Vue normale

Reçu hier — 24 septembre 2025 Choses vues, sur le web et ailleurs

Showing my game after 2 years of solo work! : r/IndieGaming

24 septembre 2025 à 13:07
> Hello everyone, since the post gained a lot of visibility I won’t be able to reply to everyone. I agree with all of you who said it looks a lot like Stardew Valley. Although the art is quite similar, I assure you that the gameplay is very different.

Mais. Bien. Sûr.
(Permalink)

First time player, clocked 61 hours in the last two weeks, thoughts on my colony? : r/RimWorld

24 septembre 2025 à 11:49
Elle est bien sa base ! Ça manque de kill boxes, mais elle est bien !
Ça met d'ailleurs le doigt sur LE truc que j'oublie SYSTÉMATIQUEMENT : des COULOIRS putain. Je ne pense jamais à faire des couloirs, ce qui fait que mes colons qui veulent aller se pieuter doivent traverser l'entrepôt, la zone de production et l'atelier du tailleur du pierre pour pouvoir atteindre les chambres :D
(Permalink)

Note: l'aile gauche»™ de la macronie

24 septembre 2025 à 10:17
Lu dans la newsletter Libé "Chez POL" de ce jour :
> Donald Trump a qualifié hier à l'ONU le changement climatique de «plus grande arnaque jamais menée». C'est à ce genre de propos qu'on voit que le président américain n'est pas français. Sinon, bien que climatosceptique, il aurait évidemment ajouté que c'était «la plus grande arnaque jamais menée» après l'existence supposée de «l'aile gauche»™ de la macronie.

J'ai souri.
(Permalink)

De retour à l’antenne, Jimmy Kimmel défend la liberté d’expression face aux pressions de Donald Trump – Libération

24 septembre 2025 à 10:07
> Il a rappelé que ce n’était pas son émission en soi qui était importante, mais le fait de «vivre dans un pays qui nous permet d’avoir une émission comme celle-ci». Devenu le héros de la liberté d’expression bafouée, Kimmel a remercié «ceux qui ne soutiennent pas mon émission ni mes convictions, mais qui soutiennent mon droit de les partager».

Voilà.
(Permalink)
Reçu avant avant-hier Choses vues, sur le web et ailleurs

Tom Cruise vs l'effet soap opera | Gadgets tech | Le site de Korben

22 septembre 2025 à 10:40
Je cite l'article de Korben :
> Hé bien il faut savoir que les séries télé cheap sont souvent tournées à 30 ou 60 images par seconde, ce qui leur donne cet aspect “en direct” super réaliste mais pas cinéma du tout. Les films, eux, restent à 24 fps depuis presque un siècle. C’est ce qui crée ce flou de mouvement naturel, cette texture cinématographique qu’on aime tous inconsciemment. Mais pas de bol, le motion smoothing vient détruire cette magie en comblant les trous avec ses images générées par algo.

Je cite [nonymous][1] chez qui j'ai trouvé l'article :
> Et c'est tellement désarmant de s'apercevoir que la plupart des gens ne s'en aperçoivent pas.
> Voire ne voient aucune différence lorsqu'on désactive l'effet.

Et là j'ai envie de dire : C'EST DONC CA ! Je ne parle pas de cette saloperie de post-traitement, par algo, il faudra que je cherche d'ailleurs, mais bien de l'effet "en direct" des soaps, des "séries de merde de France 3" etc. Je me rappelle, j'étais gamin, et j'essayais de faire comprendre à mes parents que "l'image, elle est pas pareille"... mais ils ne comprenaient pas. Au moins, je sais pourquoi je percevais une différence : ce n'est pas filmé à la même vitesse.

[1]: https://liens.nonymous.fr/shaare/uFLLXw
(Permalink)

«Demon Slayer : la Forteresse infinie», c’est diablement bien – Libération

15 septembre 2025 à 13:56
> Comme si l’animation japonaise avait inventé un nouveau type d’encre invisible que seuls ceux qui savent où chercher parviennent à révéler. L’effet de ringardisation du cinéma d’action traditionnel est impitoyable. A côté des joutes de Demon Slayer, l’action des productions Marvel Studios et cie ressemble à des engueulades de voisinage entre grabataires.

Ok, projet manga à lire. Avant de voir le film.
(Permalink)

Note: Une histoire de RimWorld

15 septembre 2025 à 07:47
Comme je suis à nouveau dans une phase de rimworldite aiguë, il est temps que je vous raconte une belle mais triste mais drôle histoire de RimWorld. Plus exactement la fin de ma dernière colonie.
C'était dans un biome de champignons, où la lumière du jour ne filtre quasiment jamais, à cause des émanations de soufre, mais où les champignons pourvoient à tout. On trouve des champignons à manger, bien sûr, mais également d'autres qui remplacent le bois, des hallucinogènes... bref, tout ce qu'il faut pour être heureux.

La colonie était située à l’extrémité d'une presqu'île, les assaillants pensais-je alors, ne pouvant arriver que d'un côté.
Et mon erreur aura finalement été d'avoir négligé les défenses, pensant à tort que la configuration des lieux suffirait à faire face à toutes les agressions.
Grosse erreur ! Mais nous verrons ça en temps utile.

Ma colonie comptait une quinzaine d'habitants, c'est à dire 7-8 colons et 7 réfugiés. Après des mois de cohabitation harmonieuse, alors que je voyais le bout de mes grands travaux d'agrandissement, les réfugiés ont tombé le masque et nous ont attaqué (oui, alors, je ne suis pas responsable des choix générés par le jeu, aussi gênant fussent-ils). Mais comme ils n'étaient absolument pas coordonnés, j'en suis assez facilement venu à bout, au prix de quelques blessures mineures. C'était même presque une bonne nouvelle, car la nourriture venait à manquer de façon chronique, et comme mes 3 colons "historiques" étaient cannibales... oui, nous nagions dans le bonheur.

Mais ce bonheur fut de courte durée. Les blessés à peine stabilisés, ou bien rétablis pour les moins gravement atteints, une nouvelle attaque se produisit. Et cette fois, pas des traines-savates mal équipés. Des mercenaires, atterrissant dans des capsules, simultanément sur différent points de la carte. J'ai fait tout mon possible et ils furent nombreux à amèrement regretter leur tentative. Mais une grenade suffit à tout faire basculer dans l'horreur. Mes colons étaient trois contre un, on ne donnait pas cher de la peau du merco, mais une grenade lancée par celui-ci juste avant de clamser a eu raison de Mamuki, mon médecin-prêtre dépressif. J'ai bien anticipé la trajectoire, mais il ne s'est pas écarté suffisamment vite. Le mur extérieur de ma salle de plantations hydroponiques a été volatilisé, et le pauv' type a pris cher lui aussi. C'est un corps brisé qui s'est mis à ramper misérablement vers l'abri et la mort.

Et vous savez comment c'est : quand ça commence à partir en couille, c'est cuit. Vous ne pouvez pas gérer des incendies, des mourants et des assaillants.
A la toute fin, un colon sonné était en train de se faire enlever, deux autres griévement blessés rampaient au milieu des flammes qui ronflaient, et les autres étaient immobilisés dans leurs lits de souffrance.
Rage quit.

J'ai commencé une nouvelle colonie, j'en ai profité pour ajouter des mods.
J'ai construit des barricades avant le frigo.
(Permalink)

Hermétiques aux plaisirs de la musique : le syndrome de l’oreille cassée – Libération

12 septembre 2025 à 15:04
> Comme de nombreuses personnes, Laurent Colonna, 67 ans, est atteint d’anhédonie musicale. Ceux qui sont touchés par ce trouble ne ressentent pas de plaisir à l’écoute de musique, quelle qu’elle soit. Dans un sens plus large, l’anhédonie est l’incapacité d’une personne à ressentir des émotions positives lors de certains moments de la vie quotidienne. Cette insensibilité au plaisir peut concerner également la nourriture, le sexe ou le sport.

Ça doit être horrible.
Non, je ne parle pas du sport.
(Permalink)

Procès de Frédéric Péchier : le réanimateur et la «furieuse envie de comprendre» le possible «crime parfait» – Libération

12 septembre 2025 à 14:59
> Il y a un geste en particulier, «sa première erreur», selon le directeur de l’enquête entendu en début de semaine, qui va attirer les soupçons sur Frédéric Péchier. Une minute seulement après l’arrêt cardiaque de la jeune femme – dont tout le monde ignore encore la cause – l’anesthésiste lui injecte du gluconate de calcium. Une substance décisive dans cette situation, puisqu’elle «améliore la tolérance du cœur à l’hyperkaliémie». La présidente veut en savoir plus : «Sur quelle base le Dr Péchier a-t-il administré du gluconate de potassium ? Qu’en pensez-vous ?» «C’est complètement aberrant», enfonce Sébastien Pili-Floury. Héritée des années 80, la pratique perdure certes chez de vieux médecins, mais des études ont montré qu’elle était «délétère» et aggravait la situation des malades en arrêt cardiaque. Sauf s’ils sont en pleine hyperkaliémie.

> «Je suis étonné que monsieur Péchier, anesthésiste si brillant, conserve cette attitude», ironise son confrère. Pour le professeur, seules deux hypothèses sont possibles : «Soit il est incompétent, il n’applique pas les recommandations ; soit il savait ce qu’il faisait.» Plus que l’injection en tant que telle, c’est le timing qui interpelle le plus les médecins. Son confrère cardiologue de la clinique Saint-Vincent, Thomas Golden, confirmait vendredi : «Injecter du gluconate de calcium tout de suite après un arrêt cardiaque, c’est hallucinant. On n’invente pas la médecine, il y a des recommandations. Et ce n’est pas recommandé. Ça veut dire que [Frédéric Péchier] savait tout de suite que c’était une hyperkaliémie. Le gluconate, on l’utilise en dernier recours. Avant, on fait tout pour faire baisser rapidement le potassium…» Autrement dit : après avoir empoisonné Sandra Simard, Frédéric Péchier lui aurait injecté le produit permettant d’inverser la vapeur.

Jusque là, j'avais un doute, la possibilité d'une erreur judiciaire, un complot, pourquoi pas... mais là, c'est plié.
(Permalink)

Russie et Bélarus organisent des exercices militaires conjoints, après la destruction de 221 drones ukrainiens dans la nuit – Libération

12 septembre 2025 à 10:18
Mon dieu. On est dans une partie de Civilization, sauf que c'est réel.
La Russie et la Biélorussie font des exercices de grande ampleur, baptisés "Ouest 2025" (brrr) juste à côté de la frontière polonaise, mais, faut pas s'inquiéter, c'est JUSTE un exercice.

La dernière fois que les deux pays ont fait ce type d'exercice, c'est JUSTE avant l'invasion de l'Ukraine.
(Permalink)

Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

12 septembre 2025 à 10:09
Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

[...]

> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
(Permalink)
❌