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Reçu aujourd’hui — 15 octobre 2025 Shaarlist

Software can be finished - Ross Wintle

15 octobre 2025 à 08:03
Alors voilà j'aime beaucoup cette idée - qui se fait généralement cracher à la gueule par la vaste majorité des développeurs - qu'un logiciel puisse être "terminé".
On voit souvent des gens dire "Ce logiciel semble parfaitement répondre à mes besoins, mais ça fait un an qu'il n'y a pas eu de commit, ça fait peur."  Pourquoi ?

Si je prends l'exemple de Shaarli : Certes on pourrait ajouter des fonctionnalités, mais il fait ce qu'il est censé faire. Il est "feature complete". Je n'éprouve aucun besoin de modifier.

Extrait de l'article :
" - It is feature complete. New things can be added, but do not need to be added. It “works”. It does something useful as it is.
- It is secure – We understand enough about it to be able to say that it will not need to be updated in the future to patch security vulnerabilities.
- It is standalone. My meaning of this is quite specific, it means that it has no runtime dependencies except for an interpreter if required."

C'est très exactement la situation de Shaarli. En ce qui me concerne, il est terminé.

Il n'y a pas de mal à ce qu'un logiciel soit terminé.
Accepter le fait qu'il le soit, c'est aussi un moyen d'éviter le "feature creep" et le "bloat". (Combien d'excellents logiciels ont fini par pourrir à force d'ajout de fonctionnalités ?)
(via https://shaarli.zoemp.be/shaare/wNwJHw)
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Portail des médias indépendants

15 octobre 2025 à 07:21
On est inondés de médias d'extrême-droite (Bolloré, etc.) alors pour contrebalancer voici un aggrégateur de médias indépendants qui a été mis en place par BastaMedia. Gratuit, sans publicité, flux RSS disponible. Et pas besoin de se créer un compte pour utiliser et consulter le portail.
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Reçu hier — 14 octobre 2025 Shaarlist

The Memory Field: Could Quantum Biology Involve Accessing Information Stored in Space Itself? - The International Space Federation (ISF)

14 octobre 2025 à 21:16

L’article propose que la vision classique du stockage de la mémoire dans le cerveau, basée sur les synapses comme unités de stockage numérique, est insuffisante pour expliquer des cas comme l’hyperthymésie, où des individus se rappellent de décennies de souvenirs avec une fidélité « cinématographique ».[1]

Limites du modèle neurocomputational

Les auteurs soulignent que la capacité de stockage théorique du cerveau, même dans une version généreuse, est dépassée par le volume et la richesse du rappel de certaines personnes à mémoire autobiographique exceptionnelle (HSAM). Selon cette critique, les connexions synaptiques serviraient davantage d’index ou de points d’accès que de véritables lieux de stockage de l’information.[1]

Hypothèse : l’espace-temps comme support mémoire

L’article avance que la physique moderne considère l’espace-temps comme un substrat actif, capable de conserver des “empreintes quantiques” laissées par les interactions des particules et, par extension, par la dynamique neuronale. Ainsi, la mémoire ne serait pas uniquement contenue dans le cerveau, mais aussi inscrite dans le tissu de l’espace-temps lui-même, accessible par résonance.[1]

Microtubules et résonance cellulaire

Des structures subcellulaires comme les microtubules seraient à la fois des résonateurs naturels et des moyens d’accès à ces empreintes dans le champ quantique. La formation du souvenir impliquerait l’imprégnation d’un “pattern” dans ce champ et le rappel se ferait par syntonisation résonante.[1]

Intrication et effet mémoire gravitationnel

Le texte évoque la possibilité que l’Intrication quantique et l’effet de mémoire gravitationnelle participent au processus : chaque mouvement de matière laisse une trace permanente dans l’espace-temps, et le cerveau pourrait y accéder en retrouvant la configuration résonante correspondante.[1]

Implications et technologies futures

Cette approche n’exclut pas le rôle des neurones, mais propose un changement de paradigme : la synapse est un guide et l’espace-temps le support. Cela ouvrirait la voie à de nouvelles technologies biomimétiques de stockage par résonance et champ quantique, ainsi qu’à des approches thérapeutiques visant la restauration de la mémoire par résonance subcellulaire.[1]

En résumé, l’article explore l’idée que la mémoire pourrait être une propriété fondamentale de l’espace-temps, accessible grâce à une interface biologique sophistiquée impliquant microtubules, résonance quantique et Intrication, au-delà des limites computationnelles classiques du cerveau.[1]

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Permalien

Ghost of Yōtei : pourquoi les masculinistes détestent son héroïne

14 octobre 2025 à 09:30
> Et c’est là tout le drame. Pendant que certains débattent pour savoir si le corps d’une héroïne de jeu vidéo est « assez sexy » pour les joueurs masculins, des millions de vraies femmes se battent en société pour simplement exister sans être réduites à un simple corps, un fantasme, un jouet, un truc qu’on utilise et qu’on jette après usage.

**Encore** une polémique débile sur l'héroïne d'un jeu, "accusée" de n'être pas assez sexy (au premier regard, j'ai cru que l'image du début de l'article était une blague... non, c'est leur *vraie* demande).

Vous êtes des grands tarés les mecs.
(Permalink)

Ghost of Yōtei : pourquoi les masculinistes détestent son héroïne

14 octobre 2025 à 09:30
> Et c’est là tout le drame. Pendant que certains débattent pour savoir si le corps d’une héroïne de jeu vidéo est « assez sexy » pour les joueurs masculins, des millions de vraies femmes se battent en société pour simplement exister sans être réduites à un simple corps, un fantasme, un jouet, un truc qu’on utilise et qu’on jette après usage.

**Encore** une polémique débile sur l'héroïne d'un jeu, "accusée" de n'être pas assez sexy (au premier regard, j'ai cru que l'image du début de l'article était une blague... non, c'est leur *vraie* demande).

Vous êtes des grands tarés les mecs.
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