Si vous possédez un compteur GPS Garmin Edge, vous avez sûrement remarqué dans les paramètres de navigation plusieurs options de géolocalisation : GPS seul, GPS + GLONASS, GPS + Galileo, voire multibande ou SatIQ sur les modèles récents. Cela peut sembler technique, mais ces réglages influencent directement la précision de votre suivi et l’autonomie de votre appareil. Dans cet article, on va clarifier ce qu’est réellement le mode GLONASS et replacer son rôle dans l’écosystème GNSS actuel.
Qu’est-ce que le GLONASS ?
Le GLONASS (Global Navigation Satellite System) est le système de positionnement par satellites développé par la Russie, équivalent au GPS américain. Sa mise en place a commencé dans les années 80, il est devenu opérationnel en 1996, puis a connu un ralentissement avant d’être pleinement réactivé à partir de 2010. Aujourd’hui, il dispose d’une constellation d’environ 24 satellites actifs en orbite, offrant une couverture mondiale.
En pratique, GLONASS est l’un des nombreux systèmes GNSS (Global Navigation Satellite System) existants, au même titre que :
GPS (USA)
Galileo (Europe)
BeiDou (Chine)
QZSS (Japon)
NavIC (Inde)
Sur les appareils Garmin Edge, activer GPS + GLONASS permet donc d’augmenter le nombre de satellites visibles et exploitables, ce qui peut améliorer la fiabilité du positionnement.
Les orbites GLONASS et GPS
GLONASS vs GPS : qui est le meilleur ?
Sur le papier, GPS et GLONASS affichent des précisions comparables :
GPS : précision autour de 2 mètres dans de bonnes conditions.
GLONASS : précision autour de 2,5 à 3 mètres.
La vraie différence réside dans la configuration des orbites :
GPS répartit ses satellites sur 6 plans orbitaux.
GLONASS utilise seulement 3 plans orbitaux, ce qui donne parfois de meilleurs résultats en zones montagneuses ou à hautes latitudes.
En pratique, activer GLONASS sur un Garmin Edge est surtout utile :
en forêt dense,
en zone urbaine avec des bâtiments hauts,
en montagne ou zones encaissées.
Sur route dégagée ou terrain ouvert, le GPS seul suffit amplement.
Et Galileo dans tout ça ?
Depuis quelques années, Galileo (le système européen) est aussi intégré dans les Garmin Edge. Son grand avantage est sa précision accrue (autour du mètre) et une bonne complémentarité avec GPS.
Aujourd’hui, la plupart des cyclistes privilégient le mode GPS + Galileo plutôt que GPS + GLONASS, car Galileo offre généralement un meilleur maillage en Europe.
Multibande (Dual-Frequency) : la vraie révolution
Sur les modèles récents comme le Garmin Edge 1040 ou l’Edge 840, on trouve une option GNSS multibande (ou dual-band).
Concrètement, le GPS et Galileo émettent sur plusieurs fréquences (L1, L5 par exemple). En exploitant ces deux bandes simultanément, l’appareil corrige les erreurs causées par l’ionosphère et limite les imprécisions dues aux réflexions du signal (effet multipath en ville ou sous couvert forestier).
Avantages du multibande :
Précision proche de 30 cm à 1 mètre dans de bonnes conditions.
Suivi plus robuste dans les environnements difficiles (forêt, canyon urbain, montagnes).
Inconvénient :
Une consommation batterie beaucoup plus élevée. Sur un Garmin Edge, cela peut réduire l’autonomie de plusieurs heures par rapport au mode GPS seul.
SatIQ : le mode intelligent
Garmin a récemment introduit une fonctionnalité appelée SatIQ. Elle permet à l’appareil de basculer automatiquement entre :
GPS seul,
GPS + Galileo / GLONASS,
Multibande,
…en fonction des conditions réelles de réception.
En clair, si vous roulez sur route dégagée, l’appareil reste en mode GPS pour économiser la batterie. Dès que vous entrez en forêt ou en zone urbaine dense, il bascule sur multibande ou all-systems pour maintenir la précision.
C’est aujourd’hui la solution la plus équilibrée, combinant précision et autonomie.
Consommation batterie : quel mode choisir sur Garmin Edge ?
Voici un ordre d’idée basé sur les Edge récents (840 / 1040) :
Mode GNSS
Autonomie approximative
GPS seul
35-40 h
GPS + Galileo / GLONASS
25-30 h
Multibande (All + Dual)
20-23 h
SatIQ (Auto)
Variable, souvent 30 h+
À noter : ces chiffres varient selon l’usage (écran, capteurs connectés, navigation active, etc.).
Quel mode utiliser selon votre pratique ?
Route / terrain dégagé → GPS seul ou SatIQ pour économiser la batterie.
VTT / forêt → GPS + Galileo ou SatIQ pour un bon équilibre précision/autonomie.
Montagne / zones encaissées → Multibande pour la précision maximale (si autonomie non prioritaire).
Sorties longues → privilégier GPS seul ou SatIQ, avec éventuellement une powerbank si besoin.
Conclusion
En 2025, le mode GLONASS reste pertinent mais n’est plus le choix par défaut.
Sur les Garmin Edge, il est aujourd’hui plus intéressant d’activer GPS + Galileo en Europe.
Le multibande apporte un vrai gain de précision dans les environnements difficiles, au détriment de la batterie.
La fonction SatIQ est sans doute le meilleur compromis, puisqu’elle ajuste automatiquement le mode GNSS selon vos conditions.
En clair, gardez GLONASS comme option, mais privilégiez les modes plus modernes si vous possédez un Garmin Edge récent.
FAQ
Qu’est-ce que GLONASS sur un Garmin Edge ? GLONASS est le système de satellites russes. Activé avec GPS, il augmente le nombre de satellites disponibles et améliore la couverture en zones difficiles.
Quelle différence entre GLONASS et Galileo ? Galileo est le système européen, souvent plus précis en Europe. GLONASS est un peu moins précis mais utile dans certaines zones géographiques.
Le multibande est-il utile en vélo ? Oui, surtout en VTT, en montagne ou en ville avec des immeubles hauts. Il apporte une précision quasi-centimétrique, mais réduit l’autonomie.
Qu’est-ce que SatIQ ? C’est une technologie Garmin qui adapte automatiquement le mode GNSS pour optimiser le rapport précision/autonomie.
Quel mode choisir pour la route ? GPS seul suffit en terrain dégagé, sinon SatIQ est le plus pratique.
On adore la technologie, mais soyons clairs : parfois, les prix atteignent un niveau complètement délirant. En 2025, certaines marques nous proposent des joujoux incroyables, mais qui coûtent l’équivalent d’un bon salaire annuel (voire plus). Alors oui, c’est beau, c’est puissant, c’est luxueux… mais faut pas pousser non plus. Voici une sélection de gadgets de rêve, que je ne verrai probablement jamais autrement qu’en photo.
Une télé gigantesque de 115 pouces avec une technologie micro-RGB de dernière génération. Qualité d’image bluffante, IA intégrée, design ultra-fin… mais sérieusement, qui a un salon de 50 m² juste pour coller un écran ?
Là, on entre dans la stratosphère. Cet écran MicroLED, c’est le top du top. Netteté absolue, couleurs parfaites, taille démesurée. Le genre de télé qui coûte plus cher qu’un appartement.
Des écouteurs ? Non. Une expérience sensorielle ultime. Ce casque audiophile électrostatique avec ampli en marbre est une œuvre d’art. Mais à ce prix-là, je préfère un concert privé de mon groupe préféré.
La carte graphique la plus puissante jamais conçue. Capable de faire tourner n’importe quel jeu en 16K (oui oui). Problème : tu dois vendre un rein pour l’acheter.
Encore plus fin, encore plus puissant, et toujours pliable. Oui, c’est futuriste. Mais à plus de 2 000 €, c’est un peu comme plier ton portefeuille en deux… pour ne plus jamais le rouvrir.
Apple n’a pas encore confirmé, mais on sait déjà que si un iPhone pliable sort, il coûtera un bras. Et un bras Apple, c’est plus cher qu’un bras normal.
Le PC portable gamer le plus puissant (et le plus cher) de 2025. Carte graphique dernier cri, écran 18 pouces, design premium… C’est un avion de chasse.
Apple a eu une super idée : doubler le stockage et presque doubler le prix. Voilà donc un iPhone qui coûte deux fois plus qu’un bon ordinateur portable.
C’est la tablette Android ultime de 2025. Mais certaines éditions limitées avec accessoires premium peuvent facilement faire grimper la facture.
FAQ
Quel est le produit High-Tech le plus cher de 2025 ? Le téléviseur Samsung MICRO-LED MS1C 114″, avec un prix autour de 140 000 €, bat tous les records.
Est-ce que ça vaut la peine d’acheter ces produits ? Honnêtement ? Non. À moins d’être ultra-riche, la différence avec des modèles plus abordables ne justifie pas l’écart de prix.
Quel smartphone 2025 est le plus cher ? Probablement l’iPhone pliable, estimé à plus de 2 500 €.
Y a-t-il des alternatives plus raisonnables ? Oui. Tous ces produits ont des versions “standard” beaucoup plus accessibles. On paie ici le luxe, pas seulement la technologie.
Garmin élargit sa gamme d’accessoires pour cyclistes avec une nouvelle génération de pédales Rally intégrant un capteur de puissance. Baptisées Rally 110 et 210, elles se déclinent en plusieurs versions compatibles avec les standards de cales route et VTT. Ces pédales promettent une mesure plus fiable, une autonomie revue à la hausse et une compatibilité renforcée avec les compteurs et montres de la marque. Mais au-delà de la nouveauté produit, il est intéressant de comprendre à quoi sert vraiment un capteur de puissance, et surtout si cela a du sens pour votre pratique du vélo.
Garmin Rally 110 et 210 : présentation des nouvelles pédales
Garmin propose deux variantes principales : la Rally 110 et la Rally 210. La différence repose sur la mesure effectuée :
Rally 110 : version « single-sensing », qui mesure uniquement la puissance de la jambe gauche puis la multiplie par deux pour estimer la puissance totale.
Rally 210 : version « dual-sensing », qui mesure indépendamment la puissance de chaque jambe pour fournir un relevé plus précis et détaillé de l’équilibre gauche/droite.
Les principales caractéristiques techniques
Précision : ±1 %
Compatibilité : corps interchangeables pour s’adapter aux standards de cales (Look Keo, Shimano SPD-SL, SPD pour le VTT)
Autonomie : jusqu’à 120 heures avec pile CR1/3N ou LR44/SR44 remplaçable
Connectivité : ANT+ et Bluetooth
Fonctionnalités avancées : mesure du couple, phase de pédalage, centre de la plateforme (Cycling Dynamics Garmin)
Compatibilité montres/compteurs : Garmin Edge, Forerunner, Fenix, et autres marques compatibles ANT+
Tableau comparatif Garmin Rally 110 vs 210
Modèle
Type de mesure
Précision
Autonomie
Poids (par pédale)
Avantages
Rally 110
Simple (jambe gauche uniquement)
±1 %
120 h
~160 g
Plus abordable, facile à utiliser
Rally 210
Double (jambe gauche + droite)
±1 %
120 h
~160 g
Mesure plus fine, analyse équilibre et efficacité
Ces pédales seront / sont commercialisées sur Garmin ou sur Alltricks
Comment visualiser ses données de puissance ?
Pour exploiter pleinement un capteur de puissance, il faut évidemment pouvoir consulter et analyser les données en temps réel. Cela passe par un compteur GPS vélo ou une montre compatible. La majorité des cyclistes choisissent un compteur vélo dédié, plus lisible et offrant une autonomie plus importante.
Chez Garmin, la gamme Edge est particulièrement adaptée, avec des écrans configurables permettant d’afficher la puissance instantanée, la moyenne sur 3 ou 10 secondes, ou encore la répartition gauche/droite. Après la sortie, toutes les données sont synchronisées dans Garmin Connect ou dans d’autres plateformes comme Strava ou TrainingPeaks pour un suivi détaillé.
Si vous souhaitez choisir le modèle le plus adapté à votre pratique, je vous invite à consulter notre guide complet sur les meilleurs GPS Garmin pour le vélo.
À qui s’adressent ces pédales ?
Un capteur de puissance n’est pas forcément indispensable à tout cycliste. Pour un pratiquant occasionnel ou quelqu’un qui roule surtout pour le plaisir, un simple compteur GPS ou un cardiofréquencemètre suffit largement.
En revanche, dès que l’on cherche à structurer ses entraînements ou à mieux gérer ses efforts, la puissance devient un outil très précieux. Ces pédales sont donc particulièrement adaptées :
Aux amateurs réguliers qui souhaitent progresser méthodiquement
Aux cyclistes longue distance qui veulent mieux doser leur énergie
Aux compétiteurs qui cherchent à optimiser chaque watt
Le coût reste élevé, surtout pour la version double (210), mais c’est un investissement cohérent pour qui veut franchir un cap dans sa pratique.
Pourquoi utiliser un capteur de puissance ?
Un capteur de puissance permet d’obtenir une donnée objective, en watts, reflétant immédiatement l’effort fourni. Contrairement à la fréquence cardiaque, la puissance n’est pas influencée par la chaleur, la fatigue ou l’hydratation.
Les bénéfices concrets
Structurer ses entraînements : définir sa FTP (Functional Threshold Power), travailler dans des zones précises, mesurer les progrès de manière fiable.
Gérer son effort en course ou sortie longue : éviter de partir trop fort, économiser son énergie pour tenir la distance.
Analyser la technique de pédalage : équilibre gauche/droite, efficacité de la poussée et du tirage.
Comparer objectivement ses sorties : même parcours, mêmes watts, progression mesurable.
Le UGREEN DH4300 Plus est un NAS 4 baies orienté grand public. Avec son format cube vertical, et un accès par le dessus, il casse les codes sur ce type d’appareil. Pas de look « informatique« , il s’intègre facilement dans un bureau ou dans un salon grâce à son design sobre et premium. Il mise sur la simplicité d’usage (Logiciel UGOS Pro embarqué), la connectique essentielle et une sortie HDMI 4K si vous l’installez dans le salon. Nous présenterons ici ses spécifications, ses usages de prédilections et aussi ses limites. Nous le comparerons au UGREEN DXP4800 afin d’orienter votre choix selon les besoins en performances, réseau et évolutivité.
UGREEN en bref & positionnement du DH4300 Plus
UGREEN développe depuis 2024 la gamme NASyncintégrant avec le système d’exploitation UGOS Pro. L’objectif est de proposer un stockage réseau moderne et simple à utiliser pour les particuliers et les petites équipes. L’écosystème met l’accent sur la prise en main guidée, la sécurité de base et des applications intégrées (sauvegarde, multimédia, photos, containers, VM, …).
Dans cette gamme, le DH4300 Plus est un NAS à 4 baies adapté à un usage domestique et bureautique. Il se distingue par un format cube vertical avec accès par le dessus, pensé pour une intégration discrète sur un bureau ou dans un salon. L’approche privilégie la sobriété et la réduction de l’encombrement en profondeur. Pour autant son format 4 baies offre un potentiel de capacité absolument énorme pour un usage domestique.
Côté matériel, il s’appuie sur un processeur Rockchip ARM 8 Cores 2.4GHzRK3588, 8 Go de RAM en DDR4, 4 baies SATA, un port 2.5 GbE, une sortie HDMI 4K/60, ainsi qu’un port USB-C en façade et 2 ports USB-A à l’arrière. Le système réside sur une carte eMMC 32 Go et la capacité maximale atteint 120 To selon les disques que vous allez installez=r et le RAID que vous allez configurer.
En comparaison le DXP4800, un autre modèle de la gamme NASync, cible un public plus exigeant en performance et évolutivité : Intel N100 (x86), Mémoire DDR5 extensible, deux ports 2.5 GbE et deux emplacements M.2 NVMe. Les deux modèles partagent donc le même environnement logiciel, mais ne visent pas exactement le même profil d’utilisateur. Je détaille la comparaison un peu plus loin dans cet article.
Design & form factor : un 4 baies qui s’intègre facilement
A gauche mon UGREEN DXP 2800 et à droite le UGREEN DH4300
Le DH4300 Plus adopte un châssis vertical au format cube, avec accès par le dessus. Cette conception réduit l’encombrement en profondeur et rompt avec les tiroirs frontaux des NAS classiques. Elle favorise une intégration discrète dans un bureau ou un salon, tout en conservant un accès direct aux disques.
Le capot supérieur se retire pour atteindre les quatre baies SATA. Les dimensions sont contenues pour un 4 baies (empreinte carrée 155 × 155 mm, 215,7 mm de hauteur). Prévoyez un dégagement vertical suffisant pour ouvrir le capot si le NAS est posé sous une étagère.
L’installation des disques est on ne peut plus simple et je vous montre ici l’installation de mes 4 disques Seagate IronWolf de 4 To vendu un peu plus de 100€ par disque. Formatés en Raid 6 j’obtiendrai une volumétrie utile d’environ 10,8 TB pour stocker mes données essentiellement multimédia.
La connectique du UGREEN DH4300 Plus est répartie de façon logique :
En façade : Le bouton d’alimentation, 1 port USB-C 3.2 Gen1 pour les copies rapides vers/depuis un SSD externe ou une clé, et différents voyants.
À l’arrière : 2 ports USB-A 3.2 Gen1, 1 port HDMI 4K/60, 1 port LAN 2.5 GbE, un bouton Reset et le port pour l’alimentation.
L’ensemble privilégie la sobriété : lignes épurées, câbles regroupés à l’arrière, façade dégagée. Ce form factor convient particulièrement :
aux espaces restreints où la profondeur est limitée ;
aux environnements où l’on souhaite minimiser l’impact visuel d’un NAS ;
aux usages avec accès occasionnel aux disques, l’ouverture par le haut étant immédiate avec un dégagement suffisant.
Caractéristiques techniques du UGREEN NAS DH4300 Plus
J’ai regroupé dans ce tableau toutes les caractéristiques essentielles du DH4300 Plus
Élément
Spécifications UGREEN DH4300 Plus
Processeur
Rockchip RK3588 (ARM, 8 cœurs, jusqu’à 2,4 GHz)
Mémoire
8 Go LPDDR4X (soudée, non extensible)
Disques
4 baies SATA 3,5″ / 2,5″ (chargement par le haut)
RAID
JBOD, Basic, 0/1/5/6/10
Capacité maximale
120 To (4 × 30 To)
Stockage système
eMMC 32 Go
Réseau
1 × 2.5 GbE (RJ-45)
Vidéo
HDMI 4K/60 Hz
USB – façade
1 × USB-C 3.2 Gen1 (5 Gb/s)
USB – arrière
2 × USB-A 3.2 Gen1 (5 Gb/s)
Extension
Pas de PCIe / pas de M.2 NVMe
Alimentation
12 V / 6 A
Dimensions
155 × 155 × 215,7 mm
Système
UGOS Pro
Points à retenir
Format cube, accès par le dessus : encombrement réduit en profondeur, accès disques simple, un look qui permet de l’intégrer facilement dans votre intérieur.
ARM RK3588 : très efficace pour un usage familial, sauvegardes, streaming local 4K via HDMI.
RAM soudée et absence de M.2 : pas d’extension mémoire ni de cache NVMe mais il est déjà suffisamment équipé en mémoire pour faire ce pour quoi il est prévu : Le partage Cloud massif et le Multimédia.
Un seul port 2.5 GbE : Suffisant pour un foyer, mais pas d’agrégation de liens.
USB correctement placés : USB-C en façade, deux USB-A à l’arrière pour les périphériques et SSD externes.
Le Logiciel UGOS Pro
UGOS Pro est le système livré avec le UGREEN DH4300 Plus mais aussi tous les NAS de chez UGREEN. L’interface est claire, accessible depuis un navigateur, les applications mobiles iOS/Android et même un client desktop pour votre ordinateur. C’est donc selon vos préférences et vos besoins. La prise en main est guidée par des assistants, ce qui raccourcit la phase d’installation et votre phase d’apprentissage est optimale. On le sait … le temps compte
Accès et partage
Accès local et distant : connexion sécurisée en LAN et mise en place rapide de l’accès à distance sans ouverture de ports complexe.
Partage de fichiers : protocoles standards (SMB, NFS, FTP/S, WebDAV) et liens de partage avec mot de passe et durée de validité.
Gestion des comptes : utilisateurs, groupes, quotas et droits fins par dossier.
Sauvegardes
PC/Mac : tâches de sauvegarde planifiées vers le NAS (dossiers utilisateurs, bibliothèques, projets).
Smartphones : sauvegarde automatique des photos/vidéos depuis l’application mobile.
Réplication : sauvegardes NAS-vers-NAS et vers stockages externes USB ; export/restauration simples.
Sécurité
Authentification à deux facteurs (2FA), pare-feu et antivirus intégrés.
Chiffrement des partages ou des dossiers sensibles selon les besoins.
Mises à jour du système et des applications depuis un centre de mise à jour dédié.
Multimédia et IA
Photos : indexation et recherche assistées par IA (visages, scènes, objets), albums intelligents, déduplication.
Vidéo/Musique : serveurs multimédias et prise en charge de la sortie HDMI 4K/60 pour un affichage local sur TV/écran.
Conteneurs et virtualisation
Docker : disponible sur DH4300 Plus avec images compatibles ARM64.
Machines virtuelles : non recommandées sur ce modèle ARM ; cette fonction vise plutôt les modèles x86 de la gamme.
Administration
Tableau de bord clair (CPU, RAM, réseau, volumes).
Notifications par e-mail/app en cas d’alerte (disque défaillant, volume plein, échec de sauvegarde).
Journalisation des accès et des actions d’administration.
Performances & cas d’usage réels
Débits réseau en pratique
Avec un port 2.5 GbE, le plafond théorique atteint 312,5 Mo/s. En conditions réelles (RAID adapté, disques sains, jumbo frames éventuels), on vise couramment 250–300 Mo/s en lecture/écriture sur un partage SMB. Un disque unique limitera plutôt autour de 180–220 Mo/s ; le RAID 0/5/10 aide à maintenir des pointes plus élevées et une meilleure tenue en charges mixtes.
Stockage et RAID
Les quatre baies SATA autorisent le RAID 1/5/6/10 selon l’équilibre recherché entre sécurité, capacité et performances.
RAID 1 : Si vous n’avez que 2 disques ou que vous souhaitez faire 2 grappes RAID 1 distinctes entres lesquelles vous mettez par exemple dans la sauvegarde.
RAID 5 : Bon compromis pour un foyer ou un petit bureau pour disposer d’une grande capacité et d’un minimum de sécurité.
RAID 6 : Tolérance à deux pannes disques, au prix d’un surcoût de capacité.
RAID 10 : Excellent en I/O aléatoires, capacité divisée par deux.
La capacité max de 120 To avec des disques de 30 To couvre déjà des besoins importants en photo/vidéo et sauvegardes.
Multimédia et HDMI
Le UGREEN NAS DH4300 Plus permet de regarder vos films selon deux scénarios distincts :
Lecture locale en HDMI : le NAS est relié en HDMI 4K/60 à un écran. Idéal pour un usage salon/bureau sans dépendre du réseau. Mais je ne trouve pas l’expérience utilisateur optimale sur ce type de montage.
Lecture en réseau (Plex/Jellyfin/DLNA) : le NAS sert les fichiers à des clients (TV connectée, Apple TV, Shield, applis). Ici, trois cas existent :
Direct Play : le client lit le fichier tel quel (meilleure qualité, charge CPU minimale).
Direct Stream : remux du conteneur sans réencoder la vidéo.
Transcodage : réencodage à la volée (coûteux en CPU, à éviter sur de la 4K).
A titre personnel j’utilise le DLNA, c’est le moyen le plus basique et le plus simple pour regarder vos films et séries sur votre TV connectée, et ça fonctionne parfaitement avec ce NAS UGREEN DH4300 !
Bonnes pratiques pour éviter le transcodage
Encoder en H.264/H.265 avec pistes audio AAC/E-AC3, conteneur MKV/MP4.
Privilégier des sous-titres texte (SRT).
En réseau, câbler en Ethernet quand c’est possible ; en Wi-Fi, viser du Wi-Fi 6 stable.
Capacité du DH4300 Plus
En HDMI, lecture fluide de fichiers compatibles.
En réseau, le 2.5 GbE permet plusieurs flux en Direct Play si le stockage suit (RAID adapté).
Les transcodages 4K simultanés restent délicats ; pour ces cas, un modèle x86 comme le DXP4800 est plus indiqué.
Sauvegardes et synchronisation
Pour les PC/Mac, la planification de tâches vers le NAS assure une protection continue des dossiers critiques. Côté smartphones, la sauvegarde photo/vidéo automatique allège le stockage local. Les copies externes via USB-C en façade simplifient l’ingest ponctuel depuis un SSD ou une clé.
Petites équipes et usage quotidien
Pour un foyer ou une équipe de 2–5 personnes, le 2.5 GbE fournit des transferts confortables, y compris sur de gros projets. Sur des charges plus intensives (montage multi-postes, nombreux accès concurrents, bases de données), la limite du lien unique peut se faire sentir. Dans ce cas, on envisagera des profils matériels disposant de deux ports réseau et de cache NVMe (voir comparaison plus loin).
DH4300 Plus vs DXP4800 : lequel choisir ?
Je vous propose le comparatif entre 2 modèles de NAS à 4 baies proposés par UGREEN, le DH et le DXP
Tableau comparatif
Critère
UGREEN DH4300 Plus
UGREEN DXP4800
Format
Cube vertical, accès par le dessus (top-loading)
Boîtier desktop à tiroirs frontaux
Baies SATA
4 (3,5″/2,5″)
4 (3,5″/2,5″)
Processeur
Rockchip RK3588 (ARM, 8 cœurs)
Intel N100 (x86, 4 cœurs/4 threads)
Mémoire
8 Go LPDDR4X (non extensible)
8 Go DDR5, extensible jusqu’à 16 Go
Réseau
1 × 2.5 GbE
2 × 2.5 GbE
Emplacements M.2 NVMe
—
2 × M.2 NVMe (cache/accélération)
Sortie vidéo
HDMI 4K/60
HDMI 4K/60
Ports USB (total)**
3 (USB-C + 2 × USB-A)
3 (USB-C + 2 × USB-A) + lecteur SD 3.0
Stockage système
eMMC 32 Go
eMMC 32 Go
RAID
JBOD, Basic, 0/1/5/6/10
JBOD, Basic, 0/1/5/6/10
Capacité maximale
120 To (4 × 30 To)
136 To (4 × 30 To + 2 × 8 To)
Dimensions (L × l × H)
155 × 155 × 215,7 mm
257 × 178 × 178 mm
Profil type
Foyer / TPE, simplicité, design discret
Utilisateurs exigeants, perfs & évolutivité
Remarques :
Le DXP4800 offre un double réseau 2.5 GbE (agrégation possible), de la RAM DDR5 extensible et 2 emplacements M.2 NVMe pour du cache SSD.
Le DH4300 Plus mise sur la simplicité et un format cube plus discret ; il ne propose ni NVMe interne ni extension de RAM.
Recommandations par profil
Choisissez le DH4300 Plus si vous cherchez un NAS 4 baies abordable, discret, pour des sauvegardes multi-postes, du partage de fichiers, des photos avec IA et de la lecture locale 4K via HDMI. Le port unique 2.5 GbE suffit pour un foyer ou une petite équipe, sans besoins d’agrégation ni de cache NVMe.
Préférez le DXP4800 si vous attendez plus de débit agrégé (2 × 2.5 GbE), une réactivité accrue grâce au cache NVMe, et une évolutivité mémoire (DDR5 jusqu’à 16 Go) pour Docker intensif, petites VM, et des accès concurrents plus fréquents. C’est aussi le meilleur choix si vous anticipez des transcodages plus réguliers côté serveur.
Et si un NAS à 2 baies suffit ?
Si vos besoins en termes de volumétrie restent modestes (sauvegarde de postes, bibliothèque photos/vidéos familiale, partage bureautique), un NAS 2 baies peut être plus pertinent / suffisant. Dans l’écosystème UGREEN, le DXP2800 constitue une alternative cohérente en 2 baies pour un usage domestique ou un petit bureau. J’ai consacré toute une série d’article sur le DXP2800, de la présentation jusqu’à son installation pas à pas.
À noter toutefois : si vous anticipez une croissance rapide (vidéos 4K nombreuses, sauvegardes de plusieurs machines, accès simultanés plus fréquents), le passage direct à quatre baies reste souvent plus durable, grâce à des options de RAID plus flexibles et une capacité évolutive sans remplacement immédiat des disques existants. Vous pourriez ainsi démarrer avec seulement 2 disques en RAID1 que vous feriez évoluer par la suite en ajoutant 2 disques complémentaires. Pour un besoin de performance important je vous recommanderai plutôt le DXP4800 de chez UGREEN, il a les mêmes performance que le DXP2800 mais avec 4 baies. Si vous voulez faire de la virtualisation en container ou en VM pour publier différents services sur votre NAS optez même pour le DXP4800 Plus qui est exceptionnel pour le prix.
Mise en route du DH4300 Plus
Pour conclure cet article je vous propose un guide de mise en route rapide.
Préparation
Choisir des disques NAS (3,5″ de préférence).
Prévoir un dégagement vertical pour l’ouverture du capot.
Placer le NAS dans un endroit ventilé, stable et peu poussiéreux.
Idéalement, utiliser un onduleur pour éviter les coupures brutales.
Installation pas à pas
Ouvrir le capot et insérer les disques dans les quatre baies.
Raccorder l’Ethernet 2.5 GbE au switch/routeur, puis l’alimentation.
Mise en route
Démarrer votre NAS et laissez le s’initialiser pendant 1 bonne minute.
Depuis votre ordinateur ou votre smartphone rendez-vous sur la page https://find.ugnas.com/. Cela va envoyer un broadcast sur votre réseau local pour détecter la présence de votre NAS.
Ici mes 2 NAS DX2800 et DH4300 Plus sont détectés.
Nommez votre NAS et acceptez à minima les accords d’utilisation.
Configurer votre compte administrateur
Lors de cette étape vous recevez un code de confirmation par mail.
Initialisation du NAS, cette étape dure une dizaine de minutes environ, même si le temps affiché au départ est supérieur. Patience … pendant l’initialisation de UGOS PRO prenez le temps de découvrir les fonctionnalités affichées. Une fois terminé le message de bienvenue s’affiche et
La configuration du stockage est la première étape à effectuer avant de pouvoir utiliser votre NAS. Rendez vous dans le menu Stockage, cliquez sur Suivant puis Créer.
Création du Pool de Stockage. Pour cela sélectionnez vos disques. Si vous en avez 4 je vous propose de créer une grappe RAID 5 de 4 disques afin de pouvoir perdre 1 disque sans risque de perte de données. Si vous en avez que 2 disques, une grappe RAID 1 de 2 disques en miroir vous permettant également de perdre 1 disque sans risque de perte de données. Dans mon exemple je clique sur mes 4 disques et je sélectionne RAID 5. Cliquez ensuite sur Suivant.
Création d’un Volume de stockage dans le Pool de Stockage précédemment créé. On peut créer plusieurs volumes dans un pool, mais ils partageront les mêmes disques. Le volume a vocation à contenir vos partages de fichiers, donc sauf cas d’usage spécifique je vous encourage à ne créer qu’un seul volume dans votre pool et de sélectionner le système de fichiers ext4. Cet aspect est transparent pour l’utilisateur finale du NAS. Laissez vous guider par l’assistant et renseignez votre mot de passe pour procéder à la création du volume.
Le volume est enfin en cours de création et de formatage. Rassurez-vous votre volume sera rapidement utilisable mais un processus d’optimisation va durer plusieurs heures en arrière plan.
Conclusion
Dans cet article, je vous ai également présenté le UGREEN DH4300 Plus sous un angle très concret : son design vertical pensé pour s’intégrer facilement, ses caractéristiques matérielles (RK3588, 8 Go de RAM, 4 baies SATA, 2.5 GbE, HDMI 4K/60, USB-C en façade), ses cas d’usage privilégiés (sauvegarde multi-postes, partage de fichiers, multimédia en Direct Play) et ses limites assumées (RAM non extensible, pas de NVMe, un seul port 2.5 GbE). On a aussi fait le point sur UGOS Pro et son approche guidée qui, soyons honnêtes, simplifie bien la vie pour un premier NAS à la maison.
Je l’ai comparé au UGREEN DXP4800 pour clarifier le positionnement : même écosystème logiciel, mais une plate-forme x86 plus évolutive (double 2.5 GbE, DDR5 extensible, cache NVMe) pour ceux qui visent du débit agrégé, des accès concurrents plus denses, ou des besoins de transcodage côté serveur.
L’idée est simple :
DH4300 Plus si vous privilégiez la sobriété, la simplicité et un usage familial/bureautique, il est proposé sur Amazon à un prix très attractif de 365€ actuellement sans les disques.
DXP4800 si vous cherchez des marges de manœuvre en perfs et en évolutivité mais à un prix plus important d’environ 467€.
Côté pratique, on a installé les disques et configuré le stockage pas à pas. Jusqu’à la création du volume. Je me suis arrêté volontairement là — pas de création de partages ni d’autres services — pour garder un chemin clair et reproductible.
Vous pouvez désormais déployer vos partages, installer les apps multimédias (Musique, Théâtre, Photos), activer les sauvegardes PC/Mac et mobiles, puis affiner avec l’accès distant, la gestion des utilisateurs et, si ça vous tente, quelques conteneurs Docker compatibles ARM. Je décris tout cela dans mon article 5 usages pratiques pour profiter au maximum de votre NAS UGREEN !
Si vous avez des questions spécifiques (RAID 5 vs 6, DLNA vs Plex, cache ou pas, etc.), posez-les en commentaire ; je réponds et j’ajoute des sections si besoin. Bref, vous avez maintenant une base solide avec le DH4300 Plus… on passe à la mise en production !
On pensait que l’OLED était le graal des téléviseurs, mais une nouvelle technologie arrive pour rebattre les cartes : le RGB Mini LED. Dévoilée par Hisense lors des salons CES et IFA, cette innovation promet une luminosité record, une colorimétrie jamais vue et des téléviseurs plus fins et plus économes en énergie. De quoi changer durablement le marché des écrans dès 2025.
Qu’est-ce que le rétroéclairage LCD et pourquoi le Mini LED a marqué une évolution ?
Contrairement aux téléviseurs OLED qui produisent leur propre lumière pixel par pixel, les écrans LCD nécessitent un rétroéclairage. Sans lui, la dalle LCD resterait noire.
Le rétroéclairage LCD classique
Les téléviseurs LCD ne produisent pas de lumière par eux-mêmes, contrairement aux OLED. Ils ont donc besoin d’un rétroéclairage placé derrière ou sur les côtés de la dalle pour afficher une image. Ce rétroéclairage est composé de LEDs blanches qui diffusent une lumière uniforme à travers plusieurs filtres pour créer les couleurs visibles.
Deux grandes méthodes de rétroéclairage
Edge LED (LED sur les bords) : les LEDs sont placées uniquement sur les côtés de l’écran. La lumière est ensuite diffusée sur toute la dalle à l’aide de plaques optiques.
Avantage : fabrication moins coûteuse, écrans plus fins.
Inconvénient : luminosité moins homogène, fuites de lumière fréquentes.
Direct LED (ou Direct Dimming) : les LEDs sont installées directement derrière la dalle LCD.
Avantage : meilleure répartition de la lumière, gestion possible par zones.
Inconvénient : téléviseurs plus épais, noirs encore imparfaits.
Le principe du rétroéclairage par zones
Avec le Direct LED, les constructeurs ont introduit le local dimming, c’est-à-dire un rétroéclairage par zones indépendantes. Cela permet d’éteindre une partie des LEDs dans les zones sombres de l’image et de laisser les autres allumées dans les zones lumineuses. Résultat : un contraste plus élevé qu’avec un rétroéclairage uniforme. Mais comme les zones restent relativement larges, on observe souvent un phénomène de halo lumineux (blooming) autour des objets clairs sur fond noir.
Limites de ce système
Les noirs ne sont jamais totalement profonds, car une LED allumée derrière la dalle laisse passer un peu de lumière.
Les angles de vision sont limités : les couleurs et la luminosité se dégradent lorsqu’on n’est pas en face de l’écran.
La colorimétrie dépend fortement de filtres et de films optiques qui transforment la lumière blanche en rouge, vert et bleu, ce qui entraîne une perte de précision et de luminosité.
En résumé, le rétroéclairage LCD classique a permis la démocratisation des grands téléviseurs abordables, mais il reste limité dès qu’il s’agit de rivaliser avec des technologies plus avancées comme l’OLED ou, plus récemment, le Mini LED.
L’arrivée du Mini LED (2018)
En 2018, le Mini LED a marqué une véritable rupture dans le domaine du rétroéclairage LCD. Il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie d’écran à proprement parler, mais d’une évolution majeure du rétroéclairage, qui améliore considérablement les performances des téléviseurs LCD traditionnels.
Des LEDs beaucoup plus petites et plus nombreuses
La principale différence vient de la taille des diodes. Les Mini LEDs mesurent entre 100 et 200 micromètres, soit bien plus petites que les LEDs classiques. Cette miniaturisation permet d’en placer des milliers derrière une dalle, contre seulement quelques centaines auparavant. Résultat : le téléviseur peut contrôler la lumière de manière beaucoup plus fine et précise.
Une gestion plus granulaire des zones de rétroéclairage
Avec les anciennes générations de LED, le rétroéclairage fonctionnait par grandes zones, parfois limitées à quelques dizaines. Cela entraînait souvent un problème de blooming (halo lumineux autour des objets clairs sur fond sombre). Avec le Mini LED, on parle désormais de plusieurs centaines, voire milliers de zones de contrôle. Chaque zone peut être allumée ou éteinte indépendamment, ce qui améliore nettement la qualité d’image, notamment dans les scènes sombres ou à fort contraste.
Des noirs plus profonds et un contraste renforcé
Grâce à ce contrôle par zones plus précis, les téléviseurs Mini LED offrent des noirs plus profonds que les LCD classiques. Bien sûr, ils ne rivalisent pas encore totalement avec l’OLED (où chaque pixel peut s’éteindre individuellement), mais ils s’en rapprochent nettement tout en conservant une luminosité supérieure. Le contraste global est donc beaucoup plus élevé, un point essentiel pour profiter des contenus HDR.
Une meilleure compatibilité avec le HDR
Le HDR (High Dynamic Range) repose sur deux éléments : un fort contraste et une luminosité maximale élevée. Les Mini LEDs, plus nombreuses et plus puissantes, permettent d’atteindre des pics lumineux impressionnants (jusqu’à 2000 nits sur certains modèles). Associé à un meilleur contrôle des zones sombres, cela rend les images beaucoup plus réalistes, avec des détails visibles aussi bien dans les zones claires que dans les zones d’ombre.
Mais une limite persistante : la lumière bleue initiale
Malgré tous ces progrès, les Mini LED conservent une caractéristique fondamentale : elles émettent une lumière initialement bleue. Pour obtenir une image en couleur, cette lumière doit passer par des filtres et des quantum dots (nanocristaux qui transforment la lumière bleue en rouge ou en vert). Ce processus fonctionne bien, mais il absorbe une partie de la luminosité et limite la fidélité des couleurs, ce qui laisse encore une marge d’amélioration.
Comment le RGB Mini LED change la donne
Le RGB Mini LED pousse encore plus loin le principe en intégrant directement la gestion des couleurs dans le rétroéclairage.
1. Gestion directe des couleurs
Chaque diode émet déjà du Rouge, Vert ou Bleu, supprimant l’étape de conversion via quantum dots.
Résultat : un rétroéclairage qui « prépare » déjà l’image avant même d’arriver à la dalle.
2. Filtres allégés
Plus besoin de filtres lourds et coûteux.
Seul un filtre léger subsiste pour sublimer les couleurs, sans bloquer la lumière.
3. Colorimétrie inégalée
Atteint 100 % de l’espace colorimétrique BT2020.
Couleurs naturelles, vives et fidèles, jamais vues sur LCD.
Performances visuelles : des chiffres qui impressionnent
Le RGB Mini LED ne se contente pas d’améliorer la qualité d’image, il pulvérise certains records techniques.
Caractéristique
Mini LED classique
RGB Mini LED
Gestion des couleurs
Lumière bleue + quantum dots
Directement RGB
Pic de luminosité
≈ 4000 nits
Jusqu’à 8000 nits
Espace colorimétrique
DCI-P3 étendu
100 % BT2020
Consommation d’énergie
Standard
-40 %
Lumière bleue
Normale
-42 %
Épaisseur TV
Standard
Plus fin
Luminosité hors norme
Jusqu’à 8000 nits en pic de luminosité, soit près du double du Mini LED classique.
De quoi gérer sans effort le HDR et les environnements très lumineux.
Contraste renforcé
Noirs plus profonds grâce à un contrôle ultra-précis des zones de rétroéclairage.
Rapport de contraste encore plus élevé que sur le Mini LED.
Plus de confort visuel
42 % de lumière bleue en moins, limitant la fatigue oculaire.
Consommation énergétique réduite de 40 %, un atout écologique et économique.
Avantages pratiques
La technologie RGB Mini LED n’est pas qu’une prouesse technique : elle apporte des bénéfices concrets pour les utilisateurs au quotidien. Voici les principaux atouts :
Une qualité d’image jamais vue sur LCD
Le RGB Mini LED redéfinit ce qu’un téléviseur LCD peut offrir.
Les couleurs sont plus riches, plus naturelles et mieux équilibrées, grâce à la gestion directe des diodes rouges, vertes et bleues.
L’espace colorimétrique atteint 100 % du BT2020, un standard que même l’OLED peine à couvrir complètement.
L’image gagne en profondeur et en réalisme, ce qui rapproche fortement le LCD des performances visuelles de l’OLED, tout en conservant les points forts propres aux technologies à rétroéclairage.
Une luminosité extrême pour le HDR et Dolby Vision 2
L’un des points forts du RGB Mini LED est sa luminosité record : jusqu’à 8000 nits en pic, soit quasiment le double de ce que propose le Mini LED classique.
Cette puissance lumineuse est idéale pour les contenus HDR (High Dynamic Range), où les zones claires et sombres doivent coexister sans perte de détails.
Dolby a même choisi cette technologie pour son Dolby Vision 2, qui promet d’aller au-delà des normes HDR actuelles. En pratique, cela veut dire que les scènes de films très contrastées (feu d’artifice, couchers de soleil, sports en plein jour) seront plus réalistes et éclatantes.
Moins énergivore et plus respectueux de la vue
Le RGB Mini LED n’est pas seulement plus puissant, il est aussi plus efficace :
La consommation d’énergie est réduite d’environ 40 % par rapport à un Mini LED classique.
L’émission de lumière bleue est réduite de 42 %, ce qui limite la fatigue oculaire, un point crucial pour ceux qui regardent la télévision plusieurs heures par jour. Cela en fait une technologie à la fois plus écologique et plus confortable pour l’utilisateur.
Des téléviseurs plus fins et élégants
En supprimant une partie des filtres lourds nécessaires sur les anciens systèmes, le RGB Mini LED permet de concevoir des téléviseurs plus fins et mieux « designés ».
Moins de couches optiques signifie une épaisseur réduite.
Les constructeurs peuvent ainsi proposer des modèles plus élégants, adaptés à des intérieurs modernes, sans compromis sur la qualité d’image.
Cela rapproche aussi ces TV du style minimaliste des OLED, tout en gardant les avantages du LCD.
Enjeux commerciaux et stratégie de Hisense
Avec le RGB Mini LED, Hisense s’impose comme le premier constructeur à miser sérieusement sur cette technologie. La marque a profité du CES de Las Vegas puis de l’IFA de Berlin 2025 pour présenter ses premiers modèles et démontrer concrètement le potentiel de ce nouveau type de rétroéclairage.
Le calendrier de lancement est désormais clair. Le très grand modèle Hisense 116 UX (116 pouces) est déjà disponible depuis août 2025, mais il s’agit d’un téléviseur vitrine, vendu autour de 30 000 €, destiné à marquer les esprits plus qu’à inonder le marché.
Les modèles plus accessibles, en 55, 65, 75, 85 et 100 pouces, arriveront eux en 2026, avec des tarifs annoncés comme étant comparables à ceux des téléviseurs OLED actuels. Cela positionnera le RGB Mini LED comme une alternative premium mais compétitive, capable de séduire un public large et pas seulement une élite technophile.
L’autre atout stratégique, c’est l’association avec Dolby Vision 2, qui profitera pleinement de la luminosité extrême et de la colorimétrie étendue du RGB Mini LED. Dolby voit dans cette technologie un support idéal pour dépasser les standards HDR actuels, ce qui confère aux modèles Hisense une crédibilité renforcée auprès des amateurs d’image haut de gamme.
FAQ sur la technologie RGB Mini LED
Le RGB Mini LED va-t-il remplacer l’OLED ?
Pas forcément. L’OLED garde l’avantage des noirs parfaits pixel par pixel, mais le RGB Mini LED offre une luminosité bien supérieure et un coût plus accessible.
Quelle est la différence avec le Mini LED classique ?
Le Mini LED classique utilise des diodes bleues et des quantum dots, tandis que le RGB Mini LED gère directement les couleurs au niveau du rétroéclairage.
À partir de quand pourra-t-on acheter des TV RGB Mini LED ?
Hisense prévoit une commercialisation dès 2025 en Europe.
Les téléviseurs seront-ils beaucoup plus chers ?
Non. Les grands modèles serviront de vitrine technologique, mais les tailles courantes devraient rester au prix des OLED actuels.
Le RGB Mini LED consomme-t-il plus d’énergie ?
Au contraire : la suppression des filtres lourds réduit la consommation d’environ 40 %.
Les lancers avec effet (spin) sont considérés comme l’un des éléments les plus difficiles du baseball. La balle peut changer de trajectoire de 30 à 40 centimètres, ce qui la rend pratiquement imprévisible pour le frappeur. À titre de comparaison, la réaction du joueur doit se faire en 0,4 seconde, soit le temps que met la balle pour voler du lanceur au batteur. Les amateurs de précision technique consultent les sites de paris sportifs pour capter les duels lanceur-batteur.
Les lanceurs de baseball passent des années à maîtriser le contrôle de la rotation. Par exemple, une balle avec effet peut atteindre 2 500 tours par minute, ce qui crée un changement brusque de trajectoire. Les lancers comme les sliders ou les change-ups rendent les sites comme 1xBet de paris sportifs très utiles pour ajuster les mises en direct.
L’influence de la rotation sur le jeu
Le contrôle de la rotation est directement lié à l’efficacité des lancers. Plus le nombre de tours par minute est élevé, plus il est difficile de prédire la trajectoire du ballon. Chaque lancer nécessite des calculs précis et une technique parfaitement maîtrisée. Miser sur un strikeout devient plus simple grâce aux paris sportifs en direct aujourd’hui, avec des cotes qui évoluent à chaque pitch.
Voici quelques exemples chiffrés montrant l’effet de la rotation sur le service :
Une balle rapide avec une rotation de 2 200 tours par minute augmente de 15 % les chances de raté du frappeur.
Une balle courbe à 2500 tr/min modifie l’angle de vol de 25 à 30 cm.
Une balle glissante à 2300 tr/min réduit l’efficacité du frappeur à 0,180.
Dès que le lanceur sort ses lancers spéciaux, les paris sportifs 1xBet en direct aujourd’hui deviennent très intéressants à suivre en live.
La valeur stratégique des lanceurs d’élite
Les lancers avec rotation constituent toute une stratégie de jeu. Les équipes élaborent des tactiques en fonction de lanceurs spécifiques, capables de changer de style et de maintenir l’adversaire en tension. Après avoir misé sur un duel de lanceurs, certains choisissent un pari foot en ligne pour varier leur soirée.
Cette maîtrise transforme chaque duel en un jeu d’échecs à grande vitesse, où chaque lancer peut piéger l’adversaire ou ouvrir une brèche. Les équipes investissent donc massivement non seulement dans la puissance, mais aussi dans l’intelligence tactique de leurs lanceurs. Si vous suivez le baseball mais aimez aussi le ballon rond, profitez-en pour tenter un pari foot 1xBet en ligne entre matchs de baseball.
Depuis plus de dix ans, UGREEN s’impose comme une référence en matière d’accessoires technologiques. Aujourd’hui, la marque revient avec une innovation majeure : la série MagFlow, parmi les toutes premières solutions de recharge magnétique Qi2 certifiées 25W.
Le lancement officiel de toute la gamme MagFlow a eu lieu le 5 septembre à 10h à l’occasion de l’IFA 2025
Mais concrètement, qu’est-ce que ça change pour vous ? Pourquoi ces nouveaux produits pourraient transformer vos habitudes de recharge, que ce soit en voyage, au bureau ou à la maison ? Prenons le temps de plonger dans les usages et de voir ce que ces trois nouveautés peuvent vous apporter au quotidien.
MagFlow : quand magnétique rime avec simplicité
Commençons par le concept même de MagFlow. Le nom combine Magnetic et Flow, l’idée d’une énergie fluide, sans contrainte, qui s’adapte à vos gestes. Plus besoin de tâtonner pour bien poser le smartphone sur un pad : le magnétisme prend le relais, garantissant un alignement parfait. Résultat : la recharge est plus rapide, plus stable, et surtout… sans effort.
Ce choix n’est pas anodin : Apple a introduit le magnétisme MagSafe dès l’iPhone 12. Aujourd’hui, avec la norme Qi2, cette approche devient un standard reconnu par l’industrie. Concrètement, cela signifie que les iPhone 12 à 16 se fixent naturellement sur les chargeurs MagFlow, exactement comme ils le feraient avec un chargeur Apple MagSafe, mais en bénéficiant d’une puissance plus élevée (jusqu’à 25 W).
Avec Qi2 25 W, on passe un cap. Là où le Qi standard plafonnait souvent à 7,5 ou 15 W, cette nouvelle génération apporte une puissance bien supérieure. Concrètement, un iPhone 16 Pro Max atteint 50 % en environ 30 minutes. Vous posez, ça se clipse magnétiquement, et la batterie grimpe sans que vous ayez à réfléchir.
Côté Android, la recharge Qi reste parfaitement supportée, mais le magnétisme ne fonctionne pas toujours nativement : il faut, dans ce cas, utiliser une coque ou un anneau magnétique compatible. Ainsi, un Galaxy ou un Pixel se rechargera bien en Qi, mais sans la fixation magnétique d’un iPhone.
Maintenant, voyons comment UGREEN a décliné cette technologie en trois produits pensés pour vos différents moments de vie.
En voyage ou en déplacement : La batterie externe magnétique MagFlow 10 000 mAh
Imaginez-vous à l’aéroport, en train ou en plein déplacement professionnel. Votre iPhone clignote à 15 %. Habituellement, vous cherchez un câble, vous vous battez avec un chargeur USB bancal, et vous devez rester planté à côté d’une prise murale. Avec la batterie externe magnétique MagFlow 10 000 mAh, c’est une autre histoire.
Capacité de 10 000 mAh : assez pour recharger complètement votre iPhone 16 Pro Max et encore garder de la réserve.
Recharge sans fil magnétique 25 W : votre smartphone se fixe solidement avec une force magnétique de 9N. Pas besoin de câble, pas de mauvaise surprise, ça tient même si vous utilisez le téléphone en marchant.
Câble USB-C intégré (30 W) : il sert à la fois de sangle de transport et de câble de recharge rapide. En deux heures, la powerbank se recharge entièrement.
Compatibilité universelle : que vous soyez Apple ou Android, la batterie gère aussi bien le PD que le Qi. Vous pouvez même charger jusqu’à trois appareils simultanément (sans fil + USB-C).
Écran digital intégré : pour voir en un clin d’œil le niveau de batterie restant.
Dans la vraie vie
Vous êtes en déplacement et vous devez participer à une visioconférence Zoom. Pas de panique : fixez la batterie MagFlow derrière votre iPhone et continuez à discuter en toute fluidité. Elle est compacte (110 × 70 mm) et légère (254 g), ce qui la rend parfaite pour un sac de voyage.
Au bureau : le chargeur magnétique MagFlow 2-en-1
Arrivé au bureau, vous enchaînez les mails, les réunions Teams et la gestion de votre agenda. Votre iPhone trône sur le bureau, mais vous devez le garder accessible pour consulter vos notifications. C’est exactement pour ce scénario que le chargeur sans fil magnétique MagFlow 2-en-1 a été conçu.
Recharge rapide 25 W pour iPhone 16, et jusqu’à 15 W pour les modèles 12 à 15.
AirPods à 5 W + USB-C 5 W pour Apple Watch : vous rechargez simultanément deux accessoires en plus de l’iPhone.
Design pliable et portable : il se replie en un petit cube de 6 cm, parfait pour le glisser dans un sac.
Support multi-angle : 360° horizontal, 70° vertical. Vous pouvez garder l’iPhone en mode portrait pour lire vos mails, ou en paysage pour une visio.
StandBy mode Apple : compatible avec iOS 17 et 18, l’iPhone devient une horloge, une station météo ou un cadre photo intelligent quand il est posé en charge.
Dans la vraie vie
Vous êtes en open space, casque sur les oreilles, en train de coder ou de rédiger un rapport. Votre iPhone est posé sur le dock, légèrement incliné. Vous recevez un appel FaceTime : inutile de le décrocher de son support, il est déjà bien orienté pour discuter. Pendant ce temps, vos AirPods reprennent de l’énergie sur la base. Tout est à sa place, sans câble qui traîne sur le bureau.
À la maison : la station de charge magnétique MagFlow 3-en-1
Le soir, vous rentrez chez vous. Votre iPhone est encore à 30 %, vos AirPods sont quasiment à plat, et votre Apple Watch vous signale une recharge nécessaire. Plutôt que de multiplier les câbles et les chargeurs dispersés, la station MagFlow 3-en-1 prend tout en charge sur une seule base.
Trois appareils à la fois : iPhone (jusqu’à 25 W), AirPods (5 W), Apple Watch (5 W).
Support rotatif multi-angle : idéal pour regarder une série en streaming tout en rechargeant.
Design pliable et compact : malgré ses trois modules, la station reste discrète et se range facilement.
Structure renforcée : matériaux ignifugés et base lestée pour éviter qu’elle ne glisse sur la table de chevet.
Thermal Guard : gestion intelligente de la température, avec arrêt automatique en cas de surchauffe.
Dans la vraie vie
Placez la station sur votre table de nuit. Avant de dormir, posez simplement vos trois appareils dessus. Au réveil, tout est rechargé et prêt à démarrer la journée. Si vous aimez regarder TikTok ou YouTube au lit, l’inclinaison réglable de l’iPhone vous permet de le faire tout en rechargeant. Et avec la compatibilité StandBy, l’iPhone devient un réveil intelligent.
UGREEN : un gage de fiabilité
Depuis 2012, UGREEN accompagne plus de 200 millions d’utilisateurs dans leur quotidien technologique. Du chargeur rapide aux solutions de stockage, la marque s’est toujours distinguée par sa fiabilité et son souci d’intégrer les meilleures normes.
Avec MagFlow, elle franchit une nouvelle étape en démocratisant le Qi2 25 W, une technologie qui devrait devenir la référence des prochaines années. L’ambition est claire : vous libérer des câbles, des chargeurs multiples et des frustrations liées à des recharges lentes ou instables.
Pourquoi MagFlow peut vraiment vous séduire
Un seul écosystème pour tous vos appareils Apple (et une large compatibilité Android).
Des usages pensés pour chaque moment : voyage, bureau, maison.
Une recharge rapide et fiable grâce au Qi2 25 W et au magnétisme précis.
Un design portable et élégant, adapté à la mobilité comme à l’organisation de votre espace.
En d’autres termes, que vous soyez en déplacement, en train de travailler ou simplement à la maison, il existe un produit MagFlow qui s’intègre parfaitement à votre rythme de vie.
Découvrez la série MagFlow
Curieux de voir à quoi ressemblent ces nouveaux produits ? Consultez dès maintenant les pages officielles UGREEN pour plus d’informations et visuels :
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Disponibilité : prix et stocks peuvent varier selon le magasin et le moment.
OLED : contraste infini et noirs parfaits, idéal films/séries. Très bon aussi en jeu si vous visez 120 Hz + HDMI 2.1.
QLED / Mini LED : plus lumineux pour pièces claires et sport. Les Mini LED gèrent mieux la haloisation grâce à un dimming plus fin.
LED classique : souvent moins chère, mais moins punchy en HDR et angles de vision plus étroits.
Diagonale & recul : vise juste
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55″ : recul ~2 m à 2,5 m
65″ : ~2,5 m à 3 m
75″ : ~3 m à 3,5 m
Si vous hésitez entre deux tailles, prenez la plus grande que votre meuble/mur accepte. On s’y habitue très vite.
Pour jouer (PS5, Xbox Series X, PC)
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Les OLED gardent un avantage sur la réactivité, les Mini LED sur la lisibilité dans un salon lumineux.
Vidéoprojecteurs : 3 points qui changent tout
Luminosité (lm) : 2 000–3 000 lumens utiles pour pièce de vie ; moins si vous êtes dans le noir quasi total.
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Puis-je cumuler avec d’autres promos ?
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FAQ
Jusqu’à quand est valable l’offre ? Jusqu’au lundi 8 septembre. Passée cette date, la remise peut disparaître ou être remplacée par une autre opération.
Quels produits sont exclus ? Les accessoires, les produits en exclusivité internet, ceux vendus via la marketplace, les produits reconditionnés et les extensions de garantie.
Faut-il un code promo ? Non. La remise est immédiate sur la sélection éligible une fois les 700 € atteints.
La remise marche en magasin ? Oui si le produit fait partie de l’opération en cours. Demandez au conseiller et vérifiez le prix en caisse si besoin.
Puis-je retourner un produit acheté avec la remise ? Oui, selon les conditions habituelles de retour de Boulanger. La remise est recalculée si vous ne gardez qu’une partie de la commande.
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Mentions légales & transparence
Offre valable jusqu’au lundi 8 septembre, sur une sélection de TV et vidéoprojecteurs.
Exclusions : accessoires, exclus web, marketplace, reconditionnés, extensions de garantie.
Prix et disponibilités susceptibles d’évoluer. Vérifiez au panier avant d’acheter.
Les jeux d’argent en ligne subissent une transformation radicale. Alors que les préoccupations concernant la confidentialité des données et la surveillance augmentent, une nouvelle vague de casinos alimentés par la blockchain propose une expérience totalement différente, sans vérification d’identité traditionnelle. Ces plateformes séduisent de plus en plus d’utilisateurs férus de technologie, en quête à la fois d’anonymat et d’innovation.
Pourquoi Les Joueurs Choisissent des Plateformes Sans Vérification d’Identité
L’attrait est évident : rapidité, simplicité, et surtout, confidentialité. Pour les utilisateurs vivant dans des juridictions restrictives ou craignant les violations de données, l’idée d’un casino sans carte d’identité constitue une alternative séduisante. Ces plateformes sont conçues pour garantir que les utilisateurs conservent un contrôle total sur leurs informations tout en profitant de jeux classiques comme le poker, les machines à sous ou la roulette.
Les Outils Technologiques Qui Favorisent le Jeu Privé
Pour beaucoup d’utilisateurs, les avantages l’emportent sur les risques. L’utilisation de contrats intelligents assure la transparence des résultats de jeu, tandis que les registres blockchain permettent d’auditer les transactions sans divulguer d’informations personnelles. Ces fonctionnalités contribuent à instaurer la confiance dans des systèmes qui pourraient autrement sembler opaques.
Fait intéressant, l’essor des plateformes de jeu anonymes a également stimulé l’adoption d’outils renforçant la confidentialité. Les VPN, portefeuilles non dépositaires et navigateurs bloquant le pistage sont désormais des outils standards pour ceux qui explorent le web anonyme.
Comment la Blockchain Permet de Jouer Sans Identité
Au cœur de cette évolution se trouve la technologie blockchain. Grâce auxréseaux décentralisés et aux cryptomonnaies, ces casinos peuvent fonctionner sans collecter de données personnelles ni exiger de procédures KYC (Know Your Customer). Au lieu de télécharger des documents ou de vérifier leur identité, les joueurs n’ont qu’à connecter un portefeuille crypto pour commencer à jouer.
Les Compromis de l’Anonymat dans les Jeux d’Argent
Si les plateformes sans vérification d’identité offrent une plus grande confidentialité, elles modifient aussi la nature de la responsabilité utilisateur. En l’absence de processus KYC, les joueurs doivent faire preuve de discernement dans le choix de leur plateforme. Beaucoup s’appuient sur des avis tiers, la transparence de la blockchain et les audits de contrats intelligents pour évaluer la légitimité. Même si la régulation reste minimale, la surveillance communautaire et les mécanismes de confiance sur la chaîne deviennent des substituts importants. Plutôt que d’être exposés à des risques non maîtrisés, les joueurs informés apprennent à naviguer sur ces plateformes anonymes avec prudence et autonomie.
Perspectives : Régulation ou Liberté
Alors que les gouvernements du monde entier continuent de durcir la réglementation sur les jeux d’argent en ligne, la popularité des plateformes sans vérification d’identité est appelée à croître. Elles offrent un aperçu d’un avenir où les utilisateurs, et non les entreprises ou les gouvernements, contrôlent leur identité numérique. Pour l’instant, ces casinos blockchain restent un segment de niche, mais en pleine expansion, du paysage des jeux d’argent.
Qu’ils mènent à une plus grande liberté ou introduisent de nouveaux risques dépendra en grande partie de leur évolution, et de la manière dont les utilisateurs choisissent d’interagir avec eux.
Pouvoir accéder à son réseau domestique de n’importe où est un vrai confort. Que ce soit pour récupérer un fichier sur ton NAS, surveiller ta domotique ou simplement sécuriser ta connexion depuis un Wi-Fi public, la Freebox permet de mettre en place ton propre serveur VPN. Pas besoin d’un abonnement externe : la Freebox embarque cette fonction nativement, et il suffit de l’activer.
Dans ce guide, on va voir à quoi sert un serveur VPN sur Freebox, quels protocoles sont disponibles, lequel utiliser de préférence, et surtout comment le configurer pas à pas. On terminera par la partie pratique : se connecter au serveur VPN Freebox depuis un PC ou un smartphone.
Pourquoi activer un serveur VPN sur sa Freebox ?
Un serveur VPN sur ta Freebox te permet de créer un tunnel sécurisé entre ton appareil (ordinateur, smartphone, tablette) et ta box Internet, où que tu sois.
Les avantages sont nombreux :
Accès à distance à ton réseau local Retrouve ton disque dur Freebox, ton NAS, ou ton imprimante comme si tu étais connecté en Wi-Fi à la maison.
Connexion sécurisée depuis l’extérieur Dans un hôtel ou un café, ton trafic est chiffré et passe par ta Freebox, évitant toute interception.
Adresse IP française depuis l’étranger En vacances, ton trafic sort avec l’adresse IP de ta Freebox. Pratique pour accéder à certains services disponibles uniquement en France comme des services de streaming et même certaines banques.
Contrôle total et confidentialité Contrairement à un VPN commercial, tu restes maître de ton serveur et de tes données. Dans les faits j’utilise le VPN de ma Freebox pour accéder à mes ressources, et le VPN commercial pour contourner la censure omniprésente sur le Web.
Les protocoles VPN disponibles sur Freebox
Ta Freebox te propose plusieurs protocoles pour mettre en place un serveur VPN. Voici un comparatif clair :
Protocole
Avantages
Inconvénients
PPTP
Très simple à configurer, compatible anciens systèmes
Obsolète, vulnérable, à éviter absolument
OpenVPN Routé
Bon niveau de sécurité, largement compatible
Moins rapide que WireGuard
OpenVPN Bridgé
Permet d’être sur le même réseau local que chez toi
Plus lourd, configuration plus complexe
IPsec IKEv2
Rapide, support natif sur iOS/Windows
Compatibilité variable sur Android/Linux
WireGuard
Ultra rapide, moderne, simple à configurer, léger
Moins d’options avancées, protocole encore jeune
Notre recommandation : WireGuard.
C’est le protocole le plus moderne et le plus performant aujourd’hui. Il est supporté par la majorité des systèmes (Windows, macOS, Linux, iOS, Android), et il se configure facilement grâce à des fichiers de configuration ou QR codes générés par Freebox OS.
Tutoriel : Activer le serveur VPN WireGuard sur Freebox
Connecte-toi avec ton mot de passe administrateur.
Étape 2 : activer le serveur VPN
Dans Freebox OS, va dans Paramètres de la Freebox → Mode avancé.
Clique sur Serveur VPN.
Choisis et active WireGuard, tu peux laisser les paramètres par défaut.
Étape 3 : créer un profil utilisateur
Clique sur Utilisateurs et Ajouter un utilisateur.
Tu nommes ensuite ton utilisateur et sélectionne le protocole WireGuard, Freebox OS génère automatiquement une paire de clés (publique/privée) et une configuration. Pas besoin de définir un mot de passe.
Sélectionne l’adresse IP attribuée au client parmi celle proposée dans la liste.
Étape 4 : récupérer la configuration
Tu peux télécharger le fichier de configuration .conf pour l’importer sur ton PC.
Tu peux aussi afficher un QR Code pour connecter rapidement un smartphone via l’appli WireGuard.
Étape 5 : ouvrir le port si nécessaire
Dernière vérification, si tu veux te connecter depuis l’extérieur, vérifie que le port choisi (par défaut 1494 sur la Freebox) est ouvert sur ta Freebox en te rendant dans Gestion des ports. Normalement ce port est déjà activé, mais évitons tout dysfonctionnement.
Se connecter au serveur VPN Freebox
Depuis un smartphone (iOS ou Android)
Télécharge l’appli WireGuard depuis l’App Store ou le Play Store.
Scanne le QR Code fourni par ta Freebox ou importe le fichier .conf.
Active la connexion → ton smartphone utilise désormais le réseau Freebox.
Active la connexion → tu es relié à ton réseau domestique.
Maintenant que tout est configuré tu peux profiter de ton accès sécurisé selon tes besoins :
Situation
Sans VPN (connexion directe via 4G/5G)
Avec VPN Freebox (connexion encapsulée)
Accès à ton réseau local
Impossible : pas d’accès direct à ton NAS, PC ou caméras
Possible : ton smartphone est “comme à la maison”
Sécurité sur Wi-Fi publics
Connexion exposée, risque d’interception
Connexion chiffrée → tunnel sécurisé vers la Freebox
Adresse IP utilisée
IP de ton opérateur mobile (variable, parfois étrangère si roaming)
IP fixe de ta Freebox (IP française si tu es à l’étranger)
Streaming et services en ligne
Certains services bloqués à l’étranger (ex. MyCanal, banques)
Accessible car tu sors avec ton IP Freebox en France
Filtres / DNS / Contrôle parental
Dépend uniquement de l’opérateur mobile
Tu utilises les règles et DNS de ta Freebox (ex. Pi-hole)
Domotique / surveillance
Inaccessible sauf exposition de ports (risqué)
Accessible directement via le VPN, sans ouvrir de ports
Expérience utilisateur
Tu es “hors de chez toi”
Tu es “virtuellement dans ton salon”
Foire aux questions (FAQ)
Est-ce que le serveur VPN Freebox est gratuit ?
Oui, c’est une fonction intégrée aux Freebox compatibles, sans surcoût.
Quelle Freebox permet d’activer un serveur VPN ?
Les Freebox Révolution, Delta et Pop disposent du serveur VPN.
Quel est le meilleur protocole VPN sur Freebox ?
Aujourd’hui, WireGuard est le plus rapide et le plus simple à utiliser. OpenVPN reste une alternative en cas de compatibilité spécifique.
Est-ce que je peux me connecter à ma Freebox VPN depuis l’étranger ?
Oui, c’est là l’intérêt de la solution, à condition que ton port VPN soit accessible et que ta Freebox ait une IP publique. Tu pourras alors accéder depuis l’étranger à des contenus autorisé uniquement en France, comme les WebTV.
Le VPN Freebox remplace-t-il un VPN commercial ?
Non. Le VPN Freebox est fait pour accéder à ton réseau privé. Si ton objectif est de masquer ton identité en ligne ou contourner des restrictions de streaming, un VPN commercial est plus adapté et je te recommande ma sélection des meilleurs VPN.
Le télétravail et la mobilité d’une manière générale prennent une place de plus en plus importante. Avoir une connexion Internet sécurisée et stable n’est plus un luxe, c’est une nécessité. Le GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) se présente comme un routeur Wi-Fi 7 compact et puissant, pensé pour les voyageurs, les nomades digitaux, les petites équipes en déplacement et aussi les familles lorsqu’elles partent en vacances. Mais que vaut-il vraiment et dans quels cas s’avère-t-il indispensable ?
Présentation du GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600)
Un routeur de voyage Wi-Fi 7 compact et puissant
Le Slate 7 est le premier routeur de voyage Wi-Fi 7 (802.11be) proposé par GL.iNet. Il offre des débits allant jusqu’à 3600 Mbps combinés (688 Mbps sur 2,4 GHz et 2882 Mbps sur 5 GHz), avec des fonctionnalités avancées comme l’OFDMA, le Multi-Link Operation (MLO) et le 4K QAM, garantissant une connexion rapide et stable, même avec plusieurs appareils connectés.
OpenWrt et personnalisation avancée
Basé sur OpenWrt 23.05, le Slate 7 est entièrement personnalisable : VPN, filtrage DNS, bloqueurs de publicité, pare-feu avancés… L’utilisateur peut installer des paquets supplémentaires et adapter le routeur à ses besoins spécifiques.
Spécifications techniques principales
Caractéristiques
Détails
CPU
Qualcomm Quad‑core @ 1.1 GHz
Mémoire vive
1 Go DDR4
Stockage
512 Mo NAND Flash
Wi-Fi
Wi-Fi 7 bi-bande (2,4 GHz + 5 GHz)
Ports Ethernet
1 × 2,5 Gb WAN + 1 × 2,5 Gb LAN
USB
1 × USB 3.0 Type‑A
Alimentation
USB‑C Power Delivery (5V/3A, 9V/3A, 12V/2,5A)
Consommation
< 18 W (sans périphérique USB)
Dimensions / Poids
130 × 91 × 34 mm / 295 g
Cas d’usage concrets du Slate 7
Sécuriser sa connexion sur les réseaux publics (hôtels, cafés, aéroports)
Les Wi-Fi publics sont souvent vulnérables. Connecter vos appareils dessus sans mettre en place de la sécurité est un véritable risque. Alors l’idée est simple, commencez par connecter le Slate 7 au réseau Wi-Fi public. Ensuite vous établissez une connexion VPN, via votre abonnement VPN habituel (NordVPN, ExpressVPN, Surfshark VPN, PIA, …) ou tout simplement avec le serveur VPN intégré nativement sur votre Freebox. le VPN permettra ainsi d’établir une connexion chiffrée de bout en bout et personne ne pourra intercepter votre trafic. Enfin, vous connectez vos appareils au Wi-Fi du Slate 7. Ces derniers se retrouvent non seulement interconnectés, mais ils accèdent à Internet en tout sécurité, cachés derrière le Slate 7. Expliquez comme cela on peut penser qu’il y a pleins d’étape mais en réalité toutes ses configurations seront mémorisés donc lors de vos nouveaux déplacement il suffira juste de connecter le Slate 7 au nouveau réseau Wi-Fi Public et le reste se fera automatiquement.
VPN centralisé pour tous ses appareils
Inutile d’installer un VPN sur chaque appareil : le Slate 7 se connecte au VPN et protège donc automatiquement tous les terminaux qui y sont reliés. Vous y gagnez donc en simplicité puisque vous n’avez qu’un seul tunnel VPN à monter. C’est d’autant plus utile si vous voyagez en avion car beaucoup de compagnie facture la connexion selon le nombre d’appareil ! Vous avez compris l’astuce, vous déclarer uniquement la connexion du Slate 7, vos autres appareils seront connectés au Wi-Fi du Slate 7.
Télétravail et nomadisme digital
En déplacement, il assure une connexion fiable via Ethernet, Wi-Fi ou tethering 4G/5G. Couplé à un VPN, il garantit une IP fixe pour accéder aux services professionnels sans coupure.
Partage de connexion 4G/5G stable pour plusieurs appareils
Branché à un smartphone en USB, le Slate 7 redistribue la connexion en Wi-Fi 7 stable pour plusieurs appareils simultanément, bien plus efficacement qu’un simple partage mobile. C’est cette solution que je privilégie lorsque je suis en vacances et que je n’ai pas de Wi-Fi car tout ma famille se connecte à mon GL.iNet (J’ai le GL.iNet GL-MT3000 en Wi-Fi 6) et profite de mon forfait Data illimité. Ca évite les mauvaises surprises de dépassement de forfait sur les appareils de vos enfants …
Réseau d’équipe en mobilité (salons, chantiers, événements)
Avec ses ports 2,5 GbE et son support de stockage USB, il peut alimenter une petite équipe avec un réseau local rapide et sécurisé.
Streaming et divertissement en déplacement
Certaines TV connectées ou consoles refusent les portails captifs des hôtels. Le Slate 7 se connecte une fois et recrée un réseau privé, permettant d’utiliser facilement ses appareils de streaming.
Routeur secondaire ou répéteur Wi-Fi à domicile
Il peut aussi servir de routeur VPN permanent chez soi, de répéteur Wi-Fi 7 pour améliorer la couverture, ou encore de réseau invité isolé. Evidemment si votre domicile est grand vous pouvez plutôt investr dans un modèle plus costaud parmis ceux que je propose dans mon comparateur des meilleurs routeurs Wi-Fi compatibles OpenWrt.
Bien comprendre l’utilisation du VPN avec le Slate 7
Le GL.iNet Slate 7 peut faire à la fois client VPN et serveur VPN. Et même les 2 simulannément en cas de besoin. OpenVPN et WireGuard son préinstallés ce qui le rend compatible avec plus de 30 fournisseurs de services VPN. Connectez-vous simplement à votre compte VPN existant et le Slate 7 crypte automatiquement tout le trafic réseau au sein du réseau connecté. Cela offre de nombreux cas d’usages comme par exemple :
Cas n°1 : Utiliser un abonnement VPN commercial
Si vous avez un abonnement chez NordVPN, ExpressVPN, Surfshark VPN, PIA, Mullvad VPN, ou tout autre fournisseur, vous importez simplement la configuration WireGuard/OpenVPN du fournisseur dans le Slate 7 et magie tous les appareils connectés sont alors automatiquement protégés lorsqu’ils accéderont à Internet. Cela vous permettra par exemple de télécharger du contenu en toute sécurité (P2P / Torrent) et de contourner les règles de géorestrictions si vos êtes à l’étranger.
Cas n°2 : Se connecter à son propre serveur VPN
Vous pouvez configurer un serveur VPN à votre domicile (sur un routeur maison ou un VPS que vous auriez dans le Cloud). Le Slate 7 peut alors s’y connecter pour accéder à votre réseau privé à distance.
Cas n°3 : Utiliser le Slate 7 comme serveur VPN portable
Le routeur peut également jouer le rôle de serveur VPN. Depuis l’extérieur (4G, 5G, autre Wi-Fi), vous pouvez vous y connecter et sécuriser votre trafic tout en accédant aux appareils connectés au Slate 7, comme un NAS, une imprimantes ou d’autres appareils. C’est très pratique en nomadisme pour se créer un petit réseau sécurisé en toute simplicité. Vous êtes par exemple photographe, votre GL.iNet Slate 7 est configuré en mode serveur VPN, vous branchez dessus un petit NAS nomade comme un Synology BeeStation. Vous sortez faire vos sessions photos à l’extérieur et vous pouvez établir une connexion VPN entre votre smartphone et votre routeur GL.iNet Slate 7 pour transférer tout au long de la journée les photos réalisées vers votre NAS situé à l’hôtel.
Pourquoi le VPN intégré ne veut pas dire “VPN inclus”
Le Slate 7 est prêt à l’emploi pour le VPN, mais il faut soit un abonnement VPN, soit un serveur VPN personnel. Le routeur ne fournit pas de VPN “gratuit” par défaut
L’écran tactile intégré : un vrai plus pour l’usage quotidien
Connexion simplifiée par QR Code
Il suffit de scanner un QR Code affiché sur l’écran pour connecter rapidement un appareil.
Suivi en temps réel (vitesse, mode, VPN)
L’écran tactile affiche la vitesse, le statut VPN et les modes réseau actifs (Ethernet, Repeater, Tethering, Cellular).
Gestion du VPN directement depuis l’écran
On peut activer/désactiver le VPN, changer de fournisseur ou surveiller la consommation sans passer par l’interface web.
Performances réseau et connectique
Wi-Fi 7 : rapidité et efficacité
Grâce à l’OFDMA, au MLO et au 4K QAM, le Slate 7 offre des performances optimales même dans des environnements saturés.
Débits Ethernet et port USB 3.0
Les deux ports 2,5 GbE assurent une connectivité filaire rapide, et le port USB permet de transformer le Slate 7 en mini NAS ou en serveur multimédia.
Alimentation pratique en USB-C
Compatible Power Delivery, il peut être alimenté avec un chargeur compact de smartphone ou de PC, ce qui le rend très pratique en voyage.
À qui s’adresse le GL.iNet Slate 7 ?
Voyageurs réguliers souhaitant sécuriser leurs connexions
Freelances et télétravailleurs nomades
Petites équipes en mission (salons, chantiers, événements)
Utilisateurs avancés cherchant un routeur VPN flexible et portable
Conclusion
Le GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) est bien plus qu’un simple routeur de voyage. Compact, puissant et basé sur OpenWrt, il combine la sécurité du VPN, la rapidité du Wi-Fi 7 et la flexibilité d’une plateforme ouverte. Que vous soyez un particulier soucieux de sécurité, un nomade digital ou une petite équipe en déplacement, il représente une solution fiable et moderne.
FAQ
Le GL.iNet Slate 7 inclut-il un abonnement VPN ? Non. Il est compatible avec de nombreux services VPN mais nécessite un abonnement ou un serveur personnel.
Peut-on l’utiliser comme routeur principal à la maison ? Oui, même si ce n’est pas sa vocation principale. Il peut servir de routeur secondaire, de répéteur ou de routeur invité.
Est-il compatible avec la 4G/5G ? Oui, via le mode tethering USB avec un smartphone ou avec un modem USB externe.
Peut-on connecter un disque dur au port USB ? Oui, pour partager des fichiers ou l’utiliser comme mini NAS.
Le Slate 7 est-il facile à configurer ? Oui, grâce à son interface simplifiée, son écran tactile et son support OpenWrt, il reste accessible même aux non-experts.
Google vient de franchir une nouvelle étape avec le déploiement de son AI Mode, un mode de recherche conversationnel basé sur l’IA. Cette innovation promet de transformer la manière dont les utilisateurs interagissent avec les résultats, mais aussi d’impacter profondément le référencement SEO. Problème : la France n’est pas encore dans la boucle, probablement en raison de contraintes réglementaires.
Qu’est-ce que le Google AI Mode ?
L’AI Mode est une nouvelle interface de recherche qui s’appuie sur le modèle Gemini de Google. Concrètement, l’utilisateur peut poser des questions complexes en langage naturel et obtenir des réponses synthétiques, structurées et enrichies. Contrairement à la recherche classique, AI Mode ne se contente pas d’afficher une liste de liens : il produit des résumés, suggère des suites de questions, et intègre des fonctionnalités multimodales comme l’analyse d’images via Lens.
Google ambitionne d’aller plus loin avec des capacités dites agentiques : réservation d’un restaurant, achat de billets, ou encore organisation d’un voyage directement depuis la recherche.
Un impact majeur pour les créateurs de contenu et le SEO
Pour les éditeurs et créateurs de contenu, le déploiement du Google AI Mode change la donne. Là où les utilisateurs cliquaient auparavant sur des liens pour trouver leurs réponses, ils risquent désormais de rester dans l’interface Google. Résultat : une baisse potentielle du trafic organique vers les sites web.
Toutefois, Google affirme que ses réponses IA s’appuient sur les sources disponibles en ligne. Les créateurs devront donc veiller à produire un contenu encore plus pertinent, clair et optimisé pour apparaître comme référence dans ces synthèses générées par l’IA. En d’autres termes, le SEO ne disparaît pas, mais il se transforme.
La France mise de côté, une réglementation trop lourde ?
Si l’AI Mode est en cours de déploiement aux États-Unis et dans plus de 180 pays, la France n’est pas encore concernée. Google n’a pas communiqué officiellement sur les raisons, mais plusieurs observateurs pointent du doigt l’environnement réglementaire européen et français : Digital Services Act, Digital Markets Act, et bientôt AI Act.
Ces règles visent à encadrer l’usage de l’intelligence artificielle pour protéger les utilisateurs et garantir la transparence. Mais en attendant, les Français restent spectateurs. Là où les Américains et d’autres pays découvrent déjà les usages concrets de l’AI Mode, la France donne le sentiment de « rater le train ».
Un équilibre à trouver entre protection et innovation
Il ne s’agit pas de critiquer la réglementation, qui est indispensable pour encadrer des technologies aussi puissantes. Mais un excès de prudence pourrait laisser les utilisateurs français à l’écart des grandes évolutions technologiques. Le monde avance, parfois vite, et la France risque de rester en retrait si elle n’arrive pas à conjuguer sécurité et innovation.
On n’a pas tous le même besoin de confidentialité. Certains veulent surtout éviter la pub et le tracking, d’autres doivent protéger des échanges sensibles, et une minorité vise l’empreinte numérique minimale. Ce guide classe les principaux outils par profils, du plus relax au plus exigeant, pour t’aider à choisir ce qui te convient vraiment.
Pas de jargon inutile, pas de jugement. On explique rapidement le contexte de chaque profil, puis on liste des solutions éprouvées avec leurs liens officiels : navigateur et bloqueurs, messagerie, e-mail, VPN, système, voire routeur. L’idée est simple : tu repères ton niveau de « parano », tu installes l’essentiel, et tu peux monter d’un cran si besoin.
Rappel utile : la sécurité n’est pas la vie privée. Aucun outil ne rend « invisible ». Les bases restent incontournables (mises à jour, mots de passe uniques, 2FA). À partir de là, tu choisis le kit qui correspond à ton usage — perso, pro, étudiant, peu importe — sans te prendre la tête.
Profil 1 — Le Tranquille (« je n’ai rien à cacher »)
Tu utilises les outils populaires, tu veux que ça marche, point. C’est OK, mais la collecte de données est massive et les paramètres par défaut ne t’aident pas … au moins tu es prévenu !
Les services « gratuits » se financent souvent par la publicité ciblée.
Quand c’est gratuit, c’est toi le produit
Le suivi inter-sites est devenu très fin (cookies, empreintes, SDK, etc.), le fait d’utiliser ses sites fait qu’ils détiennent une grande quantité de données personnelles permettant de parfaitement connaître tes habitudes.
Premiers réglages utiles
Activer l’authentification à deux facteurs partout.
Passer Chrome en mode « Enhanced Safe Browsing » ou envisager Brave/Firefox.
Nettoyer et verrouiller les permissions (micro, caméra, GPS) sur mobile.
Profil 2 — Vu à la télé (« cet article est sponsorisé par… »)
Tu as conscience du problème et tu choisis des marques grand public, souvent mises en avant.
GrapheneOS durcit Android : permissions par défaut strictes, isolation, mises à jour rapides sur appareils Pixel compatibles.
SimpleX n’emploie pas d’identifiant permanent ; orientation « metadata-minimization ».
SearXNG interroge plusieurs moteurs sans te profiler. Tu peux l’auto-héberger.
Monero masque expéditeur, destinataire et montants par défaut ; à manier légalement, évidemment.
OpenWrt apporte règles pare-feu fines, DNS chiffré, segmentation réseau.
Mullvad accepte cash, n’impose pas e-mail, et applique une politique technique stricte.
Stratégie d’ensemble
Cloisonner les appareils et comptes.
Utiliser un modèle de menaces : risques concrets, adversaires plausibles, impacts.
Éviter la centralisation (big clouds), préférer auto-hébergement léger ou fournisseurs sobres en données.
Profil 6 — Le Fantôme (« je disparais du radar… presque »)
Ici on parle d’hygiène opérationnelle plus que d’apps. Hors-ligne, espèces, numéros jetables, minimisation radicale de données. Ce n’est pas réaliste pour la plupart des gens. Et certaines pratiques sont illégales ou dangereuses : on ne recommande pas. Si tu penses en avoir besoin, cherche un conseil juridique et des formations à l’OPSEC, légalement.
Idées générales (non prescriptives)
Limiter drastiquement les comptes nominatifs.
Utiliser du matériel dédié, sans liens croisés avec l’identité réelle.
Cartes prépayées conformes à la loi de ton pays, quand elles existent.
Rappels : fraude, usurpation, faux documents = illégal. Ne le fais pas.
Même si les machines à sous sont très nombreuses dans les casinos, de nombreux utilisateurs préfèrent jouer aux jeux de table. Le jeu le plus populaire, disponible dans la plupart des casinos tels que Fambet casino et d’autres, est la roulette réaliste et dynamique Lightning Roulette. Mais quelles sont ses particularités, en quoi diffère-t-elle de la roulette classique et convient-elle aux débutants ? Découvrez-le ci-dessous !
Particularités du design visuel et des paris
La Lightning Roulette est devenue populaire grâce à la combinaison d’un jeu de table traditionnel et de fonctionnalités innovantes. Sur Fambet casino et d’autres casinos, elle se déroule en temps réel via une diffusion en direct. Le croupier est une personne réelle et tout le processus du jeu se déroule dans un studio professionnel, décoré dans un style élégant. Tout cela crée un effet de présence et permet au joueur de profiter d’une expérience utilisateur agréable.
Les utilisateurs auront également accès à des combinaisons de paris standard, très similaires à celles de la roulette européenne. Pour placer ses paris, le joueur utilisera une interface conviviale. Celle-ci est également complétée par un multiplicateur et des détails supplémentaires qui vous aideront à mieux vous orienter dans le tour.
Le rôle des multiplicateurs et des nombres aléatoires
La principale caractéristique du jeu en direct est le choix aléatoire de numéros chanceux à chaque tour. Un numéro compris entre 1 et 5 est sélectionné et complété par des multiplicateurs allant de 50x à 500x. Un générateur de nombres aléatoires (RNG) est utilisé pour obtenir ce multiplicateur.
Les multiplicateurs et les nombres aléatoires permettent d’augmenter considérablement les gains sur les paris placés sur certains numéros. Ils ajoutent un élément de surprise, grâce auquel le joueur ressent de l’excitation et du suspense à chaque pari. Ainsi, Lightning Roulette se distingue de la roulette européenne classique par un niveau d’intérêt particulier que ressentiront les joueurs, quelle que soit leur expérience.
Différences par rapport à la roulette classique en mode live
La Lightning Roulette diffère radicalement de la roulette européenne classique, même en mode live. Outre son design élégant, ce jeu proposé par Fambet casino et d’autres casinos offre :
Un paiement à une cote de 30:1.
La présence de multiplicateurs aléatoires, qui sont choisis au hasard en tirant un numéro.
Un design visuel plus riche et plus agréable à l’œil.
Dans l’ensemble, le jeu combine les règles classiques de la roulette européenne, mais propose également ses propres innovations. Grâce à l’élément aléatoire, l’utilisateur ressent plus d’excitation et a envie de jouer plus longtemps. Après tout, chaque utilisateur peut devenir le propriétaire d’un multiplicateur important de x500 !
La Lightning Roulette convient-elle aux débutants ?
Au Fambet casino et dans d’autres casinos, la Lightning Roulette conserve les règles habituelles du jeu, ce qui permet aux débutants de la maîtriser rapidement. Même si le jeu comporte un élément bonus supplémentaire, ce jeu en direct peut être joué même par des débutants. Cependant, il est important de bien étudier les règles et les types de paris avant de commencer à jouer et de prêter attention aux principes du jeu responsable. Dans ce cas, Lightning Roulette sera une excellente option pour passer du temps de manière variée en dehors des machines à sous.
La plateforme 1win Côte d’Ivoire propose une variété de méthodes de paiement adaptées aux besoins des joueurs ivoiriens. Que vous soyez un amateur de paris sportifs ou un passionné de jeux de casino en ligne, il est essentiel de comprendre les options disponibles pour approvisionner votre compte de manière rapide et sécurisée.
Les utilisateurs peuvent choisir parmi plusieurs méthodes de paiement populaires, notamment les portefeuilles électroniques tels qu’Orange Money, MTN Mobile Money et Moov Money, ainsi que les cartes bancaires Visa et Mastercard. Ces options permettent des transactions instantanées, garantissant que votre compte soit crédité sans délai. De plus, 1win accepte également les crypto-monnaies, offrant ainsi une flexibilité supplémentaire pour les dépôts.
En termes de sécurité, 1win met en œuvre des protocoles de cryptage avancés pour protéger les informations financières et personnelles de ses utilisateurs. Cela assure une expérience de jeu en ligne fiable et sans souci. Il est important de noter que des frais peuvent s’appliquer en fonction de la méthode de paiement choisie, bien que la plateforme elle-même n’impose généralement pas de commissions supplémentaires.
Pour effectuer un dépôt, il suffit de se connecter à votre compte 1win, de naviguer vers la section « Dépôt », de sélectionner votre méthode de paiement préférée, d’entrer le montant souhaité et de suivre les instructions à l’écran. Les fonds seront généralement crédités sur votre compte de jeu dans les plus brefs délais, vous permettant ainsi de commencer à jouer immédiatement.
En résumé, 1win Côte d’Ivoire offre une gamme complète de méthodes de paiement, alliant rapidité, sécurité et commodité, pour garantir une expérience de jeu optimale à ses utilisateurs.
Les modes de paiement principaux sur 1win Côte d’Ivoire : une étude approfondie
Lorsqu’il s’agit de choisir la meilleure façon de recharger son compte sur 1win Côte d’Ivoire, il est crucial de bien comprendre les différentes options qui s’offrent aux joueurs. Chaque méthode de paiement possède ses particularités en termes de rapidité, de sécurité, et de commodité. En explorant en détail ces options, il devient plus facile de faire un choix éclairé pour profiter pleinement des bonus et promotions proposés par la plateforme.
Le choix d’un mode de paiement adapté permet non seulement de simplifier le processus de dépôt, mais aussi d’éviter les éventuelles complications liées à des délais de traitement trop longs ou à des frais inattendus. 1win met à disposition plusieurs alternatives, répondant aux besoins variés de ses utilisateurs en Côte d’Ivoire.
Orange Money : un moyen populaire de paiement mobile, simple à utiliser et très répandu dans la région, permettant des dépôts rapides et sécurisés.
MTN Mobile Money : similaire à Orange Money, ce service offre une grande flexibilité et une large couverture auprès des utilisateurs mobiles en Côte d’Ivoire.
Moov Money : une autre option de portefeuille électronique qui permet de transférer des fonds instantanément, idéale pour ceux qui privilégient la simplicité.
Cartes bancaires Visa et Mastercard : pour les joueurs préférant les paiements par carte, ces options garantissent une transaction directe et fiable.
Cryptomonnaies : 1win accepte également les paiements en devises numériques, offrant une alternative innovante pour ceux qui souhaitent plus de confidentialité et de rapidité.
Après avoir passé en revue ces options, il est important de noter que la disponibilité des méthodes peut varier selon le contexte et la région, mais 1win s’efforce d’offrir une expérience fluide pour tous les utilisateurs. Chaque méthode est conçue pour assurer la sécurité des transactions, tout en minimisant les délais de traitement.
En résumé, en fonction de vos préférences et de votre accessibilité aux différents services, vous pouvez sélectionner la méthode de paiement la plus adaptée pour alimenter votre compte 1win facilement et rapidement, afin de profiter pleinement des offres et bonus disponibles sur la plateforme.
Délai de crédit et sécurité des paiements sur 1win : comment recharger son compte rapidement et en toute confiance
Sur la plateforme 1win Côte d’Ivoire, la rapidité et la sécurité des dépôts sont des critères essentiels pour garantir une expérience utilisateur optimale. Comprendre le temps nécessaire pour que les fonds apparaissent sur votre compte, ainsi que les mesures de protection mises en place, est primordial pour éviter toute frustration ou inquiétude lors des transactions.
Chaque méthode de paiement proposée par 1win est conçue pour offrir un équilibre entre vitesse et sûreté. La plateforme utilise des protocoles de sécurité avancés, notamment le cryptage SSL, afin de protéger les données personnelles et financières des joueurs contre toute tentative de fraude. En parallèle, la plupart des dépôts sont crédités instantanément ou en quelques minutes, ce qui permet aux utilisateurs de commencer à jouer rapidement.
Méthode de paiement
Délai de crédit
Niveau de sécurité
Orange Money
Instantané à quelques minutes
Très élevé (cryptage mobile)
MTN Mobile Money
Instantané à quelques minutes
Très élevé (cryptage mobile)
Moov Money
Instantané à quelques minutes
Très élevé (cryptage mobile)
Visa / Mastercard
Immédiat ou jusqu’à 24 heures
Très élevé (cryptage bancaire)
Cryptomonnaies
Instantané à quelques minutes
Élevé (sécurité blockchain)
Cette table montre clairement que la majorité des modes de paiement disponibles sur 1win offrent des temps de traitement quasi immédiats, permettant un accès rapide aux fonds. La sécurité est également une priorité, avec des technologies modernes appliquées selon chaque type de transaction pour assurer la protection maximale des utilisateurs.
Pour garantir un dépôt sans souci, il est recommandé de toujours vérifier que la connexion internet est sécurisée et que l’on utilise des réseaux fiables. Grâce à ces précautions et aux mesures mises en place par 1win, recharger son compte devient un processus simple, rapide et sécurisé, facilitant ainsi une expérience de jeu sereine et agréable.
Pourquoi choisir 1win Côte d’Ivoire pour vos paiements en ligne ?
La plateforme 1win s’impose comme une référence incontournable pour les joueurs en Côte d’Ivoire grâce à son interface intuitive et ses multiples options de paiement adaptées aux réalités locales. Elle combine rapidité, sécurité et simplicité, permettant à chacun de déposer facilement sans tracas. En outre, 1win assure une transparence totale dans ses transactions, ce qui renforce la confiance des utilisateurs. Choisir 1win, c’est opter pour une expérience fluide et sécurisée, essentielle pour profiter pleinement des jeux et des offres promotionnelles disponibles.
Conclusion sur les méthodes de paiement et la sécurité sur 1win Côte d’Ivoire
En résumé, la plateforme 1win Côte d’Ivoire se distingue par sa large gamme de méthodes de paiement adaptées aux besoins variés de ses utilisateurs. Que ce soit par portefeuilles électroniques populaires comme Orange Money et MTN Mobile Money, par cartes bancaires classiques ou même via les cryptomonnaies, chaque joueur peut facilement trouver l’option qui lui convient le mieux. Cette diversité garantit une grande accessibilité et une facilité d’utilisation.
La rapidité des transactions est un autre point fort majeur de 1win. La plupart des dépôts sont crédités instantanément ou en quelques minutes, ce qui permet aux joueurs de profiter rapidement de leurs fonds pour placer des paris ou participer à des jeux. Par ailleurs, la plateforme met un accent important sur la sécurité des paiements, utilisant des technologies avancées pour protéger les informations personnelles et financières.
En choisissant 1win, les utilisateurs bénéficient d’une expérience fluide et sécurisée, minimisant les risques liés aux transactions en ligne. Cela renforce la confiance dans la plateforme, essentielle pour toute activité impliquant des dépôts et des retraits d’argent. Les procédures simples et rapides contribuent également à une meilleure satisfaction client.
Enfin, comprendre les différentes options de paiement, leur rapidité et leur sécurité permet à chaque joueur de maximiser son expérience sur 1win Côte d’Ivoire. En prenant le temps de bien choisir sa méthode de dépôt, chacun peut profiter pleinement des offres et promotions disponibles, dans un environnement fiable et performant.
Vous voulez améliorer nettement votre Wi-Fi à la maison, sans sacrifier votre vie privée ? Bonne nouvelle : on peut aujourd’hui obtenir d’excellentes perfs avec des routeurs et systèmes mesh récents qui tournent officiellement sous OpenWrt. Je vous propose une sélection 2025 claire, triée par RouteurOpenWrt et Système MeshOpenWrt, chacun en 3 niveaux de budget, avec un gros chapitre dédié OpenWrt & vie privée.
Ce qu’il faut savoir en 2 minutes
OpenWrt, c’est un système alternatif pour routeurs. Vous gagnez en contrôle, sécurité, mises à jour, et vous coupez la télémétrie superflue.
En 2025, le choix solide reste le Wi-Fi 6 (et 6E pour quelques cas). Le Wi-Fi 7 avance mais reste peu supporté proprement sous OpenWrt côté “tout-en-un”.
Si votre logement est grand ou à étages, partez sur un système mesh (deux ou trois nœuds), sinon un bon routeur suffit.
Si vous avez de la fibre ≥ 1 Gb/s, prenez un modèle avec au moins un port 2,5 GbE pour ne pas brider le débit.
La sélection des systèmes proposés dans cet article est conforme à la Table Of Hardware préconisé par OpenWrt
Pourquoi OpenWrt (et en quoi ça protège mieux votre vie privée)
OpenWrt remplace le logiciel d’origine du routeur par un système ouvert et maintenu.
Concrètement :
Mises à jour régulières et correctifs de sécurité rapides.
Aucune collecte commerciale par défaut.
DNS chiffré (DoH/DoT/DoQ) pour éviter que vos requêtes soient lisibles en clair.
Blocage des pubs et traqueurs au niveau du réseau (tous vos appareils en profitent).
VPN WireGuard directement sur le routeur (télétravail, déplacements).
Réseaux invités et VLAN pour isoler les objets connectés.
Mesh/roaming standardisés (802.11r/k/v et 802.11s) pour une vraie continuité entre nœuds.
Remarque simple : quand on parle “version stable” d’OpenWrt en 2025, on vise la branche 24.10.x. Installez la dernière révision disponible, point.
Comment choisir en routeur ou système Mesh en 30 secondes ?
Pour savoir si vous avez besoin d’un Routeur (appareil seul) ou d’un système Mesh (Plusieurs Routeurs Interconnectés) voici de quoi vous aider à choisir très simplement. Une fois que vous savez vers quoi vous orienter, rendez-vous dans la section qui vous correspond.
Surface < 100 m², peu d’obstacles → Routeur seul suffira.
De 100 à 180 m² / étage → Routeur puissant ou Mesh 2 nœuds.
> 180 m² ou murs épais → Mesh 3 nœuds, idéalement backhaul Ethernet entre les nœuds.
Beaucoup d’appareils (30+) → privilégiez Wi-Fi 6 en 4×4 et un CPU récent (MediaTek Filogic ou Qualcomm).
ROUTEURS OpenWrt — Les meilleurs choix 2025
J’ai déjà rédigé un article pour présenté les meilleurs solutions de WiFi Mesh Multiroom, et je vous invite à le consulter si vous rechercher des solutions natives grand publics. la sélection qui suit est focus sur les solutions compatibles OpenWrt, donc pour ceux qui recherchent une solution ou la transparence et le contrôle de sa vie privée est primordiale.
Routeur simple et efficace pour un petit budget. Le Wi-Fi 6 tient bien la charge pour 10 à 20 appareils, avec une portée correcte en appartement. Les ports Gigabit suffisent pour une fibre à 1 Gb/s, et OpenWrt s’installe sans prise de tête. Idéal pour activer DNS chiffré, ad-blocking et un réseau invité sans ralentir la connexion.
Format mini, perfs maxi pour sa taille. On apprécie le port 2,5 GbE et la facilité de configuration sous OpenWrt, y compris en mode voyage ou point d’accès d’appoint. Idéal pour une chambre, un bureau ou une résidence secondaire. Ça consomme peu, ça chauffe peu, et ça fait le job proprement.
Routeur discret qui passe partout, avec une radio Wi-Fi 6 très propre pour une maison standard. OpenWrt lui va bien : stabilité, bonnes vitesses et options utiles (réseau invité, contrôle parental basique). Si vous voulez un appareil qu’on installe et qu’on oublie, c’est typiquement celui-là. Excellent rapport simplicité/performances.
Haut de gamme (2,5 GbE, VPN rapide, maison > 150 m² en solo)
Un des meilleurs routeurs grand public récents compatibles OpenWrt. On a du 2,5 GbE pour le WAN et le LAN, un Wi-Fi 6 4×4 musclé et un CPU qui encaisse bien le VPN. Parfait pour un foyer très connecté ou pour lisser la latence avec du SQM. C’est puissant sans être compliqué à vivre au quotidien.
Routeur costaud, taillé pour les foyers qui veulent du 2,5 GbE partout et un VPN rapide. Le Wi-Fi 6 4×4 couvre large et reste stable, même avec beaucoup d’appareils. OpenWrt est natif dans l’ADN du produit, donc les fonctions avancées s’activent facilement. Un excellent choix “performance/praticité”.
Carte routeur pensée avec l’équipe OpenWrt pour être ouverte et durable. On y trouve du 2,5 GbE, du M.2 pour évoluer, et une base MediaTek moderne. Ce n’est pas le plus “plug-and-play” du lot, mais on contrôle tout et on apprend en chemin. Idéal si vous aimez comprendre votre réseau de A à Z.
Tableau — Routeurs (2025)
Modèle (année)
Wi-Fi
Ports RJ45
Pour qui ?
Pourquoi lui
Cudy WR3000 (2023–2025)
AX3000
1×WAN 1G + 3×LAN 1G
Budget < 100 m²
Simple, stable, parfait pour DoH + Adblock
GL-MT3000 (2023)
AX3000
1×2,5G + 1×1G
Nomade / annexe
Compact, facile à configurer
ASUS RT-AX59U (2024)
AX4200
4×1G
Maison standard
Radio propre, bonne portée
ASUS TUF-AX6000 (2024)
AX6000 4×4
WAN 2,5G + LAN 2,5G + 1G
Famille connectée
Débits élevés + faible latence
GL-MT6000 Flint 2 (2023)
AX6000 4×4
2×2,5G + 4×1G
Réseau 2,5 GbE
Très bon en VPN/WireGuard
OpenWrt One AP-24.XY (2024)
AX (2×2/3×3)
2,5G + 1G
Passionnés
Ultra-ouvert, évolutif (M.2)
SYSTÈMES MESH OpenWrt — couverture multi-pièces
Comment raisonner
Backhaul Ethernet (câble entre nœuds) : toujours mieux. Ça libère la radio pour vos appareils et évite les chutes de débit.
Backhaul radio : préférez un kit tri-bande si vous ne pouvez pas câbler.
Mesh OpenWrt : fonctionne en 802.11s (vrai maillage) et roaming 802.11r/k/v pour des bascules invisibles d’un nœud à l’autre.
Bon compromis prix/perfs pour 3 à 5 pièces. Le Wi-Fi 6 est efficace et OpenWrt offre les fonctions utiles (réseau invité, ad-blocking, DNS chiffré). Idéalement, reliez les deux boîtiers en backhaul Ethernet pour garder un Wi-Fi rapide sur tous les appareils. Vérifiez la révision matérielle compatible avant achat.
Un kit récent, discret, et facile à poser. Avec OpenWrt, on active rapidement les réglages de sécurité et le roaming, sans complexité. La couverture est homogène dans une maison de 120 à 180 m². En filaire ou en radio, le maillage reste stable pour le streaming, les visios et le jeu léger.
La valeur sûre pour les grandes surfaces sans câbles. La troisième bande sert de voie dédiée entre nœuds, donc le Wi-Fi reste fluide même en backhaul radio. OpenWrt est mature sur ce modèle, avec un roaming propre entre satellites. C’est le choix “sans surprise” pour une maison exigeante.
Astuce “Mesh DIY” : deux routeurs identiques (ex. 2× RT-AX59U ou 2× TUF-AX6000) reliés en Ethernet, avec 802.11r activé. Dans beaucoup de maisons, c’est plus stable et plus rapide qu’un mesh 100 % radio.
Tableau — Systèmes mesh (2025)
Modèle (packs)
Wi-Fi
Backhaul recommandé
Pour qui ?
Pourquoi lui
Cudy M3000
AX3000
Ethernet
Maison 3–5 pièces
Prix doux, simple à déployer
D-Link M30 Aquila
AX3000
Radio ou Ethernet
120–180 m²
Installation facile, débit stable
Linksys Velop MX4200
AX4200 tri-bande
Radio si pas de câble
Grandes maisons
Bon backhaul sans fil
Mise en route OpenWrt : le “kit privacy” en 7 étapes (5–15 min)
Changez le mot de passe admin dès la première connexion.
Mettez à jour vers la dernière révision 24.10.x disponible pour votre modèle.
Activez WPA2-AES ou WPA3 pour le Wi-Fi (évitez WPA/WEP).
DNS chiffré : installez un paquet DoH/DoT (ex. https-dns-proxy ou smartdns), choisissez un résolveur sérieux (Cloudflare, Quad9).
Bloquez pubs/trackers : installez adblock ou adblock-fast et chargez une liste légitime (par ex. oisd).
Créez un réseau invité séparé pour les objets connectés (SSID + mot de passe dédiés).
VPN (option) : si vous bossez à distance, configurez WireGuard en client vers votre fournisseur VPN, ou en serveur pour accéder chez vous.
Bonus performance : si votre box opérateur est obligatoire, mettez-la en mode bridge (ou DMZ vers le routeur OpenWrt), pour que le routeur OpenWrt gère vraiment le réseau.
Questions fréquentes
Qu’est-ce que Wi-Fi 6, 6E, 7 ?
Wi-Fi 6 = plus d’efficacité et de portée.
Wi-Fi 6E ajoute la bande 6 GHz (plus propre mais portée un peu plus courte).
Wi-Fi 7 va plus loin (agrégation de canaux, MLO), mais les routeurs “OpenWrt-friendly” sont encore rares en 2025.
Je veux juste que ça marche, sans prise de tête. Je choisis quoi ? Logement standard : ASUS RT-AX59U. Grand logement sans câble : Linksys Velop MX4200. Réseau domestique 2,5 GbE ou gros usage VPN : ASUS TUF-AX6000 ou GL-MT6000.
Et si j’ai déjà une box opérateur ? Gardez la box pour l’accès Internet, mais confiez le Wi-Fi et le routage à l’appareil OpenWrt. Idéalement, mettez la box en bridge ou en DMZ vers le routeur OpenWrt.
Wi-Fi 7 : j’achète maintenant ? Pas si vous voulez absolument OpenWrt “propre”. Préférez un bon Wi-Fi 6 maintenant. Vous ne perdrez pas grand-chose en usage réel, et vous gagnerez en stabilité.
Conseils d’achat rapides
Vérifiez la révision exacte du produit avant d’acheter (nom, version matérielle).
Prévoyez un switch 2,5 GbE si vous avez déjà un NAS/PC en 2,5 Gb/s.
Câblez ce que vous pouvez (surtout les nœuds mesh).
Un seul SSID par bande dans la plupart des cas : c’est plus simple, et le roaming fonctionne mieux.
Le réseau Monero (XMR), célèbre cryptomonnaie axée sur la confidentialité, traverse une période de turbulence. L’exchange américain Kraken a annoncé la suspension temporaire des dépôts après qu’un pool de minage, Qubic, a pris le contrôle de plus de 50 % de la puissance de calcul du réseau. Cet épisode relance le débat sur la sécurité des blockchains de taille moyenne et la résilience des cryptomonnaies dites « anonymes ».
Kraken gèle les dépôts de Monero
Dans la nuit du 15 au 16 août 2025, la plateforme Kraken a décidé de bloquer temporairement les dépôts en XMR. En cause : une attaque dite « 51 % », situation où un acteur ou un groupe parvient à contrôler plus de la moitié de la puissance de calcul du réseau.
Ce scénario redouté permet de réorganiser la chaîne de blocs, de retarder la validation de certaines transactions et, dans les cas les plus graves, d’exécuter des attaques en double dépense. Dans le cas de Monero, Qubic — un pool de minage jusqu’alors relativement confidentiel — a soudainement concentré une puissance de calcul colossale, déclenchant une prise de contrôle temporaire.
Bien que la suspension décidée par Kraken ne concerne que les dépôts (et non les retraits), cette mesure préventive reflète l’inquiétude croissante de la communauté face à la centralisation du hashrate.
Qu’est-ce que Monero et pourquoi séduit-il autant ?
Lancé en 2014, Monero (XMR) est une cryptomonnaie conçue pour garantir la confidentialité totale des transactions. Contrairement à Bitcoin ou Ethereum, où chaque transfert est traçable publiquement, Monero masque par défaut :
Les montants échangés grâce aux RingCT (Ring Confidential Transactions).
L’identité des expéditeurs et des destinataires via des adresses furtives.
La provenance des fonds avec les signatures en anneau, qui brouillent les pistes en mélangeant plusieurs signatures.
Cette approche a fait de Monero la monnaie de prédilection pour les utilisateurs soucieux de leur vie privée. Les défenseurs du projet mettent en avant :
Une confidentialité par défaut inégalée dans l’écosystème crypto.
Une résistance aux ASICs via l’algorithme RandomX, favorisant un minage plus décentralisé.
Une fongibilité parfaite : chaque XMR est interchangeable, puisqu’il est impossible de remonter à son historique.
Cependant, cette confidentialité extrême a aussi un revers. Monero est souvent associé :
Aux transactions sur le darknet.
Au blanchiment d’argent et aux ransomwares, qui privilégient XMR pour son opacité.
Aux pressions réglementaires, certaines plateformes refusant désormais de lister Monero pour éviter des sanctions liées aux normes anti-blanchiment (AML/CFT).
Ainsi, Monero incarne à la fois l’utopie de la vie privée financière et le cauchemar des régulateurs.
Les risques d’une attaque 51 %
L’incident survenu mi-août n’est pas le premier du genre dans l’univers des cryptomonnaies. Plusieurs réseaux Proof-of-Work de taille moyenne, comme Ethereum Classic ou Bitcoin Gold, ont déjà subi des attaques similaires. Mais pour Monero, qui se veut une référence en matière de sécurité et de confidentialité, le choc est symboliquement fort.
Un attaquant qui détient plus de 50 % de la puissance de calcul peut :
Retarder ou censurer des transactions.
Réorganiser la blockchain pour créer des versions alternatives.
Tenter des doubles dépenses, compromettant la confiance dans le réseau.
Pour l’instant, aucune perte majeure n’a été signalée. Mais l’événement met en lumière la fragilité d’un système qui repose sur un équilibre délicat entre la décentralisation du minage et la puissance des pools.
Une communauté mobilisée et un prix résilient
Malgré l’attaque, Monero a montré une étonnante résilience. Son cours, après une légère chute initiale, a rapidement retrouvé de la vigueur. Cette robustesse s’explique par :
La confiance de sa communauté très attachée à l’idéologie de la vie privée.
L’évolution du protocole, avec des mises à jour comme Seraphis, censées renforcer l’efficacité et la sécurité.
La demande croissante pour des solutions financières réellement confidentielles, à l’heure où la surveillance numérique et la régulation financière s’intensifient.
Certains analystes estiment même que cette attaque pourrait pousser les développeurs à accélérer leurs travaux sur la décentralisation accrue du minage et sur de nouveaux mécanismes de sécurité.
Conclusion : entre fragilité technique et force idéologique
L’attaque 51 % subie par Monero rappelle que même les cryptomonnaies les plus réputées pour leur robustesse ne sont pas invulnérables. Elle met en lumière un paradoxe : d’un côté, Monero demeure la référence en matière de confidentialité ; de l’autre, il reste exposé aux faiblesses structurelles du Proof-of-Work.
Cette tension pourrait bien façonner l’avenir du projet. Une chose est certaine : tant que la demande pour une monnaie numérique véritablement privée persistera, Monero restera au cœur des débats — entre innovation technologique, résistance communautaire et pressions réglementaires.
Tu cherches un moteur de recherche qui ne t’aspire pas la vie privée, et qui ne dépend pas des humeurs d’une grosse plateforme ? SearXNG est pile dans ce créneau. C’est un métamoteur Open Source qui agrège des résultats depuis plein de sources, sans profilage utilisateur. Tu peux l’utiliser via des instances publiques déjà en ligne, ou carrément déployer la tienne sur un petit VPS pour garder la main sur tout. Si tu es très sensibilisé à la confidentialité, l’auto-hébergement reste la voie la plus cohérente.
SearXNG en deux mots
SearXNG n’indexe pas lui-même le web comme Google. Il sert plutôt d’orchestrateur. À chaque requête, il interroge en parallèle différentes sources de recherche (généralistes, images, code, fichiers, etc.) et te renvoie une page unique, triée, sans trackers maison. Comme c’est du logiciel libre, le code est lisible, forkable, auditable. Tu ne dépends pas d’un éditeur opaque : tu sais ce qui tourne, tu peux désactiver ce qui ne te plaît pas, tu peux aussi choisir les sources à activer selon tes besoins. L’expérience est sobre, rapide, efficace. C’est parfait pour quelqu’un qui veut juste chercher sans se faire profiler et sans devenir un produit marketing.
Évidemment, l’outil est une chose… et l’instance qui l’héberge en est une autre. Une instance publique peut très bien jouer le jeu de la privacy, comme elle peut, en théorie, loguer ou altérer l’affichage.
SearXNG ne t’empêche pas de faire n’importe quoi si tu contrôles l’instance ; il te donne simplement un socle sain. C’est pour ça que beaucoup de gens testent d’abord une instance publique, puis basculent sur leur propre instance quand ils veulent verrouiller le sujet et maximiser les garanties de préservation de sa vie privée.
Public ou perso ? Ce qu’il faut retenir
Si tu veux juste goûter à SearXNG, tu peux passer par une instance publique trouvable via l’annuaire communautaire searx.space. C’est immédiat, zéro config. Le compromis, c’est la confiance : tu délègues à l’opérateur la gestion des logs, du reverse proxy, des réglages de confidentialité fine, des mises à jour. Pour un usage occasionnel, ça tient la route. Pour un usage quotidien et un niveau d’exigence élevé sur la vie privée, on recommande clairement de déployer ton instance.
Déployer SearXNG soi-même n’a rien d’élitiste. Un petit VPS chez IONOS ou Hostinger suffit largement, ensuite tu suis le tutoriel officiel. Tu peux l’installer en conteneur, choisir un reverse proxy que tu maîtrises, activer seulement les moteurs utiles, forcer la méthode POST, décider de ne pas conserver de logs, et si tu veux aller plus loin, faire sortir les requêtes via un proxy. Le bénéfice principal, c’est la maîtrise : tu sais comment la stack est configurée, tu sais ce qui est journalisé (ou pas), tu sais comment c’est mis à jour. Et tu peux l’intégrer proprement à tes navigateurs et à tes appareils, comme n’importe quel moteur par défaut.
Comparatif rapide
Option
Ce que ça change
Pour qui
Points d’attention
Instance publique
On teste sans rien installer, on accepte de faire confiance à l’opérateur
Curieux, usages ponctuels et déjà la garantie de ne pas avoir de cookies qui trace ton activité
Qualité variable selon l’instance, réglages figés, disponibilité non garantie
Instance auto-hébergée (VPS)
Contrôle total des réglages, des logs, des sorties réseau
Utilisation quotidienne, profils très privacy
Un minimum d’admin système, mises à jour à suivre, respect des conditions des sources interrogées
On ne va pas se mentir : si ton objectif est d’arrêter de parier ta vie privée sur la bonne foi de tiers, l’instance perso gagne par K.O. Tu sécurises la chaîne de bout en bout, tu ne dépends plus d’un inconnu, et tu peux même mutualiser l’accès pour ta famille ou ton équipe.
Et l’expérience au quotidien ?
Au quotidien, SearXNG ressemble à un moteur de recherche classique, sobre et rapide. Tu tapotes, tu obtiens des résultats pertinents issus de plusieurs sources, tu ajustes la recherche si besoin.
Pas de publicité intrusive par défaut, pas de bannière qui te poursuit. Si tu auto-héberges, tu peux adapter l’interface, le thème, les timeouts, voire régler précisément les moteurs qui t’intéressent et ceux à éviter. Si tu passes par une instance publique, tu profites de ses choix ; quand ça ne te convient plus, tu sais que la porte de sortie existe.
Pour l’intégrer, rien de sorcier. On met l’URL comme moteur par défaut dans le navigateur, on la synchronise sur les appareils, et c’est parti. L’idée, c’est que la recherche redevienne un service utile, pas une régie publicitaire déguisée. Et c’est exactement ce que SearXNG permet, sans t’enfermer dans un écosystème.
Tu veux une reco claire ? Si tu es juste curieux, essaie une instance publique pour te faire une idée. Si la confidentialité est un vrai sujet pour toi, déploie ta propre instance sur un petit VPS et intègre-la partout. C’est simple, durable, et tu ne reviendras pas en arrière.
Tout commence par un simple clic. Pourtant, derrière ce geste anodin se cache une mécanique bien plus complexe : celle de l’interface qui relie l’utilisateur à ses choix. On ne parle pas ici de gadgets esthétiques ou de design à effet. On parle d’un levier décisif, capable de faire basculer une décision, d’accélérer une stratégie ou de freiner une réaction. Une plateforme peut avoir les meilleurs outils du marché, s’il faut cinq écrans et trois menus pour les atteindre, elle est déjà hors-jeu. Et dans un environnement où tout va très vite, l’ergonomie n’est pas un bonus : c’est une nécessité.
Un tremplin visuel pour les premiers pas dans le trading
Quand on commence à s’intéresser au trading, ce n’est pas l’analyse technique ou les tendances de marché qui découragent en premier. C’est l’interface. Trop souvent, les plateformes ressemblent à des tableaux de bord d’ingénierie spatiale, où chaque bouton devient une énigme. Pourtant, ce n’est pas une fatalité. Une interface bien pensée devient un point d’entrée naturel pour apprendre, comprendre et oser cliquer.
Ce besoin de clarté est si fort que certaines plateformes ont redéfini complètement leur approche. C’est notamment le cas des solutions qui proposent les options sur Bitcoin, où l’interface est conçue pour guider, pas pour impressionner. Fini les menus sans fin et les fonctionnalités cachées derrière trois sous-catégories. On trouve désormais des espaces visuels épurés, une navigation fluide, et parfois même une touche de gamification qui transforme l’apprentissage en parcours interactif. Chaque action, chaque information est placée là où l’utilisateur s’y attend, sans besoin de deviner ni de chercher pendant dix minutes.
Ce type de configuration rassure les débutants. Ils ne se sentent pas perdus ou dépassés, mais au contraire soutenus, comme si la plateforme s’adaptait à leur rythme. Le bouton “acheter” n’est pas dissimulé derrière une avalanche de conditions. Les graphiques se lisent en un coup d’œil. Et les outils avancés sont là, mais discrets, en arrière-plan, prêts à se dévoiler quand le trader gagne en confiance.
La vitesse n’est pas un luxe, c’est une arme
Dans un environnement où chaque seconde peut faire la différence entre une bonne opération et une perte sèche, la réactivité d’une interface devient un critère décisif. Les traders chevronnés, tout comme les débutants motivés, n’ont pas le temps de lutter avec des plateformes lentes ou figées. Quand une opportunité se présente, il faut pouvoir agir immédiatement – pas attendre qu’un graphique charge ou qu’un bouton réponde.
Les meilleures plateformes l’ont bien compris. Elles se sont débarrassées des lourdeurs inutiles pour proposer des interfaces qui réagissent au quart de tour, même sur mobile. La fluidité ne doit pas dépendre de la puissance d’un appareil ou de la vitesse d’un réseau.
Chaque élément, qu’il s’agisse d’un indicateur, d’un carnet d’ordres ou d’une option de trading rapide, doit être accessible sans effort, exactement au moment où l’utilisateur en a besoin.
Même sur smartphone, tout doit rester lisible, utilisable, immédiat. Les interfaces intelligentes ne ralentissent pas les décisions ; elles les accompagnent. Les raccourcis bien placés, les menus qui s’ouvrent là où on les attend, et les temps de réponse ultra-courts deviennent les véritables alliés d’un trading efficace. Là où chaque clic compte, la rapidité est une forme de confort, mais surtout un avantage stratégique.
Quand la mise en page devient un outil de lecture mentale
Avoir toutes les données sous les yeux ne sert à rien si elles ne sont pas compréhensibles à première vue. Trop d’informations, mal agencées, brouillent la prise de décision. Un bon design visuel, c’est un peu comme une carte bien dessinée : il montre les chemins sans qu’on ait besoin de les chercher.
Sur une interface bien pensée, les yeux savent instinctivement où aller. Les chiffres importants ressortent sans qu’on ait à les scruter. Les tendances se lisent au premier coup d’œil, et les volumes deviennent des courbes claires plutôt qu’un amas de chiffres bruts. Les plateformes les plus efficaces ne misent pas sur la complexité graphique, mais sur l’élégance fonctionnelle. Contrastes nets, typographies lisibles, couleurs cohérentes : tout est orchestré pour traduire l’information en action.
Même les outils d’analyse avancée ne devraient pas donner l’impression de lire un mode d’emploi. Lorsqu’un graphique interactif permet à l’utilisateur de zoomer, annoter, changer d’échelle ou croiser des indicateurs en deux clics, il ne s’agit plus seulement de données, mais d’un langage visuel parfaitement maîtrisé. Le rôle de l’interface ici n’est pas de montrer, mais de faire comprendre.
La sécurité commence avec ce qu’on voit
Il ne suffit pas d’avoir des protocoles solides en coulisse. Si l’interface ne guide pas clairement l’utilisateur, les failles apparaissent ailleurs : dans les mauvaises manipulations, les oublis, les clics hâtifs.
Les confirmations de transaction, par exemple, devraient sauter aux yeux, avec des encadrés colorés et des résumés compréhensibles. L’activation de la double authentification ne doit pas ressembler à une opération technique obscure, mais à un geste fluide, expliqué au bon moment avec des instructions limpides.
C’est ici que le design visuel devient un bouclier : quand tout est compréhensible, l’utilisateur évite les erreurs, et les intrus trouvent moins de portes mal fermées.
Une plateforme bien conçue ne laisse pas le doute s’installer. Elle affiche les connexions suspectes, propose de vérifier les adresses de retrait, alerte dès qu’un comportement semble inhabituel.
Les machines à sous ont subi de nombreux changements depuis leur apparition. Aujourd’hui, un grand nombre de machines à sous modernes et classiques dans le casino online, notamment AllySpin, offrent non seulement des rouleaux et des lignes, mais aussi des mini-jeux uniques et des éléments en 3D. Cependant, les fans sont nombreux, tant pour les machines à sous classiques que pour les machines à sous modernes. Vous découvrirez ci-dessous leurs différences, comment choisir la meilleure option pour vous et une liste des jeux populaires dans les deux catégories.
Principales différences dans le fonctionnement
Les machines à sous classiques sont un pur concentré de nostalgie. Très souvent, elles ont 3 rouleaux, 1 à 5 lignes de paiement et des symboles classiques. Les machines à sous classiques sont généralement dominées par des fruits, des sept, des cloches et des symboles standard que l’on trouvait dans les machines physiques. Ces jeux ont un minimum d’effets et de règles complexes. Les machines à sous classiques sont idéales pour débuter.
Les machines à sous modernes du casino online proposent quant à elles entre 5 et 7 rouleaux et des dizaines, voire des centaines, de lignes de paiement. Elles offrent des mécanismes uniques tels que Megaways, Cluster, ainsi que des jeux bonus, des tours gratuits et des multiplicateurs uniques. Les machines à sous modernes seront un véritable trésor pour les amateurs expérimentés de sensations fortes, d’intrigues et d’interactivité.
Influence du design et des fonctions bonus
Les machines à sous classiques reproduisent le plus souvent le style des anciennes machines à sous. Elles ont des animations limitées, un design plat et proposent une musique d’ambiance rétro. Les machines à sous modernes, quant à elles, proposent des thèmes musicaux, des thématiques variées, des animations 3D et des effets spéciaux.
On observe également des différences au niveau des bonus. Les machines à sous classiques du casino online n’offrent généralement pas de bonus autres que le symbole de remplacement et le simple respin. Les machines modernes offrent quant à elles un ensemble de fonctionnalités uniques sous forme d’événements aléatoires, de jackpots, de respins, de chaînes de tours gratuits et bien plus encore.
Comment choisir un jeu qui correspond à votre style
Pour trouver la machine à sous qui vous convient, il ne faut pas seulement se baser sur la volatilité et le RTP. L’assortiment du casino online est varié, donc chacun peut trouver des jeux auxquels il souhaite jouer régulièrement. Il vaut mieux choisir des machines à sous classiques si le joueur :
Souhaite un jeu simple et rapide.
Préfère une ambiance rétro.
Apprécie les gains fréquents et modestes.
N’aime pas mémoriser des règles complexes.
Dans ce cas, il vaut mieux jeter un œil à la section des machines à sous classiques. Mais les machines modernes sont à privilégier si le joueur :
Est intéressé par les gros bonus.
Veut ressentir le frisson du jeu.
Aime les solutions et les mécanismes originaux.
Préfère les graphismes et les scénarios.
En général, les machines à sous classiques se trouvent dans une section séparée. Les jeux modernes se trouvent dans la section « Nouveautés » ou « Populaires ». Cependant, le choix d’un divertissement particulier dépend entièrement de vos préférences.
Exemples de représentants populaires des deux catégories
Maintenant, il convient de s’attarder plus en détail sur les représentants des deux catégories. Si vous ne souhaitez pas passer beaucoup de temps à rechercher des jeux séparément dans le casino online, utilisez les noms et la barre de recherche. Les machines à sous classiques sont Lucky Joker, 777 Coins, Hot Fruits et Hottest Fruits 40. De nouvelles machines à sous modernes sont ajoutées chaque jour, mais il existe déjà des favorites, telles que Sweet Bonanza, Sun of Egypt 3, Gummy Rain x1000 et Red Planet: Rapid Link.