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Hier — 24 juin 2024Flux principal

MicroBin – Le partage de fichiers simple et sécurisé

Par : Korben
24 juin 2024 à 07:00

Si vous avez un gros fichier à envoyer à un pote, mais que les mails et la messagerie instantanée font la gueule… Pas de panique, MicroBin est là pour vous aider ! En deux clics, vous uploadez votre fichier dessus et hop, vous avez un lien à partager. Votre ami n’a plus qu’à cliquer dessus pour récupérer le précieux. Et le plus dingue, c’est que ça marche pour tous type de fichier : texte, image, vidéo, zip…

Ce n’est pas qu’un bête hébergeur de fichiers puisque ça permet de chiffrer également vos uploads pour que personne d’autre que le destinataire ne puisse y accéder. Et si vous êtes du genre parano, vous pouvez même activer l’expiration automatique pour que votre fichier s’auto-détruise après un certain temps, comme dans Mission Impossible !

Et pour les geeks qui aiment bidouiller, vous allez adorer : MicroBin est entièrement open-source et super simple à installer sur votre propre serveur. Il vous suffit d’une ligne de commande et voilà, vous avez votre « mini-GitHub » perso pour héberger tous vos projets et snippets de code. Au revoir les galères de partage de config ou de libs !

bash <(curl -s https://microbin.eu/docker.sh)

MicroBin fait également office de raccourcisseur d’URL ! Comme ça, fini les liens à rallonge impossible à retenir. En plus de ça, l’interface est hyper clean et user-friendly, et y’a même un mode sombre automatique pour ceux qui bossent la nuit 🙂

Bref, c’est simple, efficace et bourré de fonctionnalités bien pensées. Si ça vous intéresse, vous en saurez plus en allant sur le Github. Et si vous êtes flemmard, il y a même une instance publique pour tester directement.

Allez, amusez-vous bien et n’oubliez pas : Partager, c’est la vie !

À partir d’avant-hierFlux principal

SOS Google Drive : les fichiers disparaissent de nulle part et laissent les utilisateurs en PANIQUE

Par : Moyens Staff
22 juin 2024 à 22:40

Ô Google Drive a révolutionné la façon dont nous stockons et partageons du contenu. Avec sa principale fonctionnalité de stockage cloud, il offre aux utilisateurs la possibilité d’accéder aux documents, photos et vidéos depuis n’importe quel appareil connecté à Internet. Son interface intuitive et sa parfaite intégration avec les autres outils Googlecomme Google Docs et […]

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PairDrop – Le partage de fichiers P2P en mode AirDrop dans votre navigateur

Par : Korben
16 juin 2024 à 07:00

Aujourd’hui, j’aimerais vous parler d’un outil de partage de fichiers qui va vous plaire : PairDrop ! C’est comme AirDrop en version web et ça marche sur tous vos devices, quel que soit l’OS. Smartphone, laptop, PC fixe, tout y passe ! La seule condition c’est d’avoir un navigateur web moderne.

Avec PairDrop, vous pouvez envoyer des images, des docs, du texte, bref tout ce que vous voulez, en un clin d’œil. Ça utilise une connexion P2P (peer-to-peer pour les noobs) pour transférer directement les fichiers entre vos appareils sur le même réseau local. Et le top du top, c’est que vous pouvez aussi faire des transferts via Internet pour partager avec des potes à distance !

Pour ça, il suffit de rejoindre une room publique temporaire, et bam, tous les devices dans la même room peuvent s’échanger des fichiers. C’est méga pratique pour partager des trucs rapidement avec des gens, même s’ils sont pas sur le même réseau. Et bien sûr, ça marche nickel même si vous êtes sur un réseau chelou genre le Wi-Fi public, le réseau de votre boite, un VPN ou un truc comme iCloud Private Relay.

En plus de ça, PairDrop gère les connexions complexes comme un chef. Genre si vous voulez partager un truc depuis votre mobile en mode hotspot, pas de blème ! Les appareils en dehors de votre réseau local qui sont derrière un NAT sont auto-connectés via le serveur TURN de PairDrop. C’est de la magie ce truc !

Vous pouvez aussi appairer vos devices via un code à 6 chiffres ou un QR code, comme ça, vos appareils se retrouvent toujours grâce à des secrets partagés, peu importe le réseau. L’appairage est persistant en plus, donc même si vous fermez PairDrop, vous retrouverez vos devices en le rouvrant. Et bien sûr, vous pouvez éditer et dé-appairer vos devices en deux clics.

Les fichiers sont transférés après validation d’une demande. Et une fois le transfert terminé, si possible ils sont auto-downloadés direct. Si vous envoyez plusieurs fichiers, ils seront zippés bien comme il faut. Sur Android et iOS vous pouvez télécharger, partager ou sauvegarder dans la galerie via le menu « Partager ». Et quand vous envoyez plusieurs fichiers d’un coup, vous avez même un joli indicateur de progression global.

Bon et je vous ai pas encore parlé des autres fonctions vraiment pratiques que les devs ont ajoutées. Par exemple, vous pouvez envoyer des fichiers direct depuis le menu contextuel sur Ubuntu (avec Nautilus), sur Windows, ou depuis le menu « Partager » sur iOS et Android. Il y a même une interface en ligne de commande pour les vrais barbus ! Vous pouvez aussi changer votre nom d’affichage pour différencier facilement vos devices.

Les petits gars derrière PairDrop ont vraiment pensé à tout. Genre vous pouvez coller des fichiers/du texte et choisir le destinataire après et surtout, vos appareils se mettent plus en veille pendant un transfert. Vous aurez même un avertissement si vous fermez PairDrop par erreur pendant un transfert et y’a même une preview des vidéos et des audios !

C’est opensource en plus, donc vous pouvez aller voir le code sur GitHub et même contribuer si ça vous dit. Bon par contre, si vous voulez héberger votre propre instance de PairDrop, genre sur un Raspberry Pi, faudra potasser un peu la doc pour configurer vos serveurs STUN/TURN, mais c’est clairement à la portée de n’importe quel geek un peu motivé. Je vous ferais un tuto si vous voulez.

Niveau techno, on est sur du classique mais efficace : HTML5, JS ES6, CSS3, PWA, tout ça tout ça. Avec du WebRTC et des WebSockets pour la partie réseau. Un back en Node.js, parce que le JavaScript c’est la vie. Ils utilisent également IndexedDB pour la gestion du stockage, zip.js pour la compression des fichiers, cyrb53 pour le hashage, et NoSleep pour empêcher la mise en veille. Que des libs bien velues, approuvées par la communauté.

Allez, je vous laisse tester ça, vous me remercierez plus tard.

FlyingCarpet – Pour transférer des fichiers sans connexion et sans câble

Par : Korben
27 mai 2024 à 07:00

Quand on n’a pas de réseau sous la main pour se transférer un gros fichier, c’est souvent galère. Faut trouve une clé USB et quand c’est pour balancer un truc d’un smartphone à un ordinateur, c’est mission impossible. Heureusement, FlyingCarpet pourrait bien devenir votre nouvel allié dans ce genre de situations !

Disponible sur Android, iOS, Linux, macOS et Windows, cette application libre permet d’échanger des fichiers entre tous ces appareils sans avoir besoin d’un réseau WiFi commun ou d’une connexion mobile. Il suffit que les deux terminaux soient assez proches et équipés d’une puce WiFi.

Le principe est simple : l’un des appareils crée un réseau ad hoc auquel l’autre se connecte. La connexion est sécurisée par WPA2 et un mot de passe échangé via un QR Code. Les données sont même chiffrées de bout en bout avec AES-256 et tout ça sans avoir besoin d’être un expert !

Une fois appairés, les deux appareils peuvent alors s’envoyer des fichiers dans les deux sens, comme s’ils étaient sur un réseau local classique. Les débits sont suffisants pour transférer rapidement plusieurs gigaoctets et c’est même l’idéal pour déplacer de gros fichiers entre différents systèmes de fichiers sans avoir à configurer un partage réseau.

L’outil gère les reprises en cas de déconnexion et affiche une barre de progression pendant les transferts. Sur ordinateur, on peut même envoyer des dossiers entiers de manière récursive. Alors évidemment, cela désactive la connexion internet sur certaines plateformes mais la restaure une fois le transfert terminé. Sur Android, l’appareil qui crée le réseau peut même continuer à accéder au web en partageant sa connexion cellulaire.

C’est open source et disponible sur GitHub pour ceux qui veulent.

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