C'est la faute de SebSauvage. Comme il n'arrête pas de parler de Cyberpunk 2077 au fur et à mesure qu'il prend conscience que c'est un 10 meilleurs jeux de la décennie, j'ai de plus en plus envie d'y rejouer (après tout, j'ai terminé ma première run en décembre 2023).
Mais je vais être obligé de le racheter, parce que j'ai essayé toutes les manips possibles (Heroic Game Launcher, Lutris, trucs chelous sous Steam...) : rien à faire, CP2077 dans l'Epic Game Store et Linux, c'est pas le grand amour. Le mieux que j'aie réussi à obtenir, c'est un jeu qui reste bloqué sur l'affichage de CDProjectRed en rouge, quelques secondes après le lancement... Et une autre fois, un jeu qui démarre... à 4 FPS. Je suis pas exigeant mais quand même.
Alors que tous les jeux que j'ai lancé directement avec Steam, j'ai réussi à les faire tourner. (même ceux n'étant pas des jeux Steam d'ailleurs. Même des .exe pour Windows d'ailleurs. Proton/Steam accepte tout, c'est fabuleux. Mais pas CP2077 sous EGS faut croire).
[J'ai commencé une page wiki][1] pour recenser les problèmes et leurs solutions (généralement aussi simple que "passer sous Proton 10.0-2"). Attention, c'est pas propre, c'est en cours de rédaction.
Pour le fun : ce shaare pointe vers une vidéo sous r/cyberpunkgame qui montre une façon à laquelle je n'avais jamais pensée pour être sûr de gagner les courses... et pourtant c'est assez évident ^^
C'est la faute de SebSauvage. Comme il n'arrête pas de parler de Cyberpunk 2077 au fur et à mesure qu'il prend conscience que c'est un 10 meilleurs jeux de la décennie, j'ai de plus en plus envie d'y rejouer (après tout, j'ai terminé ma première run en décembre 2023).
Mais je vais être obligé de le racheter, parce que j'ai essayé toutes les manips possibles (Heroic Game Launcher, Lutris, trucs chelous sous Steam...) : rien à faire, CP2077 dans l'Epic Game Store et Linux, c'est pas le grand amour. Le mieux que j'aie réussi à obtenir, c'est un jeu qui reste bloqué sur l'affichage de CDProjectRed en rouge, quelques secondes après le lancement... Et une autre fois, un jeu qui démarre... à 4 FPS. Je suis pas exigeant mais quand même.
Alors que tous les jeux que j'ai lancé directement avec Steam, j'ai réussi à les faire tourner. (même ceux n'étant pas des jeux Steam d'ailleurs. Même des .exe pour Windows d'ailleurs. Proton/Steam accepte tout, c'est fabuleux. Mais pas CP2077 sous EGS faut croire).
[J'ai commencé une page wiki][1] pour recenser les problèmes et leurs solutions (généralement aussi simple que "passer sous Proton 10.0-2"). Attention, c'est pas propre, c'est en cours de rédaction.
Pour le fun : ce shaare pointe vers une vidéo sous r/cyberpunkgame qui montre une façon à laquelle je n'avais jamais pensée pour être sûr de gagner les courses... et pourtant c'est assez évident ^^
Vous avez surement un vieux smartphone qui traîne au fond d’un tiroir, non ? Bah au lieu de le laisser pourrir ou de le balancer à la déchetterie, pourquoi ne pas en faire un vrai serveur web ?
Je sais ce que vous pensez… Ce mec est fou. Et pourtant, c’est exactement ce qu’a fait Louis Merlin avec son projet
Far Computer
. Son site tourne littéralement sur un Fairphone 2 posé dans un tiroir, avec PostmarketOS comme système d’exploitation. Le site affiche en temps réel les stats de la machine donc au moment où j’écris ces lignes, 5% de CPU, 280 Mo de RAM utilisés sur 1.8 Go disponibles… C’est presque de la puissance gâchée pour servir quelques pages statiques, mdr.
Ce projet s’inscrit dans cette mouvance du “sustainable computing” où l’idée c’est de donner une seconde vie aux appareils qu’on jette après 2-3 ans alors qu’ils ont encore plein de ressources à offrir. D’ailleurs, PostmarketOS est parfait pour ça puisque c’est une vraie distrib Linux basée sur Alpine, ultra légère, et qui supporte plus de 200 appareils différents, des vos vieux Nokia N900 aux tablettes en passant par les liseuses…
D’ailleurs le guide d’installation dispo sur
far.computer/how-to
est hyper bien fait si vous voulez vous lancer. En gros vous avez besoin d’un PC Linux (ou une VM), vous installez pmbootstrap, vous flashez le téléphone en mode bootloader, et hop, une fois PostmarketOS installé, vous vous connectez en SSH, vous configurez le WiFi avec nmcli, vous créez votre dossier /var/www/html/, vous lancez httpd et voilà. Votre vieux téléphone est devenu un serveur web.
Alors bien sûr, pour mon site avec son million de visiteurs uniques par mois, ça le ferait moyen et faudrait quand même coller un CDN devant pour encaisser la charge, mais pour un projet perso, un blog à faible trafic, une API interne ou juste pour le plaisir de dire aux inconnus dans la rue, “Hey bonjour, on ne se connait pas mais mon site tourne sur un téléphone”, c’est vraiment cool (et un peu creepy).
Point important à garder en tête quand même, évitez de laisser le téléphone branché en permanence sur le chargeur car les batteries n’aiment pas trop ça, et ça peut finir en feu de joie improvisé. Idéalement faut virer la batterie si c’est possible ou mettre en place une gestion de charge intelligente.
Le code source du projet Far Computer est dispo sous licence CC BY-NC-SA 4.0 donc vous pouvez vous en inspirer, le modifier, le partager… tant que c’est pas pour du commercial bien sûr et que vous gardez la même licence.
Voilà, vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous avez des vieux smartphones qui prennent la poussière.
Vous vous souvenez de Remix OS, de Phoenix OS et de tous ces projets qui promettaient ENFIN de faire tourner Android sur votre PC comme un vrai OS desktop ? Ouais, moi aussi je m’en souviens… Et ce dont je me souviens surtout, c’est de comment ça s’est terminé… Des abandons, des problèmes de mise à jour, du licensing foireux avec Google. Bref, un vrai carnage…
Hé bien cette fois c’est Google lui-même qui se lance dans l’aventure avec un projet baptisé Aluminium OS. Et attention, ce n’est pas juste une rumeur de plus puisque Rick Osterloh, le grand patron de la division Devices de chez Google, a officiellement annoncé le projet en septembre dernier au Snapdragon Summit de Qualcomm. Comme les deux boîtes bossent ensemble sur cette nouvelle plateforme, on devrait logiquement voir débarquer des machines sous puces Snapdragon.
Côté naming, Google reste fidèle à sa convention maison avec un nom de métal en “-ium”, vous savez, comme Chromium pour Chrome… Sauf qu’ils ont choisi la version britannique “Aluminium” plutôt que “Aluminum” nord-américaine. Ça sera aussi plus simple à retenir pour nous les français.
Aluminium c’est donc la fusion tant attendue entre ChromeOS et Android afin d’avoir un seul OS unifié pour les laptops, les tablettes détachables et même les mini-PC style Chromebox. L’objectif affiché c’est de mieux concurrencer l’iPad sur le marché des tablettes, mais aussi taper sur la tête de Windows et macOS côté PC. Et contrairement à ce qu’on pourrait craindre, Google ne compte pas limiter ça aux machines d’entrée de gamme pourries puisqu’ils prévoient trois segments : AL Entry (le pas cher), AL Mass Premium (le milieu de gamme) et AL Premium pour jouer dans la cour des grands.
Le truc qui change vraiment par rapport aux Phoenix OS et autres projets communautaires, c’est surtout que Google veut intégrer son IA Gemini au cœur du système. Bon ok, tout le monde fait ça maintenant, mais au moins ça prouve que c’est un projet sérieux avec de vraies ressources derrière.
Maintenant, si vous êtes actuellement utilisateurs de Chromebook (force à vous ! ^^), pas de panique puisque les machines existantes continueront à recevoir leurs mises à jour jusqu’à leur fin de vie. Les plus récentes pourraient même avoir droit à une petite migration vers Aluminium OS si elles sont compatibles. D’ailleurs, si on en croit les rapports de bugs internes, Google teste actuellement ce système sur des cartes de dev équipées de puces MediaTek Kompanio 520 et Intel Alder Lake 12e gen, donc si votre Chromebook tourne avec l’un de ces chipsets, vous avez peut-être une chance…
En interne, les ingénieurs parlent même déjà de “ChromeOS Classic” pour désigner l’ancien système, ce qui laisse penser que Google pourrait simplement renommer Aluminium en ChromeOS une fois leur truc mature.
Bref, le lancement de ce nouvel OS Made in Google est prévu pour 2026 et sera probablement basé sur Android 17. À voir maintenant si ça décollera plus que ChromeOS…
Microsoft teste des changements intéressants pour l’Explorateur de fichiers sur Windows 11. L’objectif est double : épurer l’interface pour une meilleure lisibilité et accélérer le lancement. Ces nouveautés, déjà en place dans la version Dev, devraient être disponibles pour l’ensemble des utilisateurs au début de 2026. Une ouverture …
Dell a annoncé il y a quelques jours une variante atypique de son modèle Pro Max 16 Plus. Cette nouvelle station de travail arrive en priorité sous Linux... et avec un gros NPU dédié. Une double particularité qui mérite notre attention.
Le fabricant d'accessoires JSAUX a dévoilé des prototypes de façades personnalisées pour la Steam Machine. De quoi jouer avec une console qui vous ressemble.
Vous pensez connaître tous les appareils connectés à votre réseau domestique ou professionnel, mais l’inventaire réel diffère souvent. Un scan méthodique avec nmap sur Linux ...
IntroductionPAM est un mécanisme qui gère les tâches d'authentification des applications sous Linux, en utilisant un ensemble de bibliothèques dynamiques et de fichiers de configuration. Il a été créé par Sun Microsystems en 1995 dans le but de rendre les applications indépendantes de la méthode d'authentification, et a été implémenté par Red Hat (voir [1]) en 1996 dans sa version 3.0.4 (selon [2]).
L’an dernier, Qualcomm avait juré que les jeux fonctionneraient sans problème sur ses PC portables sous Windows Arm avec le processeur Snapdragon X Elite. La réalité des tests fut bien plus cruelle. Aujourd’hui, Qualcomm tente de faire oublier ce faux départ avec une offensive logicielle majeure, transformant enfin …
DietPi vient de publier sa mise à jour 19.9, et cette nouvelle version apporte à la fois une application inédite dans son catalogue de logiciels optimisés et plusieurs améliorations bienvenues pour les utilisateurs de Raspberry Pi et d’autres SBC. La nouveauté la plus marquante est l’ajout de BirdNET-Go dans la liste des logiciels optimisés. Cette application […]
Microsoft vient de franchir une nouvelle étape dans sa stratégie visant à transformer Windows 11 en un véritable environnement adapté pour le jeu nomade. À partir de ce vendredi 21 novembre, la « Full Screen Experience » (FSE) — jusqu’ici réservée aux Xbox Ally et Ally X — …
Soulagement pour les joueurs PC : si vos jeux ont des chutes de FPS depuis quelques semaines sans raison apparente, votre carte graphique n’est pas en cause, mais Windows 11 oui. Nvidia vient de déployer un correctif d’urgence (hotfix) pour réparer les dégâts causés par la mise à …
Après des années de critiques acerbes à l'égard des tendances de programmation contemporaines, Linus Torvalds s'est exprimé positivement sur les développeurs utilisant ce qu'on appelle le codage Vibe. Ce phénomène consiste à créer des logiciels en envoyant des commandes en langage naturel à des modèles neuronaux. Le code résultant est le fruit du traitement de ces commandes, et non du travail manuel du programmeur. Le terme « programmation intuitive » a été inventé par Andrej Karpathy, connu pour ses travaux chez OpenAI et la promotion d'outils basés sur l'intelligence artificielle générative. Torvalds a qualifié son approche de « plutôt positive », surprenant la communauté qui se souvenait de sa résistance de longue date à l'adoption rapide de nouvelles pratiques. Parallèlement, il a fixé une limite à l'acceptabilité du codage Vibe. Il estimait que ceux qui utilisaient cette méthode ne devaient avoir aucune influence sur les projets dépendant de la stabilité des systèmes critiques.
Dans des déclarations ultérieures, Torvalds a expliqué que le problème des projets sensibles réside dans la maintenance ultérieure du code, lorsque sa structure et son processus de développement sont moins transparents. Il n'a pas précisé les domaines concernés, mais a suggéré que l'accès au noyau Linux ne devrait pas être confié à des programmeurs utilisant uniquement des techniques génératives. Torvalds a également précisé qu'il n'avait pas encore testé lui-même le code de Vibe. Depuis vingt ans, il se consacre à son rôle de chef de projet Linux, intégrant les modifications, évaluant les propositions des développeurs et publiant les nouvelles versions du noyau. Il affirme parfois que l'écriture de code ne représente plus une part importante de ses responsabilités, même s'il ne s'y tient pas toujours.
Le créateur de Linux a souligné le nombre croissant de faux rapports de sécurité et de bogues générés par une mauvaise utilisation de l'intelligence artificielle. Il a décrit des cas où du code téléchargé depuis kernel.org par des réseaux neuronaux a conduit à des interprétations et des alertes erronées. Il a toutefois insisté sur le fait que la situation est moins grave dans le noyau Linux que dans d'autres projets open source. Il a cité cURL, un outil en ligne de commande très répandu pour le transfert de données via les protocoles Internet, comme exemple. Ces dernières années, ses développeurs ont été confrontés à un nombre croissant de rapports erronés générés par des outils d'IA.
Torvalds a reconnu que des années de travail avaient modifié son approche du développement du noyau. Auparavant, il était connu pour son rejet systématique de nombreuses propositions, notamment celles qui allaient à l'encontre de sa vision de l'intégrité du code. Désormais, il autorise des solutions auxquelles certains développeurs expérimentés s'opposent. Rust, considéré comme un langage plus sûr que le C traditionnel, en est un exemple. Torvalds a longtemps soutenu les détracteurs de Rust , mais a finalement accepté son intégration au noyau. Il a déclaré que Rust n'était plus une expérience , mais qu'il devenait une composante à part entière du projet.
Ce changement ne remet pas en cause son approche rigoureuse de l'architecture et de la qualité du code. Ces dernières années, il a critiqué publiquement à plusieurs reprises des solutions qu'il jugeait imparfaites. En avril 2025, il a autorisé la suppression de nombreux systèmes de fichiers essentiels, provoquant un vif débat parmi les développeurs. En août de la même année, il a qualifié le code de l'architecture RISC-V de destructeur, alors même que de nombreuses entreprises considèrent cette architecture comme une future concurrente des architectures x86 et ARM.
La relation ambiguë de Torvalds avec Rust a refait surface en juin 2025. Il a suspendu le compte de Kees Cook , l'un des principaux défenseurs du langage au sein du projet Linux, pour avoir utilisé un lien vers un dépôt contenant de fausses informations sur les auteurs des commits. Cook a publié un message laissant entendre que Torvalds avait contribué à ces modifications, alors qu'il n'y avait absolument pas participé. (Lire la suite)
Microsoft ne se contente plus d’intégrer un chatbot à Windows. La firme est en train de transformer son système d’exploitation en un « système d’exploitation agentique », une sorte de toile pour l’IA où des agents intelligents peuvent prendre le contrôle de votre PC pour exécuter des tâches …
Roblox, une plateforme de divertissement désormais incontournable, vient de déployer une nouvelle politique de vérification d’âge… qui ne fait pas l’unanimité : les utilisateurs dès l’âge de 9 ans devront désormais enregistrer une vidéo-selfie pour confirmer leur âge. Une mesure présentée comme indispensable pour renforcer la sécurité de …