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Grâce aux économies qu’il a pu faire en achetant en vrac, il s’offre un billet d’avion pour les Seychelles

C’est un petit geste qui peut rapporter gros au quotidien. Thierry R. qui a pris l’habitude d’acheter en vrac et d’utiliser des emballages réemployables, affirme avoir réussi à économiser plusieurs centaines d’euros. « En payant uniquement pour ce que j’achète au gramme près et en récupérant l’argent des emballages consignés, j’ai pu accumuler un petit pactole, tout en réduisant mon gaspillage alimentaire » lance-t-il en nous montrant la tirelire réutilisable où il cache son petit magot.

L’homme qui affirme avoir changé ses habitudes de consommation depuis plus de deux ans déclare avoir atteint l’équilibre économique et écologique. « En plus de l’argument économique, j’ai aussi pu réduire mon empreinte carbone. C’est comme des miles écologiques que je peux dépenser à ma guise » s’exclame-t-il en se précipitant pour louer en ligne un véhicule SUV pour le week-end.

Selon les porte-paroles de l’initiative Vrac & Réemploi, juste l’essentiel, l’exemple de Thierry R. n’est pas isolé. « Chaque année, nous recevons de nombreux témoignages de Français heureux de pouvoir faire des économies grâce à l’achat en vrac » explique un membre de l’association.

Thierry R. affirme vouloir continuer à transmettre les bons gestes auprès des personnes qu’il croisera aux Seychelles. « J’ai pris une gourde pour boire des cocktails à la coco et une autre pour la crème solaire. C’est parti ! » lance-t-il avant de monter dans son avion sur les bravos des autres passagers.

Et si vous voulez être comme Thierry R. et faire des économies, rendez-vous sur vracetreemploi.com. Vous pourrez par exemple y apprendre que la consommation en vrac est moins chère de 4% à 22% que le préemballé. Par contre, on vous retrouve en vacances à Bordeaux et pas aux Seychelles. Attention, on vous surveille.

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Lutte contre le harcèlement de rue : les femmes invitées à ne plus se maquiller et à s’habiller en jogging super moches

Selon des recherches très sérieuses et documentées, ne plus porter de maquillage et se vêtir de joggings moches pourrait ainsi mettre fin au fléau du harcèlement de rue dont sont victimes des millions de femmes chaque jour. D’après ces scientifiques, si l’on part du principe que porter des vêtements trop aguicheurs ou mettre du maquillage peut être interprété comme un signal indiquant que l’on veut absolument obtenir tous les numéros de téléphone de tous les hommes présents dans une même rue, alors il suffit de supprimer les vêtements attractifs et le maquillage. “C’est élémentaire, je me demande même pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt”, s’est félicité un scientifique après avoir rendu son rapport complet d’environ cinq lignes sur la question.

Dans l’immédiat, plusieurs grandes marques de vêtements ont annoncé leur volonté d’aider à éradiquer ce fléau du harcèlement de rue en proposant de nouvelles gammes de joggings spécifiquement désignés pour être très moches mais cependant toujours confortables. Nous sommes ici face à une des plus spectaculaires avancées majeures en matière de droits des femmes. 

Par contre, ce que ces documents ne vous montre pas, c’est la dure réalité de plus 75 % des femmes qui ont déjà été victimes de harcèlement sexuel dans l’espace public au moins une fois dans leur vie. Car oui, il y a des statistiques qui montrent l’urgence de la situation :  

  • 66 % des femmes se sentent en insécurité dans l’espace public 
  • 47% des femmes ont personnellement fait l’objet de commentaires ou de plaisanteries sexuellement suggestifs ou intrusifs sur leur apparence, leurs vêtements, leur anatomie ou leur allure dans l’espace public 
  • Pour éviter ce genre de situation, 60 % d’entre elles adaptent leurs vêtements ou leur apparence 
  • En France, dans 45 % des cas, aucun témoin n’est intervenu pour aider la victime

Les conclusions de la (réelle) enquête mondiale menée par L’Oréal Paris avec Ipsos montrent qu’il est plus que jamais essentiel de faire évoluer les mentalités sur le harcèlement sexuel. Il est crucial de sensibiliser et de former un maximum de personnes. C’est ce que fait la marque avec son programme de formation gratuit Stand Up contre le harcèlement de rue. Face aux idées reçues et aux clichés, les femmes se reprochent parfois d’avoir été harcelées, alors qu’en réalité, ce n’est jamais leur faute. 

Nous vous invitons à vous initier à la méthodologie des 5D qui est une formation rapide pour apprendre cinq gestes simples et efficaces qui permettent aux témoins et aux victimes de harcèlement de rue de réagir, en toute sécurité́.

Le programme Stand Up contre le harcèlement de rue a été créé par L’Oréal Paris, en partenariat avec Right to be et la Fondation des Femmes en France. À ce jour, plus de 3,5 millions de personnes ont déjà été formées dans le monde et près de 170 000 en France. 

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Blue Monday : il s’habille tout en bleu, ses collègues préfèrent l’ignorer

20 janvier 2025 à 08:52

C’est un geste qui a plongé tout un open space entre stupeur et indignation. Gérald M, un chargé de comptabilité de 35 ans est arrivé au bureau vêtu d’une chemise bleu cobalt, d’un t-shirt bleu ciel et de lunettes bleu azur. Le tout, le jour du Blue Monday, jour considéré comme le plus triste et déprimant de l’année par l’ensemble des scientifiques de la galaxie.

Selon de nombreux témoins, Gérald a adopté un comportement extrêmement étrange. Affichant une bonne humeur ostentatoire tout au long de la journée, l’homme serait allé jusqu’à fredonner les chansons I’m Blue (Da Ba Dee), ou Ce Rêve bleu, provoquant l’incompréhension chez tous les employés de l’entreprise.

Interrogé sur ses motivations, l’homme semble assumer son comportement sans aucune retenue. « C’est le Blue Monday, non ? Autant jouer le jeu » a-t-il déclaré dans un calme glaçant devant ses collègues médusés. Une sortie qui a rapidement déclenché des murmures accusateurs dans les couloirs.

« Nous avons tout fait pour l’ignorer et ne pas rentrer dans son jeu, mais il est revenu à la charge plusieurs fois »  explique l’un d’entre eux qui raconte une scène malaisante de Gérald utilisant un feutre bleu pour surligner tous les documents de l’entreprise en répétant « être dans le thème de la journée ».
L’exaspération a atteint son paroxysme lors de la pause déjeuner. Gérald aurait alors sorti sa Swile Card pour l’exhiber fièrement devant ses collègues. « Et regardez ma carte Swile, j’avais le choix de la couleur, je l’ai prise en bleue aussi » a-t-il lancé avant de se tourner vers le serveur pour commander « une viande rouge… et pour la cuisson, bleue ». Un nouveau dérapage qui a provoqué le départ de ses collègues pour une table plus éloignée.


Pour sa défense, Gérald affirme qu’il voulait juste « ramener un peu de sourire et de légèreté » à cette journée, qu’il qualifie d’absurde. Péniblement arrivés à bout de cette journée compliquée, ses collègues ont été encore plus saisis d’effroi quand, Gérald à lancé vouloir prolonger l’expérience dès le lendemain en proposant de lancer la mode du Yellow Tuesday. 

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