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Reçu aujourd’hui — 2 mai 2025Choses vues, sur le web et ailleurs

Connaître la capacité maximale de RAM supportée par votre PC

Je me note ça là :

> Pour savoir la capacité maximale de RAM supportée par votre PC, une seule ligne de commande suffit. Suivez simplement ces quelques étapes :

> Ouvrez l’Invite de commandes. Pour ce faire, cliquez sur le menu Démarrer, puis recherchez « cmd » (sans les guillemets) et sélectionnez Invite de commandes dans les résultats de recherche.

> Tapez ou copiez et collez la commande suivante dans l’Invite de commandes et validez avec Entrée :

> wmic memphysical get MaxCapacity, MemoryDevices

> Vous obtiendrez alors deux informations importantes :

> - MaxCapacity : Indique la capacité maximale de RAM (exprimée en kilo-octet) que vous pouvez installer dans votre ordinateur. Pour convertir cette valeur en gigaoctet (Go), vous devez la diviser par 1048576.
>-  MemoryDevices : Indique le nombre d’emplacements (ou slots) dédiés à la RAM sur la carte mère de votre ordinateur.
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Pratiques anticoncurrentielles : Apple et son App Store accusent un lourd revers judiciaire aux Etats-Unis – Libération

MAIS COMMENT QUE C'EST TROP BIEN FAIT POUR TA GUEULE, APPLE !
A trop pousser le bouchon, il fallait bien qu'il y ait un retour de bâton.
Corentin Benoit-Gonin (Kocobé) vous a fait un résumé à sa façon dans les news de CanardPC, je vous le recopie ici :
> « J’aimerais qu’Apple arrête de me prendre pour un jambon. » Voilà en substance ce que la juge a exprimé dans sa décision du 30 avril sur l’éternel affrontement opposant Epic Games à Apple. Le premier reproche au second sa commission (généralement de 30 %) sur les transactions dans les applications de l’App Store. En 2021, un premier jugement ordonne à Apple de ne pas empêcher les développeurs d’indiquer des moyens extérieurs de paiement. Apple s’exécute de la manière la plus insolente possible : en taxant les développeurs à hauteur de 27 % de ces transactions. Ce nouveau jugement siffle sèchement la fin de la récré, interdit toute commission sur les transactions extérieures et interdit toute entrave à leur promotion au sein des apps. Satisfait, Epic annonce le retour de Fortnite sur l’App Store. Quant à la firme à la pomme, elle fait savoir qu’elle compte faire Apple. K.
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«Les autres sont tous des voleurs» : en Roumanie, des électeurs désabusés prêts à se jeter dans les bras de l’extrême droite – Libération

Après l'annulation du scrutin présidentiel et l'interdiction de se présenter du candidat d'extrême-droite, les roumains semblent avoir reportés tous leurs espoirs (gageons qu'ils seront malheureusement vite déçus) sur un autre candidats d'extrême-droite.

Les arguments des personnes interrogées dans l'article font froid dans le dos (ils parlent essentiellement du candidat interdit) : "il parle bien", "il nous a promis tel et tel truc", "il est comme nous", etc.

Si ça vous rappelle et Trump et le discours du FN, c'est absolument normal. C'est la même mécanique de discours dominant dans les médias + défiance envers la classe politique ("tous des voleurs") et envers l'Europe (qui a pourtant contribué à sortir le pays de la misère), aggravé ici par une nostalgie de l'époque de la dictature de Ceaucescu (en gros "on n'était pas libres mais on avait du travail").

Avant-hier la Hongrie, hier les USA, demain la Roumanie.
Après-demain la France.
La bascule est totale, générale, inarrêtable. Les peuples veulent-ils vraiment le retour de régime autoritaires ? Ou sommes-nous tous manipulés ?
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Benzine Cyprine | Kamille Lévêque Jégo - Artiste Photographe

Les travaux de la photographe Benzine Cyprime évoquée par Seb tout à l'heure (https://sebsauvage.net/links/?R_lFlQ) ; j'irais même plus loin que lui : au-delà de mettre en scène des femmes fortes, ce qui dérange les mascus décervelés, c'est de mettre en scène des femmes fortes **avec les attriibuts et les codes de la virilité**.
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«On nous a demandé de creuser notre propre tombe» : comment Duolingo a embauché l’IA pour évincer ses traducteurs – Libération

SebSauvage a en parlé l'autre jour (https://sebsauvage.net/links/?fe_oig) : non seulement Duolingo remplace ses traducteurs par de l'IA (qu'est qui pourrait bien foirer ?), mais elle avait déjà commencer à le faire *avant* de l'annoncer. Le plus dégueulasse, c'est que les traducteurs virés ont parfaitement conscience qu'on leur a demandé "de creuser leur propre tombe" : c'est leur travail qui a servi a alimenter l'IA qui désormais les remplace.

Et maintenant ? Maintenant la boite met la pression sur les employés non traducteurs, sommés d'utiliser l'IA dans leur travail...
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A l’école de cinéma Kourtrajmé, à Marseille, l’écriture inclusive dérange la région – Libération

A choisir entre lutte contre la précarité et le chômage longue durée, ou lutte contre "l'écriture inclusive" et le "wokisme", la région PACA a choisi... la lutte contre le "wokisme", bien sûr, parce qu'écrire (par exemple) "les acteurices" ou bien "les hommes et les femmes", ça tue la langue française. Bien sûr. Chacun ses priorités hein.

Qui a dit trumpisme ?
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Jeu vidéo : la sortie de «GTA VI» de nouveau reportée, au 26 mai 2026 – Libération

Eh ben, vous savez quoi ? C’est un excellente nouvelle.
Déjà parce qu'on va arrêter de nous casser les pieds avec ce jeu pour cette année ; ensuite parce que ça fera de la plcae aux autres sorties qui sans ça auraient été dans l'ombre.
Accessoirement, si ça peut rendre le jeu meilleur, c'est pas plus mal non plus.
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«Clair obscur : Expedition 33», aubaine capitale – Libération

> Les résistances initiales s’évanouissent complètement dès que surgissent les premiers combats. Le classicisme du tour par tour des jeux de rôle japonais qui servent de modèle à Clair obscur se trouve profondément bouleversé par l’ajout de phases défensives en temps réel, hyper dynamiques, qui invitent à esquiver-parer dans le bon tempo (au point d’évoquer la rythmique d’un jeu musical). Cette hybridation permet aux affrontements de se déployer dans une dimension stratégique et cérébrale – comprendre la logique propre à chacun des trois personnages qu’on contrôle et faire naître des synergies, chaque nouvel adversaire imposant de nouvelles contraintes – sans sacrifier le côté viscéral d’un jeu d’action, les fenêtres de parade étant si resserrées qu’elles obligent de rester à l’affût du moindre signal lumineux ou sonore.

> Dans les faits, cela donne des joutes régulièrement dantesques où l’on peut se faire rétamer en deux tours, avant de comprendre la gestuelle d’un ennemi, et de parvenir à le battre à plate couture quelques minutes plus tard. En métissant les mécaniques de Final Fantasy ou Persona à l’urgence des jeux FromSoftware (plutôt Sekiro qu’Elden Ring), Clair obscur fait émerger un système neuf, profond, soigné dans ses moindres détails, qui porte le jeu du début à la fin.
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Assassinat d’Aboubakar Cissé : les dessous d’une apathie d’État | Mediapart

Purée, il n'y a rien qui va dans cette (sordide) affaire : un meurtre raciste, un deux poids, deux mesures de l’État, des représentants de l’État qui confonde la victime, l'assassin et le procureur... OUI, il y a une islamophobie d'Etat ; elle est même visible à travers les lapsus à répétition des mêmes responsables lorsqu'ils ont daignés s'intéresser à cet assassinat raciste.
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Lycée musulman Averroès : au cœur de la débâcle judiciaire, Xavier Bertrand | Mediapart

30 avril 2025 à 10:55
Xavier Bertrand : le premier à défendre le lycée Averroès, pour des raisons politiques (montrer qu'il n'est pas comme le FN) est très vite devenu le premier à retourner sa veste et à s'acharner illégalement (refus de versement d'une dotation obligatoire, condamnation sous astreinte du TA à chaque fois), pour des raisons politiques également (montrer qu'il ne va pas laisser le FN avoir le monopole de la dégueulasserie).
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Répression au Venezuela : «Certains cherchent encore leurs proches après des mois de détention» – Libération

30 avril 2025 à 10:53
> Dans un rapport publié ce mercredi 30 avril, l’ONG raconte une «répression brutale» et des «abus généralisés» contre des dirigeants de l’opposition, des manifestants ou de simples passants. Martina Rapido Ragozzino, chercheuse auprès de la division Amériques de Human Rights Watch, décrit un «climat de peur» qui persiste dans le pays, neuf mois après l’élection.
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Diplomatie américaine : «La priorité de Trump n’est ni la Russie ni la Chine mais les “wokes”» – Libération

30 avril 2025 à 10:51
Elle termine tout de même par une comparaison avec l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie...

> Selon Maud Quessard, directrice du domaine Euratlantique à l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), cette diplomatie en apparence erratique est pourtant bien construite et mûrement réfléchie.

> Comment qualifier la politique étrangère de ce deuxième mandat Trump ?

> Elle s’inscrit, comme ce qui se fait en politique intérieure, dans une dérive autoritaire de l’Etat américain. Et surtout, elle est marquée par une tendance de fond : c’est une idéologie nationaliste et ultrareligieuse qui détermine désormais l’agenda de politique étrangère américaine. Ce n’est donc pas l’imprévisibilité du président Trump mais le projet des personnes qui l’entourent. Et ce ne sont pas Pete Hegseth [secrétaire à la Défense, ndlr] ou Marco Rubio [secrétaire d’Etat] qui sont à la manœuvre, mais davantage l’entourage de J.D. Vance et de l’ensemble des courants nationalistes conservateurs et ultrareligieux.

[...]

> Donald Trump, c’est l’homme de paille de l’agenda politique déterminé par les nationalistes américains et la droite religieuse, avec J.D. Vance à la jonction de ces courants.

[...]

> Ils n’ont plus de projet, de grande stratégie à l’international. Ils n’ont comme projet que ce qui sert les intérêts nationaux et qui nous a d’abord étonnés : sécuriser les voies maritimes au Sud comme au Nord, avec le canal de Panama, le Groenland ou l’Arctique. Selon eux, c’est comme ça qu’on reste un pays puissant, en contrôlant des points stratégiques, des routes commerciales. On est de retour à une politique étrangère qui est héritée du XIXe siècle avec des sphères d’influences.

> Ce qui est plus perturbant, c’est qu’on ne comprend pas pourquoi Donald Trump adopte une politique de pression maximale aussi forte en utilisant les instruments commerciaux, ce qui paraît totalement contre-productif. Sur ce sujet, on peut effectivement craindre beaucoup d’amateurisme. Les conseillers économiques de Trump sont les plus mauvais, les plus contestés du paysage des experts de l’économie américaine. Donc tout n’est pas complètement cohérent. Mais le projet idéologique, il est quand même là. Et si vous regardez l’histoire des régimes autoritaires, que ce soit l’Italie fasciste ou l’Allemagne nazie, ils n’ont pas commencé avec des prix Nobel, des chercheurs émérites, ou des diplomates de carrière. Ils prennent d’abord des hommes de main.
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Les conclusions du rapport d’inspection sur Stanislas ont été falsifiées pour protéger l’établissement | Mediapart

29 avril 2025 à 20:08
> Selon des informations obtenues par Mediapart, les conclusions initiales du rapport ont été trafiquées pour édulcorer l’ensemble, dans le dos des inspecteurs généraux chargés de l’enquête et de la rédaction du document. Dans un courrier que nous avons pu consulter, l’un·e de ces inspecteurs et inspectrices explique avoir ainsi découvert un projet de lettre de mission « expurgé d’un paragraphe conclusif lourd de sens et de conséquences, dédouanant le collège Stanislas », ce qu'ils n'auraient « jamais validé car il règne bien à Stanislas un climat homophobe, sexiste et autoritaire ».
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Etats-Unis : à la Maison Blanche, cent jours de vengeance tous azimuts pour Donald Trump – Libération

29 avril 2025 à 20:04
Dictature en marche, toujours : Trump pratique la vengeance tous azimuts, y compris contre certains anciens alliés coupables de l'avoir contredit. Une seule opinion qui vaille : la sienne, et tant pis s'il en change tous les jours.

Et bien sûr, il multiplie les sanctions et les poursuites contre ceux qui ont osé enquêter sur sa tentative de coup d’État de 2021.

Au final, cela participe également d'une vaste entreprise d’intimidation :
> Ainsi les représailles trumpiennes servent-elles aussi un objectif de dissuasion : faire savoir à toute voix critique qu’elle subira les foudres présidentielles si elle ose s’exprimer.

[...]

> Une tactique qui semble fonctionner jusque dans les rangs du Parti républicain, à en croire la sénatrice de l’Alaska Lisa Murkowski, l’une des rares figures du «Grand Old Party» à tenir tête au chef de l’Etat. «Nous avons tous peur, confiait-elle le 17 avril, à l’occasion d’un événement à Anchorage, la plus grande ville de l’Alaska. Je suis moi-même souvent très anxieuse à l’idée de dire ce que je pense, car les représailles sont réelles. Et ce n’est pas normal.»
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Bernard Harcourt, professeur à Columbia : «Donald Trump mène une contre-révolution sans révolution» – Libération

29 avril 2025 à 20:01
> Ce à quoi nous assistons dépasse la personne de Donald Trump. Certains de ses détracteurs le qualifient de fasciste, d’autres estiment qu’il suit un manuel «illibéral» à la Viktor Orbán. D’autres encore, qu’il cherche à s’enrichir personnellement et à promouvoir sa propre marque «Trump», ou bien qu’il est l’outil kleptocratique de milliardaires de la Tech comme Elon Musk. Mais aucune de ces descriptions ne rend justice à l’ampleur et à la cohérence de la situation. Se concentrer uniquement sur ses frasques fait perdre de vue la trajectoire historique, pourtant essentielle pour envisager une quelconque réponse. Les actions du président Trump s’inscrivent dans l’histoire d’une contre-révolution moderne beaucoup plus vaste.

> La contre-révolution moderne consiste à démolir les grandes institutions, captées par les «bureaucrates de gauche», pour y déloger l’idéologie libérale - au sens politique du terme - et rendre sa souveraineté à une soi-disant majorité silencieuse. Pour reprendre les mots du commandant français et théoricien de la contre-insurrection David Galula : «Cela consiste à s’appuyer sur la minorité favorable pour rallier la majorité neutre et neutraliser la minorité hostile.» La contre-révolution s’appuie sur la doctrine de la guerre contre-insurrectionnelle qui a été développée par des commandants français pendant les guerres en Indochine et en Algérie. Les Etats-Unis l’appliquent en Irak et en Afghanistan puis sur leur propre territoire sous la présidence de George W. Bush, avec la torture et la détention illimitée à Guantánamo, et celle de Barack Obama, qui a poursuivi les assassinats par drones et l’exécution de citoyens américains à l’étranger.

[...]

> Trump réalise «un coup d’Etat en miniature chaque jour», comme Karl Marx l’écrivait à propos de Napoléon III dans Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte : il «jette toute l’économie bourgeoise dans la confusion, viole tout ce qui semblait inviolable pour la Révolution». Son administration défend vigoureusement la légalité de ses actions devant les tribunaux, allant jusqu’à renvoyer les procureurs qu’il juge engagés contre la défense de ses intérêts. Et, à une ou deux exceptions près, il s’est conformé aux ordonnances des tribunaux. Nous n’en sommes donc pas encore au stade d’un coup d’Etat. Toujours est-il que Louis-Napoléon, élu président de la IIe République en 1848, n’a organisé son coup d’Etat qu’à la fin de son mandat. Il est indéniable que Trump a un penchant pour le pouvoir impérial, comme en témoigne la décoration de son palais de Mar-a-Lago avec tous les attributs du symbolisme romain et napoléonien.

> Qu’en est-il de la responsabilité des démocrates ?

> Des recherches économiques comme celles du Pew Research Center ont montré que l’écart de richesse entre les familles les plus riches et les plus pauvres des Etats-Unis a plus que doublé ces trente dernières années. Les Américains de la classe moyenne sont dans une situation plus difficile qu’avant la crise de 2008, et ce sont uniquement les tranches les plus riches qui ont vu leur niveau de vie s’améliorer. Il est important de rappeler que sur les seize dernières années, douze se sont déroulées sous des administrations démocrates : huit sous Obama et quatre sous Biden. Ce phénomène économique a érodé le système bipartite. Il y avait autrefois un va-et-vient entre les démocrates et les républicains, une forme de cohabitation pacifique, qui profitait aux anciennes élites américaines. Trump veut y mettre fin.

> Les démocrates américains sont pour le moment aux abonnés absents.

> Au-delà du Parti démocrate, les forces démocrates, ses électeurs, les citoyens, vont devoir imaginer de nouvelles alliances pour surmonter cette offensive. Et ce n’est pas gagné. Les cibles actuelles de Trump ne sont pas des alliés naturels : les avocats bien payés de l’élite libérale ne sont pas nécessairement enclins à voir les fonctionnaires fédéraux ou les militants de la cause climatique, antiraciste ou anticapitaliste comme des semblables, certains étant davantage investis dans le statu quo, d’autres dans un changement radical par rapport au néolibéralisme. Pourtant, il ne va pas y avoir d’alternative à cette mobilisation populaire qu’on commence à ressentir aux manifestations qui se tiennent chaque samedi.
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Etats-Unis : près de six Américains sur dix ont honte de Trump et un quart de ses électeurs regrette son vote – Libération

29 avril 2025 à 13:32
> Mais cent jours après son investiture, on découvre que cette gestion erratique des affaires des Etats-Unis et du monde provoque des aigreurs jusque dans les rangs des républicains en général et même parmi ceux qui ont voté pour Donald Trump en novembre dernier.

> Selon un sondage Ifop réalisé pour le site d’informations touristiques NYC.eu dont Libération a eu la primeur ce mardi 29 avril, près d’un quart des sympathisants républicains (23 %) dit avoir honte de leur président.

> Quand on élargit la focale à tous les Américains, les statistiques sont encore plus spectaculaires : trois mois après sa réinstallation à la tête du pays, près de six Américains sur dix (56 %) disent ressentir de la honte à l’égard de Donald Trump. Ce sentiment pas ordinaire à l’égard d’un chef d’Etat démocratiquement élu est encore plus prégnant chez les plus jeunes (60 % des moins de 25 ans l’éprouvent), les plus favorisés (60 % parmi les CSP +), et les personnes noires (69 %).

> Cette honte fait tache d’huile, passant du Président au pays : 38 % des sondés déclarent avoir honte d’être américains aujourd’hui, en raison des décisions prises par l’administration Trump. Ce «sentiment d’humiliation nationale», comme l’écrit l’Ifop, frappe plus massivement les plus jeunes (51 %) et les plus diplômés (42 %) mais il «affecte aussi des citoyens généralement plus marqués à droite comme ceux se disant très patriotes (34 %)».
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