Pendant que l’UE planche sur une future obligation, ces 5 vélos électriques ont déjà adopté la recharge de batterie par USB-C.
A chaque vélo électrique son chargeur ou presque. Pour le moment, il n’existe aucun standard pour la recharge pour les batteries de VAE. Mais l’Union Européenne, qui veut étendre le format USB-C à tous les appareils électroniques, y réfléchit. Si pour le moment l’UE semble exclure ce changement ces prochaines années, certains fabricants ont pris les devants. Voici 5 vélos électriques ayant déjà passé le cap de la recharge par USB-C en 2025 !
Ampler, le pionnier du vélo USB-C venu de l’Est
La première marque à commercialiser un vélo électrique à recharge USB-C est Ampler. Originaire d’Estonie, elle a lancé le Nova, un vélo au design classique mais élégant et surtout léger (environ 17 kg). Si la batterie est fixe, elle possède donc une recharge USB-C, qui permet le plein d’énergie en seulement 3 heures. Deux versions existent : Nova avec dérailleur (2 990 €) et Nova Pro avec choix de monovitesse avec courroie (3 590 €).
Ziggy, il est fou de lui
Toujours en 2025, la nouvelle marque britannique Ziggy a aussi présenté son vélo électrique à recharge USB. Cette fois-ci, la batterie est amovible, au milieu du cadre comme sur un Lemmo.
Comme ce dernier, deux prises le rendent polyvalent avec la possibilité d’y recharger son téléphone et un PC. La batterie Power Core procure jusqu’à 80 km d’autonomie, pour le VAE Ziggy aux roues de 24 pouces, qui n’a pas encore de date de sortie.
Le vélo électrique USB-C, c’est aussi pour les enfants !
Peu après les deux premiers modèles cités, Woom a officialisé son premier VAE citadin pour enfants, après le VTTAE Up. L’Explore e existe en format 24 pouces pour les 7-11 ans et en 26 pouces pour les 10-14 ans.
Sa force : il repose sur la version mécanique avec un poids limité (13 kg), grâce à l’assistance légère Mahle XS. Sa batterie eX1 est rechargeable en USB-C, en plus de freins hydrauliques et de pneus Schwalbe comme les grands. Son tarif est d’environ 1 800 €.
Après son premier coup d’essai iPeps, la marque française a totalement repensé la conception et voulu créer l’un des meilleurs vélos pliants électriques. 16 pouces haut de gamme, il intègre une batterie dans le cadre, mais amovible à recharge USB-C.
Le chargeur livré (240 W) est rapide et aussi compact que le VAE ! Et la prise est bidirectionnelle, donc on peut aussi y recharger son smartphone quand on est au guidon. L’O2feel JIM est disponible depuis cet été à 2 990 €.
Also TM-B, l’américain futuriste connecté et automatique
Le TM-B est remarquable en bien des points : un design unique, un pédalier électronique avec moteur puissant et un bel écran avec connectivité. Conçu par la marque automobile Rivian, il intègre aussi une batterie amovible avec deux capacités au choix.
Ces deux versions ont une charge en USB-C, en seulement 2 heures pour récupérer 80%. De plus, deux prises USB – dont celle bidirectionnelle servant pour la recharge – leur permettent de servir de powerbank. L’Also TM-B devrait arriver en Europe dans le courant de l’année 2026 à environ 4 000 €.
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Entre sa puissance, sa prise en main facile et ses fonctions intelligentes, le robot MOVA E40 Ultra a tout pour plaire. Surtout après cette jolie remise.
A l’heure actuelle, nombreux sont ceux qui optent pour un aspirateur robot capable d’aspirer et de nettoyer le sol. Il faut dire que ces appareils sont devenus de plus en plus accessibles au fil des années, tout en offrant des performances remarquables.
Parmi les marques les plus intéressantes du moment, il y a notamment MOVA qui s’est spécialisée dans les modèles de pointe à des tarifs raisonnables comme le Z60 Ultra Roller Complete présenté à l’IFA 2025. C’est aussi le cas du E40 Ultra, un aspirateur robot très polyvalent qui profite actuellement d’une réduction de 50 € pour une durée limitée (du 27 octobre au 9 novembre 2025). Coup d’œil sur cet appareil bien pratique au quotidien.
Le MOVA E40 Ultra à 449 € : pourquoi c’est un bon plan ?
Commercialisé habituellement à 499 €, le MOVA E40 Ultra se retrouve de manière exceptionnelle à 449 € grâce à une remise de 10 %sur plusieurs sites (Amazon, MOVA, Boulanger). Autant dire que le timing est parfait pour s’offrir un aspirateur robot, d’autant plus que la promotion expire le 9 novembre prochain.
En outre, il faut savoir que ce modèle a reçu une très bonne moyenne de 4,4/5 chez les principaux revendeurs (moyenne fournie par Google). Preuve que la majorité des clients sont déjà conquis par ce petit bonhomme.
Votre animal de compagnie pourrait bien se faire un nouvel ami.
Quels sont les plus gros atouts du MOVA E40 Ultra ?
Face à une très forte concurrence dans le secteur des aspirateurs robots, la jeune marque asiatique MOVA (créée en 2024) se devait de frapper fort avec ses appareils. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’E40 Ultra est loin de faire pâle figure avec sa puissance de 19 000 Pa, l’une des plus élevées dans sa fourchette de prix. Grâce à cela, il est capable d’avaler toutes sortes de poussières et de particules sans la moindre difficulté.
Par ailleurs, ce modèle est équipé de serpillères extensibles qui lui permettent d’accéder aux endroits les plus exigus, ainsi qu’un réservoir d’eau intelligent qui s’adapte aux types de sols et de tâches à nettoyer. En bref, tout ce qu’il faut pour vous épargner des corvées ingrates.
Allez, à la niche.
Dans le même temps, il est capable de repérer les tapis et de relever sa serpillère avant d’y passer pour ne pas les abîmer grâce à son système de détection ultrasonique. Sans oublier sa station tout-en-un qui se charge à la fois de la vidange automatique, ainsi que du lavage et du séchage des serpillères.
En résumé, le MOVA E40 Ultra est un excellent modèle pour les budgets relativement modestes grâce à sa puissance élevée de 19 000 Pa et ses nombreuses fonctionnalités intelligentes qui facilitent son utilisation et son entretien. Cerise sur le gâteau : ce modèle est garanti 3 ans après achat, ce qui devrait rassurer les clients les plus hésitants.
Une nouvelle marque américaine, inconnue au bataillon, vient de rassembler 50 000 $ pour lancer un nouveau modèle de robot-aspirateur. La spécificité de cet appareil ? Le R2 sera capable de shampouiner les tapis !
Depuis quinze ans, l’aspirateur-robot a appris à se repérer, à cartographier nos pièces, puis à s’auto-vider pour nous laisser un peu plus tranquilles entre deux ménages. La décennie suivante a vu éclore les robots-laveurs : patins vibrants, serpillières rotatives, stations qui rincent et sèchent… avec, toujours, la même limite : au bord d’un tapis, on freine, on contourne, on lève les patins. La moquette et les velours restent le territoire des shampouineuses « à l’ancienne », traîneaux bruyants et tuyaux en bataille.
C’est précisément cette frontière que Robotin dit vouloir franchir avec le R2, un projet actuellement financé sur Kickstarter. L’ambition est la suivante : rendre un robot domestique en mesure de nettoyer en profondeur que l’on réservait jusqu’ici aux injecteurs-extracteurs, et l’orchestrer de bout en bout avec une station d’accueil chargée d’approvisionner, d’aspirer et de sécher. Sur le papier, l’équation mêle trois promesses rarement réunies : l’aspiration « forte » sur textile, l’injection-extraction à l’eau chaude, puis un séchage actif destiné à rendre le tapis praticable peu de temps après chaque cycle.
La jeune pousse se présente sous le nom Robotin Inc., avec un slogan qui résume son ambition : « Robot in, chores out » (littéralement : « Le robot entre, les corvées sortent »). La communication officielle est anglophone et situe l’annonce du R2 à Irvine (Californie).
Côté calendrier public, Robotin décrit un enchaînement classique pour un hardware ambitieux : prototypes d’ingénierie en 2023, design modulaire en 2024, protos robot + station en 2025, puis lancement de la campagne Kickstarter le 23 septembre 2025. Les expéditions sont annoncées pour mars 2026 (printemps 2026 selon les supports), ce qui laisse un cycle d’industrialisation d’environ 6 à 9 mois après la campagne.
Robotin revendique le « premier robot laveur de tapis autonome » : un système modulaire combinant un module d’injection-extraction/séchage pour les tapis et un module aspiration plus classique, le tout orchestré par une AI-Perception System (détection des revêtements, évitement d’obstacles, cartographie). Le site officiel, les réseaux et la fiche Kickstarter alignent ce discours de fond (autonomie, modularité, navigation assistée par IA).
Quelques chiffres sur le Robotin R2 (d’après les bruits de couloir)…
Caractéristique Techniques
Dimensions
40,6 × 39,9 × 15,2 cm
Puissance d’aspiration
115 AW
Batterie
10 000 mAh (Recharge 0→80 % en ~24 min)
Capacité du bac à poussière
1,8 L (annoncé “jusqu’à 60 jours”)
Capacité de la station (eaux)
propre ~9 L sale ~6 L
Chauffe-eau
RapidHeat 60 °C en ~10 min
Navigation / IA
“AI-Perception System”, 12 types de capteurs
Couverture de nettoyage
37 m²/h
Prix Kickstarter
799 $
Fenêtre de livraison annoncée
mars 2026
Une shampouineuse autonome : comment ça marche ?
L’idée de Robotin est de transposer, dans un format robotisé, le principe des injecteurs-extracteurs que l’on connaît chez Bissell et consorts. Concrètement, le R2 projette de l’eau sur les fibres, brosse pour décoller les saletés incrustées, puis aspire l’eau chargée afin de laisser un tapis le moins humide possible. La station d’accueil alimente et récupère l’eau automatiquement, ce qui permet d’enchaîner un cycle complet sans manipulation intermédiaire. Les éléments publiés évoquent en plus un chauffage rapide de l’eau et un séchage actif par flux d’air chaud, piloté par des capteurs d’humidité pour homogénéiser la fin de cycle.
Cette mécanique repose sur un châssis unique et deux modules que l’utilisateur interchange : un module « carpet wash/dry » pour l’injection-extraction et un module « vacuum » pour l’aspiration classique. L’app donne la main sur la cartographie, les zones interdites et les routines ; le robot ajuste sa trajectoire grâce à un système de perception annoncé comme « AI-Perception », combinant une douzaine de types de capteurs pour reconnaître les revêtements, éviter les obstacles et planifier les passes utiles.
Le dispositif ressemble trait pour trait à une shampouineuse classique !
Reste la question des surfaces non textiles. Avec son module « vacuum », le R2 peut aspirer les sols durs comme un robot traditionnel — débris, poussières et poils. En revanche, rien n’indique pour l’instant l’existence d’un module serpillière dédié aux sols durs : la communication officielle se concentre sur le lavage de tapis, l’extraction et le séchage, sans mention d’un patin humide ou de rouleaux destinés au carrelage ou au parquet. C’est un point important pour situer le produit : il se présente d’abord comme un robot de soin des tapis, qui sait aussi aspirer, et non comme un laveur universel qui ferait tout sur tous les revêtements.
Enfin, la station joue un rôle central : elle ravitaille le robot en eau propre, récupère l’eau sale et sert de base pour l’entretien courant, promettant de véritables sessions « mains libres », excepté pour changer de module.
Les questions que l’on se posera pour un éventuel test
En tablant sur une sortie en mars 2026 suivi d’une exportation relativement rapide en Europe, notre petit labo a déjà quelques questions dans sa manche concernant :
l‘efficacité de l’injection–extraction selon le type de tapis (poils courts/longs, densité) et le taux d’humidité résiduelle ;
la réalité du séchage “rapide” selon la température ambiante et l’homogénéité du résultat (bords vs zones centrales) ;
la polyvalence de l’appareil : aspiration correcte sur sols durs, possibilité d’une option lavante ? ;
le niveau sonore par phase (brossage, extraction, séchage) et acceptabilité en usage quotidien ;
la maintenance et l’hygiène : nettoyage des conduits, prévention des odeurs, accès aux pièces détachées, protocole d’auto-rinçage ;
les consommables et le coût d’usage (détergents éventuels, filtres, brosses)
l’autonomie et la surface couverte : on s’interroge sur l’impact du chauffage de l’eau et du séchage actif sur la durée d’un cycle et la fréquence des retours à la base.
Et vous ? Possédez-vous beaucoup de tapis ? Un tel produit pourrait-il vous faire passer le cap des robots-aspirateurs ? Sur le papier, trouvez-vous cela plus utile qu’un robot-laveur de sols durs ? Dites-nous votre avis en commentaires !
Choisir entre le Dyson v15, gen5 ou v16, c’est comme débattre du meilleur super-héros : chacun a ses super-pouvoirs, mais le budget et les besoins tranchent. Finies les heures de ménage à jouer les acrobates avec une gâchette ou à râler contre un filtre qui laisse filer les acariens. On décortique ici les forces, les défauts et les subtilités de ces trois mastodontes de l’aspiration, pour que vous arrêtiez de zapper entre les fiches produits.
Spoiler : le Gen5detect a de bons arguments s’il est en promo, le V15 reste un choix malin, et le V16… eh bien, il est très fort, mais pas encore à portée de tous.
Dyson V15, gen5, V16 : le choc des titans du ménage !
Vous souhaitez vous équiper d’un aspirateur-balai solide, puissant, sans prendre le risque d’être déçu ? Dyson propose trois modèles pour vous débarrasser de la saleté : V15 Detect, Gen5detect et V16 Piston Animal. Les trois appareils se ressemblent, avec notamment un éclairage puissant au niveau des brosses principales et un compteur de particules piézoélectrique avec écran LCD, servant à ajuster la puissance d’aspiration en temps réel. Pourtant, la différence de prix est bel et bien là, avec un écart de plus de 400 € parfois, selon le modèle et le revendeur. Comme on le disait dans notre comparatif V15 vs V12, la montée en gamme se paie cash. Alors dans quoi allez-vous mettre votre argent ?
Nota Bene : le capteur piézo compte les particules 15 000 fois/seconde. La détection de poussière en temps réel, décryptée par Wired, révèle les résidus invisibles.
Le V15 Detect Absolute, le moins cher, dispose déjà d’une excellente base, avec une bonne aspiration de 230 AW et un réservoir de 0,77 L. Le Gen5detect enchaîne les améliorations : 280 AW de puissance, filtre HEPA capturant les particules de 0,1 micron et autonomie étirée à 70 minutes. Mais pèse 3,5 kg – c’est le plus lourd des trois. Le V16, sorti en 2025, débarque avec compresseur de poussière (stockage 60 jours), aspiration 315 AW, autonomie confortable jusqu’à 75 minutes, support mural simplifié. Seul bémol : son suceur All Floors Cones Sense relativement bruyant et mal adapté aux plinthes.
Nota Bene : on observe une puissance d’aspiration croissante de 2021 à 2025. Mais attention avec ce genre de chiffres : comme on l’a vu dans nos tests V10 vs V8, la puissance sur papier ne fait pas tout.
Dyson V15 Detect Absolute : l’argument du meilleur rapport qualité-prix
Lancé en 2021, le V15 Detect est une valeur sûre. Ses 240 Air Watts suffisent largement à mettre la saleté quotidienne au placard – enfin à la poubelle, mais on se comprend… Un moteur Hyperdymium™ à 125 000 tr/min, 2 fois plus puissant que le V8, gère les moquettes épaisses sans surchauffer. Le laser Fluffy Optic™ révèle la poussière invisible sur parquet – très efficace même en faible lumière.
À 3,1 kg, il se manie sans mal de dos. La gâchette est un choix à assumer : appuyez pour nettoyer ciblé (miettes, poils, etc.), relâchez pour économiser la batterie. Mais attention aux tendinites sur les séances ménage prolongées, car la pression longue fatigue. On peut également pointer du doigt son filtre qui ne capte « QUE » les particules de 0,3 microns (vs 0,1 pour le Gen5 HEPA – un peu meilleur pour les allergiques).
Verdict : pour 90 % des ménages, le V15 suffit. Moins cher, plus léger, avec 80 % des performances du Gen5. L’outil Hair Screw gère les poils longs sans bourrage – parfait pour les foyers animés. Hors promo, il est à 799 €, mais il est désormais trouvable à moins de 600 € chez des Boulanger ou Darty.
Nota Bene : pour aller plus loin, la version Submarine existe, laquelle inclut une fonction de nettoyage des sols à l’eau claire.
Caractéristique du V15
Dimensions
126 x 26,6 x 25 cm
Poids
3,1 kg
Batterie
Lithium-ion 3600 mAh
Autonomie max
Jusqu’à 60 min
Temps de charge
4h30
Puissance d’aspiration
240 Air Watts
Contenance du collecteur
0,77 L
Système d’activation
Gâchettes
Filtration
HEPA > 3µ
Accessoire intégré au tube
Brosse High Torque, Brosse Laser Slim Fluffy, Mini brosse motorisée, Mini brosse douce, Brosse rigide, Accessoire combiné, Long suceur, Adaptateur pour meubles bas
Niveau sonore
75 dB max
Dyson gen5detect : le choix intermédiaire qui monte en puissance
Avec le Gen5detect, Dyson signe une évolution notable. Plus puissant, plus malin, plus endurant… mais aussi plus lourd et plus cher. Un saut générationnel qui vaut-il le coup ? Pour ceux qui vivent avec des animaux ou des allergies, c’est loin d’être absurde.
Le moteur Hyperdymium Gen5 tourne à 135 000 tr/min, délivrant une succion record de 280 AW, ce qui laisse encore moins de chances aux particules accrochées aux fibres des tamis d’y loger éternellement. Poils d’animaux, moutons sous le canapé… tout disparaît à vitesse grand V. Le système cyclone à 14 étages assure une capacité d’aspiration maintenue à son maximum.
On passe aussi un cap pour les plus sensibles aux allergènes : la filtration HEPA capture 99,99 % des particules de 0,1 micron. Une première chez Dyson. L’air rejeté est plus propre que dans une salle stérile. Et avec l’écran LCD, vous voyez en temps réel la quantité de poussière capturée, et la taille des particules emprisonnées dans le collecteur. Détail pratique : le bouton marche/arrêt remplace la gâchette, jugée trop fatigante par de nombreux retours utilisateurs. On apprécie également que l’autonomie grimpe à 70 minutes contre 60 minutes sur le V15.
En revanche, les 3,5 kg se font sentir, surtout en hauteur. Côté budget ? Comptez 899 € hors promo (contre 799 € pour le V15). Un écart justifié principalement par des spécifications techniques un cran plus élevées, dont une meilleure filtration, en somme. Ah et il y a le bouton à la place de la gâchette… Quoi qu’il en soit les plus malins sauront se le procurer à 650 € environ.
Nota Bene : pour avoir l’adaptateur pour meubles bas (inclus chez le V15), il faudra néanmoins choisir le pack à 929 € ou le prendre à part en e-boutique. Pas de version Submarine pour celui-ci.
Dyson V16 Piston Animal : le dernier né ultra puissant !
Le Dyson V16 Piston Animal, concentré de 34 brevets, incarne la nouvelle génération d’aspirateurs balai de la marque anglaise. Si le Gen5 était déjà impressionnant, le V16 le pulvérise avec 315 AW d’aspiration brute délivrés par un moteur Hyperdymium 900W – 50% de puissance en plus que son prédécesseur. La technologie cyclonique s’active en mode Boost avec cinq mini-cyclones supplémentaires pour une puissance inédite. Comme son prédécesseur, sa filtration HEPA 5 étages capture 99,99% des particules de 0,1 micron – parfait pour les allergiques.
En ce qui concerne les nouveautés, le bac CleanCompaktor compresse les débris pour contenir l’équivalent de 30 jours de poussière. Le vidage hygiénique repousse le moment de récupérer les saletées avec les mains. Les brosses Fluffy laissent place à une tête All Floor Cones Sense, qui démêle cheveux longs et poils d’animaux. Elle s’adapte aux sols durs, mais brille surtout sur tapis et moquettes. On trouve également des embouts en biseau au bout du corps principal et du tube, ce qui permet une aspiration de précision sans faire l’aller-retour pour récupérer un accessoire adapté.
Néanmoins, le poids reste élevé (3,4 kg) et la nouvelle brosse est relativement bruyante (jusqu’à 81 dB). Niveau accessoires, on perd une brosse dans l’histoire (la Fluffy). On note également l’accès à l’application Dyson, même si l’idée d’un aspirateur-balai connecté a du mal à trouver une justification majeure en pratique. Le coup de théâtre, finalement, c’est le prix : 849 € hors promo, soit 50 € de moins que le prix initial du Gen5 Detect, lequel s’en voit réduit au rôle de leurre marketing (un faire valoir, en somme).
Caractéristique du V16 (Piston Animal)
Dimensions
129,8 x 25,9 x 25 cm
Poids
3,4 kg
Batterie
Li-ion amovible
Autonomie
entre 15 et 75 min
Temps de charge
3h30
Puissance d’aspiration
315 AW
Contenance du collecteur
1,3 L
Système d’activation
bouton marche / arrêt
Filtration
Multicyclonique, Mousse, HEPA 99,9 % à 0,1 micron
Accessoire intégré au tube
Brosse conique, Brosse auto-démêlante 2.0, Accessoire deux en un, Long suceur
Niveau sonore
72 dB – 81 dB
La brosse lavante est indispensable pour vous : Dyson V15s Submarine ou Dyson V16 Piston Animal Submarine ?
Deux des candidats admettent une version Submarine, qui les change en aspirateur-laveur grâce au module adapté. Le Submarine nettoie les taches sur surfaces dures avec un réservoir 300ml couvrant jusqu’à 110 m², avec mode Boost pour les taches tenaces. Bien sûr, le poids du module rempli d’eau va alourdir les deux appareils. Les autres caractéristiques de chaque modèle ne varient pas.
Nota Bene : le Gen5 est exclu de cette possibilité, ce qui en fait résolument le choix le moins attrayant dans la stratégie de Dyson.
En revanche, on peut encore une fois commenter les tarifs. Si on se focalise sur le prix initial, le V15 Detect Submarine coûte 150 € de plus que son homologue standard (949 €). Le V16 Piston Animal passe en aspirateur-laveur pour seulement 140 € de plus (999 €). À comparer les deux, on peut se dire facilement que, quitte à réaliser une grosse dépense, autant mettre les 50 € de plus pour avoir le modèle le plus performant. Et l’effet de leurre fonctionne encore.
Notre avis : quel Dyson choisir selon nos tests ?
Vous l’aurez compris, la sortie des modèles d’aspirateurs-balais Dyson suivent une stratégie marketing bien rôdée, avec des améliorations au compte-goutte et des effets de leurre sur les solutions intermédiaires. C’est une stratégie commerciale très courante, mais en avoir conscience n’aide pas forcément à faire un choix.
Le Dyson V15 Detect (ou sa version V15s Submarine) présente le meilleur rapport qualité/prix. Pour avoir testé les trois modèles, celui-ci fait largement l’affaire dans une maison ou un appartement de 100 m2 environ. Nous n’envisagerions même pas les deux autres – et en promo, c’est encore mieux.
Le Dyson Gen5detect remplit parfaitement son rôle de vilain petit canard. C’est le plus cher en tarif initial, il a moins d’accessoires que le V15 et est moins performant que le Dyson V16. Il n’a même pas accès à la version Submarine. En plus il est lourd. Next.
Le Dyson V16 Piston Animal est le meilleur, mais aussi le plus cher, si l’on évacue son faire-valoir ci-dessus. Avec 315 AW d’aspiration, une autonomie à 75 min max et et un bac à compression de 1,3L, il va vous faire les yeux doux. Mais n’oublions pas sa brosse bruyante et son manque d’accessoires. Il est également relativement lourd et son application est gadget. Nous le mettons au rang de caprice rationnalisable pour les plus fortunés.
Alors, prêt à faire la guerre à la poussière ? Le V15, c’est le malin pour un budget raisonnable. Le Gen5detect, hors de question s’il n’est pas en promo. Enfin, le V16, pourquoi pas, si le budget le permet et si vous avez beaucoup de tapis.
Alors êtes-vous d’accord avec notre analyse ? A quelle team appartenez-vous ? V15, Gen5 ou V16 ? Ou team pas Dyson du tout ?
FAQ
V15 vs Gen5 : c’est quoi le casting ?
Le V15, c’est le vétéran costaud mais léger (3kg), avec sa gâchette à presser façon manette de jeu. Le Gen5detect, lui, aspire à 280AW et embarque un bouton unique pour zapper la crampe au doigt, et une filtration HEPA plus fine. Mais il pèse 3,5kg. Verdict : Le V15 pour le budget et la maniabilité, le Gen5 pour les allergiques et les maniaques du confort. PAS D OPTION lavage à l’eau pour le GEN5 !
Dyson Gen5 ou V16 Piston Animal ?
V16 Piston Animal. Il est moins cher au tarif initial, plus puissant, plus autonome et un peu moins lourd. Il est même doté d’un compacteur pour une meilleure capacité. En outre, il existe en version Submarine, pour ceux qui ont le budget bien accroché.
Quel est le meilleur Dyson haut de gamme du moment ?
Si le budget vous brûle pas les poches, le V16 Piston Animal Submarine c’est « la totale » : puissance, autonomie, capacité du collecteur et option lavage. Mais le V15 reste excellent pour 799 €, surtout avec les promos. Le Gen5 fait figure d’intermédiaire trop cher, ce qui portera l’attention sur le nouveau bijou de Dyson. A envisager uniquement s’il est en promo.
Quelle est la date de sortie du Gen5detect ?
Le Gen5detect a fait son show en 2022/2023. Résultat : Dispo depuis 2 ans, avec un retour client solide. À noter : Son prix a un peu baissé, mais il reste plus cher que le V15 (899 € vs 799 €).
Des alternatives au V15 ?
Le V15 c’est le roi du rapport puissance/prix, mais les autres marques frappent fort. Le Shark Rocket Pet Pro 2 (350€) reste léger (2,7kg) et démontable. Le Tineco A10 (450€) brille par sa batterie modulable. Et pour les fans de tech, le Xiaomi Cyclone V10 (200€) surprend avec son écran tactile. Attention : Aucun n’atteint la filtration HEPA du Gen5 ou du V16.
Quelle est la durée de vie d’un Dyson ?
Entre 5 et 10 ans d’après Le Point, si vous le chouchoutez. La batterie s’use au fil des cycles, et les brosses motorisées valent 200-300€ neuves. Conseil : optez pour la garantie étendue et la station murale Dyson (100€ en plus), afin d’éviter les ennuis.
Printemps 2026 : la guerre des robots-tondeuses aura bel et bien lieu. Husqvarna a déjà composé ses rangs avec quatre modèles milieu et haut-de-gamme.Ces champions, baptisés Automower® NERA (405VE, 410VE, 430V, 450V), montent d’un cran les exigences de sécurité, de fonctionnalités et de précision.
Il y a peu, nous avons testé l’Automower NERA405XE. Ce modèle datait de 2023, et appartenait à la première gamme de robots-tondeuses sans fil Husqvarna adressée à des particuliers. Nous avons salué la prestation d’un appareil sérieux, dont nous avons cependant critiqué quelques lacunes en matière de fonctionnalités et de navigation, laquelle pouvait observer quelques oublis, comparé aux fers de lance de Mammotion ou de Segway. En somme, le leader mondial d’aménagement des jardins (3,5 millions de clients dans le monde) doit désormais faire face à une féroce concurrence chinoise et américaine.
Cependant, la marque suédoise, créé en 1689, peut compter sur ses trente ans d’expertise en robots-tondeuses domestiques et professionnelles (tous fabriqués en Angleterre) pour rebondir et préparer une riposte alignée avec les exigences d’un marché en plein essor : terrains vastes et complexes, enjeux écologiques, expérience utilisateur affinée, rapport qualité/prix agressif chez d’autres acteurs montants. Voici, en quelques lignes, la réponse que prépare Husqvarna pour rester dans le top !
Les premières caractéristiques techniques disponibles
Modèle Automower
Surface max conseillée
Pente max
Hauteur de coupe
Motifs de tonte (systématique)
EdgeCut
Prix TTC
Automower 405VE
900 m²
30 %
20–55 mm
Bandes, damiers, triangles
Oui
2 649 €
Automower 410VE
1 500 m²
30 %
20–55 mm
Bandes, damiers, triangles
Oui
3 099 €
Automower 430V
4 800 m²
50 %
20–60 mm
Bandes, damiers, triangles
—
4 249 €
Automower 450V
7 500 m²
50 %
20–60 mm
Bandes, damiers, triangles
—
5 449 €
La surface maximum conseillée convient à la tonte systématique. Les valeurs sont légèrement réduites pour la tonte aléatoire.
Vous reprendrez bien un petit peu d’IA ?
Le paradoxe actuel des robots du secteur électro-ménager est que leur automatisation nécessite souvent une intervention attentive de l’utilisateur qui doit effectuer une configuration avancée pour obtenir une tonte personnalisée, sans erreurs. Husqvarna cherche à alléger la tâche dévolue à l’humain en dotant chaque nouveau robot une technologie de vision IA. Ce regard artificiel a pour mission d’aider les Automowers à percevoir leur environnement en temps réel et d’adapter leur comportement en conséquence. Ils peuvent ainsi éviter la plupart des obstacles que l’on trouve sur les terrains domestiques : jouets, enfants, animaux, tuyau d’arrosage, etc.
Nota Bene : grâce à une caméra infrarouge, Husqvarna pourrait réhabiliter la tonte nocturne en détectant et en contournant les hérissons, souvent victimes de mutilations involontaires.
La technologie EPOS pour les flemmards minutieux
Auteur du tout premier robot sans fil périmétrique en 2020 avec l’Automower® 550 EPOS™, Husqvarna veut réaffirmer son statut de pionnier dans la tonte sans fil. C’est pourquoi son dispositif de vision IA sera associé à la technologie sans fil Husqvarna EPOS™, afin d’assurer des cycles de tonte sans interruption, y compris dans les zones où la réception satellite est limitée. Mieux encore : la station de référence ne sera plus obligatoire pour activer un robot-tondeuse Automower !
En 2023, chez Husqvarna, nous réalisions 80% d’installations filaires de robots, contre 20% sans fil. Aujourd’hui, nous sommes proches des 70% d’installations sans fil et nous prévoyons que ce taux atteindra 80% en 2026.
Maxime Tolila, Chef de marché Automower®.
Une fonctionnalité de tonte aléatoire suffira pour un rendu homogène, mais vous pourrez également demander une esthétique plus aboutie avec des motifs tels que des bandes, des damiers ou des triangles. Bien sûr, les cartes seront modifiables à loisir depuis l’application Automower® Connect (iOS et Android) en ajoutant des zones d’exclusion temporaires ou définitives.
Nota Bene : pour garantir votre confidentialité, les images capturées sont traitées uniquement dans la tondeuse. Elles n’ont donc jamais besoin d’être stockées ou partagées. Seules certaines données transmises seront hébergées en Europe, conformément à la législation en vigueur.
Automower NERA pour tous les types de terrains
Taillés pour (vraiment) tous les terrains, les nouveaux NERA couvrent l’essentiel des besoins : les 405VE et 410VE visent les pelouses de taille moyenne — respectivement jusqu’à 900 et 1 500 m² — tandis que les 430V et 450V prennent le relais sur les grands et complexes jardins, jusqu’à 4 800 et 7 500 m². Les deux “petits” modèles embarquent en prime la fonction EdgeCut : des bordures nettes, moins de passages au coupe-bordure, et plus de temps pour autre chose.
Côté réglages, la hauteur de coupe s’ajuste finement (20–55 mm sur 405VE/410VE, 20–60 mm sur 430V/450V) et la connectivité est complète (4G, Wi-Fi, Bluetooth) pour piloter et affiner vos zones depuis l’app. Enfin, les pentes ne les effraient pas : jusqu’à 30 % (≈ 16,7°) pour 405VE/410VE et 50 % (≈ 26,6°) pour 430V/450V. Bref, prairie sage ou relief corsé, ces Automower® gardent le cap — et la pelouse, au cordeau. Rendez-vous en février 2026 !
Le robot-tondeuse du jour se nomme Terramow V1000. Il propose une technologie qui sort légèrement des sentiers battus : cartographie autonome, abri inclus dans la boîte, un mode “spot”… Un challenger qui nous aura marqué en cette fin de saison !
Jeune marque née dans l’écosystème Shenzhen, TerraMow est l’enseigne grand public de Shenzhen Muxin Intelligent Technology (opérateur du site et titulaire de la marque), avec une ambition claire : démocratiser les robots “vision-first” — sans fil périmétrique ni RTK — pour un déploiement en minutes. Après une phase R&D initiée en 2019, la marque se révèle au grand public via un Kickstarter mi-2024, puis revendique une communauté active et des livraisons aux premiers backers en fin d’année.
Côté produits, TerraMow pousse sa plateforme TerraVision™ (triple caméras) / V-Series, avec aujourd’hui le V1000 en vitrine et, en toile de fond, des variantes comme V600 qui apparaissent dans les notes de firmware. Positionnement : tonte sans fil par vision, cartographie autonome, évitement d’obstacles, promesse “wire-free, hands-free, signal-free”. Caractéristiques, fonctionnalités, limites et rapport qualité/prix : voici notre compte rendu détaillé !
Caractéristique Techniques
Dimensions
60,2 x 39,4 x 33,1 cm
Poids
11,8 kg
Zone de tonte recommandée
1 000 ㎡ (1200 ㎡ après la dernière mise à jour OTA ! )
Surface de tonte par charge complète
160-300 m²
Hauteur de coupe
25-75 mm
Largeur de coupe
203 mm (8 po)
Disque de lames
3 lames
Connectivité réseau
Wi-Fi / Cellulaire 4G
Navigation
Système de vision IA à triple caméra TerraVision™ 2.0
La fiche technique du Terramow est plutôt convaincante : une couverture relativement confortable pour le prix, un large choix de hauteur de coupe, une largeur de coupe correcte, une température de fonctionnement permissive et une garantie de 3 ans.
Un carton plutôt facile à déballer et à ranger !
On note néanmoins une autonomie de 2h30 (contre 3h30 pour un Yuka mini), et un franchissement de pente timide (un des plus bas de nos tests, lesquels vont jusqu’à 38,6° avec le Luba Mini, avec une moyenne autour des 25° max, pour les autres). Enfin, le disque est équipé de trois lames pivotantes seulement : c’est le minimum syndical, on espère que la coupe sera nette.
Unboxing Terramow V1000 : un abri déjà inclus !
Pas de fil périmétrique, pas d’antenne RTK, y a plus qu’à !
Robot V1000
Station de base avec garage
Adaptateur secteur
Kit de lames (9 pièces)
Kit de vis pour station de base
Manuel d’utilisation
Guide rapide
Le point fort de cet ensemble est, bien évidemment, le toit à visser directement à la station de charge. Pas besoin d’acheter un garage en supplément, l’abri est déjà fourni et il s’intègre de manière à prendre un minimum d’espace. À titre de comparaison, celui de Mammotion est assez imposant. On note évidemment l’absence d’antenne RTK (toujours agréable pour réduire le temps et les frictions d’installation).
On apprécie également le kit de remplacement des lames, lequel permet de voir venir avec 3×3 pièces. Notre seule doléance : une brosse d’entretien et un manuel d’utilisation traduit en français. En effet, nos deux livrets sont en anglais et en allemand…
Design et ergonomie : 0% esthétique, 100% pratique
Résolument, le secteur des robots-tondeuses se sépare en deux écoles : les carrosseries façon voiture de sport, et les briques sur roues. Le Terramow V1000 fait partie de la seconde catégorie, à l’instar du A1 pro de Dreame ou du Mova 1000. Aucune objection à cela, à part peut-être un bémol sur le gris un peu maussade. On se rappelle le Stiga a750 qui arborait un orange vif des plus réjouissants sur une coque très simple.
Il n’a pas un physique facile mais on l’apprivoise vite !
Quoi qu’il en soit, la coque plastique est épaisse avec des caméras logées en façade dans un bloc protégé (vision tri-caméras). L’ensemble revendique la résistance météo IPX6 ce qui permettra un nettoyage au tuyau à basse pression. Sous le châssis, TerraMow met en avant des lames SK5 (acier carbone) annoncées plus tranchantes que l’inox et plus durables. Les grandes roues motrices arrière ont un profil marqué pour la motricité. Enfin, on notera la présence d’un bouton qui servira à la connectivité.
La poignée à l’arrière le rend facile à transporter manuellement.Avec une seule roue folle et lisse, difficile de grimper des pentes raides.
Côté ergonomie, on est bien : la poignée arrière est large et rigide, pensée pour le porter à une main jusqu’à la base ou d’une zone à l’autre. Le panneau de commandes se passe d’écran. On retrouve le fameux grand bouton STOP pour la sécurité et quatre boutons fonctions autour : allumage/extinction, commencer une tâche, valider et retour à la station. Un affichage de batterie en anneau fait le tour du bouton d’alimentation.
Facile sur le papier, mais faut rester concentré pour aligner la vis…On se retrouve avec un ensemble assez compact !
Quant à la station de charge, elle profite d’un câble de 5 mètres assez confortable. Le toit s’installe avec des vis fournies, actionnables à la main, sans outils.
Application : c’est fonctionnel !
La connexion utilise le même système que sur la plupart des appareils de ce type- hormis le bouton sous le châssis qu’il faut actionner pour lancer l’appairage (Bluetooth, Wi-Fi, etc. vous connaissez les bails !). Le robot s’allume quand il est sur son socle de charge et une voix nous fournit les premières indications en anglais. Vous pouvez modifier la langue depuis l’application TerraMow, disponible sur iOS et Android.
La mise à jour a duré un bon quart d’heure…
Tout comme le robot-tondeuse lui-même, l’appli joue à fond la carte de la fonctionnalité sans fioritures. La prise en main est rapide en dépit des nombreux réglages à manipuler, à savoir :
la cartographie
le planning de tonte
5 modes de tonte
la hauteur de coupe
la distance de coupe des bordures
l’espacement des lignes de tonte
la vitesse de déplacement (3 vitesses)
la vitesse de rotation des lames (3 vitesses)
la direction de la tonte
un historique de tonte
l’estimation d’usure (lames et station)
l’antivol (GPS, alarme et verrouillage)
un partage de contrôle des appareils
la mise à jour OTA
Sur beaucoup de robot, il est possible de régler la sensibilité des capteurs (Mammotion, Sunseeker, etc.) ; ce n’est pas le cas ici. Il n’y a pas de mode « ne pas déranger » et nous n’avons pas trouvé de mode « hivernation » non plus. Cela étant, il ne s’agit pas de lacunes vraiment contraignantes et rédhibitoires. Enfin, il n’est pas possible de tondre la nuit (tant mieux car c’est vivement déconseillé ! ). En effet, le robot ne peut fonctionner que dans un environnement suffisamment éclairé en raison de son système de navigation basé sur une caméra.
Beaucoup de réglages possibles mais on s’y fait vite !
Nota Bene : il est possible de faire sonner le robot afin de le localiser sur grand terrain. L’alarme ne dépasse pas les 75 dB et devient très peu audible passés les 50 mètres de distance.
Cartographie : il s’occupe de tout, on s’occupe de (presque) rien !
Pour la première fois dans le labo de meilleure-innovation.com, nous n’avons eu qu’à appuyer sur un bouton pour que le robot-tondeuse parte en reconnaissance sans notre aide, façon aspirateur-robot. La seule autre marque à proposer cette fonctionnalité, mais exclusivement pour les jardins faciles et quasiment sans obstacle, c’est Mammotion. Mais les terrains dans lesquels nous pratiquons nos tests sont complexes (arbres, trous, forme irrégulière), et nous avons très vite dû prendre le relai via le mode télécommandé.
La version texturée de la carte (à gauche) ne sert pas à grand-chose…
Le Terramow V1000, lui, a commencé sa patrouille sans se laisser émouvoir par la moindre racine ou le premier branchage venu. Après 34 minutes, il avait cartographié les 154 m2 de surface à tondre. Les obstacles sont automatiquement retirés (formant des trous dans la carte) et il n’y a déjà quasiment plus rien à faire. Les cartes sont tout de même modifiables, mais uniquement depuis l’application, avec :
les zones interdites
les zones de tonte annexes
une correction de la carte (le robot refait un tour)
des passages entre deux zones de tonte
changer l’emplacement de la station de base
la création d’une version texturée de la carte
la rotation de l’affichage
le placement de points épinglés (pour appeler le robot à l’endroit indiqué sur la carte)
Il est à la fois satisfaisant de ne pas avoir à suivre le robot partout pour configurer la carte, et légèrement frustrant de savoir qu’on ne peut rien modifier via le mode télécommandé auquel nous étions habitué. Pour placer un corridor, par exemple, on positionne un tracé sur la carte et le robot devra l’intégrer de lui-même à sa navigation. Enfin, il n’y a pas d’option “motifs” pour réaliser des formes originales. Peut-être le fabricant a-t-il jugé cette fonctionnalité trop rarement utilisée pour s’en soucier, ce qui se conçoit tout à fait.
Système de navigation (TerraVision™ 2.0 — vision pure, sans RTK)
Le V1000 repose sur TerraVision™ 2.0, une navigation 100 % vision (pas d’antenne RTK, pas de fil périmétrique). Le cœur du dispositif est un ensemble triple-caméra (“triple-camera AI vision system”) qui combine perception 3D et vision sémantique: reconstruction de profondeur (nuage de points dense) + analyse d’images en 1920×1280 pour reconnaître objets et zones utiles (pelouse, bordures, massifs, voies de circulation). TerraMow parle d’hybrid vision fusion (fusion multi-indices issus des capteurs optiques) et d’une “biomimetic neural vision positioning”: le robot se repère par repères visuels (landmarks) — textures, contrastes, “points d’intérêt” fixes — à la manière d’un humain, ce qui lui permet de se localiser en temps réel sans GNSS/RTK et de résister aux pertes de signal qui touchent les solutions radio.
Concrètement, la navigation s’articule en trois couches :
Cartographie autonome : lors des premiers passages, le V1000 réalise une auto-cartographie et met à jour en continu une carte 3D “vivante” (pixel map + updates adaptatifs) quand la scène change (mobilier déplacé, jeux d’enfants, etc.).
Localisation/planification : grâce au positionnement visuel par repères, il suit des trajectoires structurées (allers-retours, gestion des zones et sous-zones) et sait reprendre sa route après évitement. L’approche “vision-first” est annoncée comme plus détaillée que LiDAR/ToF à densité de points équivalente, ce qui aide sur les petits obstacles (branches, jouets).
Évitement en temps réel : détection 3D + classification sémantique pour identifier obstacles statiques et mobiles (animaux, personnes) et les contourner sans interrompre la tonte.
Nota Bene : un capteur de pluie est logé derrière le module de commande.
Sur le terrain : très peu de fausses notes !
Vraiment, la navigation est le point fort du Terramow V1000. Déjà, pendant la cartographie, il ne s’est heurté qu’une seule fois à un banc dont il a cru qu’il pourrait passer au-dessous. Bien sûr, il ne dépasse jamais la pelouse et évite les bas obstacles (dalles, trous, etc.). En conséquence, il ne s’est jamais coincé nulle part. Il ne s’attarde pas sur les surfaces terreuses où l’herbe est trop rare. Il n’est pas trop frileux non plus, et peut s’aventurer dans des coins à peine plus larges que lui. Sans grande surprise, le retour à la station de charge se fait sans aucun détour.
Nota Bene : il est possible de déplacer la station et de la réinstaller au même endroit sans avoir à reconfigurer sa position.
Pendant la tonte automatique, il suit une trajectoire en « S » dans le sens prédéfini, mais il n’hésite pas à s’en écarter pour gérer les bordures et les obstacles au fil de l’eau, là où un Yuka Mini aurait gardé l’ensemble des bords pour la fin. C’est d’ailleurs à ce sujet qu’il nous a le plus impressionné : la précision avec laquelle il contourne les obstacles et suit les bordures linéaires, qu’il frôle sans jamais les percuter ou dépasser.
Un vrai poisson dans l’herbe !
Son unique péché mignon est de repasser par les mêmes endroits (en tonte comme en cartographie). L’inconvénient est évidemment la perte de temps et d’énergie ; l’avantage est d’éviter les oublis.
Nota Bene : son indicateur vocal annonce tout ce qu’il fait en temps réel :“localisation en cours”, “démarrage du disque de lames”, etc. Cela évite de croire qu’il est bugué s’il reste quelques secondes immobile !
Sur la carte, il est possible de suivre la progression du robot à travers un pourcentage et un tracé vert permettant de voir par où il est déjà passé. En revanche, sur une carte texturée, on perd le marquage, et on ne peut que suivre l’emplacement de l’appareil en temps réel.
5 modes de tonte disponibles + 1 mode de déplacement
D’abord, il y a le mode auto, qui consiste à passer tout bonnement sur l’ensemble de la map au bon vouloir du robot. Ensuite, on a le mode bordures qui prend en charge aussi bien les limites de la maps que le tour des obstacles. Par défaut, le robot réalise deux passages, de l’intérieur vers l’extérieur. Si vous avez plusieurs zones à défricher reliées par un corridor, vous pourrez compter sur la tâche “multi-base”.
Nota Bene : le mode planification est à la fois intuitif et permissif. Vous choisissez les jours et les horaires qui vous arrangent à la minute près, et vous optez entre “tonte ponctuelle” ou “programmation hebdomadaire”.
Autre mode que nous trouvons sur beaucoup d’appareils : le téléguidage. On peut déplacer l’appareil via l’interface du smartphone, et déclencher le disque de lame quand nécessaire. Néanmoins, la connexion bluetooth se grippe très vite dès que la tonte est en cours, et il faut rester, non pas à moins de 5 mètres comme le préconise l’appli, mais pile au niveau du robot : “au pied”, sans quoi la coupe s’interrompra. Le déplacement sans tonte est bien plus permissif ; peut-être s’agit-il d’une sécurité supplémentaire ?
Il faudra effectuer cette opération chaque fois que l’appareil perd la connexion Bluetooth.
Le mode caméra existe aussi, mais il est moins intéressant que celui des appareils Yuka mini et Luba mini. L’image s’affiche bien, mais il n’est pas possible de tondre pendant que vous faites vadrouiller votre Terramow V1000 pour surveiller les alentours.
On peut également suivre la tonte via la caméra, mais sans interagir.
Nota Bene : le mode vidéo est d’office protégé par un code PIN que vous définirez en amont dès la première utilisation.
Enfin, le robot embarque une nouveauté pour nous : le mode “spot”, qui consiste à poser le robot où l’on veut, de l’orienter dans la direction de tonte souhaitée, puis de lancer “Spot”. Le V1000 démarre immédiatement, sans base ni cartographie préalable, pour traiter une petite zone locale (typiquement une pelouse isolée, un coin difficile d’accès, ou un “prêté-rendu” chez un voisin). À la fin, il s’arrête sur place, tout bêtement. Un excellent point !
Efficacité de tonte : c’est propre (mais un peu bruyant) !
Malgré seulement trois lames pivotantes, le Terramow V1000 fait son job sérieusement, avec un résultat bien net, suivant les allers-retours en “S” prévus par la navigation. Certes, le disque de coupe n’est pas le plus large du monde, donc il pourra laisser une ligne de brins hirsutes le long des bordures physiques. Mais sur l’ensemble de l’aire intérieure, il ne nous a laissé qu’une touffe d’herbe à côté d’un composteur, et une ligne dans un passage étroit dont il n’a géré que les bords.
Une belle trajectoire en « S » comme on les aime.
Nota Bene : n’hésitez pas à modifier la direction de tonte pour lui faciliter la tâche dans certaines zones étroites !
Bien sûr, comme tous ses homologues, il obtiendra plus difficilement un résultat vraiment net sur de l’herbe humide. D’ailleurs, en cas de pluie détectée, il reviendra automatiquement à sa station. Si une tâche est interrompue pour quelque raison que ce soit, il la reprendra comme il l’avait abandonnée dès que possible. Pour annuler une tâche définitivement, vous devrez procéder manuellement via l’application en deux clics.
Nota Bene : quand les herbes sont hautes, Terramow recommande une tonte lente – dans le déplacement comme pour la rotation des lames. Le mode rapide est plus adapté pour un gazon déjà bien entretenu.
Il y a quand même un bon bourdon, non ?
En revanche, nous n’avons pas du tout compris les 54 dB maximum annoncés par le fabricant. En postant le sonomètre à 1 mètre de la machine, nous avons relevé 66 dB en moyenne. Pas besoin d’outil de mesure pour s’apercevoir que la tondeuse émet un bourdon proche de ceux que l’on connaît sur les appareils traditionnels. La pollution sonore reste néanmoins très contenue, mais aucun doute sur le fait que le Terramow est le robot-tondeuse le plus bruyant que nous ayons testé jusqu’ici.
Autonomie, temps de charge et couverture : bon point dans l’ensemble
L’autonomie annoncée est de 150 minutes, et cela nous paraît cohérent avec notre expérience. En effet, après 91 minutes de tonte rapide en mode auto, il lui reste 54% de batterie. Sur l’ensemble de nos essais, où nous avons varié l’espacement des lignes entre 8 et 14 cm, il a tondu 223 m2 au total en 4 heures de fonctionnement.
Nota Bene : notre parcours n’a pas vraiment de pentes mais contient beaucoup d’obstacles, ce qui ralentit la progression du robot et draine son énergie. Sur terrain dégagé, sa capacité sera donc meilleure.
Sur la gestion de l’autonomie, nous avons pu observer quelques points très appréciables. En effet, beaucoup de robots ont tendance à s’arrêter dès qu’ils passent sous les 15% de batterie. Il n’en est rien pour le Terramow, lequel peut s’aventurer sous les 10%. Même là, on peut encore le téléguider. Toutefois, une fois la valeur des 4% atteinte, l’appareil n’a plus rien voulu entendre, ni même faire le trajet jusqu’à sa station. Il nous a donc fallu le ramener en utilisant la poignée.
Nota Bene : vous pouvez envisager de lancer un cycle de tonte à partir de 15%, mais nous recommandons d’attendre que sa batterie soit pleine.
En ce qui concerne le temps de charge, il dépasse un peu les 120 minutes de la fiche technique, puisque nous avons chronométré 132 minutes. Ce n’est pas dramatique, mais on en tiendra compte. Nota Bene : en s’en tenant aux fenêtres de jour, on peut espérer tondre jusqu’à 350 m2 en mars et 520 m2 en juin sur un jour complet de tonte. Les 1200 m2 max de couverture annoncée ne seront donc possibles qu’en 2 ou 3 jours selon la saison.
Entretien : attention aux roues !
Très peu de choses nouvelles sont à expliciter ici. L’étanchéité va permettre l’usage du tuyau d’arrosage à faible pression sous le châssis, et un simple tournevis cruciforme vous permettra de changer les lames. À cet égard, Terramow recommande de retourner le robot sur le dos (délicatement et sur l’herbe), puis d’appuyer sur le bouton d’extinction situé au-dessous de l’appareil le temps de l’opération.
Attention à ne pas utiliser le jet d’eau à forte pression ! Bien éteindre avant de changer les lames.
En outre, le manuel de maintenance nous apprend que la batterie est remplaçable, que les capteurs et le dock doivent être nettoyés avec un chiffon doux. En ce qui concerne les conditions de stockage, il faudra charger la batterie à 85% minimum et le ranger dans un endroit frais et sec, loin des températures extrêmes et des rayons du soleil. Idem pour la station de charge.
Nota Bene : pour les non anglophones, le manuel pourra quand même servir grâce aux illustrations relativement claires.
Visiblement, le Terramow V1000 nettoirait la forêt s’il le pouvait.
Enfin, nous avons remarqué que les roues arrière avaient tendance à embarquer des branches et des petits cailloux. Nous conseillons évidemment de les retirer dès que possible afin qu’elles ne s’usent pas trop vite, ni n’affectent la trajectoire du robot lors de ses cycles.
Accessoires : c’est concis, mais on s’y retrouve !
En fait, la boutique de Terramow ne propose que des consommables et des pièces détachées. Ce n’est pas plus mal, puisque cela augmente au moins la durabilité de ses produits :
3 jeux de lames : 39 €
Câble d’extension : 39 €
Forfait trafic cellulaire (1G/an) : 19 €
Disque à lame : 49 €
Adaptateur secteur : 49 €
Station de base : 249,00 €
Batterie : 99 €
Les tutos YouTube à droite compensent le manuel non traduit.
En imaginant que vous ayez un jardin deux fois plus grand que le nôtre (300 m2) et que vous optez pour l’abonnement 4G, voici les coûts à prévoir, selon les scénarios d’usage :
Nota Bene : l’application nous parle d’usure de la station de charge, mais il ne s’agit que d’un rappel pour un nettoyage régulier et non pour un remplacement, contrairement aux lames – l’info provient directement de nos échanges avec la marque.
Que penser du Terramow V1000 sur le marché des robots-tondeuses en 2025 ?
Le V1000 signe une proposition très claire : vision pure, installation minute, résultat propre. Dans nos essais, la navigation est au-dessus du lot pour ce prix (1 199 €) : cartographie autonome en 34 min sur 154 m², suivi de bordures précis, évitements propres et reprises intelligentes. Face aux “vision-first” du moment, il se place plus plug-and-play que Luba Mini (meilleur en pentes mais plus exigeant), et plus autonome que Dreame A1 Pro/Mova 1000 sur la reconnaissance d’obstacles. Il ne rivalise pas avec un Yuka Mini en endurance (3h30 vs 2h30 ici) ni en mode caméra “tonte + vidéo”, mais compense par un mode Spot ultra-pratique, un garage inclus, et une garantie 3 ans rassurante.
Ses angles morts existent : pente max modeste (18°), coupe 203 mm / 3 lames (le minimum pour les bordures difficiles), app BT tatillonne en télécommande, pas de réglage de sensibilité capteurs / DND / hivernation, et un niveau sonore mesuré plus élevé que l’annonce (≈ 66 dB à 1 m). On le recommande aux surfaces 300–800 m² avec exigences de sécurité (vision, anti-collision), d’ergonomie (Spot, multi-zones, garage inclus) et de simplicité d’utilisation.
Vous en avez marre de sortir votre smartphone pour capturer un moment de vie ? Les Ray-Ban Meta Gen 2 vous promettent une révolution de poche. Autonomie doublée à 8 heures, capteur photo 12 MP digne d’un vrai smartphone, et streaming en direct sur Instagram ou Facebook : on teste si ces lunettes connectées méritent leur buzz. Avec leur design Ray-Ban iconique, leur stockage de 32 Go et leur son amélioré, elles visent le créateur de contenu nomade. Mais à 419 € en France, faut-il vraiment craquer ? On décortique le tout pour vous.
Les Ray-Ban Meta Gen 2 sont là : on craque ou on attend ?
Rêvez de filmer un concert ou une recette sans sortir votre smartphone ? Les Ray-Ban Meta Gen 2, à 419 €, relancent le concept avec une batterie doublée et une caméra 3K. Faut-il sauter le pas ?
La Gen 1 proposait déjà une caméra 12 MP et 4 heures d’autonomie. La Gen 2 pousse le curseur : 8 heures de batterie, vidéos en 3K et options 720p à 120 FPS. Un combo alléchant pour les créateurs de contenu, mais le prix pique un peu.
On décortique les atouts et les limites pour vous aider à trancher.
Gen 1 vs Gen 2 : le match des lunettes connectées
Autonomie : le marathonien a remplacé le sprinteur
La batt’ a pris un sérieux coup de jeune. La Gen 1 claquerait la porte après 4 heures d’utilisation. La Gen 2, elle, enchaîne les huit heures sans broncher. Fini l’angoisse du black-out en pleine journée. L’étui de rechargement s’y met aussi : 48 heures d’autonomie supplémentaire, c’est 2 jours sans prise électrique. Et pour les pressés, 20 minutes de charge = 50% de batterie dans les verres. 8 heures sur les yeux, 48 heures d’autonomie supplémentaire dans la poche : les Gen 2 veulent pas faire dans la demi-mesure. Testez-les sur un trajet en TGV ou une journée shopping, vous verrez la différence.
Caméra et vidéo : passez enfin en haute définition
Les photos passent du flou artistique au cliché net. Le capteur saute de 5 à 12 MP : fini les selfies façon pixel art. Les vidéos ? La Gen 1 balbutiait en 720p, la Gen 2 envoie du 3K Ultra HD ou 1080p à 30 ips. Même en mode accéléré (jusqu’à 60 ips), l’image reste nette. Les cinq microphones (vs 2 sur la Gen 1) captent le moindre son, idéal pour des appels clairs dans un café bruyant. Le stockage bondit à 32 Go (vs 4 Go) : stockez des centaines de photos ou des dizaines de vidéos HD sans smartphone. Et avec la puce Qualcomm à l’intérieur, les algorithmes de traitement d’image et de son réagissent en temps réel. Pourquoi se contenter de la bascule 4G/5G quand on peut switcher entre modes photo, vidéo et musique en un claquement de doigts ?
Le comparatif qui met tout le monde d’accord
Caractéristique
Ray-Ban Meta Gen 1
Ray-Ban Meta Gen 2
Autonomie (lunettes)
4 heures
Jusqu’à 8 heures
Autonomie (étui)
32 heures
48 heures
Caméra (Photo)
5 Mégapixels
12 Mégapixels
Vidéo (Résolution max)
720p
3K (1440p) / 1080p
Microphones
2
5
Stockage
4 Go
32 Go
Processeur
N/A
Qualcomm Snapdragon AR1 Gen 1
Poids
~ 48 g
~ 51 g
Led
LED présente, moins lumineuse (signal plus discret)
LED présente, plus brillante selon certaines sources
Lunettes META Rayban Gen 1Lunettes META Rayban Gen 2
Ok, mais concrètement, ça sert à quoi ces lunettes ?
Vous rêvez de filmer votre quotidien sans lâcher vos activités ? Les lunettes de soleil Ray-Ban Meta transforment votre vision en caméra d’action. Capteur 12MP, vidéo en 3K, diffusion Instagram/Facebook en direct : elles captent votre café matinal, randonnées ou soirées entre potes en POV. Sans smartphone en main. Votre vie, filmée comme un docu Netflix.
Le couteau suisse du créateur de contenu
Le livestreaming sur Instagram et Facebook jusqu’à 30 minutes est un atout. L’appli Meta AI gère les connexions, un double clic bascule les vues. La résolution est inférieure à un smartphone, mais l’immersion compense. Exemple ? Filmer un tag en direct, les mains libres pour créer sans pause. Une erreur ? L’appli corrige en temps réel via le téléphone.
Votre assistant personnel sur le bout du nez
Photos 12MP, vidéos 3K en POV.
Live sur Instagram/Facebook.
Musique/podcasts en privé.
Appels clairs via 5 micros.
Vocal Meta AI pour commandes.
Le vrai + ? Meta AI. « Hey Meta, prends une photo » active la caméra. Un rappel vocal ? « Hey Meta, dis-moi quand mes œufs sont cuits ». La traduction en direct (bêta) déchiffre panneaux ou conversations. Parfait pour un voyage à Barcelone, menus traduits en direct sur les verres.
Here’s a first look at the navigation feature on the Meta Ray-Ban Display glasses. Aside from one bug of walking backwards and Meta AI mishearing a different address, it has successfully guided me to several locations. Solid connection, accurate and feels natural to use. pic.twitter.com/rPi4roV8eu
Les 5 micros offrent un son immersif en écoute. Pas d’écouteurs qui glissent en courant. En appel, votre voix reste claire même dans le métro. Compatibilité iPhone via Bluetooth : FaceTime non pris en charge, mais les appels standards passent. Batterie : 5h (streaming + musique), 12h en écoute. À 419 €, c’est un investissement, mais pour usages créatifs/nomades, le chargeur tient dans un sac à dos.
Et le look ?
Ray-Ban, c’est du lourd. Ces lunettes restent stylées, même avec la tech intégrée. Deux modèles phares : le Wayfarer (icône vintage) et le Headliner (solide et moderne). Pas de gadget moche : la caméra, les micros et l’écran passent inaperçus. Dispo sur le site officiel Ray-Ban, avec options de prescription et verres Transitions® pour s’adapter à la lumière. Vous choisissez la monture, les verres, et même la taille (standard ou large). Essayage virtuel possible pour éviter les mauvaises surprises. Bref, c’est du Ray-Ban pur jus, avec un peu d’âme futuriste en plus.
Quid de l’autonomie et de la charge rapide ?
Là, on vous rassure : la Gen 2 est un marathonien. 8 heures d’utilisation normale, 48 heures en étui de charge. Et si vous êtes en panique, 20 minutes de charge pour 50 %, c’est quand même du niveau boss. Pour une journée de balade, de tournage de vlog, ou de réunions en déplacement, vous êtes tranquilles. Par contre, si vous faites un live de 30 minutes sur Insta (oui, c’est possible), vous sentirez la batterie fondre un peu plus vite. Mais bon, c’est le jeu avec les tech de ce genre. Après, à vous de voir si vous préférez un truc qui tient 4h max comme avant, ou un bijou qui vous suit toute la journée. L’évolution, c’est aussi ça, non ?
Alors, on sort la carte bleue pour les Ray-Ban Meta Gen 2 ?
Le prix de l’innovation : combien ça coûte ? Pour les lunettes connectées, il faut prévoir le budget. Les Ray-Ban Meta Gen 2 démarrent à 419 € pour le modèle Wayfarer. C’est bien plus qu’un accessoire classique, mais l’investissement offre des lunettes connectées avec une caméra 12 MP, une autonomie de 8 heures et une traduction en direct en 6 langues. C’est 2x plus que la Gen 1, mais aussi 2x plus de fonctionnalités. C’est 2x plus que la Gen 1, mais aussi 2x plus de fonctionnalités. Vous payez pour la tech, le style Ray-Ban indémodable, et l’IA Meta qui vous sert des trucs utiles sans sortir votre smartphone. Un luxe ?Peut-être. Mais quand vous réalisez qu’un appel clair en pleine rue ou une vidéo 3K de qualité pro, c’est possible en un claquement de doigts, vous vous dites que ça se justifie… si vous avez le budget.
Le verdict final : pour qui, pour quoi ?
Ces lunettes s’adressent aux passionnés de tech et créateurs de contenu, adeptes de captations discrètes. Si vous en faites partie, les améliorations (8h d’autonomie, vidéo 3K) valent le détour. En revanche, oubliez si vous cherchez juste des lunettes de soleil ou un affichage AR dans les verres : ce n’est pas encore ça.
Les Ray-Ban Meta Gen 2 ne sont plus un jouet pour geeks. Un produit mature, mais réservé à une niche exigeante.
Un objet technologique abouti, mais pas pour tout le monde. Alors, tenté ?
Bref, les Ray-Ban Meta Gen 2, c’est le graal high-tech pour créateurs compulsifs ou addicts de gadgets stylés. Un produit mûr, mais réservé aux passionnés prêts à lâcher 499 €. Pour les autres ? Un luxe gadget. Et vous, tenté par l’aventure ou pas encore convaincu ?
FAQ
Faut-il un abonnement payant ?
Zéro frais caché. Le prix d’achat (entre 299 et 459 $ selon les modèles) inclut toutes les fonctionnalités. Pas de souscription à vie, pas de mise à jour facturée, même les mises à jour logicielles (avec des trucs comme l’hyperlapse ou le slow motion) sont offertes. Vous payez une fois, vous profitez. Point barre.
Compatibles avec mon iPhone ou mon smartphone Android ?
Oui, sans prise de tête. Les Ray-Ban Meta Gen 2 se connectent en Bluetooth via l’appli Meta View, compatible iOS et Android. Pas besoin de bidouiller : branchez-les, et c’est parti. Vous recevez notifications, musiques, appels téléphoniques.
On peut faire un FaceTime avec ?
Non, le streaming vidéo est bridé aux plateformes Meta (Direct Instagram/Facebook). Il n’est pas possible d’utiliser WhatsApp, Zoom, Teams, FaceTime.
Le nettoyage de votre Air Fryer ne s’arrête pas au nettoyage du panier cuisson. Une autre partie mérite toute votre attention si vous souhaitez faire perdurer votre appareil.
La friteuse sans huile, ou Air Fryer pour les intimes, est devenue ces derniers temps un incontournable de la cuisine grâce à sa capacité à cuire des aliments de manière plus saine. Cependant, sa longévité et son bon fonctionnement dépendent d’un entretien régulier, que vous avez souvent tendance à négliger.
Si le nettoyage du panier de cuisson est une étape bien connue, la résistance de l’appareil est souvent oubliée, alors qu’elle est cruciale pour assurer une performance optimale et éviter les pannes ! Voici l’astuce pour en prendre soin.
Importance du nettoyage de la résistance de votre Air Fryer
La résistance est l’élément chauffant de la friteuse à air : responsable de la génération de chaleur nécessaire à la cuisson des aliments. Avec le temps, des résidus de graisse et de nourriture peuvent s’accumuler sur la résistance, entraînant une surchauffe, des dysfonctionnements et éventuellement une panne de l’appareil.
Cette partie qu’on oublie souvent et qui pourtant mérite toute notre attention !
Un nettoyage régulier de cette partie cachée est donc essentiel pour prolonger la durée de vie de votre Air Fryer et maintenir son efficacité.
Débrancher et refroidir l’appareil : avant toute intervention, assurez-vous que la friteuse à air est éteinte, débranchée et complètement refroidie. Cela évite tout risque de brûlure ou de choc électrique.
Retirer le panier et la grille : enlevez le panier de cuisson et la grille, puis nettoyez-les comme d’habitude avec de l’eau chaude et du savon.
Accéder à la résistance : retournez l’appareil pour accéder à la résistance. Selon le modèle, cela peut nécessiter de placer la friteuse sur le côté. Soyez délicat pour éviter d’endommager d’autres composants.
Nettoyer la résistance : utilisez une éponge non abrasive légèrement humidifiée avec de l’eau chaude pour nettoyer la résistance. Évitez les détergents et les éponges trop mouillées. Pour les résidus tenaces, une brosse à poils doux ou de dureté moyenne peut être utilisée, mais n’utilisez jamais de brosses métalliques ou dures qui pourraient endommager la résistance.
Sécher et réassembler : passez un chiffon absorbant pour éliminer toute humidité restante. Laissez sécher complètement avant de remettre le panier et la grille en place. Rebranchez l’appareil et faites-le fonctionner à vide quelques minutes pour éliminer les éventuels résidus.
Le bac de cuisson ne doit pas être la seule partie à être nettoyée !
Fréquence du nettoyage de la résistance de votre friteuse à air
Le nettoyage de la résistance ne doit pas nécessairement être aussi fréquent que celui du panier, mais il est crucial de vérifier régulièrement son état. La fréquence idéale dépend de l’utilisation de votre Air Fryer. Pour un usage quotidien, un nettoyage mensuel peut être suffisant. Si vous utilisez l’appareil moins fréquemment, un nettoyage tous les deux à trois mois peut être approprié.
Bénéfices d’un entretien régulier
Prendre soin de la résistance de votre Airfryer présente plusieurs avantages :
Meilleure performance : un appareil propre chauffe de manière plus efficace et assure une cuisson uniforme et rapide de vos aliments.
Durée de vie prolongée : en évitant l’accumulation de résidus, vous réduisez le risque de surchauffe et de pannes et donc vous prolongez la durée de vie de votre appareil.
Sécurité : un entretien régulier réduit les risques de feux de graisse et d’autres incidents liés à une mauvaise maintenance.
Vous nettoyez souvent cette partie ? Dites-le nous dans l’espace commentaires !
Derrière ses airs de motos des années 1910, le Ruffian de Ruff Cycles est bien un vélo électrique moderne, désormais en acier, qui utilise une assistance Bosch et des composants haut de gamme.
Pour rouler différent à vélo électrique, beaucoup de cyclistes se tournent vers les fatbikes, à l’image du dernier duo Engwe. Mais pour être sûr de se faire remarquer sur les pistes cyclables, la marque allemande Ruff Cycles dispose d’un modèle idéal : The Ruffian.
Ruff recadre son Ruffian pour 2025
Le Ruffian puise son inspiration dans les motos du début du XXè siècle, où elles démarraient à peine leur différenciation des vélos. L’empattement long – qui gonfle la longueur à 2,08 m – épouse un cadre atypique, dont la base vient presque toucher le sol !
Tout en courbes, le cadre change pour cette année 2025 pour de l’acier et non plus de l’aluminium. C’est plus souple pour absorber les vibrations et surtout plus écologique. Il accepte d’ailleurs 160 kg, contre 120 kg auparavant !
Une allure vintage irrésistible
Le Ruff The Ruffian offre une silhouette sublime, dans laquelle la batterie se faufile entre deux plaques métalliques. Celles-ci, de la même couleur que le cadre, laissent apparaître le logo tout aussi rétro. Et quel choix : noir aux pneus rouges, vert à flancs blancs, noir à plaque blanche, etcc.
Les roues de 26 pouces offrent une largeur de 3 pouces, de quoi offrir une bonne stabilité, ainsi qu’un peu de confort. Ici, pas de suspension, or la position de conduite permise par le guidon haut et le pédalier avancé semble idéale. Le vélo complète la panoplie d’une selle cuir basse et d’un grand phare avant.
Une assistance Bosch moderne
En tant que VAE allemand, le Ruffian utilise l’assistance électrique référence de son pays. Rien de vintage ici, mais le réputé Bosch Performance Line CX que l’on trouve chez les meilleures marques de VTT électriques. Ce moteur de couple 85 Nm n’est pas de trop pour emmener les 40 kg et son cycliste à 25 km/h, sa vitesse maximale.
Il fonctionne de paire avec la batterie de capacité 500 Wh. Selon la firme teutonne, l’autonomie serait de 100 kilomètres en mode minimal. Sa recharge dure moins de 5 h, grâce au chargeur rapide 4 A livré.
Pour simplifier la conduite du Ruffian, la transmission est de type variateur Enviolo, avec manette tournante au guidon. Elle fonctionne avec une courroie, comme quoi vintage et modernité se marient bien ! Et il ne lésine pas sur la sécurité via des freins hydrauliques Shimano.
Le Ruffian est donc un vélo électrique résolument vintage, original et haut de gamme. Pour rassurer le client, la garantie cadre est de 10 ans. Le tarif est de 6 199 €, tandis que la disponibilité est possible partout en Europe. Ruff Cycle propose également des sacoches en cuir en option afin de renforcer l’aspect rétro !
Profitez des vidéos et de la musique que vous aimez, mettez en ligne des contenus originaux, et partagez-les avec vos amis, vos proches et le monde entier.
On les achète pour se simplifier la vie, on les branche sans y penser… et pourtant, une batterie lithium-ion mal conçue ou mal protégée peut transformer un simple chargeur en point chaud. Un danger sous-estimé ?
Les aspirateurs-balais sans fil d’entrée de gamme ont explosé sur le marché, souvent à moins de 100 €. Bonne affaire sur le papier, mais derrière le prix plancher se cachent parfois des économies sur l’essentiel : qualité des cellules, électronique de protection (BMS), chargeur et contrôles en production. Or une défaillance sur l’un de ces maillons suffit à provoquer une surchauffe — et, dans de rares cas, un départ de feu.
L’actualité le rappelle avec force : plusieurs campagnes de rappel, en Europe comme en Amérique du Nord, pointent des risques d’incendie lors de la charge. Faut-il pour autant paniquer ?
Rappel urgent en Espagne : l’Ambiano “aspirador mopa sin cable”
ALDI Espagne a déclenché mi-octobre un rappel immédiat d’un aspirateur-balai 2-en-1 (balai + fonction “mop”) de marque Ambiano, vendu pour les sols durs. Motif : la batterie peut surchauffer pendant la charge, avec risque d’incendie. L’enseigne demande de cesser l’usage et propose un retour en magasin avec remboursement. L’information a été publiée par la presse locale espagnole et confirmée par des associations de consommateurs.
Attention à ce que vous allez récupérer sur leboncoin…
Nota Bene : les références identifiées par certains médias incluent modèle HFC24-302 et numéro d’article 6015247 (des codes EAN/barres sont également mentionnés), ce qui facilite la vérification sur l’étiquette sous l’appareil.
Un problème plus large que le “premier prix”
L’épisode Ambiano n’est pas isolé — et il ne concerne pas que l’entrée de gamme. En France, Groupe SEB mène une campagne de rappel sur des Rowenta X-Force Flex 14.60 et 15.60 (type TY99) pour un risque d’événement thermique lié au pack batterie. La procédure officielle (RappelConso) recommande l’arrêt d’usage et organise une prise en charge/réparation ; le site dédié permet d’identifier précisément son appareil. Preuve que même des marques établies peuvent rencontrer ce type d’aléa, le sujet touche à la qualité des cellules et à l’électronique de protection (BMS), pas seulement au positionnement tarifaire.
Aux États-Unis, BISSELL a rappelé 142 000 aspirateurs Multi Reach début 2024 pour surchauffe de batterie (fumées, départs de feu). Là aussi, l’instruction était d’arrêter immédiatement d’utiliser l’appareil et de solliciter un remplacement de batterie gratuit via le dispositif officiel.
Autre illustration, côté “marques peu connues vendues en marketplace” : la CPSC (autorité américaine de sécurité produit) a publié en 2025 une alerte demandant de cesser immédiatement d’utiliser des INSE S6P Pro/S6T, batteries susceptibles de s’enflammer en charge… ou en usage. Plusieurs médias locaux ont relayé des incidents de fonte, fumées, voire incendies.
Et le phénomène dépasse l’univers des aspirateurs. Dans la piscine, Aiper Seagull Pro (ZT6001) — un robot de nettoyage sans fil — a fait l’objet d’un rappel au printemps 2025 : le bloc d’alimentation “fort courant” pouvait surchauffer la batterie en charge, avec risque de brûlures et d’incendie. Des cas de chauffe excessive et de fonte ont été documentés au Canada et aux États-Unis.
Dois-je m’inquiéter pour mon propre aspirateur-balai ?
Rassurons d’abord : la grande majorité des aspirateurs-balais de bonne facture — cellules de qualité, BMS robuste, contrôles en production, chargeur homologué — fonctionnent sans incident pendant des années. Les rappels existent justement pour prévenir les rares défaillances. Néanmoins, quelques réflexes simples réduisent drastiquement le risque :
Chargez sur une surface dure et dégagée (plan de travail, table), jamais sur un lit, un canapé ou sous un coussin ;
N’utilisez que le chargeur d’origine ou un chargeur approuvé par le fabricant ; fuyez les blocs “compatibles” génériques ; un chargeur inadapté peut injecter trop de puissance… et provoquer une défaillance…
Évitez les batteries ou “packs” non officiels trouvés au hasard d’une marketplace. Plusieurs alertes récentes l’ont montré : la qualité des cellules et la calibration du BMS font toute la différence.
Stockez l’appareil à l’abri de fortes chaleurs, et si vous le laissez des semaines sans servir, maintenez la batterie autour de 40–60 % plutôt que pleine à 100 %.
Surveillez les signes d’alerte : chauffe anormale, odeur chimique, gonflement du pack, craquements/hiss — ces signaux sont explicités dans les guides des services d’incendie.
Au moindre doute, suspendez l’usage et ne rechargez plus tant que vous n’avez pas d’information claire. Contactez le service client de la marque ou le distributeur pour la procédure (réparation, remplacement, remboursement). Les rappels Ambiano et Rowenta montrent que les filières de prise en charge existent.
Nota Bene : “Chargez sur une surface dure, ventilée, et ne laissez pas vos appareils en charge sans surveillance la nuit.” rappelle la campagne “Charge into Fire Safety” 2025, soutenue par la NFPA. C’est sobre… et terriblement efficace.
Après les montres connectées, certaines marques tentent de trouver d’autres objets qui pourraient être connectés. Et si certaines d’entre elles ont investi dans les bagues depuis 2013, c’est tout récemment que la course à l’anneau qui pourrait les gouverner tous s’est resserrée.
Après les montres et bracelets connectés, la bague intelligente s’impose comme le prochain accessoire incontournable. Plus discrète qu’une smartwatch, elle permet d’accéder à de nombreuses fonctionnalités sans avoir besoin de porter un écran au poignet.
Certaines bagues mettent l’accent sur le suivi de santé (comme la Oura Ring et la Circular Ring), d’autres privilégient le paiement sans contact (Ring Pay), tandis que des modèles comme la Galaxy Ring de Samsung cherchent à offrir une expérience polyvalente.
En 2025, le marché des smart rings se diversifie et se précise : quels modèles valent vraiment le coup ? Quels sont leurs avantages et inconvénients ? Ce guide complet vous aide à faire le bon choix en fonction de vos usages. Nous avons classées les modèles du tarif le plus bas au tarif le plus élevé.
Pourquoi nous faire confiance ?
Notre équipe teste les bagues connectées depuis plusieurs années, en conditions réelles, aussi bien lors d’activités sportives que dans la vie quotidienne. Nous évaluons la fiabilité des capteurs, la qualité du suivi de santé (sommeil, fréquence cardiaque, activité), l’autonomie, le confort et la compatibilité avec les applications mobiles.
Nous avons analysé et comparé une quinzaine de modèles, des plus connus aux nouveaux acteurs émergents. Nos tests sont complétés par une veille technique approfondie et par l’examen des études indépendantes ou avis d’utilisateurs vérifiés, afin d’offrir une évaluation complète et neutre du marché.
Les bagues présentées ici sont celles qui ont démontré les meilleures performances globales en matière de précision, ergonomie et fiabilité des données, sans aucune influence commerciale. Les tarifs mentionnés correspondent aux prix moyens constatés lors de nos tests, mais peuvent varier selon les promotions et mises à jour de produits.
1 – ArcX Smart Ring : la bague intelligente pour les sportifs
Pensée pour les athlètes et amateurs de sport, l’ArcX Smart Ring est une bague connectée qui permet de contrôler son smartphone sans les mains pendant l’entraînement. Son concept unique repose sur une interface minimaliste : un joystick intégré qui facilite la navigation dans les playlists musicales, les appels et bien plus encore, sans interrompre son activité physique.
Ce que propose l’ArcX Smart Ring
Commande à distance : contrôle de la musique, gestion des appels, activation du chronomètre sans sortir son téléphone.
Ergonomie pensée pour le sport : légère, résistante à l’eau et adaptée aux gants.
Autonomie longue durée : jusqu’à 5 jours d’utilisation continue.
Compatibilité universelle : fonctionne avec iOS et Android, ainsi qu’avec des casques audio Bluetooth.
Application dédiée : personnalisation des commandes selon les besoins de l’utilisateur.
Caractéristiques techniques
Fonctions
Contrôle de la musique, gestion des appels, chronomètre
Connectivité
Bluetooth, compatible iOS et Android
Autonomie
Jusqu’à 5 jours
Étanchéité
Résiste à l’eau et à la transpiration
Personnalisation
Via l’application ArcX
À qui s’adresse l’ArcX Smart Ring ?
Les sportifs qui veulent un accès facile à leur musique et leurs appels.
Les coureurs, cyclistes, skieurs ou motards cherchant une alternative aux montres connectées.
Ceux qui veulent un accessoire pratique pour gérer leur téléphone sans le sortir.
2 – Amazfit Helio Ring : pour le suivi du sommeil et la récupération
Un design qui change !
Lancée par Amazfit, marque bien connue pour ses montres connectées, la Helio Ring se démarque en mettant l’accent sur le suivi du sommeil, de la récupération et du stress . Conçu pour compléter l’écosystème Amazfit, elle s’intègre avec l’application Zepp Health et propose des fonctionnalités comme la détection de l’activité électrodermale (EDA) pour surveiller les émotions et le stress. Avec son poids plume de 3,75 g, elle est l’une des bagues connectées les plus légères du marché.
Ce que propose l’Amazfit Helio Ring
Suivi du sommeil : analyse des phases du sommeil, respiration nocturne et fréquence cardiaque au repos.
Score de récupération : un indicateur pour savoir si vous êtes prêt à affronter la journée ou si vous avez besoin de repos.
Suivi du stress et des émotions : grâce au capteur EDA qui analyse l’activité électrodermale.
Intégration avec l’application Zepp : combinez les données de la bague et des montres Amazfit pour un suivi complet.
Ultra léger et discret : seulement 3,75 g.
Autonomie de 4 jours : idéale pour un suivi en continu sans recharge fréquente.
Étanchéité 10 ATM : résistance à l’eau, même pour la natation.
Caractéristiques techniques
Connectivité
Bluetooth, application Zepp Health
Autonomie
Jusqu’à 4 jours
Étanchéité
10 ATM (résistance à la natation)
Poids
3,75 g (ultra-léger)
Abonnement
Optionnel (Zepp Aura AI)
À qui s’adresse l’Amazfit Helio Ring ?
Ceux qui veulent un suivi précis du sommeil et de la récupération.
Les utilisateurs de l’écosystème Amazfit (montres connectées Zepp Health).
Les personnes recherchant une bague connectée légère et discrète.
3 – ORII : la bague assistant vocal
L’ORII est une bague connectée qui mise sur une approche totalement différente des autres modèles du marché. Plutôt que de se concentrer sur le suivi de la santé ou le paiement sans contact, elle transforme votre main en véritable assistant vocal, permettant de répondre aux appels, envoyer des messages et interagir avec votre smartphone sans jamais le sortir de votre poche. Grâce à la technologie de conduction osseuse, l’audio est transmis directement à l’oreille en plaçant le doigt contre l’os du crâne.
La fin de Echo Loop, la bague connectée d’Amazon
La firme de Jeff Bezos s’est lancée en 2019 dans le domaine des bagues connectées avec un modèle servant d’assistant vocal (grâce à la technologie d’Alexa). Mais, après un an d’échec commercial, la firme de Jeff Bezos a préféré retirer ce produit du marché pour se concentrer sur des lunettes connectées, les Echo Frames.
Ce que propose ORII
Appels et commandes vocales sans sortir son téléphone.
Technologie de conduction osseuse : pour entendre les appels sans écouteurs.
Compatibilité avec les assistants vocaux (Google Assistant, Siri, Alexa).
Notifications discrètes grâce à une LED intégrée sur la bague.
Contrôle gestuel : possibilité de naviguer dans ses playlists ou de décrocher un appel par un simple mouvement du doigt.
Caractéristiques techniques
Type
Bague assistant vocal
Connectivité
Bluetooth
Autonomie
Environ 1 journée d’utilisation active
Poids
Très léger
4 – Ice Ring : la bague connectée pour votre suivi santé
A titre personnel, on préfère l’Ice Ring en noir
Ice Smart propose différentes versions de l’Ice Ring. En plus de toutes les tailles disponibles (du 52 au 70), la bague peut être achetée en noir, argenté ou doré. Comme beaucoup de concurrentes, la version d’Ice Smart permet d’analyser votre sommeil et de dresser un bilan à l’issu de chacune de vos nuits. Mais la où la bague se distingue c’est par sa grande précision au niveau des activités physiques. Capteurs cardiaque et d’oxygène sont au rendez-vous pour mesurer effiacement toutes vos performances.
Ce que propose l’Ice Ring
Capteurs avancés : fréquence cardiaque, oxymètre, suivi du sommeil.
Suivi de l’activité physique : calories brûlées, analyse des performances.
Application dédiée permettant de visualiser les données en temps réel.
Autonomie optimisée, avec plusieurs jours d’utilisation sans recharge.
Disponible en plusieurs tailles et couleurs (noir, argenté, doré).
Compatible avec Android et iOS.
Caractéristiques techniques
Type
Bague connectée dédiée au suivi de santé
Connectivité
Bluetooth
Autonomie
Plusieurs jours
Poids
Léger et ergonomique
À qui s’adresse l’Ice Ring ?
Les sportifs qui veulent un suivi précis sans porter une montre.
Ceux qui cherchent une alternative discrète pour analyser leur sommeil.
Les personnes qui souhaitent surveiller leur fréquence cardiaque et leur SpO2.
5 – Happy Ring : la bague connectée du créateur de Tinder
Imaginée par Sean Rad, le fondateur de Tinder, la Happy Ring se distingue des autres bagues connectées en mettant l’accent sur la santé mentale. Contrairement aux modèles axés sur la forme physique ou les paiements sans contact, cette bague suit en continu le stress, la concentration et les émotions de son utilisateur grâce à une technologie avancée de capteurs biométriques. Son but ? Aider chacun à mieux comprendre et gérer son bien-être mental.
Ce que propose la Happy Ring
Suivi du stress et des émotions : analyse en temps réel de la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV) pour évaluer l’état mental de l’utilisateur.
Coaching personnalisé : recommandations quotidiennes et exercices pour améliorer la gestion du stress et la concentration.
Analyse du sommeil : détection des cycles de sommeil et de la qualité de récupération.
Capteurs avancés : électrodermographie (mesure des réactions de la peau), capteurs cardiaques et température corporelle.
Abonnement intégré : accès à une application complète avec des programmes de bien-être mental.
Caractéristiques techniques
Fonctions
Analyse du stress, suivi émotionnel, sommeil, coaching personnalisé
6 – Evie Ring : la bague pour femme ambitieuse et primée
Développée par la société américaine Movano Health, la bague connectée Evie Ring est un modèle conçu exclusivement pour les femmes. Exposé lors du CES 2023, elle a gagné plusieurs prix « Best of CES 2023 » (le meilleur du CES 2023) tels que les médias USA Today, CNN, Wired, Digital Trends, Tom’s Guide… Ses spécialités sont nombreuses et tendent vers un même objectif : « aider les femmes à comprendre ce qu’elles ressentent ».
En plus des classiques fonctionnalités de fitness, la Evie Ring serait capable de suivre l’humeur de sa détentrice. Et ce, grâce au calcul de la fréquence cardiaque, de la température de la peau, de la SpO2 (Oxymétrie colorimétrique), du cycle menstruel et d’ovulation, ainsi que des stades de sommeil.
Bien plus qu’une bague de fitness ou de lifestyle, cet appareil connecté est véritablement dédié aux femmes et à leur confort dans la vie quotidienne.
Ce que propose l’Evie Ring
Suivi de la santé féminine : suivi du cycle menstruel et de l’ovulation.
Analyse du bien-être global : humeur, stress, niveau d’énergie, sommeil et récupération.
Capteurs avancés : fréquence cardiaque, saturation en oxygène (SpO2), température de la peau.
Application intuitive : insights personnalisés et recommandations adaptées au cycle hormonal.
Pas d’abonnement : contrairement à Oura, toutes les fonctionnalités sont accessibles sans surcoût.
7 – Luna Smart Ring Gen 2 : l’outsider prometteur au service de la santé
Développée par la marque indienne Noise, la Luna RingGen 2 se positionne comme une bague connectée premium axée sur l’IA et le bien-être global. Des innovations en matière de suivi santé, autonomie et intégration logicielle permettent un suivi de santé complet à chacun de ses utilisateurs.
Ce que propose la Luna Smart Ring Gen 2
Suivi santé complet : fréquence cardiaque, SpO₂, stress, sommeil et cycle féminin.
Autonomie longue : 5 à 6 jours par charge, jusqu’à 3 semaines avec le boîtier.
Assistant IA intégré pour recevoir des conseils santé et sommeil par commande vocale.
Design premium : titane léger, résistant à l’eau (5 ATM).
Application gratuite, sans abonnement, compatible Apple Health et Google Fit.
PPG optique, oxymétrie (SpO₂), accéléromètre 3 axes, capteur de température de peau.
Étanchéité
Résistante à l’eau (5 ATM)
Particularités
IA intégrée, sans abonnement, appli gratuite (Apple Health / Google Fit)
8 – RingConn Gen 2 : la bague connectée sans abonnement qui surveille votre sommeil
La RingConn Gen 2 se distingue des autres bagues connectées en mettant l’accent sur le suivi avancé de l’apnée du sommeil et de la santé globale. Conçue en collaboration avec des universités et hôpitaux renommés, elle utilise l’intelligence artificielle pour fournir des données AHI en temps réel et des conseils personnalisés via une application dédiée.
Son gros point fort ? Aucune abonnement nécessaire, contrairement aux autres modèles du marché.
Ce que propose la RingConn Gen 2
Suivi de l’apnée du sommeil grâce à une analyse approfondie des cycles respiratoires.
Pas de frais d’abonnement : accès illimité aux fonctionnalités de l’application.
Autonomie longue durée : suivi de plusieurs jours sans recharge.
Suivi complet de la santé : activité physique, fréquence cardiaque, stress, HRV, SpO2.
Mises à jour OTA : la bague évolue avec le temps pour ajouter de nouvelles fonctionnalités.
Étanchéité jusqu’à 100 m : adaptée à la natation et aux activités physiques.
Caractéristiques techniques
Connectivité
Bluetooth, application RingConn Smart Health Monitoring
Autonomie
Plusieurs jours sans recharge
Étanchéité
Jusqu’à 100 m
Fonctionnalités
Suivi du sommeil, activité, fréquence cardiaque, HRV, SpO2, stress
À qui s’adresse la RingConn Gen 2 ?
Ceux qui veulent un suivi avancé du sommeil et de l’apnée.
Ceux qui recherchent une bague connectée sans abonnement.
Les sportifs et nageurs grâce à son étanchéité élevée.
9 – RingConn Gen 2 Air : une bague connectée abordable et ultra-légère
Le design ne change que très peu par rapport à sa grande sœur.
Après le succès de la RingConn Gen 1 et de la RingConn Gen 2 , la marque hongkongaise s’apprête à lancer un troisième modèle : la RingConn Gen 2 Air . Ce nouvel anneau vise à offrir une alternative plus légère et plus accessible aux utilisateurs souhaitant profiter des fonctionnalités essentielles d’une bague connectée sans casser leur budget .
Avec un design revisité, un poids plume de 2,5 g et un prix plus abordable, la RingConn Gen 2 Air se positionne comme un modèle d’entrée de gamme, tout en conservant les principales fonctions de suivi de la santé et de l’activité physique.
Ce que propose la RingConn Gen 2 Air
Suivi continu de la santé : fréquence cardiaque, saturation en oxygène du sang (SpO2), température corporelle et analyse des mouvements.
Suivi du sommeil et du stress : détection avancée des cycles de sommeil et des niveaux de stress.
Format ultra-léger : poids réduit à 2,5 g , pour un confort optimal.
Deux coloris disponibles : argenté et doré.
Prix plus accessible : une alternative plus économique à la RingConn Gen 2.
10 – Circular Ring 2 : la bague connectée française qui rivalise avec Oura
La bague Circular peut-elle concurrencer l’ICE Ring et les smartwatchs ?
Avec la Circular Ring 2, la startup française Circular améliore son premier modèle en proposant un anneau plus précis, plus confortable et encore plus axé sur la santé et le bien-être. Avec des capteurs avancés et une autonomie renforcée, cette bague entend bien rivaliser avec l’Oura Ring 4 et les autres références du marché. En vente à partir de mars/avril 2025.
Ce que propose la Circular Ring 2
Suivi santé avancé : suivi du sommeil, variabilité de la fréquence cardiaque (HRV), température corporelle, SpO2 et fréquence respiratoire.
Autonomie optimisée : jusqu’à 6 jours sur une seule charge.
Design amélioré : plus fin, plus léger et conçu pour un confort optimal 24/7.
Application dédiée : analyse détaillée des données et conseils personnalisés.
Sans abonnement : contrairement à Oura, toutes les fonctionnalités sont accessibles sans frais mensuels.
Ceux qui veulent un suivi santé avancé sans abonnement.
Les utilisateurs recherchant une alternative à l’Oura Ring.
Ceux qui privilégient un produit conçu en France.
11 – Oura Ring 4 : la bague connectée santé la plus avancée du marché
L’Oura Ring 4, dernière génération de la bague connectée de la firme finlandaise Oura, pousse encore plus loin le suivi de la santé et du bien-être. Avec un design amélioré, des capteurs plus précis et une autonomie de 8 jours, elle s’impose comme l’un des traqueurs les plus complets pour surveiller le sommeil, la récupération, le stress et l’activité physique . C’est l’alternative “budget / light” de RingConn.
Grâce à ses capteurs rétractés, l’Oura Ring 4 offre un confort de port inédit et permettant une utilisation 24h/24 et 7j/7 sans gêne. Son logiciel a également été repensé avec un suivi automatique de la fréquence cardiaque pendant les entraînements et un nouveau système de gestion du stress.
L’utilité de la Oura Ring
Suivi du sommeil et du bien-être : phases du sommeil, fréquence cardiaque, variabilité du rythme cardiaque (VRC), respiration et SpO2.
Capteurs rétractés : plus confortables, plus discrets et toujours aussi performants.
Détection automatique des entraînements : enregistrement intelligent du rythme cardiaque et des activités physiques sans action manuelle.
Nouveau suivi du stress en temps réel : une chronologie détaillée pour distinguer les différents types de stress (physique, mental, environnemental).
Enregistrement des repas avec IA : reconnaissance intelligente des aliments consommés pour analyser leur impact sur la récupération et la santé.
Autonomie optimisée : jusqu’à 5 jours et demi en utilisation réelle.
Refonte complète de l’application Oura : navigation plus intuitive avec des onglets dédiés au suivi quotidien, aux données vitales et aux tendances de long terme.
Caractéristiques techniques
Type
Bague connectée bien-être et santé
Connectivité
Bluetooth, application Oura Santé
Poids
Ultra-légère et disponible en plusieurs tailles (4 à 15)
Étanchéité
Résistance à l’eau (norme non précise)
Fonctionnalités
Suivi du sommeil, stress, activité, fréquence cardiaque, SpO2, récupération
Abonnement
6 €/mois pour accès aux données détaillées
À qui s’adresse l’Oura Ring 4 ?
Les personnes souhaitant un suivi ultra-détaillé de leur santé et de leur récupération.
Ceux qui privilégient une alternative plus discrète qu’une smartwatch.
Les utilisateurs exigeants recherchant un produit haut de gamme avec des analyses précises.
12 – Samsung Galaxy Ring : la bague connectée qui veut dominer le marché
Disponible depuis l’été 2024, la Samsung Galaxy Ring marque l’entrée du géant coréen sur le marché des bagues connectées. Avec cet anneau intelligent, Samsung veut proposer une alternative discrète aux montres et bracelets connectés, tout en misant sur un suivi avancé de la santé et une intégration poussée avec l’écosystème Galaxy.
Ce que propose la Galaxy Ring
Suivi avancé des paramètres de santé : fréquence cardiaque, suivi du sommeil, détection de l’oxygénation sanguine (SpO2).
Compatibilité complète : avec Samsung Health.
Autonomie optimisée : entre 5 et 7 jours selon l’usage.
Design léger et discret : plusieurs tailles disponibles pour s’adapter à tous.
Caractéristiques techniques
Type
Bague connectée
Connectivité
Bluetooth, intégration Samsung Health
Autonomie
5 à 7 jours
Poids
Léger (taille ajustable selon les modèles)
Compatibilité
Principalement Samsung Galaxy
À qui s’adresse la Samsung Galaxy Ring ?
Ceux qui veulent un suivi de santé précis sans avoir à porter une montre.
Les utilisateurs de l’écosystème Samsung Galaxy.
Les personnes recherchant une alternative plus discrète et confortable qu’une smartwatch.
Bague connectée ou smarwatch : que choisir ?
Tout dépend l’utilisation que vous souhaitez en faire. Si vous avez besoin d’envoyer des messages et de retrouver des applications que vous aurirez pu avoir sur votre smartphone alors les montres connectées (smartwatch) seront particulièrement adaptées à vos besoins.
Parmi les meilleures montres connectées, on peu notamment citer l’Apple Watch et la Samsung Galaxy Watchqui dominent à elles deux ce marché.
En revanche, si vous désirez n’avoir que certaines fonctionnalités de suivi santé ou pouvoir faire vos achats rapidement alors les bagues connectées seront plus conseillées que les smartwatch. Bien sûr, si vous en avez les moyens l’achat de l’une ne bloque pas l’utilisation de l’autre.
Questions fréquentes sur les bagues connectées
Y a-t-il une limite de paiement au sans-contact avec les bagues connectées ?
Tout comme pour les cartes bancaires, ces anneaux possèdent un plafond à hauteur de 50 euros en France. De plus, au-delà de ce montant la bague ne permet pas de réaliser une transaction. À l’inverse, cette action demeure possible au Royaume-Uni en rentrant un code PIN pour les achats plus coûteux.
Existe-t-il des bagues connectées qui ne sont pas cher ?
Il est facile de trouver des anneaux NFC sur Amazon à des prix très variés. En revanche, la plupart n’ont vraiment pas l’air fiables ou même fonctionnels au vu des évaluations de la part des utilisateurs.
Quelle bague connectée a la meilleure autonomie ?
Les plus endurantes sont la Luna Ring 2 (jusqu’à 30 jours avec boîtier), la RingConn Gen 2 Air (10 jours) et la Samsung Galaxy Ring (5 à 7 jours). Les modèles plus puissants comme l’Oura Ring ou la Circular Ring tournent autour de 5 jours.
Les bagues connectées fonctionnent-elles avec iPhone et Android ?
Oui, la majorité des modèles sont compatibles avec iOS et Android. Attention toutefois : la Samsung Galaxy Ring offre plus de fonctions avec les smartphones Galaxy, et certaines applications (Oura, Zepp Health) demandent iOS 15+ ou Android 10+.
Les bagues connectées sont-elles précises pour le suivi de la santé ?
La précision varie selon les modèles. Les Oura Ring 4, Circular Ring 2 et RingConn Gen 2 figurent parmi les plus fiables grâce à leurs capteurs multiples (SpO₂, HRV, température). Les modèles d’entrée de gamme sont surtout indicatifs et ne remplacent pas un avis médical.
Quelles sont les bagues connectées disponibles en France ?
Le marché des bagues connectées en France reste encore relativement restreint, mais certaines marques sont disponibles à l’achat immédiatement. Voici les modèles actuellement accessibles sans passer par l’importation : Samsung Galaxy Ring, Oura Ring, Ice Ring, Circular Ring 2, ArcX Smart Ring, …
Combien coûte une bague connectée ?
Pour obtenir un anneau fiable avec de bonnes fonctionnalités, difficile de descendre en dessous de la centaine d’euros.
Que puis-je faire avec une bague connectée ?
Une bague connectée permet d’avoir un suivi de santé (mesurer le sommeil, le rythme cardiaque , la SpO₂, suivre l’activité physique). Mais aussi de contrôler certains appareils via gestes ou tapotements (Google Assistant, Siri, Alexa) ou d’effectuer des paiements sans contact si la bague dispose d’une puce NFC.
Est-ce que la bague Ring Pay existe toujours ?
Elle n’est plus disponible depuis octobre 2024, elle était spécialisée dans le paiement sans contact et vendue aux alentours de 90€.
Sources & crédits
Crédit(s) : image de une : https://www.youtube.com/watch?v=7curfSGOhPI&ab_channel=Movieclips
Packed with advanced sensor technology, Oura Ring interprets your body’s signals like heart rate, body temperature, and quality of sleep to provide you with ...
Un Airbnb irréprochable passe d’abord par des WC propres — faute de quoi les avis négatifs s’enchaînent. Or c’est précisément l’endroit le plus fastidieux à remettre au propre.
Dans un hébergement, les sanitaires sont l’endroit les plus susceptibles de déclencher du dégoût. traces jaunâtres autour des charnières, odeurs incrustées, démontage pénible entre deux séjours — autant de minutes perdues et de commentaires négatifs. Lalunet’ propose une réponse simple : un abattant à charnières souples monobloc et joints étanches qui suppriment les recoins intranettoyables.
La marque, imaginée par Yannick Berruyer, ingénieur en plasturgie, est née d’une expérience de location peu ragoûtante. Fabriquée en France depuis 2019, la lunette repose sur un concept bi-matière breveté, et a décroché la médaille de bronze au Concours Lépine en 2021. Pas une révolution sanitaire, mais une innovation d’usage encore trop méconnue en 2025 !
Fini la mécanique métallique pleine de recoins. Lalunet’ adopte une charnière souple monobloc en bi-matière (partie rigide pour la tenue, élastomère pour la flexibilité). Cette continuité crée des surfaces lisses sans cavités où s’accumulent liquides, tartre et odeurs.
On observe surtout deux joints d’étanchéité conçus pour isoler les zones sensibles :
entre la cuvette et la lunette, pour empêcher les infiltrations et stabiliser l’assise ;
entre la lunette et le couvercle, pour fermer proprement l’ensemble.
Sans ces interstices propices aux infiltrations sous les fixations, là où l’humidité et les résidus stagnent d’ordinaire, l’on s’épargne les traces jaunâtres et les odeurs de fond. Au nettoyage, plutôt que d’aller explorer de près le joyeux pays des bactéries grouillant sur la faïence, on peut se contenter d’un bon coup d’éponge.
La durabilité au rendez-vous
Lalunet’ est moulée en bi-matière : une partie rigide assure la tenue et la géométrie, tandis qu’un élastomère forme la charnière souple et les zones d’appui. La production est réalisée en Savoie, avec une chaîne courte qui facilite le contrôle qualité et limite les transports inutiles.
Les polymères utilisés sont recyclables en fin de vie ; l’absence de pièces métalliques vissées dans la zone d’usage évite l’oxydation et simplifie le tri. Le rendu brillant résiste mieux au jaunissement qu’un plastique basique, et la charnière souple évite les jeux et grincements au fil du temps.
Les avantages Lalunet’ pour votre Airbnb… et même à la maison
Avec une surface déperlante au rendu lisse et brillant qui renforce la perception de propreté, accompagnée d’une charnière souple et discrète, Lalunet’ mise sur un design sobre mais moderne. Avec cette esthétique marquée sans être trop exotique, la lunette devient une petite curiosité agréable à tester.
Et en effet, le confort fait partie de l’expérience. Bien sûr, l’assise est stable, et les patins amortissent la fermeture afin d’éviter les claquements malencontreux. En outre, le matériau offre un toucher moins froid qu’un plastique basique.
Enfin, pour l’entretien, c’est tout bénéf’, on l’a vu : une microfibre légèrement savonneuse suffit, ce qui signifie aussi moins de produits agressifs, donc moins d’odeurs chimiques à l’ouverture. On gagne de précieuses minutes lors des séances de ménage, et la salle d’eau retrouve plus vite son aspect immaculé, même en passant derrière des occupants peu soigneux.
Qu’en est-il de l’hygiène en soi ?
Les lunettes de WC — surtout en lieux publics — peuvent héberger staphylocoques, streptocoques, E. coli, etc. Mais la contamination par la lunette représente un risque minime au quotidien ; l’hygiène des mains et la propreté globale comptent davantage.
En revanche, la psychologie du dégoût peut avoir des effets pervers sur la santé, puisque la sensation de “sale” pousse certaines personnes à en éviter ou retarder l’usage. Avec des innovations simples mais ingénieuses comme Lalunet’, on évite les transits bridés.
Nota Bene : Lalunet’ améliore l’entretien et la perception de propreté, mais ne remplace pas un protocole de nettoyage correct (désinfection régulière, aération, lavage des mains).
Points à vérifier avant d’équiper votre trône
Le matériel sanitaire quel qu’il soit doit faire l’objet de quelques vérifications avant achat, dont :
la compatibilité avec la forme de votre cuvette (taille standard arrondie) ;
le besoin : Lalunet’ n’est pas un bidet comme Boku, ni un abattant “soft-close” (fermeture ralentie) ;
l’aspect : selon les revendeurs, certaines couleurs peuvent être en rupture ;
le prix : ici, autour de 60 € (selon finitions).
En ce qui concerne le dernier point, pour un bien loué fréquemment, l’amortissement se fait sur le temps d’entretien gagné et un remplacement repoussé.
Ce qu’on en pense ?
On songe surtout aux hôtes ayant à gérer des turnovers serrés, d’autant plus si vous recevez souvent des familles, ou si vous avez déjà subi des plaintes sur la propreté des WC. Les personnes invitant régulièrement du monde chez elles seront également très accommodées par un tel équipement !
Bien sûr, Lalunet’ ne stérilise pas vos sanitaires ; le produit rationalise simplement l’entretien et ne dispense pas des bonnes pratiques. Pour un bien locatif, c’est exactement le genre d’innovation utile qui fait gagner du temps… et des étoiles !
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Fabriqué par RoboUP, le Raccoon 2 SE veut démocratiser la tonte robotisée : spécialisé dans les petits jardins et les petits porte-feuilles, il n’a même pas besoin d’appli !
Sur meilleure-innovation.com, nous avons testé un certain nombre de robots-tondeuses. Or, les plus attentifs auront observé que les capacités de couverture des appareils Segway, Mammotion, Dreame ou encore Stiga dépassaient largement les quelque 150 m2 de notre surface à tondre. En conséquence, le rapport qualité/prix en est fatalement altéré.
RoboUP, qui s’occupe de l’entretien intelligent des pelouses depuis 2016, semble proposer une solution satisfaisante avec le Raccoon 2 SE. Jusqu’ici, comme beaucoup de marques pionnières, le fabricant s’était principalement focalisé sur les pelouses de moyenne et grande envergure. Mais l’heure est à la miniaturisation, et même à la simplification. Une innovation qui prendra son essor par le truchement d’une campagne Kickstarter qui s’étendra de la mi-octobre à fin décembre.
Originellement, les robots-tondeuses justifient en grande partie leur usage par la santé et l’éclat qu’elles confèrent aux gazons qu’elles entretiennent. La conception s’articule donc autour de la régularité et de la multiplicité des options, afin de programmer et personnaliser la tonte au maximum. Larges surfaces, navigation précise grâce aux antennes RTK, modification des zones, mode téléguidé, mode caméra, mode nocture (que l’on préfère éviter !) ; tout un éventail qui donne aux appareils une dimension semi-professionnelle. Et le coût s’en ressent, puisque souvent supérieur à 1000 €, voire 2000 €.
La configuration d’un robot-tondeuse, du fait d’une robotique toujours plus sophistiquée, est donc quasiment devenue une tâche d’expert. Or, l’autre aspect qui intéresse les utilisateurs, c’est la simplicité, l’instantané et la facilité d’accès, quelle que soit la surface à tondre et le degré d’aisance à manier un logiciel téléphonique. Le Raccoon 2 SE s’adresse donc :
aux personnes qui peinent à effectuer des tâches pénibles et ne peuvent s’offrir les services d’un jardinier ;
aux familles dont les parents cherchent à alléger le plus possible leur charge domestique quotidienne ;
aux possesseurs de petits jardins des zones urbaines ;
à celles et ceux qui n’adhèrent pas à la déferlante des objets connectés qui sévit depuis quelques années.
Nota Bene : pour éprouver la pertinence d’un tel produit, RoboUP a lancé un programme de bêta-testeurs en juillet 2025, envoyant plus de 80 robots tondeuses à des familles en Europe et aux États-Unis. Leurs retours ont permis d’optimiser les performances dans des jardins réels.
Fonctionnalités dont bénéficie le Raccoon 2 SE
Pour l’heure, RoboUP reste assez avare en informations concrètes comme les spécifications techniques et les fonctionnalités embarquées par ce nouveau modèle. Nous savons néanmoins qu’aucun câble périphérique et ni installation RTK ne sont requis. On pose le robot sur la pelouse et il sait quoi faire — l’argument central de ce modèle “plug-and-mow”.
Dans la même veine, la tonte peut démarrer sans application. Pas de compte à créer ni de Wi-Fi à configurer pour une première utilisation : on appuie, ça tond. L’app resterait utile plus tard pour affiner, mais elle ne constitue plus un point bloquant au départ.
Côté navigation, le constructeur annonce une “double cartographie” (apprentissage automatique du jardin + mode manuel si besoin) et le retour automatique à la base quand la batterie baisse, afin de reprendre ensuite le cycle de tonte sans surveillance.
La fiche teaser évoque également un pack batterie 5 Ah, une charge rapide en ~70 minutes et environ 150 minutes de tonte par cycle — de quoi couvrir un petit jardin en une passe dans l’idéal, puis repartir rapidement.
Enfin, la sécurité/anti-vol reprend les fondamentaux de la marque : capteurs de levage et d’inclinaison avec alarme sonore, verrouillage automatique si l’appareil sort de sa zone et déverrouillage par code réservé au propriétaire.
Disponibilité : à saisir dès aujourd’hui pour le printemps prochain !
Avant l’ouverture officielle sur Kickstarter, RoboUP lance un pré-lancement avec cadeaux à la clé. Sur la page dédiée, vous pouvez vous abonner, parrainer des amis et grimper dans le top 20 pour décrocher des récompenses : du cashback intégral sur le pack Raccoon 2 SE pour les meilleurs partageurs, ou des bonus comme housse de pluie et jeu de lames.
Nota Bene : le Raccoon 2 SE doit être proposé en Europe et aux États-Unis.
Côté tarifs, la marque annonce un prix “Super Early Bird” à partir de 200 $, garanti via un dépôt de 20 $ entre le 11 octobre et le 10 novembre. À cela s’ajoute un remboursement total de 80 $ après livraison (20 $ déjà versés + 60 $ crédités), ainsi qu’une expédition prioritaire estimée début février 2026.
Qu’en dites-vous ? Est-ce l’appareil qu’il vous faut ? Pourriez-vous l’offrir à votre grand-mère ? L’automatisation et le silence de la robotique vont-il l’emporter définitivement sur le manuel bruyant et chronophage ? Faites-nous part de vos avis en commentaire !
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L’été indien couronne le mois d’octobre, les piscines sont encore baignables. Cependant, le froid gagne du terrain, la vie dans les arbres se recroqueville, les feuilles s’échouent dans notre bassin. Il est temps d’essayer l’iSkim Ultra de Beatbot !
Avant que les feuilles mortes n’amorcent une seconde chute au fond de votre piscine, mêlées à quelques insectes infortunés, les skimmers glissent tranquillement sur la surface pour recueillir toutes les petites écorces naufragées. Nous avons pu tester un des meilleurs du marché, produit de la marque Beatbot que nous avons déjà vu passer dans notre labo avec l’AquaSense 2Ultra.
Contrairement aux robots de piscine traditionnels, les robots de surface ne s’occupent que des débris flottants. Leur conception apporte deux avantages : ils peuvent aisément intégrer un panneau solaire pour augmenter leur autonomie et rester connectés à l’application en permanence. L’iSkim Ultra ne manque pas d’intégrer ces deux fonctions pour un confort d’usage maximal. Véritable complément des robots-piscines 3-en-1 ? Gain de temps avéré ? Investissement superflu ? On vous fait le débrief complet !
« Nil, Nil, Nil, fleuve impétueux et tumultueux, tu es comme notre reine la source de la vie ! »
Spécifications techniques du iSkim Ultra de Beatbot
Caractéristique Techniques
Dimensions
53,6 × 51,1 × 22,6 cm
Poids
environ 6 kg
Type de piscine
toute forme & tout traitement
Moteurs
7
Capteurs
20
Mode de déplacement
en S (navigation Intelligente IA & capteurs ultrasoniques)
Avec un panier de 9 L, nous allons avoir de quoi capturer de gros débris sans avoir à le vider en permanence. Nous espérons que son poids plume le rendra facile à manipuler ! D’autre part, on ne trouve pas d’informations sur la puissance d’aspiration, ni sur l’autonomie, ni sur le temps de charge, ni quant à la couverture maximale. Nous mesurerons sa vitesse de déplacement et son autonomie sur le terrain et commenterons son système de navigation plus avant.
Contenu de la boîte
Le câble d’alimentation mesure environ 3 mètres une fois déroulé.
1 robot
1 kit de produit clarifiant
1 chargeur à induction sans fil
1 crochet
1 tournevis
1 vis pour rouleau
1 vis pour sidebrush
1 manuel d’utilisation
1 guide de démarrage rapide
On retrouve la logique plug & play que l’on apprécie sur les robots domestiques. Le tournevis est bienvenu pour avoir directement de quoi retirer les composants amovibles (rouleau, sidebrush). Comme pour l’AquaSense 2, on bénéficie d’un kit de clarifiant. L’application indique que le flacon contient le nécessaire pour 4 utilisations. Enfin, le manuel d’utilisation est bien conçu : clair, concis, illustré, traduit, on valide !
Design et ergonomie : léger, robuste, ingénieux, élégant
L’iSkim Ultra est conçu selon une silhouette très aplatie : un “pont” carré, au profil bas, entièrement recouvert d’un panneau solaire affleurant, et deux bras latéraux qui abritent les organes de propulsion et de brossage. Ce châssis n’est pas qu’un choix esthétique ; il sert l’hydrodynamisme et la stabilité en surface, avec tout l’espace nécessaire pour capter la lumière.
Dans l’angle, un indicateur LED servira épisodiquement à afficher un état de l’appareil.
Le capot affiche une finition robuste — Beatbot revendique une coque en ASA, un polymère choisi pour sa résistance aux UV, aux rayures et aux produits chimiques — et une étanchéité IP68, gages de durabilité face au soleil et au chlore. On note aussi de petites roues de guidage/collision réparties sur la périphérie pour protéger à la fois le robot et les parois lorsque l’appareil longe les bords.
Des brosses, des roues et des capteurs à gogo.
Sur la face avant, Beatbot a empilé plusieurs idées malines. D’abord, une large “barre” cylindrique joue le rôle de rouleau collecteur : elle agrippe les gros débris et augmente la largeur de capture à chaque passage. De part et d’autre, deux brosses latérales rotatives vont chercher ce qui passe à portée. Cette combinaison s’appuie sur une architecture interne atypique pour un skimmer : sept moteurs indépendants pilotent à la fois la propulsion, le brossage latéral/avant et les micro-mouvements d’accostage.
Nota Bene : un emplacement est prévu pour insérer le flacon de clarifiant.
Le cœur “ergonomique” du produit, c’est son panier de 9 L. Il s’extrait par l’avant en tirant la cassette, avec une poignée intégrée, et surtout un clapet anti-renversement qui évite de semer feuilles et pollen sur la terrasse au moment de la vidange. Le couvercle du panier s’ouvre en grand pour le vider rapidement sans mettre les mains dedans ; on peut même retirer la cassette alors que le robot flotte encore au bord.
On peut faire glisser l’appareil sur ses quatre fines roues pour ne pas avoir à le porter jusqu’au bassin.
Quand la météo ne permet pas de s’appuyer sur le panneau solaire intégré au capot, on peut utiliser le chargeur magnétique. Ce dock aimanté aligne automatiquement les connecteurs, supprime tout port exposé et évite les faux contacts en milieu humide.
Connexion et mise en place : le lièvre et la tortue
C’est le moment qui a failli être rapide et… en fait pas tellement. En ce qui concerne la connectivité, aucun problème, c’est la même routine qu’un robot-piscine classique :
on télécharge l’appli Beatbot et on se connecte à notre compte ;
on appaire le robot via le QR code ou en l’ajoutant manuellement ;
on tape le code Wi-Fi (ou celui de votre point d’accès mobile) ;
on installe les mises à jour et on active l’OTA pour que ce soit automatique ;
Et nous y voilà ! On peut déjà naviguer sur l’application Beatbot et réaliser les premiers réglages.
Nota Bene : quand le robot s’allume, il donne des indications en parlant très fort. Vous pouvez réduire ou couper le son depuis l’appli, dans “Réglages > Paramètres vocaux”.
Pendant ce temps-là, on met l’appareil à charger au maximum. Autant vous y prendre le plus tôt possible parce que cela va durer un certain temps. Nous, on l’a récupéré aux alentours de 50 %. Il a mis 3h et 45 minutes à afficher “batterie pleine”.
Quand l’iSkim Ultra est en charge magnétique, le panneau solaire est inactif, même s’il est exposé aux rayons du soleil.
Mais comme les appareils ralentissent la charge à mesure qu’elle approche sa complétion, comptez environ 5 heures pour une charge complète. C’est long, mais c’est la condition pour garder une batterie au maximum de son potentiel de durabilité.
Application : simple mais complète
On retrouve une interface très similaire à ce que l’on avait vu sur l’AquaSense 2 : un thème clair, bleuté, avec des légendes pour bien comprendre le sens des icônes. Les onglets de menu et de réglages se résument en listes avec une arborescence classique que vous pourrez fouiller au fur et à mesure de vos besoins. Parmi les fonctionnalités notables, on trouve :
l’activation du robot ;
un mode téléguidé ;
la distribution de clarifiant ;
les infos “météo” (température, indice UV, etc.) ;
un mode faible luminosité ;
la programmation des heures de nettoyage ;
la programmation de distribution de clarifiant ;
un mode “ne pas déranger” ;
le stationnement ;
un journal des tâches ;
des statistiques sur la recharge solaire ;
un mode anti-déversement (débris légers) ;
des consignes de maintenance.
Les statistiques de recharge solaire intéresseront sans doute les plus économes, puisqu’elles rapportent l’énergie totale collectée, l’augmentation de la portée totale et la réduction des émissions de carbone.
Les infos sur la recharge solaire ont quand même un petit côté green washing…
Les chiffres couvrent la période de 7 jours de votre choix et affiche les données totales en permanence. Le journal des tâches vous indique, sur le jour sélectionné du calendrier, les tranches horaires de nettoyage et l’évolution de la courbe de recharge solaire.
Navigation : ça marche (plutôt) bien !
Côté navigation, l’iSkim Ultra n’est pas prévu pour simplement “flotter et rebondir”. Beatbot annonce un cerveau 120 MHz épaulé par des algorithmes d’IA et un réseau de 20 capteurs, avec une architecture dite « tri-ultrasonique » : des émetteurs/récepteurs à la fois au-dessus et sous la ligne d’eau scannent en continu le pourtour du bassin et la masse d’eau pour anticiper bords, obstacles et zones où les déchets stagnent.
Cette perception est censée alimenter un planificateur de trajectoire en S, afin de réduire les recouvrements et les “zones oubliées”, tandis que le robot ajuste sa vitesse et sa poussée pour garder une stabilité “façon drone” malgré les remous.
L’iSkimmer est très silencieux, n’émettant qu’un très léger sifflement mécanique.
Nota Bene : l’iSkim Ultra se propulse avec des hélices d’environ 2,5″ chacune, quand le Dolphin Skimmi monte à 3″ et que les Betta SE/SE Plus restent autour de 2″. Le diamètre conditionne surtout la poussée instantanée et la capacité à garder le cap face au vent ou aux remous. L’iSkim compense par la multi-motorisation et sa gestion logicielle des trajectoires
À cet égard, les sept moteurs indépendants ne servent pas qu’à la propulsion : ils orchestrent les deux brosses latérales et le grand rouleau frontal, ce qui aide le robot à “accrocher” le bord plutôt qu’à le repousser comme le font certains skimmers, et à corriger finement sa ligne pour longer une paroi sans décrocher.
L’iSkimmer Ultra se déplace à une vitesse moyenne de 7 mètres/min
En pratique, voici quelques observations :
le robot est assez rapide pour capturer les débris sans les repousser par des remous ;
la trajectoire en S n’est pas flagrante, mais la totalité de la surface finit par être totalement couverte ;
l’iSkimer Ultra ne se cogne pas aux parois, il sait quand ralentir pour un contact contrôlé ;
il n’est pas rare qu’il se tourne du bon côté pour aspirer des débris, mais ses trajectoires linéaires le font souvent surfer dans le vide ;
il peut malgré tout rester bloqué contre une marche d’escalier ou une rambarde – hop le petit coup d’orteil pour aider…
il réagit au ¼ de tour quand on lui demande de stationner. Il se place contre une paroi et éteint ses moteurs.
Pour les zones peu profondes, il aura toujours des risques d’échouer. Bloqué !
En somme, il va véritablement permettre d’automatiser la tâche. À présent, nous allons voir avec quelle efficacité.
Nota Bene : contrairement à l’AquaSense 2, l’iSkimmer ne montre pas sur l’application la cartographie du bassin.
Efficacité : à relativiser
Nous avons répandu environ 500 g de feuilles mortes dans notre bassin de 30 m2. En termes de volume, c’est pile censé rentrer dans le panier et ses 9 L de contenance. Après une heure de travail, l’iSkim en avait récupéré une bonne partie, entre 80 et 85 %.
Le temps qu’il accomplisse sa besogne, une partie des feuilles ont eu le temps de couler. D’autres se sont fichées au niveau de la bonde de fond. Enfin, trois ou quatre d’entre elles dérivaient encore sur les flots.
Pour éviter les remous et les possibles erreurs de trajectoire, il est préférable de couper la filtration de la piscine.
Nota Bene : des confrères ont noté que les débris fins et filiformes comme les aiguilles de pin pouvaient se prendre dans les roues et les hélices.
Nous avons tout récupéré afin de reproduire l’opération en mode téléguidé. Cette fonctionnalité est très bien gérée. L’interface est intuitive, et la latence très faible. Beatbot ajoute même la possibilité d’envoyer de petites accélérations pour les bassins plus vastes – un peu inutile dans notre cas, à cause des parois relativement proches.
Un interface épurée pour faciliter la manipulation télécommandée.
Quoi qu’il en soit, nous avons mis exactement 17 minutes et 22 secondes pour récupérer 85 % des feuilles. Les autres ont sombré au fond de l’eau, hors de notre portée.
Allez, retour au bercail ! On va lui montrer comment on fait !
Nota Bene : pour activer la distribution de clarifiant, appuyez sur le bouton prévu dans l’appli. Les LEDs sur les côtés du robot s’allument en violet pour indiquer que le produit est bien en train de se diffuser dans l’eau.
On n’est pas très loin d’une vidéo de Khaby Lame…
Enfin, nous nous sommes munis de notre épuisette et avons réitéré l’opération. Sans surprise et sans forcer, nous avons fait un score de 100 % en 9 minutes 55 – nous sommes allé chercher les 15 % récalcitrants sous la surface. Nous commenterons en détails ces résultats un peu plus loin.
Autonomie : la question ne se pose même pas
Nous avons parlé du temps de charge assez affolant. Mais rassurez-vous, c’est beaucoup moins grave qu’il n’y paraît. En effet, avec le soleil tapant sur le panneau solaire à une température modérée (18°C), l’appareil n’a dépensé que 2%, modes automatique et téléguidé confondus – soit 1h17 de fonctionnement durant lesquels la charge solaire oscillait entre 350 et 450 mA. Cela lui laisse une grande marge de manœuvre pour couvrir des surfaces assez vastes.
En ciel voilé ou en fin d’après-midi, on observe une diminution plus franche de la batterie ; c’est toujours raisonnable, mais la limite arrivera plus vite si l’on multiplie les allers-retours manuels ou si le bassin est très exposé au vent, avec des corrections de cap plus fréquentes. La nuit, évidemment, l’appareil puise uniquement dans sa réserve mais, même comme ça, vous avez plusieurs heures de fonctionnement devant vous.
Nota Bene : le mode automatique est le plus économe à surface égale, car les trajectoires en S et la vitesse stabilisée limitent les pointes de puissance. Le téléguidage sollicite davantage les moteurs et la radio, et grignote donc la batterie plus vite.
Entretien : ultra facile et bien accompagné
Pour commencer, et comme on pouvait s’y attendre, il est assez facile de récupérer l’iSkim Ultra au bord de l’eau. Il suffit de s’accroupir et de le prendre par la poignée du dessous (au niveau du panier de filtration).
D’autres testeurs l’ont trouvé lourd ; nous on pense qu’ils ont juste mal aux poignets.
Un bouton poussoir vous permet de retirer le bac à détritus. Ouvrez-le, secouez-le pour ôter les gros débris, puis rincez avec un jet d’eau à pression moyenne pour les particules plus petites accrochées aux mailles.
Nous avons rempli ce sachet de feuilles : en principe, tout devrait tenir dans le panier !Les 100 % étaient-ils jouables selon vous ?
Pour les autres composants, vous pouvez vous référer au manuel d’utilisation ou à l’application. Les brosses (rouleau frontal et modules latéraux) sont démontables pour un rinçage express, ce qui réduit l’encrassement au fil de la saison. Quant au panneau solaire, il peut être rincé à basse pression et essuyé à l’aide d’un chiffon doux et sec.
Nota Bene : veillez à ne pas heurter ou rayer le panneau lorsque vous le manipulez ! Attention également à sa température s’il est resté longtemps sous un ciel caniculaire.
Accessoires et consommables : tout est dans le clarifiant
La boutique Beatbot propose, en tout et pour tout, 4 accessoires et consommables :
Housse anti-poussière et étanche d’origine : 49,99€
Si vous utilisez un clarifiant uniquement en saison (environ 5–6 mois/an) et que vous restez sur l’essentiel, comptez simplement un pack Beatbot AquaRefine Clarifier x6 par an au tarif promo, soit 229,94 € sur 1 an. En prolongeant le même rythme, on arrive à 1 149,70 € sur 5 ans. C’est l’enveloppe “consommation basse” la plus réaliste pour maintenir une eau limpide pendant la période d’utilisation, sans accessoires additionnels.
Nous commentons les bienfaits du clarifiant dans le test AquaSense 2 Ultra !
Si vous préférez compléter avec les “à-côtés” pour protéger le matériel et dormir tranquille, ajoutez la housse d’origine et l’extension de garantie 3 ans (coûts non récurrents). La première année, votre budget “en saison” passe alors à 518,93 € (229,94 € de clarifiant + 49,99 € de housse + 239,00 € d’extension). Sur 5 ans, en ne rachetant que le clarifiant chaque saison, le total s’établit à 1 438,69 €. Vous avez ainsi la vision “consommation haute” à prix promotionnels, contextualisée sur une utilisation saisonnière.
Il faudra davantage compter sur l’entretien que sur le remplacement des pièces.
Aucune pièce détachée ne semble être mise en vente : vous ne pourrez compter que sur votre le SAV et une éventuelle extension de garantie en cas de panne.
Notre verdict : à qui ce produit s’adresse-t-il ?
La réponse n’a rien d’évident. Comme on l’a vu plus tôt, la machine est loin de dépasser l’humain en exécution pure. Sauf qu’elle n’aura jamais la flemme. Pour autant, le gain de temps est assez anecdotique, à savoir moins de dix minutes pour 1 heure de travail, sans compter la partie entretien. Cela étant, l’autonomie du robot, la programmation, le clarifiant et le téléguidage le rendent vraiment intéressant, notamment sur grand bassin, où la longueur des perches peut s’avérer limitée. Sur bassin de taille modeste, l’investissement n’est pas inutile, mais mettra du temps à être vraiment rentable, surtout si l’on prend en compte les coûts supplémentaires pour un service complet.
Quoi qu’il en soit, il complètera parfaitement des robots-piscines 3-en-1 (fond, paroi, ligne d’eau) comme un Wybot S2 Solar, un Scuba X1, un Dreame Z1 pro ou un AquaSense 2 standard. Ils pourront même nettoyer votre piscine de concert. En revanche, si vous êtes déjà doté d’un AquaSense 2 Pro ou Ultra, il y aura doublon sur le clarifiant et le nettoyage de surface. Idem si votre skimmer mural fait déjà du très bon boulot.
Face aux autres robots de surface, le Beatbot iSkim Ultra se distingue par une architecture nettement plus ambitieuse : 7 moteurs, ~20 capteurs dont tri-ultrason pour tenir le cap le long des margelles, panier 9 L à clapet anti-renversement, appli complète et dock magnétique pour recharge hors soleil. À l’opposé, un Betta SE joue la carte du solaire simple : panier fin 200 µm, télécommande, navigation basique sans cartographie avancée, et surtout un prix bien plus bas (629 €) ; c’est efficace et économique, mais moins sophistiqué. Entre les deux, l’Aiper Surfer S1 (349 €) ajoute une appli (trajets, température) et de l’ultrason, mais reste positionné nettement moins cher que Beatbot.
Vous venez d’acquérir un nouveau robot-tondeuse mais voilà déjà que l’hiver arrive. À partir de quand le passer en mode hivernation pour le protéger sans léser votre pelouse ?
Quand septembre arrive, la pelouse change de rythme. Moins de lumière, nuits fraîches, rosée persistante : tout pousse plus lentement. Le sol perd quelques degrés et, en dessous d’un certain seuil, la plante privilégie la racine au feuillage.
Plutôt que de ranger le robot d’un coup, on commence à étirer les intervalles, on relève légèrement la hauteur de coupe et on guette la première vraie poussée de froid pour programmer la dernière tonte. Mais à partir de quand faut-il procéder à l’hivernation ? Voici quelques clés de lecture pour adopter une pratique adaptée à votre besoin.
Pourquoi ne pas ranger votre robot-tondeuse trop tôt ?
L’automne reste une saison de croissance active pour les graminées de climat tempéré : pluies plus régulières, températures douces, et donc une pousse réelle jusqu’à tard en saison. Les pros rappellent : “continuez de tondre tant que ça pousse”.
L’arrêt ne se décide pas au calendrier mais aux signes de croissance et à la météo locale. Dès que les températures diurnes passent durablement sous 9–10 °C et que les premiers gels pointent, on espace… puis on arrête. En France, cela tombe souvent entre fin octobre et début novembre, selon les régions.
Nota bene : les graminées de saison fraîche (fétuques, ray-grass, pâturin) restent actives jusqu’à 10°C, puis lèvent le pied quand les maximales descendent sous ce seuil. Les espèces de saison chaude (zoysia, bermuda), plus rares en France, ralentissent plus tôt ; on conserve alors une hauteur un peu plus élevée avant hivernation.
Quelques repères concrets pour anticiper la dernière tonte
Pour les gazons de climat tempéré (graminées C3), la pousse aérienne est optimale autour de 15–24 °C. Quand les maximales journalières passent durablement sous 10 °C, la croissance ralentit nettement ; vers 5 °C, elle devient quasi nulle. Côté sol, l’activité racinaire reste correcte près de 10–18 °C puis décroche à l’approche de 0 °C.
Un sol détrempé est également un signal de “stop” : la tonte crée des ornières, favorise le scalpage et prépare un printemps mousseux. Laissez ressuyer 24–48 h après la pluie. Méfiez-vous aussi du vent froid et sec qui “brûle” les brins fraîchement coupés. Le matin, la rosée augmente l’arrachement : mieux vaut intervenir en fin de matinée quand la pelouse a séché.
Nota Bene : évitez absolument de tondre sur gazon gelé ou givré : les lames brisent les cellules, laissant des plaques brunes.
Enfin, vous pouvez également anticiper selon la région où vous habitez :
en climat océanique (façade atlantique), on peut souvent tondre jusqu’à fin octobre, parfois début novembre si l’automne est doux ;
en climat continental du Nord et du Nord-Est, visez plutôt mi à fin octobre ;
le Bassin parisien se situe généralement fin octobre ;
le Sud et les littoraux méditerranéens permettent parfois quelques retouches début à mi-novembre si la pousse continue et si le sol reste ferme ;
en relief (Massif central, Alpes, Jura, Vosges, Pyrénées), la fenêtre se décale vers début à mi-octobre selon altitude et exposition.
La “dernière tonte” : hauteur et timing
Une dernière tonte bien réglée aide la pelouse à passer l’hiver en limitant les dégâts mécaniques (neige, verglas) et le risque de maladies. Si vous relevez habituellement les lames au printemps, faites l’inverse en fin de saison : descendez progressivement la hauteur sur 2–3 tontes, sans jamais retirer plus d’un tiers à la fois.
En pratique, visez une fin de saison à 4–5 cm selon votre mélange : plutôt 4 cm pour pâturin/ray-grass, 5 cm pour fétuques. L’objectif n’est pas de “raser”, mais d’éviter un feuillage long qui se couche sous la neige, s’asphyxie et feutre. En effet, l’herbe trop haute et humide favorise les maladies hivernales :
les moisissures des neiges qui apparaissent après une longue couverture neigeuse ou un automne humide : plaques circulaires, feutrage blanchâtre/rosé au dégel ;
la fusariose hivernale en climat sans neige, avec taches brun-paille à marges roussâtres.
Renforcez la prévention en ramassant les feuilles, en évitant un apport d’azote tardif, et en tondant à lame bien affûtée pour ne pas effilocher les extrémités (portes d’entrée des pathogènes). Pour les plus motivés, l’aération de votre pelouse la rendra plus dense et plus verte.
Spécificités des “robot-tondeuse” (ils sont prévus pour !)
En premier lieu, soyez toujours attentif aux températures de fonctionnement de l’appareil. Les Automower, Navimow, Stiga ou Mammotion sont conçus pour fonctionner et être stockés dans des plages précises ; en dessous de 0 °C, privilégiez l’arrêt et le rangement au sec.
En outre, de plus en plus d’appareils s’équipent de fonctions anti-gel & météo. Certains modèles gèrent automatiquement les jours froids. Chez Husqvarna, par exemple, la routine Frost Guard parque le robot dès que la météo locale prévoit un passage sous 5 °C ; le Weather Timer ajuste le temps de coupe à la pousse.
Quand la pousse cesse, basculez en hivernage :
rangez le robot et la stationen intérieur, au sec et hors gel ;
nettoyez soigneusement, séchez, et stockez avec une charge modérée si le fabricant le préconise ;
laissez les câbles basse tension/fil guide en place si votre installation le permet.
Et ensuite ? Rendez-vous en mars !
Cet article vous a-t-il été utile ? Aviez-vous déjà votre routine bien rodée ou avez-vous déjà commis des erreurs ? Votre modèle de robot-tondeuse vous permet-il d’anticiper au mieux cette période ? Dites-nous tout en commentaires !
Lancé sur Kickstarter ce 30 septembre 2025, l’aspirateur-balai Fraction de la marque française Deglace pourrait atteindre les 1 000% de l’objectif de financement initial, à hauteur de 12 791 €.
La campagne doit s’arrêter en novembre, et le projet de la start-up est déjà largement financé. En moins de 24 heures, les co-fondateurs de Deglace, Geoffroy Hulot, designer industriel, et Matthieu de Wolf, ingénieur, annonçaient sur LinkedIn avoir déjà récolté plus de 400 % de la somme requise.
Mais que leur vaut un tel engouement ? Un aspirateur-balai doublement futuriste. Par son aspect, d’abord, d’un noir satiné, tout en rondeur, épuré à l’extrême. Ensuite, par les enjeux desquels il se met au service : la durabilité afin de réduire notre production de déchets électroniques. En effet, l’appareil est dit “modulaire”, ce qui signifie qu’il est intégralement démontable et réparable par ses utilisateurs. Pari audacieux ou simple évidence transformée en business model ?
Fraction : un aspirateur-balai modulaire surnommé “pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt ?”
Et pourtant, on connaissait déjà cette stratégie, notamment dans la sphère du numérique avec Fairphone et Framework, qui proposent des téléphones et des ordinateurs portables réparables et évolutifs. De leur côté, les associés de Deglace travaillent sur des produits durables depuis 2021.
“Chaque année de vie supplémentaire représente un an de déchets évités.” Deglace sur leur page KickStarter
Plus concrètement, une telle conception signifie que l’appareil est composé de divers modules amovibles :
la batterie ;
un écran couleur pour afficher le mode d’aspiration et l’autonomie restante ;
un moteur à 130 000 tours/minute
un filtre tissu lavable pour éliminer poussières, allergènes, champignons, etc. ;
le module cyclonique lavable à l’eau, dont la force centrifuge est pensée pour capturer efficacement la poussière et les allergènes.
Pour le reste, c’est la même routine que toute la clique que nous avons déjà pu tester dans nos labo : tube, brosse, accessoires, etc. Et il est vrai que, quand on y pense, la plupart des aspirateurs-balais sont déjà semi-modulaires : beaucoup de pièces sont amovibles et remplaçables. Sur ce plan, Deglace n’a fait que pousser le curseur un cran plus loin.
Design et ergonomie : la glam sustainability ?
Le Fraction joue la carte d’un corps en aluminium 6061 « grade aérospatial » formant une coque monobloc qui vise une grande durabilité. Deux finis anodisés sont annoncés, rejoints par une édition Polar White mate avec revêtement “soft-touch” UV (anti-rayures/anti-traces). En main, l’ensemble métallique se veut rigide et “froid” au premier contact, mais l’habillage et les arêtes adoucies devraient donner une prise agréable.
Fraction va-t-il intégrer la première division des aspirateurs-balais ?
L’interface s’affichera sur un écran circulaire IPS couleur de 1,28″ avec notamment la jauge de la batterie, la puissance d’aspiration ((Eco/Normal/Boost) et les alertes de maintenance prédictive. La tête reçoit un pare-chocs périphérique et un éclairage LED qui projette un faisceau > 50 cm pour révéler la poussière au ras du sol ; la brosse est annoncée multidirectionnelle pour les manœuvres dans les coins. Enfin, le collecteur pourra se vider d’un seul geste.
Nota Bene : Deglace fabriquera ses batteries en Chine et les écrans en Corée. Le moteur, quant à lui, pourrait provenir de l’Europe de l’Est ou de la Chine. Le revêtement métallique sera produit en France.
L’IA au rendez-vous pour des performances optimisées
C’est tout là que réside la force du projet Deglace : pas de compromis sur le niveau technologique du produit fini. En effet, un système d’intelligence artificielle développé en interne va accumuler des données (débit d’air, température du moteur, charge de la batterie, résistance du filtre) afin d’améliorer petit à petit les performances de l’appareil.
De cette manière, celui-ci deviendra de plus en plus autonome pour :
moduler la puissance en temps réel ;
économiser de l’énergie ;
réduire l’usure des composants ;
prévenir les erreurs et les pannes.
À ce titre, une application est prévue pour envoyer des alertes de maintenance prédictive sur le smartphone de l’utilisateur afin d’anticiper tout problème susceptible d’advenir.
Quarante jours pour faire partie de la classe VIP
La bonne nouvelle, c’est qu’un tarif VIP exclusif et limité à la période de la campagne attend les personnes qui ont décidé de soutenir ce projet. Ainsi, Fraction est provisoirement accessible à 399 $ (environ 341 €) au lieu des 849 $ annoncés pour la commercialisation.
Alors qui est tenté ? Que pensez-vous de ce design ? Pourriez-vous acheter Fraction pour soutenir l’économie française ? Dites-nous tout en commentaires !
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Les fatbikes Engwe Engine Pro et EP–2 3.0 Boost sont la troisième génération de vélos électriques pliants de type fatbike, au cadre revu, aux meilleures performances et à charge rapide.
Engwe est une marque de vélos électriques qui monte et se fait de plus en plus présente en Europe. Si elle propose des modèles urbains comme le P275 Pro ou encore la nouvelle gamme Mapfour, sa réputation provient des fatbikes.
Un nouveau cadre en magnésium pour les Engwe 3.0 Boost
La firme chinoise fait ainsi évoluer son duo de référence, les fatbikes Engwe EP-2 et Engine Pro. De quoi figurer dans notre sélection des meilleurs vélos électriques pliables ? Les deux vélos électriques conservent le format pliant, qui facilite le stockage chez soi ou dans un garage. Il est donc possible de plier le nouveau cadre en alliage de magnésium en deux, et de replier la potence. Comme pour le Fiido M1 Pro, les roues restent imposantes, mais on gagne de précieux centimètres !
Les roues de 20 pouces sont donc petites, or les pneus larges de 4 pouces (100 mm) garantissent une adhérence sur toutes les surfaces. Ils prodiguent aussi un bon amortissement, auquel Engwe ajoute une fourche suspendue au débattement de 50 mm. La version Engwe Engine Pro 3.0 intègre même un amortisseur arrière de débattement 62 mm qui devrait donner un sentiment de coussin d’air !
La conduite est ainsi au cœur de ce vélo électrique, avec une position droite, que permet la selle basse et le guidon haut (de plus ajustable). La nouvelle génération de fatbikes Engwe apporte plus de performance. Le moteur arrière développe un couple de 75 Nm sur le plus modeste (3.0 Boost) et 90 Nm sur le haut de gamme tout suspendu (Engine Pro 3.0 Boost). Ici, plus question d’intégrer la batterie dans le cadre, car elle loge derrière le tube de selle.
Elle reste cependant amovible, et reçoit un chargeur rapide de 4 A, voire ultra-rapide de 8 A sur le second modèle. Malgré la grande capacité (720 Wh), le second alloue un plein d’énergie en seulement 2 heures ! Après ceci, il y a de quoi repartir pour une longue balade, puisque l’autonomie varie de 80 à 130 km selon la marque.
Côté transmission, Engwe reste fidèle au dérailleur Shimano Tourney 7 vitesses d’entrée de gamme. Sans référence précise, les freins hydrauliques avec des disques de 180 mm.
Des fatbikes Engwe bien équipés, connectés et abordables
L’éclairage automatique est de la partie, au sein d’un équipement qui ne manque de rien : garde-boues, béquille centrale, porte-bagages-arrière, et un écran 3,5 pouces. Le vélo électrique Engwe est également connecté à l’application maison. Celle-ci comprend des informations de conduite supplémentaires, l’enregistrement des trajets ou le verrouillage à distance.
Engwe
Disponibles depuis le 24 septembre 2025, les deux fatbikes électriques sont en taille unique. Il proposent tout de même chacun deux coloris : noir et vert pour l’Engwe EP-2, bleu et noir pour l’Engine Pro. Directement à la commande sur le site officiel, ils affichent un tarif respectif de 1 299 € et de 1 699 €.
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En août 2025 à Bangkok, un sel à faible teneur en sodium a remporté une médaille d’or au Festival international des inventions de la Silicon Valley 2025 (SVIIF). Son créateur est doctorant à l’Université Chulalongkorn et se sert du nano-chitosane pour obtenir la saveur du sel sans ses inconvénients.
C’est au Santa Clara Convention Center, en Californie, qu’une réponse révolutionnaire à la consommation excessive de sel dans le monde a été présentée au grand public : Smart Salt. Sélectionné par le Conseil national de recherche de Thaïlande (NRCT), son jeune inventeur, Paul Patsapong Chomchey, s’est distingué parmi plus de 300 innovateurs venus de 75 pays différents (dont les États-Unis, l’Allemagne, la Chine, l’Arabie saoudite, Hong Kong, le Vietnam, la Grèce ou encore la Nouvelle-Zélande).
Après les épices de Marco Polo, voici le sel de Paul Patsapong Chomchey !
Le jury, composé de pointures en science, technologie et commerce, ont salué la part innovante du produit autant que ses applications concrètes potentielles sur la santé publique sans oublier sa viabilité économique.
Smart Salt : qu’est-ce que ça signifie, du “sel intelligent ?”
Non, il ne s’agit pas d’une salière connectée capable de se bloquer en fonction du taux de sodium que vous avez dans le sang (136 et 145 mmol/l étant la natrémie normale)… C’est beaucoup plus simple que cela, puisqu’il s’agit de sel… allégé en sodium – à hauteur de 50 à 60% !
Nota Bene : il existait déjà des alternatives comme le chlorure de potassium, mais le goût du salé est moins convaincant, et les risques pour la santé sont relativement élevés pour les personnes souffrant d’insuffisance cardiaque ou d’hypertension artérielle.
Pour obtenir un résultat satisfaisant sans effets secondaires indésirables, la solution de Smart Salt est d’une simplicité abasourdissante… En fait, la recette se résume à associer du chlorure de sodium (du sel normal) à du nano-chitosane. Cette molécule dérivée de la chitine se trouve principalement dans les carapaces de crevettes et autres crustacés.
Nota Bene : dans le secteur médical, le chitosane est souvent employé pour créer des nanoparticules capables de délivrer des médicaments de manière ultra-ciblée. Les agents thérapeutiques accèdent directement aux cellules malades, ce qui améliore l’efficacité des traitements tout en limitant les effets secondaires.
Ici, le nano-chitosane est intéressant surtout parce qu’il active les récepteurs du sel de nos papilles gustatives, envoyant des signaux au cerveau similaires à ceux du sel traditionnel. Il a suffit de trouver la bonne formule pour réduire la teneur en sodium de 50 à 60 % tout en préservant la saveur salée sans mettre en danger nos organismes de manière détournée.
Un véritable enjeu sanitaire hacké ?
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande une consommation de sodium entre 2 et 5 g par jour. En France, nous dépassons allègrement cette limite, puisque nous en consommons régulièrement entre 7 et 9 g par jour! Bien sûr, la surconsommation de sodium s’étend bien au-delà des frontières, puisque la population mondiale se situe en moyenne entre 5 et 6 g/jour. Le problème ? Un risque de développer une hypertension artérielle avec des risques cardiovasculaires importants. On compte aujourd’hui plus de 2,5 millions de décès par an dus à des maladies liées au sodium !
Pourtant, il est difficile de s’en passer : en effet, sa capacité à relever le goût umami (cinquième saveur élémentaire avec le sucré, l’amertume, l’acidité et… le salé !) est très prisée. Pour ne pas ressentir de manque, la technique traditionnelle est de réduire progressivement la dose pour déshabituer nos papilles. Mais cela demande un certain effort de volonté et de discipline que tout le monde n’est pas prêt à mettre en œuvre.
Pour trouver un substitut satisfaisant, il a fallu plus de six mois de recherche en laboratoire et de collaboration avec des restaurants. Les tests sur les bouillons, notamment la soupe shabu japonaise, se sont révélés concluants quant à la perception des consommateurs.
Bientôt du Smart Salt dans nos assiettes ?
Actuellement,l’inventeur du Smart Salt travaille sur un bouillon de shabu instantané. D’ici un an, une version cristalline (solide) devrait voir le jour. Un brevet est déjà en cours de dépôt. Reste à savoir si l’heureux représentant du NRCT pourra commercialiser son produit par-delà les océans à un tarif abordable…
Faudra juste revoir le packaging (mais sinon on est curieux de tester) !
Qu’en dites-vous ? Ce produit a-t-il des chances de vous convaincre, ou pensez-vous que cela puisse avoir des effets néfastes sur la santé ? Cette solution vous paraît-elle compatible avec le bien-être animal ? Dites-nous tout en commentaires !
Le nouveau mini-aspirateur de table Silvercrest est disponible et fait l’unanimité chez les premiers utilisateurs (on hésite à l’acheter !).
Vous rappelez-vous du ramasse-miettes que votre grand-mère faisait rouler sur la table du salon après que vous aviez laissé plus de pain autour de votre assiette que le Petit Poucet dans les bois ? C’est désormais à vous de faire briller les yeux de votre enfant, neveu ou filleule avec le mini-aspirateur de table Silvercrest !
Pratique, mignon, vendu à moins de 6 euros chez Lidl, il donne envie de le passer partout, que ce soit dans le salon, dans la cuisine ou dans la voiture. Véritable petite innovation ou gadget bientôt laissé de côté ? On va jeter un œil tout de suite !
Meilleur qu’un Dyson (bon quand même pas…) ?
Caractéristique Techniques
Dimensions
8,2 x 8,2 x 6,4 cm
Poids
132 g
Volume du réservoir à poussière
0,025 L
Alimentation
2 piles AA
Autonomie
NC
Niveau sonore
NC
Compact, pas très lourd et à piles, il a une contenance de 25 ml, soit l’équivalent de cinq cuillères à café bien remplies. Il faudra donc le vider très souvent, mais entre ça et l’éponge humide (pas celle de la vaisselle ! On vous l’a déjà dit combien de fois ?) pour en récupérer la moitié dans le creux de la main (en plus ça colle), le choix est vite fait.
Pour les amateurs de devinettes, le mini-aspirateur de table Silvercrest est un petit bijou ! C’est le genre d’objet dont on se dit qu’on en a déjà vu quelque part, mais plus on y réfléchit, moins on lui trouve une fonction, sauf à le manipuler dans tous les sens. La couleur beige est du plus bel effet pour nous projeter dans les années 70 !
Dessous, on trouve le trou d’aspiration accompagné de huit bandes de fibres rigides qui serviront à brosser la poussière de votre bureau ou toutes les particules retenues par un tissu de banquette ou de nappe. Côté puissance, nous n’avons pas de valeur chiffrée à donner, mais les commentaires laissent entendre que son efficacité dépasse les attentes.
Nota Bene : il pourra même vous aider à nettoyer votre clavier d’ordinateur, ce qui est rarement une mince affaire !
On notera le choix intéressant de l’alimenter grâce à des piles : certes, il faudra en racheter, ce qui altère fatalement l’attractivité de son prix d’achat. D’un autre côté, on ne craint pas l’obsolescence potentielle d’une batterie rechargeable. Bien sûr, sa compacité séduit pour ce qu’il tient facilement dans un tiroir ou à disposition dans un coin comme un petit bibelot vintage.
Pas si nouveau que ça !
En fait, Silvercrest avait déjà commercialisé un appareil similaire… en 2020 ! Passé relativement inaperçu, le style était plus moderne, avec un corps rouge (ou noir) et des extrémités blanches. À l’époque, il fonctionnait déjà à piles, avec un interrupteur, des brosses et un petit réservoir. Son prix avoisinait les 8 €.
Vous préférez l’ancien design moderne ou le nouveau design rétro ?
Nota Bene : ce type d’appareil fonctionne également sur les manteaux et pantalons couverts de poils de chat !
Alors, curieux de tester ce gadget du quotidien ou préférez-vous le ramasse-miette mécanique au même prix ? Trouvez-vous le design mignon ou résolument hideux ? Pensez-vous que c’est plus hygiénique qu’une éponge pleine de bactéries ? Dites-nous tout en commentaires !
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Compatible avec les iPhone 12 à 17, cette nouvelle batterie magnétique signée UGREEN promet une recharge rapide et stable grâce à la nouvelle norme Qi2. Nous l’avons testée dans plusieurs situations. Voici ce qu’elle vaut vraiment.
Les batteries externes MagSafe ne manquent pas sur le marché. Mais avec l’arrivée de la norme Qi2, les promesses changent : plus de vitesse, plus de stabilité, et surtout, moins de câbles à transporter. UGREEN fait partie des premières marques à proposer une batterie magnétique certifiée Qi2 25W, capable de recharger un iPhone 17 à 50 % en 38 minutes, sans aucun fil.
Déjà bien installée dans l’univers des accessoires de recharge, la gamme UGREEN MagFlow s’adresse ici aux utilisateurs d’iPhone 16 (avec iOS 26) et 17, mais aussi à ceux qui cherchent une batterie fiable pour plusieurs types d’appareils, qu’ils soient Apple ou Android (seul le Pixel 10 Pro XL est compatible Qi2 à 25W ; les autres se limitent à 15W).
Après plusieurs jours d’utilisation à la maison, au bureau et en déplacement, on vous dit tout : est-ce que cette batterie MagFlow vaut son prix ? Et surtout, est-elle vraiment taillée pour l’iPhone 17 ?
Design & format : une batterie pensée pour les usages quotidiens
Dès la première prise en main, la batterie externe magnétique UGREEN MagFlow 10 000mAh 25W donne le ton : compacte (110,8 x 70 x 21 mm), un format rectangulaire arrondi qui tient bien en main, un design sobre et solide, et surtout, une vraie impression de fiabilité. Sur la balance, elle affiche 255 grammes, soit un peu plus que certaines concurrentes MagSafe. La batterie affiche une capacité totale de 10 000 mAh (37Wh), sans précision sur le nombre de cellules. Mais de quoi recharger sans problème votre smartphone.
Charge simultanée : oui, mais avec des limites
Le modèle que nous avons testé promet jusqu’à trois appareils rechargés, une puissance filaire de 30W. Mais est-ce vraiment le cas ?
Nous avons testé avec des iPhone 14 Pro, iPhone 13, iPhone 11 Pro et AirPods Pro (ainsi que d’autres produits Apple) : dans aucun cas la batterie n’a permis de recharger trois smartphones simultanément.
Le fabricant précise que la configuration prévue est de pouvoir charger un iPhone, une Apple Watch et des AirPods en même temps. Néanmoins, la batterie peut alimenter deux smartphones maximum par câble.
En résumé : la batterie gère jusqu’à deux sorties filaires simultanées, ou une charge sans fil unique. Le triple chargement n’est possible que pour un smartphone + 2 accessoires à faible puissance (montre, écouteurs…).
Un câble USB-C intégré bien pensé
Le câble USB-C intégré, qui fait aussi office de sangle de transport, est une excellente idée. Il permet à la fois de recharger la batterie rapidement (30W max) et de l’utiliser pour alimenter d’autres appareils filaires si besoin. À l’usage, ce câble est solide, pratique, et tient bien en place une fois replié. Côté recharge sans fil, la promesse est claire : 25W en Qi2 pour les iPhone 16 et 17, et 15W max pour les modèles précédents compatibles MagSafe (iPhone 12 à 15). La batterie adapte automatiquement la puissance selon l’appareil, y compris pour les AirPods ou d’autres appareils certifiés Qi.
L’autre point fort de cette MagFlow, c’est son affichage numérique, placé discrètement sur le côté. Il indique le pourcentage de batterie restant avec une bonne lisibilité, même en plein jour. Et contrairement à certaines concurrentes qui misent sur 4 petits points LED (trop vagues), ce choix de l’affichage précis est appréciable au quotidien.
Un aimant puissant pour fixer votre smartphone
Enfin, l’aimantation est solide : avec une force de 9N, l’iPhone reste bien collé à la batterie même si vous le manipulez. En revanche, attention à l’utiliser sans coque ou avec une coque MagSafe. Les coques épaisses ou non compatibles font vite perdre le contact magnétique.
Compatibilité avec les iPhones et smartphones Android
iPhone 17 / 17 Pro / 17 Pro Max : Qi2 25W natif + MagSafe 25W.
iPhone 16 Plus / 16 Pro Max : Qi2 25W avec iOS 26.
iPhone 16 / 16 Pro : Qi2 22W avec iOS 26.
iPhone 12 à 15 : Qi2 15W (avec MagSafe).
Google Pixel 10 Pro XL : Qi2 25W.
Google Pixel 10 / 10 Pro / 10 Pro Fold : Qi2 15W.
Usage au quotidien : ressentis & limites
Nous avons utilisé la batterie Power Bank MagFlow pendant une semaine complète, dans des situations classiques : une journée de télétravail, une escapade en train, des déplacements en ville, et même une soirée sans prise à proximité. Résultat : elle tient le choc, avec une vraie polyvalence au quotidien.
Premier constat : le magnétisme est efficace, mais pas trop intrusif. L’iPhone 17 se fixe instantanément et reste bien maintenu, même dans un sac à main ou pendant une consultation prolongée à la verticale. On peut répondre à des messages, lancer une vidéo ou scroller sur Instagram sans voir l’iPhone glisser.
Recharge de l’iPhone avec écran numérique sur le côtéRecharge des écouteurs sans fil@Meilleure-Innovation
Performances de recharge sans fil : nos mesures
La recharge sans fil est fluide, rapide quand on est sur un iPhone 16 ou 17, plus modérée (15W) sur les générations précédentes.
Dans nos tests, un iPhone 17 Pro Max est passé de 5 à 50 % (+45%) en 35 minutes sans surchauffe notable. On sent que la norme Qi2 fait la différence ici, en évitant les variations de puissance qu’on observe souvent sur d’autres batteries sans fil. Par contre, sur un iPhone 14 Pro, on est passé de 40 à 70% (+30%) en 38 minutes, c’est 30% de mieux que ce que nous avons observé sur le concurrent Anker MagGo Qi2 d’une autonomie et poids similaire (253g). Enfin, sachez que nos confrères de Macworld ont relevé 32 minutes pour passer de 0 à 50% de recharge sur un iPhone 16 Pro et 44 minutes pour la même chose sur un iPhone 15 Pro.
Selon les tests internes réalisés par le fabricant, les temps de charge observés sont les suivants :
iPhone 17 : 46 % en 30 minutes, 50 % en 33 minutes
iPhone 17 Pro : 42 % en 30 minutes, 50 % en 36 minutes
iPhone 17 Pro Max : 50 % en 30 minutes
Le constructeur précise que ces résultats ont été obtenus dans un environnement de laboratoire à 25 °C, et que les performances peuvent varier selon la température ambiante et celle du téléphone. Une température trop élevée, par exemple si l’on recharge un smartphone juste après un usage intensif ou une session de jeu, peut activer un mécanisme de protection qui réduit automatiquement la puissance de charge.
Pro tip : l’usage d’une coque de protection sur votre smartphone peut ralentir la recharge par induction jusqu’à 50 % !
Autonomie & capacités filaires : ce qu’il faut retenir
La capacité de 10 000 mAh est suffisante pour 1 à 1,5 recharge complète d’un smartphone récent, voire plus si vous rechargez des AirPods ou un appareil moins énergivore. Lorsqu’on branche un appareil en USB-C, la batterie bascule en charge filaire à 30W, ce qui permet de recharger une tablette ou même un petit MacBook en dépannage. Le passage du sans-fil au filaire se fait automatiquement, sans manipulation.
À noter que l’Apple Watch ne se recharge pas directement via Qi/Qi2, sauf en branchant un module certifié MFi via USB-C.
Temps de recharge de la power bank
Côté recharge de la batterie elle-même, comptez environ 2 heures pour une charge complète via le câble intégré, à condition d’avoir un adaptateur secteur 30W compatible. Et si vous êtes pressé·e, les premiers 50 % sont atteints rapidement, ce qui peut sauver une journée.
L’encombrement (11 × 7 × 2 cm) et le poids (255 g) ne la rendent pas la plus compacte du marché, même si cela reste acceptable pour une power bank magnétique 25W. On notera également l’absence de support intégré pour tenir le téléphone en mode portrait ou paysage.
Batterie externe UGREEN MagFlow : on recommande ?
Si vous cherchez une batterie magnétique compatible Qi2, la Power Bank UGREEN MagFlow Batterie externe Magnétique 10 000mAh 25W coche (presque) toutes les cases. Elle se distingue par sa vitesse de recharge réelle sur iPhone 16 et 17, son design bien pensé (affichage, câble intégré, finition propre), et sa polyvalence filaire / sans fil sans compromis.
Et si vous hésitez entre les différents modèles de produits UGREEN MagFlow, on vous recommande de jeter un œil à notre article dédié ci-dessous !
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