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Reçu hier — 11 novembre 2025

Construire une machine a voyager dans le temps - Romuald Leterrier - YouTube

11 novembre 2025 à 22:08

A 25:17
https://youtu.be/U3K7JzPHmwQ?si=x7kdHMuGmzQrSWiF&t=1517
Création de rêve prémonitoire:

Technique proposée par le chamane Ernesto pour créer des boucles temporelle pour récupérer de l'information dans le futur:

  • extraire d'un rêve une image qui semble importante. (ou un morceau de scénario)
  • demander à voir cette image dans la réalité
  • quand on voit l'image dans la réalité, on repense à son rêve et c'est la qu'on envoie l'information du futur dans le passé du rêve qui lui donne sa forme et son scénario.

Donc Romuald Leterrier voit un Jaguar en rêve avec la particularité d'avoir la patte sur un tas d'or ! ça l'impressionne. Donc il choisi cette image et demande de la voir d'ici 1 mois.

Puis il doit sortir de la jungle et retourner en ville à Puca Allpa. Ce qui n'était pas tout à fait prévu à la base. Là il voit une affiche d'une pub pour une banque avec un énorme jaguar avec la patte sur un tas d'or !!! C'est l'image du rêve !
Là il a une émotion forte ! ça renvoie l'information dans le passé qui va construire l'image du rêve !

→ On a donc ici une boucle temporelle.


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Reçu — 10 novembre 2025

Entrepôt Spatial : Lieu Clé dans ARC Raiders Révélé

10 novembre 2025 à 19:01

La clé de l’Entrepôt Spatial peut considérablement améliorer votre collecte de loot dans ARC Raiders. Ce guide vous aidera à augmenter vos chances de trouver cette clé insaisissable, vous assurant ainsi de profiter au maximum de votre expérience de jeu. La clé de l’Entrepôt Spatial ne provient d’aucune quête, ce qui rend son obtention un […]

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Reçu — 9 novembre 2025

Pourquoi certaines personnes mettent leurs clés de voiture dans du papier d’aluminium ?

9 novembre 2025 à 11:00
Une clé de voiture dans du papier aluminium.

Une simple feuille d’aluminium pourrait bien protéger vos clés de voiture des voleurs high-tech… et vous éviter bien des sueurs froides !

L’article Pourquoi certaines personnes mettent leurs clés de voiture dans du papier d’aluminium ?, rédigé par Nathalie Kleczinski, est apparu en premier sur NeozOne.

Reçu — 8 novembre 2025

Trouver l’emplacement de la clé de voiture de patrouille dans ARC Raiders : Guide complet

8 novembre 2025 à 23:00

La clé de la voiture de patrouille est un objet convoité dans ARC Raiders, offrant d’incroyables possibilités de butin si vous parvenez à la trouver. Une fois que vous avez sécurisé cette clé rare, elle déverrouille un endroit qui autrement resterait hors limites, vous permettant d’améliorer votre inventaire avec des trésors précieux. Dans ce guide, […]

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Consequences of Undecidability in Physics on the Theory of Everything

8 novembre 2025 à 22:22

La relativité générale traite l'espace-temps comme un système dynamique et montre son effondrement au niveau des singularités.

Cet échec est interprété comme une preuve que la gravité quantique n'est pas une théorie formulée {au sein} de l'espace-temps ; au contraire, elle doit expliquer l'{émergence} même de l'espace-temps à partir de degrés de liberté quantiques plus profonds, résolvant ainsi les singularités.

La gravité quantique est donc envisagée comme une structure axiomatique, et les calculs algorithmiques agissant sur ces axiomes sont censés générer l'espace-temps.

Cependant, les théorèmes d'incomplétude de Gödel, le théorème d'indéfinissabilité de Tarski et l'incomplétude informationnelle de Chaitin établissent des limites intrinsèques à tout programme algorithmique de ce type.

Ensemble, ces résultats impliquent qu'une « théorie du tout » entièrement algorithmique est impossible : certaines facettes de la réalité resteront indécidables sur le plan computationnel et ne pourront être appréhendées que par une compréhension non algorithmique.

Nous formalisons cela en construisant une « méta-théorie du tout » fondée sur une compréhension non algorithmique, montrant comment elle peut rendre compte des phénomènes indécidables et démontrant que l'échec des descriptions computationnelles de la nature n'entraîne pas l'échec de la science. Étant donné que toute simulation supposée de l'univers serait elle-même algorithmique, ce cadre implique également que l'univers ne peut pas être une simulation.


Désolé.. mais cette publication scientifique est vraiment à côté de la plaque !!!
Y’a vraiment des gens qui qui veulent se faire remarquer dans un sujet de niche et donc associent un sujet de buzz à côté pour se faire remarquer… et ça marche !!!
Il se trouve que j’ai lu il y a un mois la BD logicomix: https://fr.wikipedia.org/wiki/Logicomix
Qui justement parle de l’histoire de la logique et surtout de la vie de Russel qui a fait de sa vie une quête de LA vérité sous forme mathématique et donc logique. Il est aussi question de Cantor et sa théorie des ensembles qui vise à sous tendre la notion même de nombre. Si j’ai 3 pommes.. et 3 poires.. l’ensemble commun c’est 3.. et voilà comme on prouve un nombre. Russel a écrit un bouquin de 300 pages pour démontrer que 1+1 =2 … voilà le niveau de ce genre de névrosé.. (la BD montre que la plupart des logiciens sont fous car il cherchent la vérité.. et qu’elle n’existe pas… )
Puis Russel sort son paradoxe qui l’a rendu célèbre.. " l'ensemble des ensembles n'appartenant pas à eux-mêmes appartient-il à lui-même ?"
=> ça casse toute la théorie des ensembles.. y’a un paradoxe. ça a fait déprimer plein de mathématiciens !
.. et là dessus Gödel (dont il est question dans l’article) a poursuivi les travaux de Russel en démontrant que tout système logique est incomplet. Donc qu’il y a des propositions indécidable. On ne peut les prouver ni les réfuter. Là ça casse toutes la cohérence des maths…. y’a des choses qu’on saura jamais !!!
→ Ensuite c’est Tarski qui démontre qu’un langage formel ne peut pas définir LA vérité en interne. On est obligé d’avoir un méta-langage, hors du langage lui même pour définir ce qui est vrai. (En bref, le slogan de X-files → la vérité est ailleurs)
→ Puis c’est Chaitlin qui enfonce le clou en étendant ce que dit Gödel en utilisant la théorie de l’information. Si je résume il dit qu’un système formel a des limites en terme d’information qu’il peut gérer. En gros sur un feuille à plat tu peux pas prouver un cube en 3D, t’as pas assez d’information à disposition pour.

Ce dernier point me fait directement penser à une simulation qui doit nécessairement être plus grossière, plus pixelislées que son hôtes.

Donc dans ce papier, les gars disent que la gravité quantique est un algorithme et comme un algorithme est incomplet, alors il peut pas tout simuler, donc la simulation est impossible CQFD….
LOL !!!

Déjà rien ne prouve que la théorie de la gravité quantique est autre chose qu’une théorie. C’est un modèle à la mode maintenant que la théorie des cordes est passée de mode… c’est tout…
De plus, les gars ont une vision très précise de ce qu’est une "simulation", hors rien ne prouve que c’est leur définition qui s’applique. C’est pas des informaticiens les gars. Ils ont l’impression que si un ordinateur est basé sur du binaire, tout doit être binaire dans ce qui émerge. C’est justement nier les phénomènes d’émergence. Le plus impressionnant de nos jours est l’IA..
Perso je pense aussi à un "design pattern" d’architecture informatique courant. C’est le "Modèle vue contrôleur" On a un modèle de donnée, une base de données qui contient des infos, très souvent relationnelles, on a une vue qui est nécessaire pour linéariser les infos les rendre visible à l’écran, et un contrôleur qui manage tout ça.
Dans ma vision du monde, La vue c’est notre monde. C’est là où on crée le temps pour suivre un fil rouge de la base de données qui a toutes les infos en même temps.
Je prend l’exemple d’un blog.. on va crée une vu chronologique. Ou un jeu vidéo, on va dessiner via la carte graphique les objets et les personnage en interaction. (mais que cette partie de la réalité, si il n’y a pas d’observateur, il n’y a rien de calculer.. ce qui fonctionne comme la physique quantique !)

Ainsi les auteurs de l’articles suppose que la simulation est dans le même monde que celui qui est simulé. (pourquoi ? c’est une limitation) Non, on peut avoir un monde plus vaste avec d’autres capacités et loi physique. Moi j’ai aussi un autre espace, c’est mon modèle et mon contrôleur qui font un rendu dans la vue. Donc un monde plus vaste. C’est très matérialiste leur approche !!

Autre point, en informatique on a l’équivalent du théorème d’incomplétude de Gödel, il s’agit du problème de l’arrêt. https://fr.wikipedia.org/wiki/Probl%C3%A8me_de_l%27arr%C3%AAt
C’est Turing qui a montré ceci en 1936 (science étonnante a fait une vidéo sur le sujet cette semaine !!!!)
En bref, si je regarde le code d’un programme, je ne peut pas savoir si le programme va boucler à l’infini ou s’arrêter. C’est une problème indécidable.

Donc toutes nos simulations ont donc des indécidables… et ça fonctionne très bien. Les gars ils disent que le fait d’avoir un indécidable invalide toute simulation !! C’est totalement faux !

J’ai exposé mes arguments à perplexity ainsi que l’article en question. L’IA a validé la plupart de mes observation et m’a donné les sources de physiciens qui ont aussi réfuté les conclusion de cet article: "Les physiciens Melvin Vopson et Javier Moreno soulignent une "erreur de catégorie profonde" dans l'argument de Faizal."

Voilà voilà.. donc non.. c’est pas par ce que c’est publié que c’est vrai….
Merci d’avoir lu mon charabia.. je pense qu’il faut s’accrocher pour comprendre.. (d’où le fait que la plupart des gens ont juste lu le titre à côté de la plaque…) heureusement que c’est un sujet qui est venu à mois ces dernières semaines !


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Reçu — 6 novembre 2025
Reçu — 1 novembre 2025

Installer Linux Mint (LMDE 7) sur un Acer Aspire ES15 récalcitrant

Ah, les install parties… On y vient pour respirer le parfum du libre, réanimer de vieux PC et prouver qu’un pingouin bien motivé vaut mieux qu’un écran bleu. 🐧Cette fois, c’est un Acer Aspire ES15 équipé d’un vaillant Pentium N4200 qui a décidé de jouer les rebelles. Tout semblait prêt : clé Rufus, ISO officielle, […]

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Reçu — 30 octobre 2025

Nvidia et Oracle lancent un colossal projet de super-ordinateur d’IA pour le département américain de l’énergie

30 octobre 2025 à 09:50

Lors de la première conférence GTC AI organisée à Washington D.C., Jensen Huang, CEO de Nvidia, a dévoilé un partenariat stratégique avec Oracle et le Département de l’Énergie américain (DOE) dont l’objectif est de bâtir le plus grand superordinateur d’intelligence artificielle jamais conçu aux États-Unis. Ce projet d’envergure, …

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Reçu — 27 octobre 2025
Reçu — 23 octobre 2025

On a fait un spectacle contre le fasc*sme... - Swann Périssé 2025 - YouTube

23 octobre 2025 à 08:15

Quand j’ai vu le salut nazi d’Elon Musk, j’ai eu le choix entre paniquer et écrire un spectacle contre le fasc*sme. Je vous laisse apprécier le choix que j’ai fait ! Y'a plus l'temps...

Excellent spectacle avec Paloma Moritz, Ilyes Mela, Salomé Saqué, Louis Cattelat, Planète Boum Boum...


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Reçu — 21 octobre 2025
Reçu — 20 octobre 2025
Reçu — 16 octobre 2025

Le tandem lakehouse-IA s’impose dans le branding d’Oracle

16 octobre 2025 à 10:12

Ne dites plus Autonomous Data Warehouse, mais Autonomous AI Lakehouse.

Oracle opère ce changement de marque à l’aune de plusieurs évolutions fonctionnelles. Parmi elles, la gestion native du format Iceberg, d’où la notion de lakehouse. L’ajout d’un framework agentique justifie quant à lui l’aspect IA.

L’intégration Iceberg est initialement certifiée pour AWS Glue, Snowflake Polaris, Databricks Unity et Apache Gravitino. La syntaxe SQL d’Autonomous AI Database évolue en parallèle, pour permettre des requêtes de type select * from owner.table@catalog.

Autonomous AI Database Catalog

Après Select AI RAG, Select AI Agent

La partie agentique est nommée Select AI Agent. Elle s’inscrit dans la continuité de Select AI, lancé fin 2023 sous la bannière du text-to-SQL.

Depuis lors, Select AI a été doté, entre autres, d’une brique de RAG destinée notamment à enrichir les requêtes en langage naturel. Plus récemment, Oracle a mis à disposition un portage pour Python.

Le voilà donc qui s’ouvre à l’IA agentique, à l’appui d’un framework ReAct*. Il reprend la composante RAG, assortie d’une compatibilité MCP et de la capacité à exploiter des outils externes via REST (recherche web avec l’API OpenAI, en particulier). Quelque garde-fous sont mis en place, dont du LLM-as-a-judge pour évaluer les outputs et la possibilité de définir des « profils SQL » associés à des règles définies par l’utilisateur.

Table Hyperlink, nouveau nom des URL préauthentifiées

Le rebranding d’Autonomous Data Warehouse en Autonomous AI Lakehouse en appelle un autre : la fonctionnalité jusque-là appelée PAR URLs (Pre-Authenticated Request URLs) devient Table Hyperlink.

Le système des URL préauthentifiées permet de donner un accès temporaire, par client REST, à des tables ou à des vues dans Autonomous Database. Ces URL, générées par exécution de code PLSQL, peuvent avoir une date d’expiration et/ou un nombre maximal d’utilisations. On peut aussi les invalider manuellement. Depuis leur lancement début 2024, elles ont été enrichies sur plusieurs points. Dont, pour les producteurs de données, la possibilité d’étendre le délai de validité des URL en quelques appels API ; et un système de « partage sélectif » permettant de donner accès à des sous-ensembles de datasets sur le réseau Internet tout en conservant le reste dans un VCN (réseau virtuel privé). Pour les consommateurs de données, l’UI web s’est améliorée, avec par exemple un code couleur pour identifier tendances et anomalies.

La marque Table Hyperlink est censée mieux refléter l’objectif de cette fonctionnalité (connecter des tables à des workflows). Oracle promet d’y intégrer, à l’avenir, des variables d’association par défaut, d’assurer la cohérence pour les URL paginées… et surtout de permettre la gestion de plusieurs tables avec un même lien.

Dans le cadre des traitements de données externes, Oracle a intégré à sa base de données un système de cache sur mémoire flash (dans Exadata). Supportant les fichiers Parquet, ORC, AvRO et les tables Iceberg, il est pour l’instant manuel (c’est à l’utilisateur de définir les tables ou parties de tables à mettre en cache). Il est question d’automatiser le processus à partir de l’analyse des usages.

AI Data Platform, dans la lignée de MySQL HeatWave Lakehouse

On ne perçoit pas la dimension lakehouse dans le branding d’AI Data Platform, mais elle en est bien le fondement. L’offre, qui vient de passer en disponbilité générale, constitue une évolution d’un produit existant. En l’occurrence, MySQL HeatWave Lakehouse. Elle s’appuie sur Autonomous AI Database, Oracle Analytics Cloud (connexion possible avec des outils BI tiers), ainsi que le stockage objet et les services d’IA générative d’OCI (accès à des modèles de Meta, de Cohere, de xAI, etc.). La couche compute repose sur Apache Spark, assorti à du GPU NVIDIA. En ce sens, l’ensemble se distingue d’Autonomous AI Lakehouse, davantage orienté vers l’analytics.

Autonomous Data Warehouse et AI Data Platform sont à la base d’une autre offre, pas tout à fait nouvelle mais qui résulte aussi d’un changement de marque. Il s’agit de Fusion Data Intelligence, ex-Fusion Analytics Warehouse. Elle permet d’exploiter les outils d’analytics d’Oracle en lien avec les applications Fusion Cloud, en fournissant un pipeline, un entrepôt, un modèle sémantique et des contenus (métriques, workbooks, visualisations) prêts à l’emploi.

* Dans les grandes lignes, l’approche ReAct entrelace la génération des chaînes de pensée et la planification des actions en sollicitant du feedback humain si nécessaire.

Illustrations © Oracle

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Reçu — 15 octobre 2025

Emergence of spacetime in a restricted spin-foam model | Phys. Rev. D

15 octobre 2025 à 13:27

La dimension spectrale s'est avérée être une observable très informative pour comprendre les propriétés des géométries quantiques dans les approches de la gravité quantique.

Dans la gravité quantique à boucles et sa description par la mousse de spin, il n'a pas été possible jusqu'à présent de calculer la dimension spectrale de l'espace-temps.

Comme première étape vers cet objectif, nous déterminons ici la dimension spectrale de l'espace-temps dans le modèle simplifié de mousse de spin limité aux hypercuboïdes. À l'aide de méthodes Monte Carlo, nous calculons la dimension spectrale pour les sommes d'états sur des configurations de mousse de spin périodiques sur des réseaux infinis.

Pour une périodicité donnée, c'est-à-dire un nombre de degrés de liberté, nous trouvons une gamme d'échelle où une dimension spectrale intermédiaire entre 0 et 4 peut être trouvée, en fonction continue du paramètre du modèle. En partant d'une hypothèse sur le comportement statistique du laplacien, nous pouvons expliquer ces résultats de manière analytique. Cela nous permet de prendre la limite thermodynamique d'une grande périodicité et de trouver une transition de phase d'un régime d'espace-temps effectivement zéro dimensionnel à un espace-temps à quatre dimensions.

Au point de transition de phase, la dynamique du modèle est invariante d'échelle, ce qui peut être considéré comme une restauration de l'invariance de diffeomorphisme de l'espace plat. En considérant la dimension spectrale comme un paramètre d'ordre pour la renormalisation, nous trouvons également un flux de groupe de renormalisation vers ce point. S'agissant du premier cas d'émergence d'un espace-temps à quatre dimensions dans un modèle de mousse de spin, les propriétés responsables de ce résultat semblent plutôt génériques. Nous nous attendons donc à des résultats similaires pour des modèles de mousse de spin plus généraux et moins restrictifs.


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[hep-th/0011194] Discrete Lorentzian Quantum Gravity

15 octobre 2025 à 13:18

Tout comme pour les théories de jauge non abéliennes à couplage fort, les méthodes de réseau discret constituent un outil naturel dans l'étude de la gravité quantique non perturbative. Elles doivent refléter le fait que les degrés de liberté géométriques sont dynamiques et que, par conséquent, la théorie des réseaux doit également être formulée de manière indépendante du contexte. Après avoir résumé l'état actuel des modèles de réseaux covariants discrets pour la gravité quantique à quatre dimensions, je décris une nouvelle classe de modèles de gravité discrets dont le point de départ est une intégrale de chemin sur des géométries d'espace-temps lorentziennes (plutôt qu'euclidiennes). Un certain nombre de résultats intéressants et inattendus ont été obtenus pour ces modèles triangulés dynamiquement en deux et trois dimensions, ce qui fait de la gravité lorentzienne discrète un candidat prometteur pour une théorie non triviale de la gravité quantique.


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[2507.14630] A Lattice Physics Approach to Spin-Networks in Loop Quantum Gravity

15 octobre 2025 à 13:16

Dans cette étude, nous modélisons un réseau de spins dans la gravité quantique à boucles comme un réseau tétraédrique régulier, en appliquant des techniques de physique des réseaux pour étudier sa structure et la dynamique de ses sommets.

À l'aide de la valeur propre de l'aire, A∝8πl2P, nous dérivons une constante de réseau a=2,707lP et construisons un hamiltonien de sommet intégrant un potentiel de Lennard-Jones, une énergie de point zéro et des oscillations harmoniques simples.

Une approche de feuilletage applique la contrainte de Wheeler-DeWitt via des hamiltoniens localement non nuls qui s'annulent globalement.

Les perturbations de type graviton (traitées ici comme des bosons de spin 0) modifient le spectre d'énergie des sommets, l'analyse variationnelle suggérant douze excitations cohérentes par sommet. Ce modèle considère l'espace-temps plat comme un réseau riche en gravitons tout en imposant une image stochastique de type brownien pour les gravitons, et offre une base pour une extension vers des géométries quantiques courbes.


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Reçu — 13 octobre 2025
Reçu — 6 octobre 2025

Oracle E-Business Suite au cœur d’une campagne d’extorsion

6 octobre 2025 à 13:18

Un groupe cybercriminel peut en cacher un autre… susceptible de lui griller la politesse.

La situation semble s’être récemment présentée entre Cl0p et SLSH (Scattered LAPSUS$ ShinyHunters). Le premier a pris pour cible des instances Oracle E-Business Suite en utilisant… un exploit que le second l’accuse de lui avoir volé.

Dans la lignée de cette campagne, des utilisateurs de la suite ont fait l’objet de tentatives d’extorsion. Les sommes demandées ont atteint 50 M$.

Oracle n’avait pas tout de suite évoqué une 0-day

Oracle avait d’abord fait le lien entre les revendications de Cl0p et des vulnérabilités corrigées en juillet dans le cadre des patchs trimestriels pour ses produits sur site.

Il a finalement mis son post à jour, éliminant toute référence à ces vulnérabilités au profit d’une seule, nouvelle (CVE-2025-61882), qu’il ne qualifie toutefois pas de 0-day. Elle se trouve au niveau de l’intégration avec Analytics Publisher (ex-BI Publisher ; solution de reporting qui fait partie de Fusion Middleware). Un score de 9,8 lui a été attribué, autant pour ses conséquences potentielles (exécution de code à distance, avec impact possiblement élevé sur la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité) que pour la facilité à l’exploiter (pas d’authentification).

Dans le cas présent, la faille a permis, sur les instances E-Business Suite exposées à Internet, l’accès à des comptes locaux facilitant le contournement du SSO.

Certains IOC partagés par Oracle correspondent à des éléments que SLSH avait diffusés en amont sur Telegram. Plus particulièrement les fichiers composant l’exploit (deux scripts Python dans une archive zip). On trouve, dans leur nom, la chaîne « scattered_lapsus », donnant un probable indice de provenance.

Un template YAML pour le scanner de vulnérabilités Nuclei a été publié. Il détecte les instances vulnérables en vérifiant si une page contient le texte « E-Business Suite Home Page » et, le cas échéant, si la date dans l’en-tête Last-Modified est antérieure au 4 octobre 2025.

À consulter en complément, un point sur une campagne plus ancienne ayant impliqué Cl0p. Elle a ciblé le logiciel de transfert de fichiers MOVEit Transfer. Deux failles SQLi au niveau du front-end web furent utilisées pour injecter un ransomware. Majorel, acteur de la GRC, avait fait partie des victimes. On l’avait appris par l’intermédiaire de Pôle emploi, dont il était prestataire.

Illustration générée par IA

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Reçu — 1 octobre 2025

Nexa lance un bachelor en cybersécurité et réseaux

1 octobre 2025 à 07:30
Bachelor cybersécurité Nexa : formation en alternance, administration réseau et sécurité informatique, insertion professionnelle à 92 %....
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