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Notre génome contient de l'ADN néandertalien... mais une partie introuvable intrigue les scientifiques !

Notre génome est le savant mélange de croisements et d'évolutions qui se sont produits sur plus de deux millions d'années. Aussi peut-on y trouver des traces de lointains et anciens cousins. Parmi eux : Néandertal, dont des parts de tout son ADN composent 2 % de notre génome. Tout son ADN......

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17 juin 2024 à 21:22

De nouvelles découvertes dans notre ADN
La surprenante découverte des
Russes explique de nombreux phénomènes "paranormaux"...

Des scientifiques russes ont reprogrammé l'ADN humain à l'aide de mots et de fréquences. La génétique a enfin expliqué des phénomènes auparavant mystérieux comme la clairvoyance... l'intuition... la guérison... la lumière "surnaturelle"... l'aura... et ainsi de suite.

La découverte a été faite par des scientifiques russes qui ont osé pénétrer dans le territoire de l'ADN que les chercheurs occidentaux ne pouvaient pas explorer. Les scientifiques occidentaux ont limité leurs recherches à 10 % de notre ADN, la partie responsable de la construction des protéines. Ils considéraient les 90 % restants de l'ADN comme des "déchets" génétiques.

Au contraire, un groupe de scientifiques russes, dirigé par le biophysicien et biologiste moléculaire Pyotr Garyaev, a décidé qu'une telle quantité d'ADN ne pouvait que contenir des informations précieuses. Pour explorer les mystères de ce continent inexploré, ils se sont associés à des linguistes et des généticiens pour mener une étude inhabituelle visant à tester les effets des vibrations et des mots sur l'ADN humain.

Ils ont fait une découverte tout à fait inattendue : Les données sont stockées dans notre ADN de la même manière que dans la mémoire d'un ordinateur. De plus, il s'avère que notre code génétique utilise des règles de grammaire et de syntaxe très proches du langage humain ! Ils ont également découvert que même les structures des paires de bases de l'ADN suivent des règles de grammaire et de syntaxe. Il semble que toutes nos langues humaines ne soient que des verbalisations de notre ADN.

Modifier l'ADN avec des mots et des phrases !

La découverte la plus surprenante faite par un groupe de scientifiques est que l'ADN humain vivant peut être modifié et réarrangé par des mots et des phrases prononcés.

La clé de la modification de l'ADN par des mots et des phrases réside dans l'utilisation de la bonne fréquence. En utilisant des radiofréquences et des fréquences lumineuses modulées, les Russes ont pu influencer le métabolisme cellulaire et même corriger des défauts génétiques.

En utilisant les fréquences et le langage, le groupe a obtenu des résultats étonnants. Par exemple, ils ont réussi à transférer des schémas d'information d'un ensemble d'ADN à un autre.

Finalement, ils ont même pu reprogrammer des cellules pour un génome différent, sans scalpel, sans faire une seule coupure, ils ont transformé des embryons de grenouille en embryons de salamandre.

Les travaux des scientifiques russes expliquent scientifiquement pourquoi la suggestion et l'hypnose ont un effet si puissant sur les gens.

Notre ADN est naturellement programmé pour "répondre" aux mots. Les ésotéristes et les chefs spirituels l'ont toujours su. Toutes les formes de suggestion et d'"énergie de la pensée" sont largement basées sur ce phénomène.

L'étude menée par des scientifiques russes permet également d'expliquer pourquoi ces méthodes mystérieuses ne fonctionnent pas de la même manière pour tous ceux qui les utilisent.

Étant donné qu'une bonne "communication" avec l'ADN nécessite la bonne fréquence, les personnes ayant des processus internes développés sont plus à même de créer consciemment un canal de "communication" avec l'ADN.

Les personnes ayant une conscience développée auront besoin de moins d'appareils (pour utiliser les fréquences radio ou lumineuses).

Les scientifiques pensent qu'avec le développement de la conscience, les gens seront capables d'obtenir des résultats simplement en utilisant leurs mots et leurs pensées.

ADN et intuition : comment fonctionne l'intuition et pourquoi l'homme peut désormais l'utiliser.

Des scientifiques russes ont également découvert la base génétique de l'intuition - ou, comme on l'appelle aussi, de l'"hypercommunication".

L'hypercommunication est un terme utilisé pour décrire une situation dans laquelle une personne reçoit soudainement des informations provenant d'une source externe, et non de sa base de connaissances personnelle.

De nos jours, ce phénomène est devenu de plus en plus rare. Cela est probablement dû au fait que les trois facteurs majeurs qui inhibent l'hypercommunication (la tension, l'anxiété et l'hyperactivité cérébrale) sont devenus extrêmement courants.

Pour certains êtres vivants, comme les fourmis, l'hypercommunication est étroitement "tissée" dans leur existence quotidienne. Saviez-vous que lorsque la "reine" des fourmis est physiquement éloignée de la colonie, ses "sujets" continuent à travailler et à construire selon le plan prévu ? En revanche, si elle est tuée, tout le travail s'arrête immédiatement.

Il est évident que tant que la "Reine" des fourmis est en vie, elle a accès à la conscience des membres de sa colonie par le biais de l'hypercommunication.

Maintenant que les scientifiques russes ont découvert les fondements biologiques de l'hypercommunication, les gens pourront probablement rattraper la compétence perdue, ils pourront réapprendre à l'utiliser. Les scientifiques ont découvert que notre ADN peut créer ce que l'on appelle des "trous de ver magnétiques".

Ces "trous de ver" sont des versions miniatures des ponts qui forment les étoiles presque éteintes (on les appelle les ponts d'Einstein-Rosen).

Les ponts d'Einstein-Rosen relient différentes régions de l'univers et permettent la transmission d'informations au-delà de l'espace et du temps.

Si nous pouvions consciemment activer et gérer ces connexions, nous pourrions alors utiliser notre ADN pour transmettre et recevoir des informations du réseau de données de l'univers.

Nous pourrions également entrer en contact avec d'autres membres du réseau.

Les résultats obtenus par les scientifiques et les chercheurs russes sont si révolutionnaires qu'il est impossible d'y croire.

À l'heure actuelle, nous disposons déjà d'exemples isolés de personnes utilisant certaines méthodes, du moins dans une certaine mesure.

Par exemple, ceux qui excellent dans la guérison ou la télépathie. Selon de nombreux scientifiques qui s'intéressent activement aux recherches sur l'ADN russe, les résultats de ces études reflètent les changements importants qui se produisent sur notre Terre, dans notre Soleil et dans notre galaxie.

Ces changements affectent l'ADN humain et le développement de la conscience humaine d'une manière que nous ne pourrons comprendre pleinement que dans un avenir lointain.

(source : Russia Vedic Group, Russie).


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Les États membres de l’OMPI adoptent un nouveau traité historique sur la propriété intellectuelle relative aux ressources génétiques et aux savoirs traditionnels associés

6 juin 2024 à 15:03

Traité de l’OMPI sur la propriété intellectuelle relative aux ressources génétiques et aux savoirs traditionnels associés

https://www.wipo.int/edocs/mdocs/tk/fr/gratk_dc/gratk_dc_7.pdf

24 mai 2024
Les États membres de l’OMPI ont approuvé aujourd’hui un nouveau traité décisif sur la propriété intellectuelle relative aux ressources génétiques et aux savoirs traditionnels associés, marquant ainsi une avancée historique qui vient couronner des décennies de négociations.

Les négociations concernant ce traité ont débuté à l’OMPI en 2001, à partir d’une proposition de la Colombie datant de 1999, et les discussions ont été marquées par l’inclusion des peuples indigènes et des communautés locales.

Que prévoit le traité?

Concrètement, lorsqu’une invention revendiquée dans une demande de brevet est fondée sur des ressources génétiques, chaque partie contractante exige du déposant qu’il divulgue le pays d’origine ou la source des ressources génétiques. Lorsque l’invention revendiquée dans une demande de brevet est fondée sur des savoirs traditionnels associés à des ressources génétiques, chaque partie contractante exige du déposant qu’il divulgue le peuple autochtone ou la communauté locale, le cas échéant, qui a fourni les savoirs traditionnels.

Les ressources génétiques sont présentes, par exemple, dans les plantes médicinales, les cultures agricoles et les races animales. Si les ressources génétiques ne peuvent pas être directement protégées en tant qu’actifs de propriété intellectuelle, les inventions mises au point à partir de ces ressources peuvent être protégées, le plus souvent par un brevet.

Certaines ressources génétiques ont également un lien avec des savoirs traditionnels en raison de leur utilisation et de leur conservation par les peuples autochtones et les communautés locales, souvent de génération en génération. Ces savoirs sont parfois utilisés dans la recherche scientifique et peuvent donc contribuer à la mise au point d’une invention protégée.

extraits du traité

Le présent traité a pour objectifs :
a) de favoriser l’efficacité, la transparence et la qualité du système des brevets en ce qui concerne les ressources génétiques et les savoirs traditionnels associés aux ressources génétiques; et
b) de prévenir la délivrance de brevets indus pour des inventions qui ne sont pas nouvelles ou n’impliquent pas d’activité inventive au regard des ressources génétiques et des savoirs traditionnels associés aux ressources génétiques

défintion extraits

  • on entend par “matériel génétique” le matériel d’origine végétale, animale, microbienne ou
    autre contenant des unités fonctionnelles de l’hérédité;
  • les “ressources génétiques” sont le matériel génétique ayant une valeur effective ou
    potentielle; (n'englobe par les ressources génétiques humaines selon la convention sur la diversité biologique)
  • “source des ressources génétiques” désigne toute source auprès de laquelle le déposant a
    obtenu les ressources génétiques, par exemple un centre de recherche, une banque de gènes,
    des peuples autochtones ou des communautés locales, le Système multilatéral du Traité
    international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture ou toute
    autre collection ou tout autre dépôt de ressources génétiques ex situ;
  • on entend par “source de savoirs traditionnels associés aux ressources génétiques” toute
    source à partir de laquelle le déposant a obtenu les savoirs traditionnels associés aux
    ressources génétiques, comme la littérature scientifique, les bases de données accessibles au
    public ou encore les demandes de brevet et documents de brevet.

Extrait d'articles

art 3

3.1 Lorsque l’invention revendiquée dans une demande de brevet est fondée sur des ressources génétiques, chaque Partie contractante exige du déposant qu’il divulgue :

  • a) le pays d’origine des ressources génétiques2; ou
  • b) dans les cas où l’information visée à l’article 3.1.a) n’est pas connue du déposant,
    ou lorsque l’article 3.1.a) ne s’applique pas, la source des ressources génétiques

ARTICLE 6

SYSTÈMES D’INFORMATION
6.1 Les Parties contractantes peuvent établir des systèmes d’information (tels que des bases de données) en matière de ressources génétiques et de savoirs traditionnels associés à des ressources génétiques, en consultation, le cas échéant, avec les peuples autochtones et les communautés locales et autres parties prenantes et en tenant compte des circonstances nationales.

6.2 Les Parties contractantes devraient, tout en élaborant les sauvegardes appropriées en consultation, le cas échéant, avec les peuples autochtones et les communautés locales et autres parties prenantes, rendre ces systèmes d’information accessibles aux offices à des fins de recherche et d’examen de demandes de brevet. L’accès aux systèmes d’information peut être soumis à autorisation, le cas échéant, par les Parties contractantes ayant établi les systèmes d’information.

6.3 S’agissant de ces systèmes d’information, l’Assemblée des Parties contractantes peut créer un ou plusieurs groupes de travail techniques en vue de traiter toute question relative aux systèmes d’information, comme l’accessibilité des offices avec des sauvegardes appropriées.


Suis pas certain de bien comprendre tout ça.

Si je prend le cas de l'Ayahuasca. On peut pas breveter l'ADN de ce produit traditionnel. Mais on peut faire un brevet sur une invention dérivée de ceci, et là il y a obligation de mentionner le pays et le peuple autochtone d'origine.

Est-ce que c'est une protection supplémentaire comme c'est annoncé, ou est-ce que c'est l''officialisation de brevets sur des inventions basées sur des savoirs traditionnels ?

C'est pas clair pour moi !

Le brevet permet une mise sur le marché, la marchandisation du vivant.... c'est ça le risque.

A creuser..

https://www.rts.ch/info/monde/2024/article/accord-historique-a-l-onu-pour-mentionner-le-savoir-autochtone-dans-les-brevets-28513939.html

"Le savoir des autochtones est désormais dans le système mondial de propriété intellectuelle. Après plus de 20 ans de négociations, un traité contre la biopiraterie a été arraché vendredi entre environ 190 pays à l'ONU à Genève. La question de la protection des ressources n'y figure toutefois pas."

"Les déposants de brevets devront désormais dévoiler le pays des ressources génétiques de leur innovation et le peuple autochtone ayant relayé le savoir-faire associé. Les entreprises pharmaceutiques ou cosmétiques notamment devront afficher la provenance des plantes médicinales, les cultures agricoles ou des animaux qu'elles utilisent."


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