Réunions confidentielles sur Teams, Microsoft va bloquer… les captures d’écran

Afin d'optimiser la confidentialité des réunions sur Teams, Microsoft va proposer une fonction qui désactive... les captures d'écran. Explications.
L’Association Francophone Python (AFPy) organise la PyConFR 2025 du jeudi 30 octobre au dimanche 2 novembre. Pour cette 16e édition, nous sommes accueillis par le Campus René Cassin de Lyon !
La PyConFR, c’est un évènement gratuit sur 4 jours autour du langage de programmation Python. Elle est composée deux jours de développements participatifs (sprints), puis de deux jours de conférences et ateliers.
L’appel à propositions est ouvert jusqu’au 20 juillet. Peu importe votre niveau en Python, vous pouvez proposer un sujet de sprint, de conférence ou d’atelier ! Venez parler de développement logiciel, de diversité, de communauté, faire un retour d’expérience sur un outil, présenter votre projet, un domaine d’activité…
Comme tous les ans, nous proposons aux personnes habituellement peu représentées en conférence de l’aide pour trouver un sujet, rédiger la proposition de conférence, rédiger le support de conférence et pour répéter. Vous pouvez nous contacter à l’adresse diversite@afpy.org si vous pensez en avoir besoin.
Enfin, la PyConFR est entièrement financée par les sponsors. Si vous connaissez des sponsors potentiels, n’hésitez pas à leur parler de l’évènement !
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La date avait été fixée voilà plusieurs semaines : Skype n’est plus, et Microsoft renvoie l’utilisateur intéressé par un service de visioconférence similaire à se pencher sur Teams. Ceux qui disposaient encore de crédits Skype peuvent encore utiliser le service sans limite de temps… pour l’instant. En revanche, …
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La conférence de Bruno Dumézil à l'Agora des savoirs offre une relecture fascinante de l’histoire des Mérovingiens, une dynastie souvent reléguée à des clichés simplistes et à une réputation injustement ternie. Professeur d’histoire médiévale à Sorbonne Université, Dumézil nous invite à dépasser les images d’Épinal pour redécouvrir la richesse et la complexité de cette période méconnue.
Les Mérovingiens (451-751) ont longtemps souffert d’une mauvaise image, forgée notamment par les historiens du XIXe siècle comme Augustin Thierry et Jules Michelet. Ces derniers décrivaient cette époque comme une période de barbarie et de désordre, marquée par l’absence d’État et par des successions violentes. Cette vision était renforcée par des récits mythifiés tels que le vase de Soissons ou le baptême de Clovis, dont les bases historiques sont souvent fragiles. La Troisième République, en particulier, voyait dans les Mérovingiens une illustration des dangers d’un pouvoir partagé entre clans ou dominé par des femmes et des évêques.
Cependant, Dumézil souligne que ces jugements sont largement biaisés. Ils reflètent davantage les préoccupations idéologiques du XIXe siècle que la réalité historique. Par exemple, l’idée que les Mérovingiens ignoraient la notion d’État repose sur une conception anachronique de la souveraineté. En réalité, leur système politique reposait sur un équilibre subtil entre consensus aristocratique et pragmatisme.
Pour comprendre les Mérovingiens, il faut replacer leur émergence dans le contexte du déclin de l’Empire romain. À partir du IIIe siècle, des confédérations tribales comme les Francs commencent à se former sur les marges de l’Empire. Ces groupes ne constituent pas des peuples homogènes mais plutôt des alliances fluides entre tribus. Les Francs, par exemple, incluaient aussi bien des guerriers fédérés travaillant pour Rome que des pillards ou des généraux romains d’origine barbare.
Les ancêtres des Mérovingiens apparaissent dans ce contexte hybride où les frontières entre Romains et « barbares » sont floues. Certains Francs deviennent même empereurs romains, comme Magnence au IVe siècle. Cette interaction complexe entre romanité et germanité explique pourquoi les premiers rois mérovingiens sont difficiles à cerner historiquement.
Contrairement aux idées reçues, les Mérovingiens ne furent pas seulement des chefs de clans violents. Ils réussirent à établir un royaume durable, le regnum Francorum, qui s’étendit sur trois siècles. Cette longévité contraste avec l’effondrement rapide d’autres royaumes barbares comme celui des Wisigoths ou des Vandales.
Leur succès repose sur plusieurs facteurs :
L’héritage mérovingien a souvent été éclipsé par la gloire des Carolingiens qui leur succédèrent en 751. Pourtant, Dumézil insiste sur le fait que les Mérovingiens posèrent les bases de nombreuses institutions médiévales. Leur capacité à maintenir un équilibre entre traditions germaniques et influences romaines fut essentielle pour la construction politique de l’Europe occidentale.
En conclusion, Bruno Dumézil nous invite à réviser notre perception des Mérovingiens. Loin d’être une période sombre et chaotique, leur règne témoigne d’une remarquable capacité d’adaptation et d’innovation dans un monde en pleine transformation. Cette redécouverte historique nous rappelle que même les périodes mal aimées méritent une attention renouvelée pour éclairer notre compréhension du passé.
Encadré : La décentralisation mérovingienne, entre pragmatisme fiscal et contrôle territorial
Les Mérovingiens ont développé un modèle administratif original, fondé sur une décentralisation radicale de la frappe monétaire et de la collecte des impôts. Contrairement à l’Empire romain centralisé, le regnum Francorum privilégiait une logique de proximité :
Le royaume présentait une gradation du pouvoir selon la distance au cœur franc :
Cette organisation révèle une vision pragmatique du pouvoir :
En résumé, les Mérovingiens ont su transformer une apparente faiblesse (absence de centralisation romaine) en atout, créant un réseau fiscal et monétaire résilient qui s’adaptait aux réalités géopolitiques complexes du haut Moyen Âge.
Je découvre Gaël Giraud. L'introduction au problème de résolution du problème climatique est très intéressante.
La question de la démocratie est importante. Mais sous quels motifs a-t-on le droit d'imposer la démocratie aux autres (en plus je suppose "démocratie" représentative, c'est-à-dire pas démocratique du tout) ? En quoi le système que nous avons en France sert-il mieux les intérêts nationaux que la monarchie par exemple ?
Dit autrement, si l'intérêt du roi est forcément son royaume car sinon il perd tout, en revanche quel est l'intérêt d'un banquier d'affaire à enrichir une nation quand sa carrière et ses investissements passés ont tous été faits à l'étranger ?
Disons qu'il y a un soupçons d'ethnocentrisme mais que comme ça n'est pas le propos principale de la vidéo, ça n'est pas grave. Admettons aussi le réel, car au vu de la supposée "coopération internationale", nos enfants n'echapperont pas à un conflit armé, majeur et d'ordre mondiale. Nous verrons si notre population aura ou non le sursaut de comprendre que ce sera ses enfants ou ceux des autres.
— Liens directs
Dire que la laïcité est à la fois un pilier de notre constitution, âprement défendu par l’Etat, mais aussi une pensée républicaine attaquée, vilipendée, parfois incomprise hors de nos frontières, constitue un mince aperçu de cette lutte incessante. Devons-nous appliquer sans faillir toute la laïcité, rien que la laïcité ou une version plus douce, édulcorée ?
Le sujet est ardu, mais pour réfléchir à demain, Cécile Révauger va d’abord retracer l’histoire d’une certaine idée de notre bien vivre ensemble. En effet, dans une société mondialisée, des cultures interconnectées, le choix de respecter la diversité de religion, ou aucune, le genre, et l’égalité homme/femme dans sa constitution est une singularité française. Certes, la Turquie imprime dans sa loi la laïcité, mais nous connaissons aujourd’hui les entorses du pouvoir en place à cet égard.
Bien sûr, cette liberté est écartelée à travers notre quotidien et la politique associée. Le port du voile est un sujet au coeur de notre conception d’un universalisme. Pour sa part, Cécile Révauger explique son point de vue, car là également le sujet tiraille la classe politique française : « Je condamne le port du voile dans les espaces d’autorités publiques. Concrètement, au sein des écoles, mais je comprends le débat spécifique sur la sortie scolaire et l’accompagnement des parents. C’est un sujet sensible ! Toutefois, je suis pour la liberté du port du voile dans l’espace public, comme privé (hors espaces d’autorités publiques). » Bien sûr, d’autres sujets se greffent comme le port du voile dans les compétitions sportives, autre thématique tendue d’actualité.
Ensuite, la mixité s’impose de fait dans ce dessin d’une société égalitaire entre tous, hommes et femmes. Néanmoins, elle n’avait pas véritablement traversé l’esprit du législateur de la loi en 1905. Au fil des années et des combats que nous connaissons toutes et tous, l’égalité homme-femme est devenue le fil conducteur de notre vision républicaine. La mixité s’impose de facto comme l’autre pilier de notre liberté de conscience.
Le sentiment d’injustice fragilise-t-il la laïcité ?
Totalement corréler avec cette application de la loi de 1905, la perception pleine et entière de cette dernière est sujet à un questionnement selon votre ressenti. « Le sentiment d’injustice, notamment sociale, attaque la citoyenneté. Par ailleurs, aucune loi est immuable, mais surtout est-ce l’esprit de la loi de 1905 ? », commente Cécile Révauger.
Ensuite, la dérive potentielle comme le wokisme, où d’une idéologie assez vertueuse à la base se construit un système d’exclusion pose d’autres questions. Oui, le respect de la laïcité ne peut s’exonérer de l’évolution des moeurs sans pour autant céder sur ses principes fondamentaux. Voilà le sel de cette conférence proposée, un moment de réflexion rare, ce samedi 12 avril 2025 à l’auditorium Saint-Nicolas à Valenciennes (entrée gratuite).
Daniel Carlier
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27 févr. 2020
Le mercredi 26 février 2020 à 20h, au Centre Rabelais de Montpellier.
La monnaie est soumise à une double transformation : le digital et une contestation accrue de sa légitimité sous sa forme traditionnelle. Le lancement récent de la monnaie de Facebook (Libra) annonce en particulier une mutation inédite de l’écosystème monétaire induite par un géant des réseaux sociaux. Ceci relance le débat sur les avantages et les risques des monnaies digitales privées. Cette annonce a suscité des réactions contrastées, l’enthousiasme initial de certains adeptes des « crypto-monnaies » cédant la place à la méfiance des régulateurs (les Banques Centrales). Quelles sont les lignes de rupture et de continuité qu’introduit la Libra dans le débat sur la digitalisation de la monnaie et notamment par rapport aux monnaies digitales privées existantes (par ex. bitcoin) ? Que penser des réactions des Banques Centrales qui tentent de reprendre la main en créant leur propre monnaie digitale?
Docteur en science politique de l'université de Lausanne, et expert en innovation monétaire, Virgile Perret est auteur de l’ouvrage Monnaie et citoyenneté (2015) et d’articles dans la presse économique. Il collabore avec l’Observatoire de la finance à Genève, où il coordonne le Prix global "Ethics &Trust in Finance". Parallèlement, il est aussi Secrétaire général de l’Association pour Renouveler la Recherche et l’Enseignement en Economie et Finance (AREF), basée à l’Université de Fribourg en Suisse.
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Cette conférence est truffée d'erreurs et de biais. Donc voici mes commentaires.
6:28 La partie la plus importante pour les gens qui ne connaissent pas le fonctionnement du système monétaires actuel: 95% de la monnaie provient du crédit bancaire de banque commerciales, donc privées !! (et les banques centrales ne sont pas non plus des organismes publiques !! la séparation d'avec l'Etat est bien réalisé selon la doctrine depuis les années 1970)
Le reste de la conférence n'a que peu d'intérêt, tellement il y a des erreurs, des inexactitudes et un parti pris opposé à la (défunte) libra.
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y'a pas que la partie benchmark où le conférencier n'est pas compétent.... il arrête pas de parler de "privatisation" de la monnaie avec la libra... et en même temps il nous dit que 95% de la monnaie est créée par les banques commerciales privées... et que les banques centrale sont à moitié publique et à moitié privée... donc en gros la monnaie est déjà privée. Donc il n'y a pas de privatisation vu que c'est déjà privé !!!!
... et parler de crypotgraphie quantique pour les MNBC.. heu.. là j'ai des doutes. C'est moins énergivore ?? avec des ordinateurs refroidi à -160°C ?? rien à voir et justement les MNBC utilisent aussi des registres distribué, car elles ne se font pas confiance. Actuellement on a du recul. Mais les tests de 2017 se faisaient déjà ainsi !
Et.. le gars il a jamais du aller en afrique !! C'est le monde occidental qui est à la traine en terme de moyen de paiement par téléphone !! Le Mpesa et les dizaines d'autres monnaies basées sur des crédits de téléphones sont courantes et là depuis bien longtemps. Même avant les smartphone. Et de nos jours les smartphones aussi sont courants en afrique !!!
Heureusement pour l'orateur que le public est encore plus ignorant que lui !!!! (CF: la présidente de l'assemblée qui n'a retenu que le fait que son compte en banque est de la monnaie privées...)
42:51 Le problème de la libra c'est la privatisation de la monnaie ?? Heu... donc à 6:28 quand vous dites que 95% de la monnaie est crée par des banques commerciales privées c'est pas un problème ?? Tout comme il y a le bon et le mauvais chasseur, il y a le bon et le mauvais privé !! Dite tout de suite que vous êtes contre le projet de la libra.. ça économisera du temps à tout le monde ! Bon.. c'est vrai vous vous êtes présenté comme un "institutionnaliste" donc ça se comprends.....
Et à propos des 5% de monnaie crée par des banques centrales, quel est le status juridique d'une banque centrale ? C'est pas non plus des institution publiques. Vu que vous êtes en suisse comme moi, je peux vous parler de la Banque Nationale Suisse, dont je suis actionnaire ! .. C'est une Société Anonymes cotée en bourse, totalement indépendante de la confédération suisse (hormis que le gouvernement nomme une partie des membres du conseil de banque) Puis la majorité des droits de votes (très proches de 50%) des actions sont détenues par les cantons suisses.
Donc ce n'est en aucun cas l'état... même si l'actionnariat est détenu en majorité par des collectivités publique. La gouvernance n'est pas du tout publique.
43:54 A propos du cours légal, pourquoi vous trouvez le le fait que la libra n'aura pas de cours légal est un problème, alors que comme vous l'avez dit à 6:28 95% de la monnaie actuellement en circulation est une reconnaissance de dette de banque commerciales et n'a pas non plus de cours légal !!!!!! Est-ce que vous êtes conscient des incohérences de votre propos ?
En Suisse nous avons la LUMMP, la loi sur l'unité monétaire et les moyens de paiement qui défini que la monnaie ayant cours légal en suisse à 3 forme: les pièces émises (sans dettes ) par la confédération, la billet émis par la banque nationale suisse (une SA cotée en bourse), la monnaie scripturale interbancaire de la banque nationale suisse. (non accessible aux particuliers... et en suisse il n'est pas possibles pour un particulier hors employé de la BNS d'avoir un compte à la banque centrale)
Donc le reste n'a pas cours légal. Donc 95% de la monnaie – Les substituts monétaires - selon l'appellation du conseil fédérale depuis 2012 n'a pas cours légal !!
1:13:06 Est-ce que vous avez déjà entendu parler de M-Pesa et d'autres des 135 services de monnaie basées sur de crédit de téléphone mobile qu'on trouve en afrique en 2019 ? (avant votre conférence)
C'est le monde occidental qui est en retard sur l'afrique en ce qui concerne les moyens de paiement par téléphone, et pas besoin de smartphone pour ça. M-Pesa a été crée en 2007 et se pratiquait déjà avant. Donc c'est une pratique plus vielle que l'iPhone !!
Le taux de pénétration de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne est proche de 91% en 2022 et de 51% pour les smartphones.
Ceci alors que, toujours pour l'afrique subsaharienne, le taux d'inclusion bancaire est de 32% en 2021.
Donc il n'est absolument pas aberrant du tout pour facebook d'avoir parlé d'inclusion financière grâce à la libra !!!
Encore une fois, vos propos ne sont pas corrects ou complètement biaisés.
1:17:00 Vu que 5 ans se sont passés depuis la conférence, je complète. Donc la libra n'a jamais vu le jour. Elle a été torpillé par la FINMA, l'autorité de surveillance des banques en suisse. Alors que les Monnaie Numérique (pas de "digitale" en bon français) de Banque centrales sont des les cartons. Il y a des tests Banque Nationale Suisse et Banque de France qui ont été effectué en 2021, c'est le projet Jura. On a aussi le projet Helvetia, . Puis l'état chinois a profité des jeux olympiques le 6 janvier 2022 pour lancer sa Monnaie Numérique de Banque Centrale et directement intégrée dans l'App WeChat de Tencent. Donc c'est 1 milliard de Chinois qui peuvent l'utiliser, comme aurait pu l'être la défunte libra à travers Whatsapp... Il suffit de s'identifier via l'app e-CNY de la banque du peuple chinoise. Ainsi les chinois ont directement accès à une monnaie numérique ayant cours légal (donc "publique" selon la terminologie utilisée durant cette conférence), pendant que le monde occidental utilise de la monnaie crédit bancaire des banques commerciales n'ayant pas cours légal.
1:28:44 Enfin une question pertinente qui montre l'incohérence des propos du conférencier.... il y a la bonne monnaie privée et la mauvaise monnaie privée ???
En Suisse la garantie des dépôts est de CHF 30 000.- mais il n'y a un fond que de CHF 6 milliards pour sauver une banque en faillite... ainsi ce fond n'a servi que pour la kaupthing bank qui a fait faillite en 2008... mais quand UBS a fait faillite la même année ce mécanisme ne fonctionne pas... tout comme la même année toujours crédit suisse a fait faillite.. mais il s'est arrangé pour faire un crédit de 10 milliards au Qatar pour racheter ses propres actions !! C'est beau le pouvoir de la création monétaire. Puis... Crédit Suisse a vraiment fait faillite en 2023 et a fusionné avec UBS.
Du coup les questions posée là son totalement pertinentes. Pourquoi dénoncer le mécanisme de libra, alors que le systèmes actuel par le crédit est bien pire ???
Tout nouveau, cette année, l’Atelier des Makers c’est une rencontre entre makers mais aussi une ouverture au public pour montrer nos passions, nos façons de travailler et d’aborder les projets. N’hésitez pas à nous rejoindre en remplissant le formulaire d’inscription ! L’Atelier des Makers – Aubigny-sur-Nère du 4 au 6 avril 2025 INSCRIVEZ VOUS ! […]
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