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Quel est le meilleur scooter électrique 125 choisir en 2024 ? Nos 6 modèles testés et approuvés

Par : Marie Turcan
18 juin 2024 à 09:22

En 2024, la mobilité durable gagne du terrain et le scooter électrique 125cc s'inscrit aussi bien dans une démarque écologique que pratique. Le deux roues électrique permet de diminuer son temps passé dans les embouteillages tout en réduisant ses émissions de CO2. Le choix du bon scooter électrique 125 reste néanmoins parfois compliqué entre autonomie, vitesse et rapport qualité prix. Pour choisir au mieux votre scooter électrique équivalent 125cc, nous avons testé plusieurs modèles et six sont sortis du lot.

01 – L’appareil open-source basé sur un modèle de langage IA

Par : Korben
13 juin 2024 à 07:00

Imaginez un appareil qui comprend tout ce que vous lui dites, qui répond à vos questions avec intelligence et s’adapte à vos besoins… Et bien c’est exactement ce que propose le projet 01, un framework open-source qui allie intelligence artificielle et interface vocale.

Inspiré par l’iconique ordinateur de Star Trek, et développé par les mêmes personnes que ceux qui ont créé Open Interpreter que j’adore, 01 ambitionne de devenir le GNU/Linux des assistants vocaux. Son écosystème ouvert et modulaire permet aux développeurs de créer des applications innovantes et de personnaliser l’expérience utilisateur. Comme ça, que vous soyez maker ou un néophyte curieux, vous allez pouvoir construire votre propre appareil 01 en suivant les instructions détaillées fournies sur le dépôt GitHub.

Le modèle 01 Light, basé sur un ESP32, est un excellent point de départ pour découvrir cette technologie fascinante. Évidemment, tout est open source et vous pouvez créer votre propre device ou le faire tourner sur un appareil existant.

Pour une expérience optimale, 01 fonctionne de pair avec un serveur qui s’exécute sur votre ordinateur personnel ou votre NAS et qui grâce à des outils comme Whisper pour la reconnaissance vocale et GPT pour la génération de réponses, permet des interactions naturelles et pertinentes.

Tout cela est rendu possible notamment grâce au format LMC (Language Model Computer), inspiré par le concept de « LLM OS » d’Andrej Karpathy. 01 utilise donc un modèle de langage qui interprète du code pour réagir à des événements système. Les messages LMC sont donc une extension du format d’OpenAI en ajoutant un rôle « ordinateur » qui exécute du code Python directement dans les instructions système.

Son architecture flexible permet de l’intégrer à une multitude d’objets du quotidien, de l’assistant vocal au robot domestique en passant par la voiture intelligente. Les possibilités sont infinies et ne demandent qu’à être explorées.

En tant que projet open-source, 01 compte sur une communauté dynamique de contributeurs pour se développer et s’améliorer et y’a même un serveur Discord pour échanger avec d’autres enthousiastes du projet.

Figure AI Develops Humanoid Robot In Record Time

31 mai 2024 à 17:44
Figure AI has achieved remarkable progress in developing a humanoid robot within a year, earning a spot in the 2024 RBR50 Robotics Innovation Awards announced on April 9. This award, which has been recognizing innovation in robotics for 12 years, was celebrated at the inaugural RBR50 Gala during the Robotics Summit & Expo in Boston. Each RBR50 winner will be highlighted throughout the year by The Robot Report.Founded by seasoned […]

Sauvegardez facilement votre parc machines avec Arx One

Par : Korben
29 mai 2024 à 08:42

— Article en partenariat avec Arx One —

Arx One est une solution de sauvegarde permettant aux petites comme aux grandes entreprises de protéger les données de leur parc machines. Conçue et développée en France, cette suite complète d’outils permet de sauvegarder simplement et efficacement tous types de données, peu importe la machine où elles se trouvent.

L’outil s’appuie en premier lieu sur une console centrale. C’est elle qui permet de superviser et d’administrer l’ensemble machines et leur sauvegardes. À travers cette console d’administration, on peut définir, entre autres, les machines à rattacher, la politique de sauvegarde, les plannings, les points de restauration, etc.

Ensuite, il y a les agents qui ce sont de petits logiciels discrets, déployés sur les machines à sauvegarder (Windows, Linux, macOS…) qui sont alors capables de réaliser des sauvegardes selon les paramètres définis à distance dans la console. Les données sont évidemment dé-dupliquées et tout est chiffré à la source avant d’être envoyées vers le stockage distant.

La solution est particulièrement adaptée aux boites qui manipulent des données sensibles et qui doivent les sécuriser (données de santé, données financières…) car tout est stocké sur le sol français. C’est parfait aussi pour les sociétés qui doivent respecter des normes strictes en termes de sécurité et de conformité (ISO27001, HDS, RGPD…).

Arx One est très complet puisqu’il permet ainsi de sauvegarder des choses aussi diverses que :

  • Des serveurs physiques Windows et Linux
  • Des machines virtuelles Proxmox, Hyper-V
  • Des postes de travail et ordinateurs portables Windows, macOS, Linux
  • Des NAS Synology, QNAP
  • Et également des applications telles que des bases de données (MySQL, HFSQL, SQL Server…etc.), des messageries Exchange / Microsoft 365, etc.

Ensuite, pour le stockage, Arx One offre 2 possibilités. Soit de la sauvegarde externalisée et dans ce cas là, les données sont stockées dans leur cloud sécurisé. Ce sont leurs propres serveurs situés dans des datacenters en France (Nantes et Lyon) ce qui permet d’offrir à leur client un cloud souverain, certifié ISO27001 et HDS (Hébergeur de Données de Santé).

Ou sinon, y’a aussi moyen d’opter pour la sauvegarde centralisée. et dans ce cas, les données sont stockées sur vos propres infrastructures de stockage et tout est géré par vous.

Quoiqu’il en soit, dans les 2 cas, vos données seront toujours sécurisées avec du chiffrement de bout en bout en AES256, de la déduplication, des mises à jour automatique, des tests d’intégrité, une conformité RGPD, et ainsi de suite.

Alors maintenant comment ça s’installe ? Et bien j’ai fait des tests et je vais vous parler de mon expérience. J’ai commencé par la console de gestion qui s’installer en 2 secondes sur n’importe quel Windows. C’est cette machine qui fait alors office de poste de gestion central.

Visuellement, ça fonctionne sur un principe d’onglet comme un navigateur. L’écran de bienvenue permet de visualiser d’un seul coup d’oeil l’ensemble du parc des « agents », les opérations de backup ou de restauration en cours et les problèmes éventuels, ainsi que la place restante sur les serveurs d’Arx One pour le stockage. À partir de là, on commence à administrer des comptes et leur appliquer des stratégies de sauvegarde (j’y reviendrai plus tard). L’idée c’est que pour chaque machine à sauvegarder, vous allez devoir créer un compte descendant. Ce sont des comptes qui sont rattachés à votre compte principal. 1 compte par agent et donc par machine.

Une fois tout ça crée, y’a plus qu’à installer les agents sur les machines. Cela peut se faire en récupérant un binaire pour Windows, macOS ou Linux sur le site de Arx One, ou en lançant quelques lignes de commande si vous voulez par exemple déployer ça sur un serveur ou sur un NAS. La documentation concernant les agents est ici.

Ensuite, y’a plus qu’à rattacher votre agent à la console en saisissant au moment de l’installation de l’agent, l’identifiant du compte descendant et son mot de passe créé pour l’occasion. Pensez à bien rafraîchir la console pour avoir les données à jour ensuite.

Après au niveau de l’usage, la console web offre une excellente supervision et cela en temps réel. On peut y voir tous les agents rattachés, les paramétrer, mais également afficher différents tableaux de bord qui permettent d’avoir une bonne vue d’ensemble de l’état des sauvegardes, de l’espace de stockage qu’il vous reste, des derniers points de restauration, mais également de voir les alertes (sauvegarde en erreur, espace disque faible…).

Et bien sûr, même si on ne le souhaite pas, à un moment, il faudra restaurer des données. Et bien encore une fois, tout peut se faire à distance via la console. Il suffira de sélectionner les fichiers à récupérer et d’indiquer à l’outil leur destination. La restauration sera alors lancée sur le poste ou le serveur distant.

Concernant les stratégies de sauvegarde, c’est peut-être la partie la plus barbue de l’outil puisque cela va nécessiter de lire la documentation, mais si vous êtes administrateur système, vous avez forcément l’habitude de ce genre de chose. En gros, c’est une série de clés et de valeurs que vous pouvez définir pour permettre à l’agent plus ou moins de choses comme l’accès à l’interface, la sauvegarde continue, la taille maximale des objets à sauvegarder, l’endroit où sera créé le cache local…etc.

Voici un exemple qui permet d’avoir une sauvegarde continue sur les documents, avec un délai de déclenchement à 60 secondes, une taille max de fichiers à sauvegarder de 50 MB sans éclater le quota de 10 GB autorisé :

Voilà pour le tour d’horizon… Arx One est donc un excellent choix pour vos sauvegardes qui a réussi à éviter le côté usine à gaz d’autres solutions concurrentes que j’ai pu tester par le passé. Ça se déploie facilement, et le fait que le sauvegarde puisse être externalisée chez eux (en France !), de manière chiffrée et sécurisée, ça élimine pour leurs clients, la problématique parfois épineuse de la gestion et de la sécurisation du stockage.

Si ça vous dit de tester Arx One, je vous invite à cliquer ici pour en savoir plus.

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