Vue normale

Hier — 11 janvier 2025OpenNews

Au volant d’une voiture sans permis....

11 janvier 2025 à 18:41

D'accord avec le raisonnement mais ça "Moi j'ai 46 ans, 28 ans de permis, jamais un accident."

==> Cet argument d'autorité tout perrave là, garde-le pour toi stp.... Des accidents peuvent être causés par des chauffards même si tu maitrises ton véhicule, t'es pas à l'abri qu'on vienne te tamponner sans que tu t'y attendes....

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MON AVIS Ernest Cole, photographe ★★☆☆

11 janvier 2025 à 11:51

!https://www.world-lolo.com/images/uploads/image.num1736596311.of.world-lolo.com.jpg

Issu d’une famille sud-africaine modeste, Ernest Cole (1940-1990) a documenté l’apartheid en Afrique du Sud avant de s’exiler aux Etats-Unis. C’est à New York que ce photographe naturaliste, héritier de Cartier-Bresson, publie en 1967 son unique album, parfois considéré comme l’un des plus marquants du XXe siècle : House of Bondage.

Ses héritiers ont demandé à Raoul Peck de lui consacrer un film, après avoir vu comment ce documentariste haïtien – qui fut l’éphémère ministre de la Culture de son pays en 1996/7 avant de prendre le chemin de l’exil – avait dans I Am Not Your Negro sublimé l’œuvre de James Baldwin. Ils lui ont offert en prime un bonus et une énigme : 60.000 négatifs laissés en dépôt dans une banque suédoise et découverts un quart de siècle après sa mort sans qu’on sache comment ils étaient arrivés là.

Raoul Peck ne force pas son talent pour raconter la vie en deux chapitres de ce photographe injustement méconnu. Le premier se déroule dans l’Afrique du Sud de l’apartheid ; le second dans l’Amérique de la ségrégation et du combat des Afro-Américains pour la reconnaissance de leur dignité. On y voit des photos d’Ernest Cole, parmi lesquelles beaucoup d’inédites retrouvées à Stockholm. On y entend la voix off de Raoul Peck s’exprimant à la première personne en lieu et place d’Ernest Cole sans qu’on sache s’il s’agit d’extraits des carnets du photographe ou de réflexions que le documentariste lui prête.

À vingt-six ans à peine, Ernest Cole a fui l’Afrique du Sud. Il n’y est jamais revenu, sa nationalité lui ayant été retirée et ses demandes de visa rejetées. Loin de l’Eldorado qu’il avait fantasmé, les États-Unis des années 60 l’ont profondément déçu. Comme il le résume d’une phrase : « En Afrique du Sud, à cause de la couleur de ma peau, je craignais de me faire arrêter ; dans le Sud des États-Unis, je craignais de me faire tuer » Après avoir tant bien que mal vécu de son art pendant une quinzaine d’années, Ernest Cole s’est lentement enfoncé dans la misère et a fini sa vie SDF.

En prime de cette histoire en deux parties, Raoul Peck a hérité d’une postface : 60.000 négatifs mystérieusement retrouvés en Suède – où on apprendra qu’Ernest Cole a fait quelques séjours dans les années 70. On pense à Vivian Maier et à la célébrité posthume que la découverte de ses photos lui a valu. Mais hélas, cette histoire fait long feu : à ce jour, les circonstances du dépôt de ces négatifs et de leur conservation demeurent inconnues.

Bande annonce => https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=20611104&cfilm=316222.html
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À partir d’avant-hierOpenNews

AVIS Mon inséparable ★★☆☆

9 janvier 2025 à 19:03

!(https://imageswl.fr/i/BHDGEEJDCIL)

Mona (Laure Calamy) a tout sacrifié à l’éducation de son fils handicapé. Devenu adulte, employé dans une structure adaptée, Joël est tombé amoureux d’Océane, une jeune femme handicapée comme lui. Le couple entretient une liaison clandestine et attend bientôt un enfant. Sera-t-il capable de l’éduquer ? Quelle place aura Mona dans cette nouvelle vie ?

Mon inséparable pouvait légitimement inspirer deux réserves.

  1. On peut se lasser de voir Laure Calamy interpréter encore, dans le jean moule-fesses qui ne la quitte pas, le même rôle de quadra débordée qu’elle a tenu dans la plupart de ses derniers films : Iris et les hommes, Les Cyclades, À plein temps… D’autant qu’elle est encore à l’affiche ces temps-ci dans un rôle très similaire d’ailleurs dans l’excellent Un ours dans le Jura.
  2. On a vu se multiplier les films sur le handicap au point qu’ils constituent désormais un genre à part entière : après Intouchables et Hors normes, le succès-surprise de Un p’tit truc en plus laisse augurer la multiplication de films identiques jouant sur le même ressort.

Mon inséparable parvient remarquablement à éviter ce double écueil.

  1. Quel que soit le degré de lassitude que peut inspirer l’omniprésence médiatique de Laure Calamy, l’honnêteté oblige à reconnaître qu’elle est une excellente actrice. Elle sait tout faire. Elle porte Mon inséparable à bout de bras. Elle y est de chaque plan. Totalement investie dans son rôle, elle le rend parfaitement crédible. Et, opinion totalement subjective, sa voix m’est irrésistible.
  2. Mon inséparable ne se réduit pas à son thème : la sexualité des handicapés. La grossesse d’Océane et la question qu’elle pose (avortera ? avortera pas ?) aurait pu constituer le seul fil directeur du film. Mais la question est vite évacuée et le film prend une autre direction, guidée par une autre interrogation : comment le lien qu’on pensait indissoluble entre Mona et son fils évoluera-t-il ? Joël parviendra-t-il à s’assumer seul ? Mona, libérée de cette charge mais en même temps obligée de se sevrer de cette relation exclusive, saura-t-elle trouver un autre sens à sa vie ?

Bande Annonce : https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=20611943&cfilm=313958.html

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https://www.ecirtam.net/zerobin/?6ccf2474f8ed865d#xijc7E4aqJjYL4cmzk9Ic0SyB+3JzkoAmecq8DBC9Uo=

31 décembre 2024 à 08:55

Réaction complètement stupide.
Je ne suis pas de droite et j'ai les même problèmes de transfert inter-bancaire.
Je choisis toujours une banque pas chère car de toute façon les banquiers sont tous des voleurs, c'est bien connu.
Il aurait fait son transfert au pays des tulipes que ça aurait été le même problème !
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Réaction complètement stupide

31 décembre 2024 à 08:50

Je ne suis pas de droite et j'ai les même problèmes de transfert inter-bancaire.
Je choisis toujours une banque pas chère car de toute façon les banquiers sont tous des voleurs, c'est bien connu.
Il aurait fait son transfert au pays des tulipes que ça aurait été le même problème !
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