Hubble observe le visiteur interstellaire 3I/Atlas en pleine transformation


Avi Loeb avance une nouvelle hypothèse pour le moins intrigante au sujet de 3I/ATLAS. Apparemment, le célèbre visiteur interstellaire pourrait déployer des engins près de la plus grande planète du système solaire.
L’article Cet astrophysicien d’Harvard a une théorie pour le moins audacieuse à propos de 3I/ATLAS, rédigé par Marc Odilon, est apparu en premier sur NeozOne.

Pour la première fois, un signal radio provenant de 3I/ATLAS a été enregistré. Un exploit qu’on doit au radiotélescope sud-africain MeerKAT.
L’article Un radiotélescope de 13,5 m de diamètre capte le premier signal radio de 3I/ATLAS, rédigé par Marc Odilon, est apparu en premier sur NeozOne.
Un astrophotographe basé aux États-Unis a récemment réussi à photographier 3I/ATLAS. Le cliché, partagé le 16 novembre dernier, impressionne aussi bien la communauté scientifique que les passionnés d’astronomie.
L’article L’astrophotographe Satoru Murata dévoile un cliché époustouflant de 3I/ATLAS, rédigé par Marc Odilon, est apparu en premier sur NeozOne.
Grâce à l’application « Eyes on the Solar System » de la NASA, il est désormais possible de suivre le parcours de 3I/ATLAS en temps réel et découvrir les secrets de ce visiteur interstellaire.
L’article Suivez le voyage de 3I/ATLAS avec l’application interactive de la NASA, rédigé par Marc Odilon, est apparu en premier sur NeozOne.
La sonde Tianwen-1 a pris de nouvelles photos de 3I/ATLAS au début du mois de novembre. Sur les images, l’objet interstellaire ne présente aucune queue cométaire. Découverte !
L’article Voici les premières images (floues) de la mystérieuse comète interstellaire 3I/ATLAS, rédigé par Raharisoa Saholy Tiana, est apparu en premier sur NeozOne.
Sortez votre télescope et vos jumelles, la comète interstellaire 3I/ATLAS est désormais visible depuis la Terre !
L’article Comment observer la comète interstellaire 3I/ATLAS avec un petit télescope ?, rédigé par Raharisoa Saholy Tiana, est apparu en premier sur NeozOne.
Selon un nouveau rapport, le voyageur interstellaire 3I/ATLAS accélère de manière inexpliquée. Un mystère qui s’ajoute aux anomalies recensées précédemment.
L’article Le voyageur interstellaire 3I/ATLAS accélère seul, et personne ne sait réellement pourquoi, rédigé par Marc Odilon, est apparu en premier sur NeozOne.
OpenAI adopte une approche prudente quant à l’usage d’Atlas en environnement d’entreprise.
Le groupe américain vient de lancer ce « navigateur IA » basé sur Chromium. Initialement pour les Mac Arm (Apple Silicon).
Atlas est accessible à tous les utilisateurs des abonnements ChatGPT « individuels » (Free, Plus, Pro, Go). Il l’est aussi avec les offres ChatGPT Business, Enterprise et Edu… mais en bêta. Et avec des limites qu’OpenAI énumère ouvertement.
Parmi ces limites, il y a l’absence de garanties de résidence des données. Il n’y a pas non plus, dans l’optique de déploiements gérés, de canal de distribution spécifique, ni d’épinglage de versions.
Atlas n’entre pour le moment pas dans le périmètre des certifications SOC 2 et ISO d’OpenAI. Il n’émet par ailleurs pas de logs vers la Compliance API et n’est pas doté d’intégrations SIEM ou eDiscovery.
Certains types de données peuvent ne pas être couverts par les engagements d’isolation et de conservation associés à l’abonnement Enterprise, nous précise-t-on. Les données de navigation en fait partie. Comme celles relatives à l’activité agentique.
Sur la partie réseau, Atlas ne permet pas de définir des listes blanches d’adresses IP, ni de paramétrer le private ingress. Il n’a plus globalement pas d’allowlists et de blocklists spécifiques, ni d’ailleurs ses propres RBAC, SSO et provisionnement SCIM.
Six clés MDM sont officiellement prises en charge pour commencer :
Beaucoup d’autres clés type Chromium devraient fonctionner. Le support officiel sera étendu quand Atlas passera en disponibilité générale sur ChatGPT Business, Enterprise et Edu.
Sur les abonnements Business, le navigateur est disponible par défaut dans tous les espaces de travail. Sur les abonnements Enterprise, un admin doit l’activer au préalable.
Dans l’un et l’autre cas, conformément à la politique appliquée à ChatGPT, les données de navigation ne sont pas exploitées pour entraîner les modèles d’OpenAI* (elles peuvent l’être sur les abonnements individuels ; c’est toutefois en opt-in).
Autre élément en opt-in : la mémoire. Cette fonctionnalité, diffusée sur ChatGPT à partir de septembre 2024, consiste à retenir des éléments-clés des conversations pour ensuite améliorer les résultats. OpenAI l’avait déclinée au printemps 2025 pour aider à personnaliser les résultats de recherches web.
La voilà désormais intégrée dans Atlas. Elle implique la transmission du contenu web consulté vers les serveurs d’OpenAI, où ce contenu est synthétisé, puis retransmis à Atlas pour mettre à jour ses « souvenirs ».
Les contenus web sont supprimés du serveur dès qu’ils ont été synthétisés. Les résumés le sont sous 7 jours. Les utilisateurs de macOS 26 ont la possibilité d’opter pour un traitement intégralement en local. Les « souvenirs » en eux-mêmes ne se suppriment pas, mais ils évoluent en fonction de l’historique effacé. Il est également possible de les archiver pour ne plus que ChatGPT y accède.
Atlas permet aussi de rendre des pages web « invisibles » pour ChatGPT. Cela se règle dans les paramètres ou via l’icône cadenas dans la barre d’adresse.
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* Pour ce qui est de l’exploitation des conversations, notamment dans la barre latérale d’Atlas (fonction Ask ChatGPT), ce sont les paramètres de ChatGPT qui ont la priorité.
Illustration générée par IA
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J’sais pas si vous avez vu ça mais OpenAI vient de sortir son propre navigateur web avec ChatGPT intégré en permanence sur le côté. Baptisé Atlas, c’est tout pareil que Comet de Perplexity quoi… L’idée c’est donc d’avoir une IA qui comprend tout ce que vous faites sur le web et qui peut agir à votre place. Genre, vous lui demandez de commander vos courses ou de remplir un formulaire, et elle le fait.
Sur le papier, c’est génial car c’est un assistant intelligent qui ne quitte jamais l’écran, qui voit tous vos onglets ouverts, qui se souvient de ce que vous avez cherché la semaine dernière, et qui peut cliquer dans votre navigateur pour faire des trucs à votre place.
Atlas est basé sur Chromium et la première fois que vous l’ouvrez, il vous propose d’importer vos marque-pages, mots de passe et historique depuis votre navigateur actuel (Safari / Chrome…. mais pas de Firefox). Ça prend 30 secondes et ensuite, vous vous connectez à votre compte ChatGPT, et hop, vous avez ChatGPT qui vous suit partout.
L’interface est minimaliste, y’a pas rien de révolutionnaire visuellement à part cette sidebar ChatGPT qui est le truc central d’Atlas car elle est toujours là, sur le côté droit de votre écran. Vous pouvez donc lui poser des questions en écrivant un truc ou en vocal et l’IA comprendra automatiquement le contexte de la page que vous êtes en train de regarder.
Comme ça si vous êtes sur un article technique, vous pouvez lui demander de le résumer ou de vous faire un tuto. Si vous voulez comparer des produits sur Amazon ou ailleurs, vous lui demandez lequel choisir. Pas besoin de copier-coller, pas besoin de faire des screenshots, ChatGPT voit ce que vous voyez.
J’ai testé ça avec plein de scénarios différents de la recherche d’infos techniques, à la comparaison de prix, en passant par la lecture d’articles longs et c’est assez pratique.
La fonctionnalité “browser memories”, c’est le deuxième gros truc d’Atlas. En gros, ça permet à ChatGPT de se souvenir de tout ce que vous faites sur le web. Les sites que vous visitez, les recherches que vous faites, les produits que vous regardez et il utilise ensuite ça pour personnaliser ses réponses et vous faire des suggestions. Par exemple, si vous avez passé une semaine à regarder des ordinateurs portables, il peut vous dire “Tiens gros, y’a une promo sur le modèle que t’as vu hier”. Ou si vous cherchez un resto, il peut par exemple se souvenir que vous n’aimez pas les fruits de mer.
Bien sûr, vous pouvez les consulter dans les paramètres et les archiver une par une si elles deviennent inutiles… Après c’est toujours un peu flippant de voir tout ce que cette IA (et la NSA par ricochet) sait sur nous.
OpenAI promet que ces données ne sont pas utilisées pour entraîner leurs modèles par défaut et vous pouvez activer le mode incognito pour que ChatGPT arrête de tout logger mais bon, leurs promesses n’engagent que ceux qui y croient. Il y a aussi une option pour bloquer la visibilité de ChatGPT sur certains sites spécifiques. Par exemple, vous pouvez lui dire de ne rien regarder quand vous êtes sur votre banque en ligne, sur un site médical ou sur votre site pour adulte préféré ^^. Bref, c’est bien pensé niveau contrôle.
Y’a aussi le mode Agent qui est LA fonctionnalité star qu’OpenAI a mise en avant. C’est là qu’Atlas devient un “super-assistant” qui peut agir à votre place. Vous lui donnez une tâche, et il se met à cliquer dans votre navigateur pour la faire du genre réserver une table au resto, collecter vos factures, remplir un formulaire administratif, créer une liste de courses à partir d’une recette…etc tout ça sans avoir à toucher à la souris.
Maintenant, je vous le dis, leur promesse c’est de la science-fiction car dans la vraie vie, c’est plus compliqué. J’ai testé le mode Agent sur plusieurs tâches, et les résultats sont très inégaux. Les trucs simples, ça passe mais dès que ça devient un peu plus complexe, ça coince. L’Agent clique lentement, hésite, revient en arrière, se trompe de bouton. C’est pas fluide du tout et l’agent se perd très vite complètement.
Notez que ce mode Agent est pour le moment réservé aux abonnés Plus, Pro et Business donc si vous êtes en gratuit, vous n’y aurez pas accès. Après, OpenAI ne s’en cache pas et a expliqué que ce mode agent, c’était surtout une beta publique et donc qu’il ne fallait pas s’attendre à des miracles.
Puis au niveau sécu, l’agent peut aussi se faire manipuler par des instructions malveillantes cachées dans une page web ou un email, du genre, vous visitez un site piégé, l’agent lit une instruction invisible qui lui dit “vire 500 euros sur ce compte”, et il pourrait le faire comme un couillon. OpenAI a bien sûr mis des garde-fous, mais ils disent eux-mêmes que ça arrêtera pas toutes les attaques.
Donc à vous de voir si l’idée de laisser une IA cliquer partout dans votre navigateur pendant que vous êtes connecté à votre banque, votre boite mail ou vos réseaux sociaux vous convient.
La fonction “in-line writing”, c’est un truc que j’ai beaucoup aimé par contre. Vous êtes en train d’écrire un email, un message, un doc Google, peu importe. Vous sélectionnez votre texte, vous faites clic droit, et ChatGPT vous propose de le réécrire, de le raccourcir, de corriger les fautes, de changer le ton. Et ça fonctionne partout, dans tous les champs de texte web comme ça plus besoin de copier-coller vers ChatGPT et revenir. C’est assez fluide. D’ailleurs si vous voulez faire la même chose mais en local et gratos, y’a NativeMind que je vous recommande.
Voilà, vous pouvez télécharger Atlas sur chatgpt.com/atlas histoire de tester. Après le jour où l’agent sera vraiment fiable et rapide, ça va tout changer je pense. On va pouvoir lui déléguer plein de tâches chiantes et on aura plus jamais besoin de remplir des formulaires, de comparer 50 produits à la con sur Amazon, ou de chercher des restos pendant des heures.
