Test du Framework Laptop 16 (2025) : j’ai démonté mon PC portable pour y mettre une RTX 5070
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Pas grave si vous ne respectez pas les exigences juridiques, vous pouvez vous rattraper par vos investissements en Europe.
Le CISPE interprète ainsi le Cloud Sovereignty Framework.
L’association représentative des CSP européens ne mâche pas ses mots au sujet de ce document qui doit servir de référence pour la commande publique de services cloud au niveau de l’UE. Elle y voit une porte grande ouverte aux hyperscalers étrangers.
Le Cloud Sovereignty Framework doit fournir une grille de lecture « souveraine », articulée en 8 objectifs. Sa première mise en application est censée se faire dans le cadre d’un appel d’offres à 180 M€. Lequel permettra aux institutions, organes, bureaux et agences de l’UE d’acheter ses services IaaS et PaaS pour 6 ans. Jusqu’à 4 fournisseurs obtiendront un contrat (attribution prévue entre décembre 2025 et février 2026).
La Commisison européenne dit s’être inspirée du référentiel cloud de confiance du Cigref, des règles de Gaia-X et du cadre européen de certification de cybersécurité (NIS 2 et DORA sont cités). Elle évoque aussi les stratégies nationales « comme en France et en Allemagne ». Ainsi que les pratiques internationales en matière de contrôle des exportations, de résilience des chaînes d’approvisionnement et d’audits de sécurité.
Nous reprenons ci-dessous les 8 objectifs du Cloud Sovereignty Framework et les principaux enjeux qui les sous-tendent, tels que formulés.
Sur chaque objectif, on détermine un niveau d’assurance entre 5 échelons :
0 (pas de souveraineté)
Service, technologie ou activité sous le contrôle exclusif de tiers non européens entièrement soumis à des juridictions non européennes.
1 (« souveraineté juridictionnelle »)
La législation de l’UE s’applique, mais son exécution est limitée en pratique.
Service, technologie ou activité sous le contrôle exclusif de tiers non européens.
2 (« souveraineté des données »)
La législation de l’UE est applicable et exécutoire.
D’importantes dépendances demeurent (service, technologie ou activité sous contrôle indirect de tiers non européens).
3 (« résilience numérique »)
La législation de l’UE est applicable et exécutoire.
Les acteurs européens exercent une influence significative mais pas totale (service, technologie ou activité sous contrôle marginal de tiers non européens).
4 (« souveraineté numérique complète »)
Technologie et activité sous contrôle européen total, sujettes seulement à la législation de l’UE, avec aucune dépendance critique à du non européen.
En complément au niveau d’assurance, on calcul un « score de souveraineté », avec une pondération par objectif :
Cette pondération prend en compte le fait que la procédure de commande contient déjà des garde-fous importants dans certains domaines, comme la souveraineté juridique et la sécurité/conformité, précise Bruxelles.
Le CISPE estime qu’un tel système créant une « moyenne de moyennes » ne favorise pas la transparence. L’association regrette par ailleurs la présence d’objectifs « inatteignables » (contrôle européen complet sur tous les composants matériels) et d’idées « vagues » (garanties sur le changement de contrôle). « On ne peut pas être souverain à 75 %, ajoute-t-elle : on l’est ou on ne l’est pas, comme un aliment est bio ou pas« .
À l’instar du CISPE, l’initiative industrielle EuroStack se demande dans quelle mesure un fournisseur mal noté sur les deux premiers critères pourait se rattraper sur les autres. Elle rappelle avoir récemment publié sa propre proposition de framework, et souligne les différences avec celui de la Commission européenne. Parmi elles :
Deloitte, qui a un partenariat avec AWS, avance les choses différemment. Il envisage un framework à 4 couches (opérations, data, logiciel/infra, sécurité)… et affirme que l’offre AWS Sovereign Cloud y répond (isolation physique et logique, exploitation indépendante, support technique par des résidents de l’UE, etc.).
Hexadone a aussi réagi… pour mettre en avant l’intérêt de ses prestations (valorisation des données territoriales). La coentreprise Orange-Banque des territoires juge que le pilier data et IA du Cloud Sovereignty Framework reste focalisé sur les aspects techniques et juridiques. Alors que la souveraineté des territoires repose aussi – « et surtout » – sur la manière dont les données sont produites, partagées et gouvernées. « La vraie souveraineté ne consiste pas seulement à héberger des fichiers en Europe, mais à garder la main sur leur sens, leur usage, leur impact« , explique-t-elle.
Illustration générée par IA
The post Cloud Sovereignty Framework : pourquoi l’UE essuie des critiques appeared first on Silicon.fr.

FreeSWITCH est le principal framework de communication open-source qui alimente certaines des plus grandes infrastructures de téléphonie au monde. Il est maintenu et sponsorisé par SignalWire, une société fondée par les principaux développeurs de FreeSWITCH en tant que solution alternative pour le déploiement de télécommunications définies par logiciel dans le nuage. Vous avez ainsi la possibilité d'architecturer et de construire avec FreeSWITCH ou, au contraire, d'utiliser l'infrastructure de plate-forme de bas niveau de SignalWire pour un déploiement rapide et facile. À vous de choisir.
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Une métaphore intéressante qui résume le problème de certains (meta-) frameworks modernes qui essayent de tout faire et imposent de fait une complexité démesurée.
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Framework pour faire des applis natives multi plateforme.
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