tracer en live ce qui se passe sur votre système, de débusquer les coupables et de mettre fin au carnage. Le top du top !

Voici comment procéder à grand coups d’apt install…

Étape 1 : Installer les packages de base

  • procps : fournit ps, vmstat, uptime, top pour les stats de base
  • util-linux : dmesg, lsblk, lscpu pour les logs systèmes et infos matérielles
  • sysstat : iostat, mpstat, pidstat, sar pour les stats disques/CPU
  • iproute2 : ip, ss, nstat, tc, les outils réseau recommandés
  • numactl : numastat pour les stats NUMA

Commande : sudo apt install procps util-linux sysstat iproute2 numactl

Étape 2 : Ajouter les outils réseaux

  • tcpdump : sniffer réseau
  • nicstat : stats interfaces réseau
  • ethtool : infos interfaces

Commande : sudo apt install tcpdump nicstat ethtool

Étape 3 : Outils de profilage et de traçage

  • linux-tools-common et linux-tools-$(uname -r) : perf, turbostat
  • bpfcc-tools (ou bcc) : une suite d’outils eBPF puissants
  • bpftrace : un outil de scripting eBPF dynamique
  • trace-cmd : outil en ligne de commande pour ftrace

Commande : sudo apt install linux-tools-common linux-tools-$(uname -r) bpfcc-tools bpftrace trace-cmd

Étape 4 (optionnelle) : Outils spécifiques au matériel

Selon vos serveurs, installez les outils d’analyse pour :

  • GPU Intel : intel-gpu-tools
  • GPU NVIDIA : nvidia-smi
  • Autres accélérateurs éventuels

Par contre, méfiez-vous, c’est pas donné à tout le monde de dompter ces bêtes-là. Ça demande un peu de bouteille et de la jugeote. Mais une fois que vous les maîtrisez, vous serez parés pour affronter les pires galères. Les plantages intempestifs, les I/O de l’enfer, les fuites mémoire vicieuses… plus rien ne vous résistera !

Bref, croyez-moi, le mieux c’est d’avoir tout ce bazar installé d’office sur vos machines. Comme ça, pas de mauvaise surprise le jour J. Évidemment, ça a un petit coût en espace disque. Mais franchement, c’est que dalle comparé au temps que vous allez perdre à galérer pour installer tout ça en pleine crise.

Sur ce, je vous laisse méditer là-dessus. Et n’oubliez pas, dans le monde merveilleux de l’informatique, il vaut mieux prévenir que guérir ! Allez, à plus les linuxiens et un grand merci à Brendan Gregg pour son article éclairant à ce sujet.

Actualité : Amazon s'attaque à Temu et Shein en se lançant dans le low-cost

Par : Benoit Bayle
27 juin 2024 à 06:12
Aux États-Unis, les firmes chinoises low-cost comme Temu ou Shein rencontrent un succès grandissant, qui leur aura permis d'augmenter leur présence globale depuis quelques années. Amazon entend bien ne pas laisser passer cette opportunité, et a récemment tenu une conférence privée en Chine pour annoncer le lancement d'une nouvelle vitrine, un magasin...

Les scams VPN les plus fréquents

Par : Korben
27 juin 2024 à 05:07

— Article en partenariat avec Surfshark

Woaw, écrire un article sur les scams utilisés par les VPN en 2024, en partenariat avec une boite VPN ? Et ouais, on n’a peur de rien ici. Ni de ma part, ni de celle de Surfshark VPN qui n’est pas le dernier à mettre les pieds dans l’assiette. Pour preuve, les nombreux articles sur leur site dans lesquels ils se comparent de manière frontale aux autres acteurs du milieu. Ou leurs campagnes de guérilla marketing … genre payer un gars pour faire ses besoins devant le public afin d’attirer l’attention sur le respect de la vie privée.

Si vous vous demandiez pourquoi la mascotte du service est un requin, vous savez : ça mord. Pour en revenir aux arnaques les plus fréquentes, elles touchent plusieurs aspects qui vont du mensonge sur le service proposé, aux frais cachés en passant par le non-respect de la confidentialité. On va détailler un peu tout ça.

Les abonnements à vie

Un grand classique (pas uniquement des VPN d’ailleurs). On vous propose de payer un prix fixe et ensuite vous êtes tranquille. Prix qui s’avère souvent très intéressant, mais pas pour autant négligeable puisqu’il est censé vous couvrir à vie. Sauf qu’un VPN ce n’est pas la même chose qu’un logiciel que vous allez télécharger et qui sera installé en local sur votre machine. Au pire si l’abonnement à vie disparait, et ses mises à jour avec, vous pouvez encore utiliser l’outil tel quel.

Pour le VPN c’est très différent puisqu’il ne pourra plus accéder aux serveurs & co. À votre avis, que se passera-t-il le jour ou votre VPN « à vie » doit payer plus cher en frais d’utilisation/maintenance qu’il ne rentre d’argent venant de nouveaux clients ? Pouf, un coup de baguette magique et il disparaitra. Retenez que « abonnement à vie » veut dire « abonnement de la durée de vie du service » … qui peut s’arrêter n’importe quand.

Trop d’infos perso

Un VPN qui vous demande trop d’informations personnelles devrait vous alerter. S’il est légitime de devoir fournir certaines infos (adresse mail, etc.) d’autres sont complètement inutiles. Par exemple votre adresse physique ou votre numéro de téléphone n’ont pas à vous être demandé. Dans le cas de vos informations bancaires … difficile de ne pas les récupérer pour eux puisque vous devez bien payer à un moment.

Heureusement, une option de paiement par cryptomonnaie (que Surfshark propose) est le plus souvent présente, ce qui vous permet d’avoir une couche de sécurité supplémentaire. Le VPN ne peut alors pas lier directement votre abonnement à un nom ou des coordonées bancaires.

Récupérer vos données peut aussi être un signe que le VPN marchande vos infos avec des tiers (genre data brokers). C’est quasi 100% du temps le cas avec les VPN gratuits, mais ne pensez pas que payer un abonnement vous en prémunit. D’où l’intérêt d’opter pour un service qui est audité régulièrement par des organismes indépendants. Là encore Surfshark n’a jamais été pris en défaut concernant sa politique de non-conservation des logs.

Malwares & Co

Il arrive que le service VPN qui vous est proposé ne soit pas aussi sain qu’il y parait. Et qu’en téléchargeant l’outil, vous preniez avec lui un malware ou autre cochonnerie. Si vous pensez que cela ne doit concerner qu’un petit nombre d’applications, vous vous trompez. Une étude de CSIROscope (datée de 2017) montrait que sur presque 300 applis de VPN gratuits sur Android, prêt de 40% étaient contaminées.

On a aussi le cas de la revente de comptes ou les faux VPN qui copient au plus proche des applications légitimes afin de leurrer les internautes. Dans les 2 cas, l’objectif est de récupérer vos données, voire vos coordonnées bancaires. Idem pour les VPN censés chiffrer vos données alors qu’elles sont surveillées et enregistrées en clair sur leurs serveurs.

Je passe sur les fraudes habituelles que l’on rencontre dans d’autres domaines : paiement sans recevoir le service, frais cachés, prix de l’abonnement qui varie, retrait automatique sur votre compte, faux témoignages sur les plateformes d’avis, remboursement qui ne se fait jamais, etc. Vous l’avez compris, les arnaques sont nombreuses.

Alors, comment faire pour s’en protéger ?

Déjà, renseignez-vous un peu partout avant de passer à l’action, voyez ce que les gens en disent dans les stores d’applis, sur des plateformes comme Trustpilot & Co. Cherchez à savoir si le VPN a connu des failles de sécu ou des critiques par le passé, etc. Ensuite, ne prenez votre abonnement que depuis le site officiel et vérifiez bien que l’URL est la bonne (sans typos, etc.).

Si vous passez par Google, faites attention à ne pas cliquer par habitude sur le 1er lien (qui pourrait être une annonce renvoyant vers un site tiers ou du phishing). Ayez des outils de sécu à jour (antivirus & Co), cela pourrait vous éviter de télécharger un fichier infecté. Et réfléchissez à 2 fois si l’offre vous parait trop alléchante.

Avec Surfshark VPN, vous pouvez y aller les yeux fermés, ils ont toutes les assurances nécessaires. Existe depuis des années, des centaines d’avis un peu partout sur le web, un système d’abonnement simple, audité plusieurs fois par des boites comme Deloitte, etc. C’est d’ailleurs pour cela que je vous le recommande depuis longtemps. Vous pouvez aussi profiter du paiement en crypto (pour la raison citée plus haut).

À l’heure où j’écris ces lignes, vous pouvez bénéficier d’une offre à 87€ TTC pour 27 mois d’utilisation, soit moins de 3.25€/mois. Ce qui comprend non seulement le VPN, mais aussi les différents outils de sécurité comme l’antivirus Surfshark, la création d’identités alternatives, les alertes, un moteur de recherche privé ou encore le surf sans publicités ni traqueurs.

Évitez les scams, prenez un VPN sûr avec Surfshark !

Actualité : SpaceX et la NASA s'associent pour désorbiter la station spatiale internationale

Par : Benoit Bayle
27 juin 2024 à 05:01
Elle aura fait son temps. L'ISS, placée en orbite basse depuis 1998 puis achevée en 2011, est le plus grand des objets artificiels placés dans l'espace. Malheureusement, elle atteint peu à peu sa fin de vie, et la NASA envisage désormais la suite. Ainsi, l'agence américaine a annoncé ce mercredi avoir sélectionné SpaceX afin de construire un véhicule...

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