Et un intrus de plus dans nos gourmandises habituelles ! Une étude nous révèle que mâcher un chewing-gum n'est pas si anodin que cela. Ce serait même une source insoupçonnée de microplastique. Que la gomme soit naturelle ou synthétique, elle libère des centaines, voire des milliers de particules...

Et si on remplaçait les plastiques traditionnels par un matériau entièrement recyclable et biodégradable ? Ces chercheurs japonais ont relevé le défi en fabriquant un plastique durable qui ne contribue pas à la pollution microplastique de nos océans.

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Ne nous laissons pas bercer d’illusions : le plastique est le matériau le moins recyclable et le plus problématique. Pire, les filières que l’on nous présente comme du recyclage ne font qu’entretenir la consommation de matières plastiques. On en parle dans le nouveau numéro des Cahiers de...

Un pot de yaourt tout comme une pale d’éolienne ou un manteau en laine, ce n’est pas recyclable. Nous avons appris la leçon au fil des années. Mais des chercheurs s’attèlent à changer l’histoire. Ils ont développé de nouveaux moyens pour traiter le problème.

La mention « recyclable » est de plus en plus présente sur les emballages et autres objets de notre quotidien. Elle peut laisser penser que les matériaux sont recyclables à l’infini. Mais la réalité est-elle vraiment aussi idyllique ?

Après avoir testé plusieurs échantillons d’eau du robinet, les chercheurs ont détecté des concentrations allant jusqu’à 0,250 gramme d’eau par litre de plastique. Un véritable scandale sanitaire, qui n’a pas manqué de faire réagir les Français, à l’instar d’Yvonne, habitante de Haute-Loire : “C’est de pire en pire, tout ce que l’on consomme est pollué, on ne peut plus faire confiance à personne ! Quelle est la prochaine étape ? On va apprendre qu’il y a du poulet dans nos nuggets ?”

Partout en France, des associations de consommateurs se constituent pour faire valoir leurs droits. “Depuis des années, on nous fait boire de l’eau sans qu’on le sache, c’est inadmissible”, s’insurge Chantal, présidente de l’Association des Buveurs de Plastique Désabusés et en Colère de Charente-Maritime (ABPDCCM). “Au sein de l’association, certains ont déjà des effets secondaires : Muriel, qui boit de l’eau du robinet depuis 15 ans, a des reins en excellente santé et ses urines sont claires. Sans parler de Gwendal, qui a une peau souple et parfaitement hydratée !!”

Interrogées à ce sujet, les autorités sanitaires n’ont pas souhaité répondre à nos sollicitations, assurant qu’une enquête était en cours pour faire la lumière sur cette affaire sordide. Un scandale qui vient s’ajouter à celui des particules fines que l’on respire au quotidien et qui pourraient contenir de l’oxygène.

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