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Reçu aujourd’hui — 12 septembre 2025 Shaarlist

Hermétiques aux plaisirs de la musique : le syndrome de l’oreille cassée – Libération

12 septembre 2025 à 15:04
> Comme de nombreuses personnes, Laurent Colonna, 67 ans, est atteint d’anhédonie musicale. Ceux qui sont touchés par ce trouble ne ressentent pas de plaisir à l’écoute de musique, quelle qu’elle soit. Dans un sens plus large, l’anhédonie est l’incapacité d’une personne à ressentir des émotions positives lors de certains moments de la vie quotidienne. Cette insensibilité au plaisir peut concerner également la nourriture, le sexe ou le sport.

Ça doit être horrible.
Non, je ne parle pas du sport.
(Permalink)

Hermétiques aux plaisirs de la musique : le syndrome de l’oreille cassée – Libération

12 septembre 2025 à 15:04
> Comme de nombreuses personnes, Laurent Colonna, 67 ans, est atteint d’anhédonie musicale. Ceux qui sont touchés par ce trouble ne ressentent pas de plaisir à l’écoute de musique, quelle qu’elle soit. Dans un sens plus large, l’anhédonie est l’incapacité d’une personne à ressentir des émotions positives lors de certains moments de la vie quotidienne. Cette insensibilité au plaisir peut concerner également la nourriture, le sexe ou le sport.

Ça doit être horrible.
Non, je ne parle pas du sport.
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Procès de Frédéric Péchier : le réanimateur et la «furieuse envie de comprendre» le possible «crime parfait» – Libération

12 septembre 2025 à 14:59
> Il y a un geste en particulier, «sa première erreur», selon le directeur de l’enquête entendu en début de semaine, qui va attirer les soupçons sur Frédéric Péchier. Une minute seulement après l’arrêt cardiaque de la jeune femme – dont tout le monde ignore encore la cause – l’anesthésiste lui injecte du gluconate de calcium. Une substance décisive dans cette situation, puisqu’elle «améliore la tolérance du cœur à l’hyperkaliémie». La présidente veut en savoir plus : «Sur quelle base le Dr Péchier a-t-il administré du gluconate de potassium ? Qu’en pensez-vous ?» «C’est complètement aberrant», enfonce Sébastien Pili-Floury. Héritée des années 80, la pratique perdure certes chez de vieux médecins, mais des études ont montré qu’elle était «délétère» et aggravait la situation des malades en arrêt cardiaque. Sauf s’ils sont en pleine hyperkaliémie.

> «Je suis étonné que monsieur Péchier, anesthésiste si brillant, conserve cette attitude», ironise son confrère. Pour le professeur, seules deux hypothèses sont possibles : «Soit il est incompétent, il n’applique pas les recommandations ; soit il savait ce qu’il faisait.» Plus que l’injection en tant que telle, c’est le timing qui interpelle le plus les médecins. Son confrère cardiologue de la clinique Saint-Vincent, Thomas Golden, confirmait vendredi : «Injecter du gluconate de calcium tout de suite après un arrêt cardiaque, c’est hallucinant. On n’invente pas la médecine, il y a des recommandations. Et ce n’est pas recommandé. Ça veut dire que [Frédéric Péchier] savait tout de suite que c’était une hyperkaliémie. Le gluconate, on l’utilise en dernier recours. Avant, on fait tout pour faire baisser rapidement le potassium…» Autrement dit : après avoir empoisonné Sandra Simard, Frédéric Péchier lui aurait injecté le produit permettant d’inverser la vapeur.

Jusque là, j'avais un doute, la possibilité d'une erreur judiciaire, un complot, pourquoi pas... mais là, c'est plié.
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Procès de Frédéric Péchier : le réanimateur et la «furieuse envie de comprendre» le possible «crime parfait» – Libération

12 septembre 2025 à 14:59
> Il y a un geste en particulier, «sa première erreur», selon le directeur de l’enquête entendu en début de semaine, qui va attirer les soupçons sur Frédéric Péchier. Une minute seulement après l’arrêt cardiaque de la jeune femme – dont tout le monde ignore encore la cause – l’anesthésiste lui injecte du gluconate de calcium. Une substance décisive dans cette situation, puisqu’elle «améliore la tolérance du cœur à l’hyperkaliémie». La présidente veut en savoir plus : «Sur quelle base le Dr Péchier a-t-il administré du gluconate de potassium ? Qu’en pensez-vous ?» «C’est complètement aberrant», enfonce Sébastien Pili-Floury. Héritée des années 80, la pratique perdure certes chez de vieux médecins, mais des études ont montré qu’elle était «délétère» et aggravait la situation des malades en arrêt cardiaque. Sauf s’ils sont en pleine hyperkaliémie.

> «Je suis étonné que monsieur Péchier, anesthésiste si brillant, conserve cette attitude», ironise son confrère. Pour le professeur, seules deux hypothèses sont possibles : «Soit il est incompétent, il n’applique pas les recommandations ; soit il savait ce qu’il faisait.» Plus que l’injection en tant que telle, c’est le timing qui interpelle le plus les médecins. Son confrère cardiologue de la clinique Saint-Vincent, Thomas Golden, confirmait vendredi : «Injecter du gluconate de calcium tout de suite après un arrêt cardiaque, c’est hallucinant. On n’invente pas la médecine, il y a des recommandations. Et ce n’est pas recommandé. Ça veut dire que [Frédéric Péchier] savait tout de suite que c’était une hyperkaliémie. Le gluconate, on l’utilise en dernier recours. Avant, on fait tout pour faire baisser rapidement le potassium…» Autrement dit : après avoir empoisonné Sandra Simard, Frédéric Péchier lui aurait injecté le produit permettant d’inverser la vapeur.

Jusque là, j'avais un doute, la possibilité d'une erreur judiciaire, un complot, pourquoi pas... mais là, c'est plié.
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Un quart des Français saute un repas, 39 % ont du mal à payer leurs factures : le Secours populaire français lance sa campagne contre la précarité - L'Humanité

12 septembre 2025 à 14:18
Et les Macroniste qui passent leur temps à vous faire les gros yeux : "Il va falloir faire des efforts, y'a plus d'argent dans les caisses !" alors qu'ils ont filé 300 milliards aux riches patrons sans contrepartie, sans contrôle.
https://sebsauvage.net/galerie/photos/Bordel/mili/yaplusdargentdanslescaisses.jpg

Ajoutez à ça un chef d'état qui reste au pouvoir alors qu'il a perdu les élections, moi je trouve que la France est vachement calme. On a coupé des têtes pour moins que ça.
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Russie et Bélarus organisent des exercices militaires conjoints, après la destruction de 221 drones ukrainiens dans la nuit – Libération

12 septembre 2025 à 10:18
Mon dieu. On est dans une partie de Civilization, sauf que c'est réel.
La Russie et la Biélorussie font des exercices de grande ampleur, baptisés "Ouest 2025" (brrr) juste à côté de la frontière polonaise, mais, faut pas s'inquiéter, c'est JUSTE un exercice.

La dernière fois que les deux pays ont fait ce type d'exercice, c'est JUSTE avant l'invasion de l'Ukraine.
(Permalink)

Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

12 septembre 2025 à 10:09
Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

[...]

> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
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Russie et Bélarus organisent des exercices militaires conjoints, après la destruction de 221 drones ukrainiens dans la nuit – Libération

12 septembre 2025 à 10:18
Mon dieu. On est dans une partie de Civilization, sauf que c'est réel.
La Russie et la Biélorussie font des exercices de grande ampleur, baptisés "Ouest 2025" (brrr) juste à côté de la frontière polonaise, mais, faut pas s'inquiéter, c'est JUSTE un exercice.

La dernière fois que les deux pays ont fait ce type d'exercice, c'est JUSTE avant l'invasion de l'Ukraine.
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Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

12 septembre 2025 à 10:09
Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

[...]

> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
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