
Une base de données colossale, véritable mine d'or pour les pirates, vient d'être découverte. Plus de 184 millions d'identifiants de connexion, pour des comptes Apple, Google, Facebook, Microsoft ou encore PayPal, gisaient, sans la moindre protection, sur un simple serveur web. Un volume affolant de 47,42 Go de données brutes qui, selon Jeremiah Fowler, le chercheur en sécurité à l'origine de cette découverte, constitue ni plus ni moins qu'une « liste de travail rêvée pour un cybercriminel ».