Le 13 juin dernier, Israël avait ouvert la voie. Ce week-end, les États-Unis se sont engouffrés. Ils ont à leur tour frappé l’Iran. Trois sites nucléaires ont été touchés. Et les autorités ignorent quelle est l’ampleur réelle des dégâts.
Dans la course à la dissuasion, l’Iran a su tirer parti d’un atout discret, mais redoutablement efficace : la géologie de son territoire. Depuis plusieurs années, le régime de Téhéran mise en effet sur l’enfouissement de ses installations sensibles – sites nucléaires, balistiques ou militaires –...
Après les attaques israéliennes sur des sites nucléaires iraniens en fin de semaine dernière, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) s’est mise en alerte. Même si les premières informations diffusées semblent rassurantes, la situation reste inquiétante.
Terminer le « travail » en détruisant totalement les sites d’enrichissement d’uranium en Iran, c’est ce que pourraient être amenés à faire les États-Unis très prochainement. Comment ? Grâce une puissante bombe à fort pouvoir de pénétration et de destruction : la GBU-57. Futura vous explique tout...
L’attaque massive d’Israël en Iran a touché des installations liées au développement de ses capacités nucléaires. Téhéran jure qu’elles ne sont que civiles. Futura explique ce qui distingue l’uranium militaire du civil et pointe les installations qui posent problème en Iran.