Airbnb avec le frigo déjà rempli : un nouveau service est en cours de test
Une nouvelle offre qui pourrait permettre d’étendre la clientèle de l’application.


Le fondateur de SoftBank, Masayoshi Son, a une nouvelle fois surpris le monde de la finance. Connu pour ses paris spectaculaires, l’entrepreneur japonais a décidé de revendre l’intégralité de sa participation dans Nvidia, évaluée à 5,8 milliards de dollars, afin de réinvestir massivement dans l’intelligence artificielle. Une décision audacieuse qui a immédiatement ébranlé les marchés ... Lire plus
L'article SoftBank secoue les marchés après la vente totale de ses actions Nvidia est apparu en premier sur Fredzone.Should I stay or should I go ? Voilà plusieurs mois que la question trotte dans la tête de Yann LeCun, scientifique en chef de l’intelligence artificielle chez Meta depuis 2013.
Selon le Financial Times (FT), le lauréat du prix Turing aurait informé ses proches de son intention de partir dans les prochains mois. Il serait également en discussions préliminaires pour lever des fonds destinés à sa future startup, selon des sources proches du dossier citées par le FT.
Une issue qui n’est pas vraiment une surprise tant le chercheur franco-américain, considéré comme l’un des pères fondateurs de l’IA moderne, apparait éloigné de la nouvelle stratégie souhaitée par Mark Zuckerberg pour coller à la roue d’OpenAI.
En effet, le fondateur de Meta a décidé de délaisser les travaux de recherche fondamentale menés par le laboratoire FAIR (Fundamental AI Research Lab), dirigé par LeCun, au profit d’un déploiement accéléré de modèles et produits d’IA commerciaux. Cette réorientation fait suite à la performance décevante du modèle Llama 4, qui s’est révélé inférieur aux offres concurrentes de Google, OpenAI et Anthropic.
L’été dernier, Mark Zuckerberg a recruté Alexandr Wang, fondateur de la startup Scale AI, pour diriger une nouvelle équipe dédiée à la « superintelligence ». Cette embauche s’est accompagnée d’un investissement de 14,3 milliards $ pour acquérir 49% de Scale AI. Conséquence directe : LeCun, qui reportait jusqu’alors au directeur produit Chris Cox, se retrouve désormais sous la supervision de Wang, âgé de 28 ans.
Le patron de Meta a parallèlement constitué une équipe exclusive, baptisée TBD Lab, chargée de développer la prochaine génération de grands modèles de langage. Pour attirer des talents d’OpenAI et de Google, des packages de rémunération atteignant 100 millions $ ont été proposés. En juillet, Shengjia Zhao, co-créateur de ChatGPT chez OpenAI, a été embauché comme scientifique en chef du laboratoire Superintelligence.
Cette réorganisation met en lumière une divergence stratégique profonde. LeCun défend depuis longtemps la thèse selon laquelle les grands modèles de langage (LLM), au cœur de la nouvelle stratégie de Mark Zuckerberg, sont certes utiles mais ne permettront jamais d’atteindre des capacités de raisonnement et de planification comparables à celles des humains.
Le scientifique concentre ses travaux au sein de FAIR sur une génération entièrement nouvelle de systèmes d’IA : les « modèles du monde ». Ces architectures visent à comprendre le monde physique en apprenant à partir de vidéos et de données spatiales plutôt que de simples contenus textuels. LeCun estime toutefois qu’une décennie pourrait être nécessaire pour développer pleinement cette technologie. Son prochain projet entrepreneurial portera précisément sur l’approfondissement de ces recherches selon le FT.
Le départ annoncé de Yann LeCun n’est pas le premier des « vétérans de l’IA » à quitter Meta. En mai, c’est Joelle Pineau, vice-présidente de la recherche en IA, qui avait rejoint la startup canadienne Cohere. En octobre, ce sont environ 600 personnes de son unité de recherche qui avaient été licenciées.
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L’échéance approche : le 19 novembre, la Commission européenne devrait présenter son « omnibus numérique ».
Un brouillon, non daté, a filtré avant l’heure. Il est proposé d’y amender 5 textes :
Il s’agit aussi d’en abroger 4 :
Data Governance Act, directive Open Data et règlement FFDR seraient consolidés au sein du Data Act. Une démarche d’autant plus logique, à en croire Bruxelles, que ces textes se chevauchent sans que leurs interactions soient toujours claires. Le FFDR, par exemple, a en partie été remplacé par le chapitre VI du Data Act (relatif au changement de services de traitement de données). Quant au chapitre II du Data Governance Act (réutilisation de certaines catégories de données détenues par des organismes du secteur public), il complète les dispositions de la directive Open Data.
La proposition d’omnibus numérique identifie quatre éléments « importants » pour assurer un équilibre entre disponibilité des données et droits/intérêts de leurs détenteurs :
Les exigences concernant les smart contracts se trouvent au chapitre VIII du Data Act (« Interopérabilité »). Elles touchent au contrôle de l’accès, à l’archivage des données, à la résiliation en toute sécurité, etc. L’omnibus numérique les supprimerait.
Le chapitre II du Data Act régit le partage de données relatives aux produits connectés et aux services connexes. Actuellement, il permet à un détenteur de données de refuser de les communiquer au nom du secret des affaires s’il démontre qu’il existe un risque de préjudice économique grave.
L’omnibus numérique ajouterait un motif de refus supplémentaire : l’existence d’un risque élevé d’acquisition ou d’usage par des pays tiers qui ne garantissent pas un niveau de protection des données équivalent à celui de l’UE.
Une simplification du cadre business-to-government serait effectuée au niveau du chapitre V du Data Act. Celui-ci régit la mise à disposition de données au bénéfice d’organismes du secteur public, de la Commission européenne, de la BCE ou d’un organe de l’UE « sur le fondement d’un besoin exceptionnel ».
L’omnibus numérique préciserait le champ d’application en remplaçant « besoin exceptionnel » par « urgence publique ».
La fusion des dispositions de la directive Open Data et du Data Governance Act en un chapitre sur la réutilisation des données du secteur public s’accompagnerait d’évolutions. Parmi elles, la possibilité de facturer plus l’accès aux très grandes entreprises – en première ligne, les « contrôleurs d’accès » tels que définis dans le DMA – et d’y assortir des conditions spécifiques.
En parallèle, les règles du Data Governance Act concernant certaines catégories de données protégées seraient introduites dans le Data Act sous forme simplifiée, avec une clarification sur les règles applicables dans les cas où des données personnelles ont été rendues anonymes.
Le changement de fournisseur de traitement de données est encadré par le chapitre VI du Data Act.
L’omnibus numérique créerait un régime spécifique plus « léger » pour les services « personnalisés » (non commercialisés sur étagère et qui ne fonctionneraient pas sans une adaptation préalable aux besoins de l’utilisateur) à l’exception du IaaS. Ceux faisant l’objet d’un contrat signé avant le 12 septembre 2025 ne seraient soumis à aucune des obligations du chapitre (information, bonne foi, transparence sur les accès internationaux…) sauf celle relative à la suppression progressive des frais de changement.
Ce régime s’appliquerait aussi aux services fournis – dans le cadre de contrats signés avant cette même date – par des PME et des small caps. Ces dernières auraient la possibilité d’inclure, dans les contrats à durée déterminée, des pénalités de résiliation anticipée.
L’omnibus numérique incorporerait dans le Data Act deux régimes actuellement inscrits dans le Data Governance Act. D’une part, le chapitre III, qui impose une notification des autorités compétentes par les prestataires de services d’intermédiation de données. De l’autre, le chapitre IV, qui établit un mécanisme d’enregistrement volontaire des organismes altruistes en matière de données au sein de registres publics nationaux.
Vu la nature émergente des services d’intermédiation de données, leurs prestataires ne devraient pas être obligés de notifier les autorités, estime Bruxelles. Le brouillon de l’omnibus numérique va dans ce sens. Il élimine par ailleurs l’obligation de séparation juridique vis-à-vis d’autres services, la remplaçant par une exigence de séparation fonctionnelle.
En ce qui concerne les organisations altruistes en matière de données, les obligations de transparence et de reporting seraient supprimées.
Du règlement FFDR ne serait conservé qu’un principe : celui qui interdit les exigences de localisation des données sauf si elles sont justifiées par des motifs de sécurité publique.
Illustration générée par IA
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