Ils sont scientifiques, médecins, directrice d’une agence immobilière… et ont deux nationalités. Ils expriment un sentiment profond d’injustice et leurs inquiétudes pour la France.
Andreina Garcia Reyes, géophysicienne franco-vénézuélienne à l’Institut de physique du globe, à Paris, le 27 juin 2024. « Garder ma nationalité d’origine ne rentre pas en contradiction avec les intérêts et les valeurs de la France. Au contraire, je pense que cela enrichit la France, tout comme cela m’enrichit. »
Pour qui se serait plongé dans trente ans de travaux sociologiques, la colère exprimée lors des dernières élections n’est pas une surprise. Mais quel gouvernement les a lus ?, s’interroge la sociologue dans sa chronique.
Ces soutiens de 2017 du chef de l’Etat appellent à sortir de l’ambiguïté du « ni Rassemblement national ni La France insoumise » et à ne pas les mettre sur un pied d’égalité.
L’ultraconservateur Saïd Jalili, arrivé deuxième avec 38 % des voix selon des résultats partiels, soit six points derrière son adversaire, est favori du second tour qui aura lieu le 5 juillet, à moins que les réformateurs ne parviennent à mobiliser leur base.
Expatriées dans la capitale parisienne, ces « American moms » partagent leur quotidien entre sorties d’école et boulangerie. Des vidéos légères et virales, qui révèlent aussi les différences d’éducation entre la France et les Etats-Unis.
A 6 heures, les départements du Tarn, de l’Aveyron, du Lot, du Cantal, de l’Allier et de l’Ain ont rejoint les 25 départements qui étaient déjà placés en vigilance orange.
La qualification au second tour de la présidentielle de Jean-Marie Le Pen avait été un « coup de tonnerre », qui avait mis 1,3 million de personnes dans la rue. Vingt-deux ans plus tard, et après des années de dédiabolisation du parti d’extrême droite, la mobilisation apparaît plus dispersée.
Manifestation à la suite du résultat des élections européennes du 9 juin et de l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, à Paris, samedi 15 juin 2024.
En grands habitués des crises institutionnelles, les habitants des communes frontalières avec l’Hexagone sont préoccupés par celle qui s’y profile. Ils s’inquiètent de leurs futures relations avec les municipalités françaises et du devenir d’une Europe de plus en plus populiste.
L’ancien ministre Bernard Kouchner souligne, dans une tribune au « Monde », le risque d’une compromission collective de l’ONU et des démocraties si le choix de l’Azerbaïdjan comme pays hôte de la COP29 est maintenu.
Depuis son retour au pouvoir en octobre 2023, le premier ministre nationaliste, Robert Fico, multiplie les licenciements d’employés jugés gênants dans les médias publics, la police et la justice. La tentative d’assassinat dont il a fait l’objet en mai n’a fait que renforcer sa détermination à mettre au pas ces organes.
Kristina Chrenkova, journaliste de RTVS, avec des pancartes indiquant : « Nous sommes issus d’un monde inversé, mais nous ne sommes pas des idiots ! » ; « Médias libres = pays heureux ! », à Bratislava, le 26 juin 2024.
Au sud du Finistère, cette fragile lagune accueille les marées, la nidification des gravelots et des estivants attirés par ses eaux nacrées ou turquoise. Un paysage de tableau, renouvelé en permanence, qui se découvre à pied.
A la galerie Christophe Person, le « pays des hommes intègres » est à l’honneur jusqu’au 27 juillet. Au programme : peintures, photographies et sculptures.
Méconnaissable, Joe Biden a avalé des mots, n'a pas fini certaines phrases et a regardé dans le vide lors du duel télévisé jeudi face à son prédécesseur républicain.
En vacances avec ses parents, l'enfant à échappé à leur surveillance quelques minutes, vendredi 28 juin. Plus de 50 gendarmes, pompiers et bénévoles ont alors été mobilisés pour le retrouver.
Les coureurs du Tour de France s'élancent samedi 29 juin, de Florence, en Italie. Une première pour la course cycliste. Au programme de la première étape : 206 kilomètres jusqu'à Rimini.
Les premiers vacanciers prennent la route, samedi 29 juin. Cette année, les Français ont un budget plus élevé à cause de l'inflation, constate le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie.
Face à la menace d'un conflit avec la Russie, plusieurs villes d'Allemagnes demandent la réhabilitation des bunkers de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre Froide, pour protéger leur population d'une éventuelle attaque.