La secrétaire générale de la CGT n’hésite pas à s’attaquer aux patrons de Renault et Stellantis par rapport à la voiture électrique, alors qu'ils souhaitent tous aller dans le même sens.

Tesla poursuit les tests européens de sa conduite autonome Full Self-Driving (FSD) en s’attaquant cette fois à un symbole bien français de la circulation urbaine : la place de l’Étoile.

Elles se ressemblent sur bien des points techniques, mais ne s’adressent pas exactement au même public. Alors, faut-il choisir Renault 4 ou Renault 5 E-Tech ? Voici ce qu’il faut savoir pour trancher.

Le groupe Stellantis repousse discrètement son objectif de passer au 100 % électrique en Europe d’ici à 2030. Un rétropédalage anticipé dès l’éviction de Carlos Tavares, mais dont la confirmation en pleine période d’intérim stratégique soulève quelques questions.

Après la Renault 5, c’est au tour de la Renault 4 d’être testée sur la route. Encore une fois, Renault a bien travaillé sa copie avec des petits détails qui peuvent faire la différence.  

Un groupe de salariés de Tesla réclame publiquement le départ d’Elon Musk. Une lettre ouverte qui confirme un profond malaise interne et l’inquiétude grandissante sur le problème de demande des véhicules de la marque.

Le gouvernement promet de soutenir la voiture électrique, alors qu'il organise son échec en coulisses. Difficile de voir une issue favorable pour la voiture électrique dans cet édito Watt Else du 8 mai.

La rumeur s’est rapidement répandue sur le web : ce drôle de prototype pourrait cacher la future Model Q de Tesla. C’est bien un futur véhicule électrique… mais d’une autre marque américaine.  

Tesla doit livrer ses Model Y d’entrée de gamme à partir de mai. Mais mauvaise surprise : le modèle n’est toujours pas dans la liste officielle des véhicules éligibles au bonus écologique.