Le Snapdragon 8 Elite Gen 5 est un sacré monstre de puissance, voici nos premiers tests
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Difficile d’imaginer une journée sans écouteurs sans fil. Ils nous accompagnent partout, que ce soit pour écouter de la musique, passer des appels ou même pour réduire le bruit ambiant. Mais entre autonomie, confort, qualité audio et prix, le choix n’a rien d’évident. Voici notre sélection des modèles les plus complets du moment, pour tous les budgets.
L’avenir de TikTok aux États-Unis semble prendre un nouveau tournant. Un consortium mené par Larry Ellison, cofondateur d’Oracle, s’apprête à reprendre la majorité des activités américaines de l’application. Si la transaction n’est pas encore totalement finalisée, les grandes lignes de l’accord sont désormais connues.
Larry Ellison n’agit pas seul. C’est un consortium composé d’Oracle, de Silver Lake et d’Andreessen Horowitz qui s’est positionné pour acquérir environ 80 % des opérations américaines de TikTok. L’objectif est clair : répondre aux exigences de Washington, qui menaçait d’interdire l’application sur son sol si ByteDance, la maison-mère chinoise, ne cédait pas sa filiale américaine.
Cette acquisition marquerait un pas décisif dans la volonté des États-Unis de contrôler les données de leurs citoyens et de limiter l’influence technologique chinoise.
Si l’accord aboutit, Oracle deviendra le gestionnaire exclusif des données des utilisateurs américains. Ces dernières seraient stockées dans les centres de données d’Oracle situés au Texas, garantissant un contrôle renforcé et une gouvernance conforme aux attentes de l’administration américaine.
Une nouvelle entité TikTok US devrait être créée, avec un conseil d’administration majoritairement américain, incluant même un représentant du gouvernement.
Les utilisateurs américains pourraient être amenés à migrer vers une nouvelle application TikTok, distincte de la version mondiale. Celle-ci fonctionnerait avec un algorithme séparé et une infrastructure de données indépendante. Ce changement viserait à garantir que la version américaine soit pleinement détachée de ByteDance et de la Chine.
Pour l’instant, il est important de préciser que Larry Ellison et son consortium n’ont pas encore officiellement finalisé l’acquisition. Les discussions sont bien avancées, mais les détails de l’accord entre Washington, Pékin et ByteDance doivent encore être validés.
Cette démarche s’inscrit dans une logique plus large de souveraineté numérique et de guerre technologique entre les États-Unis et la Chine. Si l’opération aboutit, TikTok US pourrait devenir un exemple unique de restructuration forcée d’un géant des réseaux sociaux pour des raisons géopolitiques.
Cet article original intitulé Larry Ellison fait l’acquisition de TikTok aux États-Unis a été publié la première sur SysKB.
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Un nouvel outil de test de pénétration, baptisé Villager, fait trembler la communauté cybersécurité. Présenté comme un successeur IA de Cobalt Strike, il est disponible librement sur PyPI et a déjà été téléchargé près de 10 000 fois. Sa puissance et son automatisation en font un outil redoutable… mais aussi une menace si détourné par des acteurs malveillants.
Le pentest (test de pénétration) est une méthode utilisée par les entreprises pour simuler des attaques informatiques sur leurs propres systèmes. L’objectif : identifier et corriger les failles avant que de vrais attaquants ne les exploitent.
Dans ce cadre, des équipes spécialisées appelées Red Team mènent des opérations offensives contrôlées. Elles utilisent souvent des outils puissants comme Cobalt Strike, un framework de test devenu incontournable. Problème : à force d’être efficace, Cobalt Strike est aussi devenu l’outil favori de nombreux cybercriminels, qui l’emploient dans de vraies attaques.
C’est dans cette logique ambiguë qu’apparaît Villager, présenté comme le « Cobalt Strike de l’IA ».
Développé par une entité chinoise nommée Cyberspike, Villager se distingue par une architecture sophistiquée et largement automatisée.
L’outil repose sur trois piliers :
La communication entre ces différents éléments passe par le Model Context Protocol (MCP), un protocole conçu pour permettre aux IA d’orchestrer des outils externes. Concrètement, l’utilisateur donne un objectif (« compromets ce serveur ») et Villager s’occupe de trouver la meilleure stratégie en mobilisant ses briques logicielles.
Un tel niveau d’automatisation réduit considérablement la barrière à l’entrée. Là où un attaquant devait auparavant maîtriser un arsenal complexe, Villager se charge désormais d’enchaîner les étapes, guidé par l’IA.
Depuis son apparition sur le dépôt PyPI, Villager a déjà été téléchargé près de 10 000 fois en deux mois. Une adoption fulgurante qui soulève plusieurs inquiétudes :
Des chercheurs rappellent que la société Cyberspike, derrière Villager, a déjà été associée à des outils malveillants comme AsyncRAT ou Mimikatz.
L’histoire de la cybersécurité regorge d’exemples où des outils conçus pour le bien commun ont fini entre de mauvaises mains. Cobalt Strike en est l’illustration parfaite : initialement développé pour aider les entreprises, il est désormais employé dans des campagnes de ransomware et d’espionnage.
Avec Villager, le scénario pourrait se répéter, mais amplifié par l’usage de l’IA. Les experts redoutent que cet outil industrialise l’attaque informatique et donne un avantage certain aux cybercriminels les moins expérimentés.
Pour les entreprises, cela implique une nécessité accrue de surveiller leur exposition, d’entraîner leurs SOC (Security Operations Center) à identifier des attaques automatisées, et de renforcer les défenses en profondeur.
« Villager n’est pas seulement un outil de pentest, c’est une démonstration de ce que l’IA peut apporter à la cyber-offensive. Là où il fallait des années d’expérience, une IA peut désormais guider des attaques de bout en bout. Pour les défenseurs, cela signifie une montée en puissance des menaces, même venant d’acteurs peu qualifiés. »
Villager incarne un dilemme bien connu en cybersécurité : où tracer la ligne entre innovation utile et outil dangereux ?
S’il est clair qu’un outil IA de pentest peut aider les entreprises à détecter plus vite leurs failles, sa diffusion libre et sa puissance font courir un risque majeur de détournement. L’analogie avec Cobalt Strike laisse penser que Villager pourrait devenir un standard des cyberattaques offensives dans les années à venir.
Cet article original intitulé Villager : l’outil IA de pentest qui inquiète déjà les experts en cybersécurité a été publié la première sur SysKB.
La mort de Suchir Balaji, ancien chercheur chez OpenAI, a déclenché une vague de rumeurs et de spéculations. Alors que les autorités médicales et policières ont conclu à un suicide, Elon Musk conteste cette version et évoque un meurtre. De son côté, Sam Altman, CEO d’OpenAI, dénonce des accusations infondées et se dit profondément affecté. Retour sur les faits et la controverse.
Le 26 novembre 2024, Suchir Balaji, 26 ans, est retrouvé mort dans son appartement de San Francisco. Selon le San Francisco Police Department (SFPD) et le médecin-légiste en chef (OCME), il s’agit d’un suicide par balle auto-infligée.
L’arme utilisée appartenait à Balaji et l’appartement était verrouillé de l’intérieur. Le rapport toxicologique fait état de la présence d’alcool, d’amphétamines et de GHB. Aucun signe d’effraction ou de lutte n’a été constaté. Pour les autorités, le décès ne présente pas d’éléments suspects.
Malgré les conclusions officielles, la famille de Balaji conteste la version du suicide. Ses parents affirment qu’il n’a jamais montré de signes de détresse et qu’il semblait au contraire optimiste. Ils évoquent l’absence de note d’adieu et des éléments de la scène qu’ils jugent incohérents.
La famille a engagé une enquête privée, concluant selon elle à des indices laissant penser à un meurtre. Cette divergence d’interprétation a nourri les spéculations autour du décès.
Dans ce contexte, Elon Musk s’est exprimé sur X (ex-Twitter) en déclarant : « He was murdered » (« Il a été assassiné »). Une prise de position qui a immédiatement amplifié la polémique.
Musk, déjà critique vis-à-vis d’OpenAI, considère la version officielle comme une dissimulation. Ses propos, sans preuves tangibles, alimentent néanmoins la méfiance d’une partie du public et renforcent les thèses complotistes.
Interrogé par Tucker Carlson, Sam Altman a rejeté catégoriquement ces accusations. Il a affirmé croire la version des enquêteurs, soulignant qu’il n’existe aucun élément crédible pour soutenir la thèse du meurtre.
Altman a reconnu être troublé par l’ampleur des rumeurs et par le fait qu’elles soient relayées par des personnalités comme Elon Musk. Il rappelle que Balaji était apprécié de ses collègues et insiste sur la gravité de propager de telles accusations.
À ce stade, les faits officiels pointent clairement vers un suicide. Mais la contestation de la famille, combinée aux déclarations médiatiques d’Elon Musk, maintient la controverse au premier plan. Cette affaire illustre la difficulté de faire prévaloir les résultats d’une enquête face à la puissance des récits alternatifs.
Cet article original intitulé Elon Musk contre Sam Altman : la controverse autour du décès d’un ex-chercheur d’OpenAI a été publié la première sur SysKB.