Retard de langage, troubles de l’attention, obésité… L’utilisation excessive des écrans par les enfants peut avoir des conséquences sur leur santé. Un nouveau risque vient s’ajouter à cette liste, selon une étude danoise publiée dans la revue Journal of the American Heart.
Et si un régulateur de gènes, actif chez les animaux hibernants, influençait aussi notre métabolisme ? Présent chez l’humain, il pourrait jouer un rôle clé dans des pathologies comme l’obésité, Alzheimer ou la fatigue chronique, selon une étude américaine.