TUXEDO Stellaris 16 Gen7 : le Ryzen 9955HX3D arrive sous Linux
(Permalink)
Livebox-XXXX
où XXXX sont les 4 derniers chiffres du numéro de série192.168.1.1
Si 192.168.1.1 ne fonctionne pas, essayez :
192.168.1.254
livebox.home
192.168.0.1
(pour certains modèles)Les identifiants varient selon le modèle de Livebox :
Livebox 4/5/6 (récentes)
admin
Livebox 2/3 (anciennes)
admin
admin
Solutions à essayer :
Dans votre Navigateur Web, copier l’adresse : 192.168.1.1
Les erreurs classiques :
Solutions :
Solutions :
Attention : Cette opération efface tous vos paramètres personnalisés
Utile pour :
Note importante : Ce guide couvre la plupart des modèles de Livebox. Certaines fonctionnalités peuvent varier selon votre modèle spécifique. En cas de doute, consultez la documentation officielle Orange ou contactez le support technique.
Si vous n’avez pas une livebox, mais une autre box, voici les adresses à utiliser
- 192.168.1.254 pour se connecter à la Bbox de Bouygues Telecom ; https://mabbox.bytel.fr si vous préférez l’URL.
- http://mafreebox.freebox.fr pour se connecter à la Freebox de Free.
- 192.168.1.1 ou 192.168.0.1 pour se connecter à la box SFR (selon le modèle) ; http://monmodem dans le cas d’une box THD.
Il y a plusieurs raisons pratiques d’accéder à l’interface d’administration de votre Livebox. Voici les principales motivations :
En résumé, accéder à votre Livebox vous donne un contrôle total sur votre réseau domestique et vous permet de l’adapter à vos besoins spécifiques, d’améliorer sa sécurité et de résoudre d’éventuels problèmes. C’est particulièrement utile si vous avez des besoins spécifiques ou si vous rencontrez des problèmes de connexion.
L’article Comment accéder à 192.168.1.1 livebox est apparu en premier sur Raspberry Pi France.
Je me suis récemment acheté pour 15 et quelques euros un boîtier à brancher sur la TV (ou tout autre écran avec entrée HDMI) et qui permet d’y diffuser une vidéo depuis son smartphone. À la façon d’un chromecast, mais pour beaucoup moins cher, et sans la dépendance à un fournisseur externe, ou un autre réseau.
Par ailleurs j’avais le TripMate sous le coude depuis longtemps.
Prochainement je serai pendant un certain dans un environnement sans internet, mais avec une TV et l’envie de regarder des films.
Du coup j’ai préparé un setup qui fonctionne où je lis sur un disque-dur (DD) branché sur le TripMate (TM) un film téléchargé à l’avance et le diffuse sur la TV. Tout ceci sans-fil ! Le seul branchement est de DD au TM, et le boîtier à la TV.
Par ailleurs j’ai acheté un boîtier audio qui se branche sur une prise jack d’un côté, et en bluetooth (BT) de l’autre. Il fonctionne dans les deux sens (Tx/Rx) : mon cas-d’utilisation (UC) est de diffuser la TV sur une enceinte BT ; mais un autre UC est de diffuser sur son auto-radio de la musique depuis un smartphone par exemple.
Bref, je suis content de mon installation et je me suis amusé à modéliser cela avec plantuml
; cela donne le bousin en lien, et avec le code source suivant :
@startuml
database DisqueDur as DD
cloud Internet as Int
node TripMate as HT
node BoîtierTV as BTT
node BoîtierSon as BTS
node EnceinteBT as EBT
interface Bluetooth as BT
[DD] - USB: Vidéo+Audio
USB - [HT]
[HT] .. WiFi1
[HT] . [Wifi3]
Wifi3 . Int: Web\n(éventuellement)
WiFi1 .. [Smartphone]: Vidéo+Audio + Web
[Smartphone] .l.> WiFi2: Vidéo+Audio
WiFi2 .l. [BTT]
[BTT] --> HDMI: Vidéo+Audio
HDMI --> [Écran]
[Écran] -r-> Jack: Audio\n(éventuellement)
Jack -> [BTS]
[BTS] .u.> BT
BT -r-> EBT
@enduml
Quelques liens externes (non-affiliés) :
À une époque où même votre frigo veut vous parler, il est bon de voir un gadget connecté qui sait vraiment à quoi il sert. J’ai eu l’occasion de tester la caméra de surveillance intérieure Imou Rex VT Pro, et si elle n’a peut-être pas un nom sexy, mais elle coche un nombre incroyable de cases pour prix pas déconnant.
Quand on apprécie la qualité de l’Apple TV, on sait aussi reconnaître que pour une télévision secondaire sans applications intégrées, c’est clairement trop cher et trop sophistiqué. Dans mon cas, je cherchais une solution simple et rapide, capable de faire tourner Netflix, Prime Video, Disney+, mais surtout Molotov et Plex. Mission accomplie pour le STRONG Leap S3+, vendu sous la barre des 60 €, et souvent en promotion sur Amazon
Vous en avez marre d’attendre 3 plombes que votre VM Windows copie un fichier ? Vous regardez l’indicateur de progression en vous demandant si c’est votre SSD de 2 To qui a soudainement décidé de se transformer en disquette ? Alors Apple a enfin entendu vos cris de désespoir avec ASIF dans macOS Tahoe.
Pour ceux qui bossent avec des machines virtuelles, c’est le drame quotidien. Vous avez beau avoir un Mac Studio M2 Ultra avec un SSD qui crache 7 GB/s, dès que vous lancez une VM Linux ou Windows, c’est la cata. Les images disque UDSP (Sparse Image) plafonnent lamentablement à 100 MB/s, voire 0,1 GB/s quand elles sont chiffrées. Autant dire que votre SSD NVMe de compète se transforme en disque dur des années 90.
Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.
Découvrez dès maintenant notre comparatif NAS vs Cloud pour bien choisir votre solution de stockage.
Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.
De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.
À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.
Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.
L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.
Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.
En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.
L’article NAS vs Cloud : comparatif pour bien choisir une solution de stockage est apparu en premier sur Raspberry Pi France.
Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.
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Le cloud, avec des services comme Google Drive, Dropbox ou iCloud, séduit par sa facilité d’accès. Les données sont accessibles depuis n’importe quel appareil connecté à Internet, la synchronisation est automatique et les sauvegardes sont gérées par le fournisseur.
De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.
À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.
Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.
L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.
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En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.
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Stocker ses données est devenu un enjeu central, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers. Deux grandes solutions s’affrontent : le cloud public et le stockage NAS local.
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De plus, ces services proposent souvent des applications mobiles intuitives permettant de gérer ses fichiers à distance en quelques clics. Cependant, cette solution implique de confier ses fichiers à des acteurs tiers, souvent hors d’Europe, soulevant des questions de confidentialité et de souveraineté des données.
À l’inverse, un NAS permet d’héberger ses données chez soi ou dans son entreprise. De nombreux utilisateurs de Raspberry Pi ont d’ailleurs transformé leur mini-ordinateur en véritable serveur NAS grâce à des solutions comme OpenMediaVault ou Nextcloud.
Certains modèles de NAS grand public intègrent même des fonctions avancées comme la gestion de vidéosurveillance ou la synchronisation multi-sites. Cette approche offre un contrôle total sur les fichiers, des économies sur le long terme, et évite de dépendre d’abonnements récurrents. Elle demande toutefois un minimum de configuration initiale.
L’avantage du NAS réside également dans sa capacité à s’adapter à l’évolution de vos besoins en ajoutant simplement de nouveaux disques de stockage.
Pour les utilisateurs recherchant un compromis entre sécurité et simplicité, certains services européens comme pCloud proposent des solutions hybrides. Leurs serveurs conformes aux normes RGPD assurent la confidentialité tout en offrant la praticité du cloud.
En 2025, il n’existe pas de solution universelle. Le choix entre NAS et Cloud dépendra surtout de vos priorités : confidentialité maximale ou confort d’utilisation.
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