Un projet qui parait plutôt intéressante... à surveiller !

Vraiment amusant ! Je vous recommande les vidéos de ce monsieur, passionnantes !

Lecture d'un Vinyle vue au microscope... ensuite on voit le CD et le VideoDisc.

Une étude très intéressante sur les problèmes de pompes à essence qu'il y a eu sur certains moteurs à explosion monté sur des avions légers (moteurs Thierlert). Ces moteurs sont dérivés de moteurs automobiles diesel et adaptés pour être montés sur avion en fonctionner au kérosène (Jet A1). Le kérosène est assez proche du gasoil, mais il est un peu moins lubrifiant. Et il existe des différences de propriété lubrifiante entre le Jet A1 selon l'endroit ou l'on se sert dans le pays (il y a plusieurs raffineries en France, et en gros le BEA à constaté que les casses de pompes à essence sur ce moteur ont toutes eu lieu dans le sud de la France, beaucoup moins de soucis de ce genre dans le nord). Le Jet A1 qui était disponible dans le sud était moins soufré et donc moins lubrifiant, et dans ce type de moteur, c'est le carburant qui assure la lubrification de certains composants, et notamment de la pompe à essence, d'ou les casses à répétition constatées dans le sud.

Mon applie préférée pour la prédiction de Flash Iridium. Elle sais bosser hors ligne donc très pratique au milieu de la cambrousse. Perso, j'ai pris la version pro (https://play.google.com/store/apps/details?id=com.heavens_above.viewer_pro) pour encourager les développeurs et le super site HavensAbove.net. Pour l'observation en elle-même, j'aime bien ISS Detector qui offre un module de visée très clair et intuitif (https://play.google.com/store/apps/details?id=com.runar.issdetector), imporant pour les flash iridium car ils sont brefs, donc il faut regarder au bon endroit.

Pour ceux que cela interrogerait, des infos sur ce que sont les flash Iridium ici : http://sonicboom.aero/2015/01/03/flash-iridium/, avec une photo du phénomène !

J'ai constaté la meme chose sous windows... Une même machine sous Linux est beaucoup plus fluide car le swap est visiblement plus intelligent... C'est chiant !!!

Je vais me garder ça sous le coude (viahttp://www.ballajack.com/banques-dimages)

La lecture des enregistreurs de cockpits pose parfois quelques soucis aux enquêteurs du BEA...

Pour la 9, c'est parce qu'en aéronautique, on fait souvent une différence entre l'usage de loisir et l'usage professionnel : les contraintes ne sont pas les mêmes... Il me semble que du côté des drones, pour être autorisé à faire un usage pro, il faut répondre à un certain nombre de règles relativement contraignantes (selon le type de drone (poids...), et le type de vol (en/hors agglomération, en/hors de la vue du drone...)). Notamment, il me semble que c'est toujours d'actualité, les pilotes de drones pro doivent être titulaires du théorique pilote avion où ULM.

Pour le 2), c'est surtout qu'au delà de 150 m (500 ft) on est susceptible de rencontrer des avions. En effet, la réglementation prévoit que l'altitude minimale de survol (hors agglomérations ou endroits disposant d'un marquage spécifique sur les cartes aéronautique) est de 500 ft au dessus du sol. Les avions ne peuvent descendre réglementairement en dessous de 500 ft qu'aux abords des aérodromes. A noter que même loin d'un aérodrome, on est tout de même susceptible de rencontrer des avions bien plus bas. L'exemple typique est la simulation de panne moteur en campagne, pour lequel les instructeurs sont autorisés à descendre à 150 ft (45 m) dans le cadre des exercices de panne moteur réalisés avec leurs élèves. Le deuxième cas ou on peut rencontrer des avions très bas en dehors des zones proches des aéroports, c'est dans les couloirs du réseau très basse altitude (RTBA), qui sont des couloirs militaires dans lesquels les avions de l'armée on le droit d'évoluer à très grande vitesse (plus de 470 km/h) sans obligation d'assurer aucunes veilles extérieure donc sans obligation d'assurer l'anticolision. Ce sont des zones que tous les autres avions doivent éviter. C'est les zones rouges continues sur les cartes aéronautiques (qu'on peut consulter en ligne sur http://carte.aero). Certaines de ces zones débutent au sol (celles pour lesquelles il n'y a pas de hauteur écrite sous le trait).

J'ai voulu importer mon jeubde clé sous APG (Android Privacy Guard) sur mon téléphone. A partir des fichiers asc produits par GPG sur PC, APG refusait l'import... Pire, en exportant des clés depuis APG, le reimportation ne fonctionnait pas non plus... Bref ça semble complètement bugué... Il semble que ce genre de bug traîne depuis un moment : https://github.com/thialfihar/apg/issues/56 ...

La solution : ouvrir le fichier asc avec un éditeur de texte sous Android, copier la clé dans la presse papier puis utiliser la fonction "Importer à partir du presse papier dans APG"... La ça fonctionne... C'est le contournement que j'ai trouvé mais ce bug a fait perdre 1h...

Edit : en fait APG n'est plus maintenu... migrer sur OpenKeychain

Sympa ce test de débit en HTML5... simple et sexy !

Via http://sebsauvage.net/links/?B7t0rA

Très intéressant... une requête sur les serveurs de Microsoft à chaque recherche dans le menu démarrer du W10... à part ça cet OS n'est pas mouchard... (via http://sebsauvage.net/links/?jJC4rA)

Je trouve le titre un peu abusé... Les cartes ne sont pas mensongères, elle sont une représentation possible de la réalité... comme toute représentation, elle n'est pas parfaite et souffre donc de défaut... chaque projection offre ses avantages et ses inconvénients, ils sont bien connus (voir par exemple la partie propriétés de cette page sur la projection de Mercator https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection_de_Mercator).

La seule représentation parfaite est le globe terrestre, et encore, il faudrait, pour être vraiment 100% dans le vrai, le faire en forme de patatoïde, car le Terre est loin d'être un globe parfait (https://fr.wikipedia.org/wiki/Figure_de_la_Terre).

Très intéressant... et bien vrai !
Via http://sebsauvage.net/links/?z4GAlg

Vraiment bien que des passionnés se chargent de sauvegarder ce qui est encore sauvable de ce patrimoine... car oui, c'est bien un patrimoine, ces logiciels/jeux font parti de l'histoire, et bien souvent les supports ne sont pas éternels, et quand bien mêmes ils le seraient, il faut encore que les moyens de lecture subsistent, ce qui n'est pas gagné non plus... A partir du moment ou on sait dumper une ROM et qu'on dispose d'un émulateur (si possible open source), le jeu devient potentiellement éternel... Même si évidement jouer sur les consoles/écran d'origine permet d'être le plus dans les conditions originales (brancher une PS1 sur un écran plat donne vraiment une image bizarre, qui l'est beaucoup moins sur un écran cathodique de taille réduite comme on avait souvent à l'époque).

Quelques conseils que je vais essayer de mettre en application pour mes futurs portraits
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Un outils à essayer : de quoi placer plusieurs ISO bootable sur une seule et même clé USB en gardant la possibilité de booter sur chacune d'entre elle. Ca doit être niquel pour une clé de dépannage qui contiendrait l'UBCD + un ISO live Linux + G4L... tout le nécessaire pour dépanner tranquille quoi !

Woaw balaise comme idée... J'imagine qu'il s'agit de détecter les ondes électromagnétiques de la TNT réfléchies par les avions... Vachement balaise le traitement de signal qu'il doit y avoir derrière car au final on ne doit pas récupérer un signal des plus puissants... Fallait avoir l'idée... Et la mettre en œuvre !

Très intéressant article de fond ! Je prend pour ma part pas mal de photos et c'est vrai que ça prend du temps (sélection, traitement des RAW, archivage et classement, partage...)… mais le résultat vaut le coût ! Et j'ai la chance de maîtriser les outils techniques nécessaires.

Le grand publique n'a pas conscience que dans l'industrie, on se sert encore énormément de vieux logiciels qui tourne sur du vieux matériels. L'industrie renouvelle peu son matériel et ses logiciels critiques car toute modification nécessite souvent de revalider l'ensemble du logiciel, ce qui représente un masse de travail énorme, et donc ça coûte... Souvent, c'est l’obsolescence du matériel et l'impossibilité retrouver du matériel de remplacement qui oblige à faire évoluer les systèmes (exemple, la NASA avait acheté des processeurs sur eBay pour la navette spatiale, faute de pouvoir s'approvisionner auprès d'Intel qui avait cessé la production des 8086, il n'était pas question de modifier le matériel qui pilotait la navette. Source : http://www.nytimes.com/2002/05/12/us/for-parts-nasa-boldly-goes-on-ebay.html).