Améliorer drastiquement votre Wi-Fi en désactivant ces options !

Votre connexion Wi-Fi rame ? Les vidéos se chargent trop lentement et le streaming peine à diffuser votre série préférée sans coupure ?
En 2022, le format JPEG-XL (JXL) a fait naitre beaucoup d’espoirs sur Internet : un taux de compression et une qualité très supérieurs à tout ce qui existe dans nos navigateurs web, plus une rétro-compatibilité avec JPEG. Les décodeurs sont arrivés dans Chromium, Firefox et Safari, on était tout excité, et puis… Google supprime le décodeur. Mozilla le cantonne à la version développeurs, derrière une option. Apple le… tiens non, Apple le garde et le porte même sur iOS.
Pendant que ça hurle et tempête Mozilla s’explique : l’implémentation actuelle c’est 100 000 lignes de C++ probablement dangereuses, tandis que du Rust plus compact serait avantageux.
Célébrons la rentrée 2025, les développeurs du labo Google (principal sponsor de JXL) nous proposent de tester une première version habillée de rouille ! Ne déshabillez pas la source trop vite, appréciez les préliminaires lents, c’est une fragile version 0.1.1.
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Vous pensez que le Wi-Fi 7 n’est que du marketing ? Moi aussi, au début. J’avais déjà testé le kit Eero Pro 7 à sa sortie, dans mon ancien logement un peu tordu sur trois niveaux, où les murs épais faisaient suffoquer ma Freebox et mes répéteurs Wi-Fi 7. À l’époque, ce kit m’avait sauvé la mise. J’ai déménagé depuis, dans un appart plus classique, et je pensais pouvoir m’en passer. Spoiler : je me trompais.
Un logement plus simple… mais un cas d’usage bien précis
Mon nouvel appart est une location, donc tirer des câbles Ethernet partout était exclu. Sauf que j’avais trois pôles réseau indispensables : mon bureau (où j’ai besoin de débit pour bosser), mon coin télé avec Xbox et Apple TV, et enfin mon NAS, accompagné d’un mini PC qui sert de serveur Plex, tous les deux bruyants et donc exilés au-dessus du frigo dans la cuisine. Trois zones distinctes, trois besoins critiques en débit et en stabilité.
On a brainstormé avec l’ami Korben : câbler en Ethernet ? Trop compliqué donc, en loc. Miser sur le Wi-Fi natif ? Bof, l’Apple TV plafonnait à 150 Mb/s. Les CPL ? Vu l’installation électrique foireuse du logement, pas la peine. La seule vraie solution, c’était de ressortir le kit Eero Pro 7 .
Comment j’ai transformé mon appart en hub Wi-Fi 7
J’ai branché un premier module Eero sur ma Livebox fibre (8 Gb/s), puis placé les deux satellites stratégiquement : un au salon près de ma télé, relié en Ethernet à la Xbox et à l’Apple TV, l’autre dans ma cuisine, branché au NAS et au mini PC. Résultat ?
L’Apple TV, qui stagnait à 150 Mb/s, tourne désormais à près de 900 Mb/s. Le NAS ? Parfaitement stable, avec des débits soutenus pour Plex, sans aucune coupure, même avec plusieurs accès distants. Et cerise sur le gâteau, mon iPhone 17 Air profite aussi du Wi-Fi 7 pour ses propres usages.
La vraie force, ce n’est pas seulement le Wi-Fi 7 en lui-même, mais la vitesse de communication entre les modules. Chaque satellite devient une prise réseau haut débit, sans câble à tirer. Pour une location ou un appart où le câblage est impossible, c’est tout simplement idéal.
Simple, efficace et (presque) plug & play
Pourquoi les Eero Pro 7 plutôt qu’un autre système Mesh ? Pour leur simplicité. L’appli iOS/Android permet de tout configurer en dix minutes chrono, de gérer les appareils, d’ouvrir Plex vers l’extérieur… bref, c’est pensé pour être rapide et fiable. Les deux ports Ethernet 5 Gb/s par module suffisent pour mes besoins, et je n’ai pas ressenti de limite. Pour la stabilité, rien à dire : avec du stream 4K, du jeu en ligne et un NAS sollicité 24/7, le réseau ne bronche pas.
Alors oui, ça n’est pas donné : 350 € le module, 800 € le pack de trois . Mais quand ça remplace sans douleur un câblage Ethernet impossible à mettre en place, c’est un investissement qui se justifie largement. Et puis pour peu que vous ne vous y connaissiez pas et que fassiez appel à un électricien pour câbler tout votre logement, ça vous coutera aussi un bureau billet, sans étendre votre couverture Wi-Fi chez vous !
Notez au passage que si vous avez des besoins plus modestes, donc pas de gros NAS à connecter au monde et pas besoin d’un débit monstrueux partout, les Eero 7 classiques sont aussi Wi-Fi 7, avec des ports Ethernet à 2,5 Gb/s, qui vous suffiront probablement largement (en réalité ça m’aurait suffit aussi, mais que voulez-vous, comme tout bon geek, j’ai voulu un peu de marge :p).
Verdict : la solution réseau parfaite pour les cas “compliqués”
Bref, je pensais que dans mon nouveau logement je pourrais m’en passer. En réalité, le Eero Pro 7 s’est imposé comme la seule solution viable. C’est le genre de kit qui ne se contente pas de “faire joli” en Wi-Fi 7, mais qui transforme concrètement un réseau domestique en quelque chose de fiable, stable et rapide. Pour les petits logements, un seul module suffira. Pour des besoins plus complexes, le pack de trois est une valeur sûre.
Voilà les liens pour vous les procurer :
Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !
L'année dernière, j'ai emménagé dans un nouvel appartement. J'ai adoré l'endroit, mais j'ai découvert qu'il utilisait une solution Wi-Fi communautaire. Le complexe d'appartements gère le modem, le routage et la commutation, distribuant des points d'accès dans tous les bâtiments, à l'instar d'un réseau d'entreprise. Cette configuration est idéale pour la plupart des gens qui veulent juste un accès à l'internet, mais j'ai besoin de plus de contrôle sur mon réseau pour des choses comme la connexion à mes imprimantes 3D ou l'hébergement d'un serveur Minecraft. Avec leur configuration, ces options n'étaient pas envisageables.
J'avais un petit routeur dans mon ancien appartement, alors j'ai appelé le fournisseur d'accès pour demander si je pouvais le brancher sur l'un des ports Ethernet. Ils ont refusé et m'ont prévenu qu'ils analysaient le réseau toutes les deux semaines et déconnectaient les routeurs qu'ils trouvaient. J'ai donc fait ce qu'il y avait de mieux : j'ai installé mon routeur sans accès à l'internet. Cela m'a permis de communiquer avec mes imprimantes depuis mon PC, mais je ne pouvais rien faire qui soit lié à l'internet, comme mettre à jour Klipper ou télécharger des fichiers sur mes Raspberry Pis.
Il y a environ une semaine, j'en ai eu assez de ne pas pouvoir travailler sur des projets de réseau et j'ai décidé de trouver une solution. J'ai envisagé d'utiliser mon routeur existant, mais il n'avait pas les fonctionnalités dont j'avais besoin. J'ai donc décidé de construire mon propre routeur en utilisant un Raspberry Pi. Le défi consistait à s'assurer que mon fournisseur d'accès à Internet ne pouvait pas savoir que j'utilisais un routeur.
Maintenant que nous avons un Pi fonctionnel, nous devons installer quelques paquets pour que le routeur soit opérationnel. Le premier paquetage dont nous avons besoin est dnsmasq. dnsmasq est un serveur DHCP et DNS léger qui nous permettra d'attribuer des adresses IP aux périphériques connectés au port Ethernet du Pi (eth0) et de résoudre les noms d'hôtes sur le réseau local. Il agit également comme un transitaire DNS, accélérant la navigation sur le web en mettant en cache les recherches de noms de domaine.
sudo apt install dnsmasq -y
L'étape suivante consiste à configurer le fichier dnsmasq.conf. Ce fichier est utilisé pour gérer les paramètres DHCP et DNS sur le Pi. dnsmasq.conf est chargé avec des tonnes d'exemples, nous allons donc en faire une sauvegarde et commencer un nouveau fichier à partir de zéro.
Maintenant, nous avons techniquement un routeur. J'ai connecté mon PC et le Pi de mon imprimante 3D au même switch et j'ai pu faire du SSH entre eux. Cependant, si j'essayais d'envoyer un ping à l'internet depuis le Pi de l'imprimante 3D, il n'y avait pas d'accès. Nous devons donc activer la redirection d'IP et configurer la NAT.
La redirection IP permet de transférer des paquets d'une interface réseau à une autre. Le NAT (Network Address Translation) permet à plusieurs appareils d'un réseau privé de partager une seule adresse IP publique en modifiant l'adresse IP source des paquets envoyés du réseau privé vers le réseau public. Pour cela, nous devons installer nftables, un framework de filtrage de paquets qui nous permet de configurer les capacités de filtrage de paquets du noyau Linux. Il remplace l'ancien cadre iptables et est plus efficace et plus facile à utiliser.
Tout est maintenant installé et configuré. Le Pi est connecté au réseau Wi-Fi de l'appartement et fait office de routeur pour les appareils connectés au switch. Pour le fournisseur d'accès, il s'agit d'un seul appareil sur le réseau. Tout ce qu'il peut voir, c'est qu'il s'agit d'un Raspberry Pi, et non qu'il agit comme un routeur. Il existe des techniques avancées que le FAI pourrait utiliser pour détecter les routeurs, comme l'analyse du trafic et l'inspection approfondie des paquets (Deep packet Inspection), mais il est peu probable que la plupart des FAI les utilisent.
Pour tester la configuration, j'ai connecté mon imprimante 3D au switch et je l'ai mise sous tension. J'ai pu me connecter en SSH à l'imprimante et faire un ping sur Internet. J'ai également connecté mon ordinateur portable au switch et j'ai pu accéder à l'internet. Tout a fonctionné comme prévu.
Si vous souhaitez vous connecter à distance à vos appareils, par exemple pour surveiller votre imprimante 3D, vous pouvez aller plus loin en intégrant Tailscale. Exposer votre imprimante, ou tout autre appareil, directement à Internet est une mauvaise idée. Si quelqu'un y accède, il pourrait faire chauffer votre hotend, votre lit, ou pire, créer un risque d'incendie. La création d'un réseau Tailscale vous permet d'accéder en toute sécurité à vos appareils sans les exposer à l'internet. Pour créer un compte et configurer Tailscale, suivez la documentation officielle à l'adresse Tailscale - Raspberry Pi.
Une fois votre réseau configuré, vous pouvez installer le client Tailscale sur vos appareils pour vous connecter en toute sécurité sur Internet.
Le télétravail et la mobilité d’une manière générale prennent une place de plus en plus importante. Avoir une connexion Internet sécurisée et stable n’est plus un luxe, c’est une nécessité. Le GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) se présente comme un routeur Wi-Fi 7 compact et puissant, pensé pour les voyageurs, les nomades digitaux, les petites équipes en déplacement et aussi les familles lorsqu’elles partent en vacances. Mais que vaut-il vraiment et dans quels cas s’avère-t-il indispensable ?
Le Slate 7 est le premier routeur de voyage Wi-Fi 7 (802.11be) proposé par GL.iNet. Il offre des débits allant jusqu’à 3600 Mbps combinés (688 Mbps sur 2,4 GHz et 2882 Mbps sur 5 GHz), avec des fonctionnalités avancées comme l’OFDMA, le Multi-Link Operation (MLO) et le 4K QAM, garantissant une connexion rapide et stable, même avec plusieurs appareils connectés.
Basé sur OpenWrt 23.05, le Slate 7 est entièrement personnalisable : VPN, filtrage DNS, bloqueurs de publicité, pare-feu avancés… L’utilisateur peut installer des paquets supplémentaires et adapter le routeur à ses besoins spécifiques.
Caractéristiques | Détails |
---|---|
CPU | Qualcomm Quad‑core @ 1.1 GHz |
Mémoire vive | 1 Go DDR4 |
Stockage | 512 Mo NAND Flash |
Wi-Fi | Wi-Fi 7 bi-bande (2,4 GHz + 5 GHz) |
Ports Ethernet | 1 × 2,5 Gb WAN + 1 × 2,5 Gb LAN |
USB | 1 × USB 3.0 Type‑A |
Alimentation | USB‑C Power Delivery (5V/3A, 9V/3A, 12V/2,5A) |
Consommation | < 18 W (sans périphérique USB) |
Dimensions / Poids | 130 × 91 × 34 mm / 295 g |
Les Wi-Fi publics sont souvent vulnérables. Connecter vos appareils dessus sans mettre en place de la sécurité est un véritable risque. Alors l’idée est simple, commencez par connecter le Slate 7 au réseau Wi-Fi public. Ensuite vous établissez une connexion VPN, via votre abonnement VPN habituel (NordVPN, ExpressVPN, Surfshark VPN, PIA, …) ou tout simplement avec le serveur VPN intégré nativement sur votre Freebox. le VPN permettra ainsi d’établir une connexion chiffrée de bout en bout et personne ne pourra intercepter votre trafic. Enfin, vous connectez vos appareils au Wi-Fi du Slate 7. Ces derniers se retrouvent non seulement interconnectés, mais ils accèdent à Internet en tout sécurité, cachés derrière le Slate 7. Expliquez comme cela on peut penser qu’il y a pleins d’étape mais en réalité toutes ses configurations seront mémorisés donc lors de vos nouveaux déplacement il suffira juste de connecter le Slate 7 au nouveau réseau Wi-Fi Public et le reste se fera automatiquement.
Inutile d’installer un VPN sur chaque appareil : le Slate 7 se connecte au VPN et protège donc automatiquement tous les terminaux qui y sont reliés. Vous y gagnez donc en simplicité puisque vous n’avez qu’un seul tunnel VPN à monter. C’est d’autant plus utile si vous voyagez en avion car beaucoup de compagnie facture la connexion selon le nombre d’appareil ! Vous avez compris l’astuce, vous déclarer uniquement la connexion du Slate 7, vos autres appareils seront connectés au Wi-Fi du Slate 7.
En déplacement, il assure une connexion fiable via Ethernet, Wi-Fi ou tethering 4G/5G. Couplé à un VPN, il garantit une IP fixe pour accéder aux services professionnels sans coupure.
Branché à un smartphone en USB, le Slate 7 redistribue la connexion en Wi-Fi 7 stable pour plusieurs appareils simultanément, bien plus efficacement qu’un simple partage mobile. C’est cette solution que je privilégie lorsque je suis en vacances et que je n’ai pas de Wi-Fi car tout ma famille se connecte à mon GL.iNet (J’ai le GL.iNet GL-MT3000 en Wi-Fi 6) et profite de mon forfait Data illimité. Ca évite les mauvaises surprises de dépassement de forfait sur les appareils de vos enfants …
Avec ses ports 2,5 GbE et son support de stockage USB, il peut alimenter une petite équipe avec un réseau local rapide et sécurisé.
Certaines TV connectées ou consoles refusent les portails captifs des hôtels. Le Slate 7 se connecte une fois et recrée un réseau privé, permettant d’utiliser facilement ses appareils de streaming.
Il peut aussi servir de routeur VPN permanent chez soi, de répéteur Wi-Fi 7 pour améliorer la couverture, ou encore de réseau invité isolé. Evidemment si votre domicile est grand vous pouvez plutôt investr dans un modèle plus costaud parmis ceux que je propose dans mon comparateur des meilleurs routeurs Wi-Fi compatibles OpenWrt.
Le GL.iNet Slate 7 peut faire à la fois client VPN et serveur VPN. Et même les 2 simulannément en cas de besoin. OpenVPN et WireGuard son préinstallés ce qui le rend compatible avec plus de 30 fournisseurs de services VPN. Connectez-vous simplement à votre compte VPN existant et le Slate 7 crypte automatiquement tout le trafic réseau au sein du réseau connecté. Cela offre de nombreux cas d’usages comme par exemple :
Si vous avez un abonnement chez NordVPN, ExpressVPN, Surfshark VPN, PIA, Mullvad VPN, ou tout autre fournisseur, vous importez simplement la configuration WireGuard/OpenVPN du fournisseur dans le Slate 7 et magie tous les appareils connectés sont alors automatiquement protégés lorsqu’ils accéderont à Internet. Cela vous permettra par exemple de télécharger du contenu en toute sécurité (P2P / Torrent) et de contourner les règles de géorestrictions si vos êtes à l’étranger.
Vous pouvez configurer un serveur VPN à votre domicile (sur un routeur maison ou un VPS que vous auriez dans le Cloud). Le Slate 7 peut alors s’y connecter pour accéder à votre réseau privé à distance.
Le routeur peut également jouer le rôle de serveur VPN. Depuis l’extérieur (4G, 5G, autre Wi-Fi), vous pouvez vous y connecter et sécuriser votre trafic tout en accédant aux appareils connectés au Slate 7, comme un NAS, une imprimantes ou d’autres appareils. C’est très pratique en nomadisme pour se créer un petit réseau sécurisé en toute simplicité. Vous êtes par exemple photographe, votre GL.iNet Slate 7 est configuré en mode serveur VPN, vous branchez dessus un petit NAS nomade comme un Synology BeeStation. Vous sortez faire vos sessions photos à l’extérieur et vous pouvez établir une connexion VPN entre votre smartphone et votre routeur GL.iNet Slate 7 pour transférer tout au long de la journée les photos réalisées vers votre NAS situé à l’hôtel.
Le Slate 7 est prêt à l’emploi pour le VPN, mais il faut soit un abonnement VPN, soit un serveur VPN personnel. Le routeur ne fournit pas de VPN “gratuit” par défaut
Il suffit de scanner un QR Code affiché sur l’écran pour connecter rapidement un appareil.
L’écran tactile affiche la vitesse, le statut VPN et les modes réseau actifs (Ethernet, Repeater, Tethering, Cellular).
On peut activer/désactiver le VPN, changer de fournisseur ou surveiller la consommation sans passer par l’interface web.
Grâce à l’OFDMA, au MLO et au 4K QAM, le Slate 7 offre des performances optimales même dans des environnements saturés.
Les deux ports 2,5 GbE assurent une connectivité filaire rapide, et le port USB permet de transformer le Slate 7 en mini NAS ou en serveur multimédia.
Compatible Power Delivery, il peut être alimenté avec un chargeur compact de smartphone ou de PC, ce qui le rend très pratique en voyage.
Le GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) est bien plus qu’un simple routeur de voyage. Compact, puissant et basé sur OpenWrt, il combine la sécurité du VPN, la rapidité du Wi-Fi 7 et la flexibilité d’une plateforme ouverte. Que vous soyez un particulier soucieux de sécurité, un nomade digital ou une petite équipe en déplacement, il représente une solution fiable et moderne.
Le GL.iNet Slate 7 inclut-il un abonnement VPN ?
Non. Il est compatible avec de nombreux services VPN mais nécessite un abonnement ou un serveur personnel.
Peut-on l’utiliser comme routeur principal à la maison ?
Oui, même si ce n’est pas sa vocation principale. Il peut servir de routeur secondaire, de répéteur ou de routeur invité.
Est-il compatible avec la 4G/5G ?
Oui, via le mode tethering USB avec un smartphone ou avec un modem USB externe.
Peut-on connecter un disque dur au port USB ?
Oui, pour partager des fichiers ou l’utiliser comme mini NAS.
Le Slate 7 est-il facile à configurer ?
Oui, grâce à son interface simplifiée, son écran tactile et son support OpenWrt, il reste accessible même aux non-experts.
Cet article original intitulé Routeur GL.iNet Slate 7 (GL-BE3600) : Le routeur Wi-Fi 7 de voyage ultime a été publié la première sur SysKB.
Vous voulez améliorer nettement votre Wi-Fi à la maison, sans sacrifier votre vie privée ? Bonne nouvelle : on peut aujourd’hui obtenir d’excellentes perfs avec des routeurs et systèmes mesh récents qui tournent officiellement sous OpenWrt. Je vous propose une sélection 2025 claire, triée par Routeur OpenWrt et Système Mesh OpenWrt, chacun en 3 niveaux de budget, avec un gros chapitre dédié OpenWrt & vie privée.
OpenWrt remplace le logiciel d’origine du routeur par un système ouvert et maintenu.
Concrètement :
Remarque simple : quand on parle “version stable” d’OpenWrt en 2025, on vise la branche 24.10.x. Installez la dernière révision disponible, point.
Pour savoir si vous avez besoin d’un Routeur (appareil seul) ou d’un système Mesh (Plusieurs Routeurs Interconnectés) voici de quoi vous aider à choisir très simplement. Une fois que vous savez vers quoi vous orienter, rendez-vous dans la section qui vous correspond.
J’ai déjà rédigé un article pour présenté les meilleurs solutions de WiFi Mesh Multiroom, et je vous invite à le consulter si vous rechercher des solutions natives grand publics. la sélection qui suit est focus sur les solutions compatibles OpenWrt, donc pour ceux qui recherchent une solution ou la transparence et le contrôle de sa vie privée est primordiale.
Routeur simple et efficace pour un petit budget. Le Wi-Fi 6 tient bien la charge pour 10 à 20 appareils, avec une portée correcte en appartement. Les ports Gigabit suffisent pour une fibre à 1 Gb/s, et OpenWrt s’installe sans prise de tête. Idéal pour activer DNS chiffré, ad-blocking et un réseau invité sans ralentir la connexion.
GL.iNet GL-MT3000 “Beryl AX” (AX3000)
Format mini, perfs maxi pour sa taille. On apprécie le port 2,5 GbE et la facilité de configuration sous OpenWrt, y compris en mode voyage ou point d’accès d’appoint. Idéal pour une chambre, un bureau ou une résidence secondaire. Ça consomme peu, ça chauffe peu, et ça fait le job proprement.
Routeur discret qui passe partout, avec une radio Wi-Fi 6 très propre pour une maison standard. OpenWrt lui va bien : stabilité, bonnes vitesses et options utiles (réseau invité, contrôle parental basique). Si vous voulez un appareil qu’on installe et qu’on oublie, c’est typiquement celui-là. Excellent rapport simplicité/performances.
ASUS TUF-AX6000 (AX6000, 2×2,5 GbE)
Un des meilleurs routeurs grand public récents compatibles OpenWrt. On a du 2,5 GbE pour le WAN et le LAN, un Wi-Fi 6 4×4 musclé et un CPU qui encaisse bien le VPN. Parfait pour un foyer très connecté ou pour lisser la latence avec du SQM. C’est puissant sans être compliqué à vivre au quotidien.
GL.iNet GL-MT6000 “Flint 2” (AX6000, 2×2,5 GbE)
Routeur costaud, taillé pour les foyers qui veulent du 2,5 GbE partout et un VPN rapide. Le Wi-Fi 6 4×4 couvre large et reste stable, même avec beaucoup d’appareils. OpenWrt est natif dans l’ADN du produit, donc les fonctions avancées s’activent facilement. Un excellent choix “performance/praticité”.
OpenWrt One / AP-24.XY (Wi-Fi 6, WAN 2,5 Gb/s, M.2)
Carte routeur pensée avec l’équipe OpenWrt pour être ouverte et durable. On y trouve du 2,5 GbE, du M.2 pour évoluer, et une base MediaTek moderne. Ce n’est pas le plus “plug-and-play” du lot, mais on contrôle tout et on apprend en chemin. Idéal si vous aimez comprendre votre réseau de A à Z.
Modèle (année) | Wi-Fi | Ports RJ45 | Pour qui ? | Pourquoi lui |
---|---|---|---|---|
Cudy WR3000 (2023–2025) | AX3000 | 1×WAN 1G + 3×LAN 1G | Budget < 100 m² | Simple, stable, parfait pour DoH + Adblock |
GL-MT3000 (2023) | AX3000 | 1×2,5G + 1×1G | Nomade / annexe | Compact, facile à configurer |
ASUS RT-AX59U (2024) | AX4200 | 4×1G | Maison standard | Radio propre, bonne portée |
ASUS TUF-AX6000 (2024) | AX6000 4×4 | WAN 2,5G + LAN 2,5G + 1G | Famille connectée | Débits élevés + faible latence |
GL-MT6000 Flint 2 (2023) | AX6000 4×4 | 2×2,5G + 4×1G | Réseau 2,5 GbE | Très bon en VPN/WireGuard |
OpenWrt One AP-24.XY (2024) | AX (2×2/3×3) | 2,5G + 1G | Passionnés | Ultra-ouvert, évolutif (M.2) |
Cudy M3000 (AX3000, pack 2 ou 3)
Bon compromis prix/perfs pour 3 à 5 pièces. Le Wi-Fi 6 est efficace et OpenWrt offre les fonctions utiles (réseau invité, ad-blocking, DNS chiffré). Idéalement, reliez les deux boîtiers en backhaul Ethernet pour garder un Wi-Fi rapide sur tous les appareils. Vérifiez la révision matérielle compatible avant achat.
D-Link AQUILA PRO AI M30 (AX3000, pack 2 ou 3)
Un kit récent, discret, et facile à poser. Avec OpenWrt, on active rapidement les réglages de sécurité et le roaming, sans complexité. La couverture est homogène dans une maison de 120 à 180 m². En filaire ou en radio, le maillage reste stable pour le streaming, les visios et le jeu léger.
Linksys Velop MX4200 (AX4200 tri-bande, pack 2 ou 3)
La valeur sûre pour les grandes surfaces sans câbles. La troisième bande sert de voie dédiée entre nœuds, donc le Wi-Fi reste fluide même en backhaul radio. OpenWrt est mature sur ce modèle, avec un roaming propre entre satellites. C’est le choix “sans surprise” pour une maison exigeante.
Astuce “Mesh DIY” : deux routeurs identiques (ex. 2× RT-AX59U ou 2× TUF-AX6000) reliés en Ethernet, avec 802.11r activé. Dans beaucoup de maisons, c’est plus stable et plus rapide qu’un mesh 100 % radio.
Modèle (packs) | Wi-Fi | Backhaul recommandé | Pour qui ? | Pourquoi lui |
---|---|---|---|---|
Cudy M3000 | AX3000 | Ethernet | Maison 3–5 pièces | Prix doux, simple à déployer |
D-Link M30 Aquila | AX3000 | Radio ou Ethernet | 120–180 m² | Installation facile, débit stable |
Linksys Velop MX4200 | AX4200 tri-bande | Radio si pas de câble | Grandes maisons | Bon backhaul sans fil |
https-dns-proxy
ou smartdns
), choisissez un résolveur sérieux (Cloudflare, Quad9).adblock
ou adblock-fast
et chargez une liste légitime (par ex. oisd).Bonus performance : si votre box opérateur est obligatoire, mettez-la en mode bridge (ou DMZ vers le routeur OpenWrt), pour que le routeur OpenWrt gère vraiment le réseau.
Qu’est-ce que Wi-Fi 6, 6E, 7 ?
Je veux juste que ça marche, sans prise de tête. Je choisis quoi ?
Logement standard : ASUS RT-AX59U. Grand logement sans câble : Linksys Velop MX4200. Réseau domestique 2,5 GbE ou gros usage VPN : ASUS TUF-AX6000 ou GL-MT6000.
Et si j’ai déjà une box opérateur ?
Gardez la box pour l’accès Internet, mais confiez le Wi-Fi et le routage à l’appareil OpenWrt. Idéalement, mettez la box en bridge ou en DMZ vers le routeur OpenWrt.
Wi-Fi 7 : j’achète maintenant ?
Pas si vous voulez absolument OpenWrt “propre”. Préférez un bon Wi-Fi 6 maintenant. Vous ne perdrez pas grand-chose en usage réel, et vous gagnerez en stabilité.
Vérifiez la révision exacte du produit avant d’acheter (nom, version matérielle).
Cet article original intitulé Les Meilleurs Routeurs & Systèmes Mesh compatibles OpenWrt pour booster le Wi-Fi et protéger votre réseau personnel en 2025 a été publié la première sur SysKB.