Marina Ferrari, Françoise Gatel, Laurent Panifous… Voici quelques noms de nouveaux ministres et ministres délégués du gouvernement Lecornu II. S’ils ne vous disent absolument rien, c’est parce que, selon des proches du Premier ministre, ils ont été générés par une intelligence artificielle. “Pour son premier gouvernement, on a reproché à Sébastien Lecornu d’avoir pris que des personnalités politiques connues et éprouvées. Cette fois-ci, il a décidé de trancher en prenant des personnes inconnues, ou même inexistantes” déclare un proche du Premier ministre.
Afin de ne pas être repéré, le Premier ministre a également généré des photos aléatoires pour les quelques ministres non existants, dont les noms ont été créés de toutes pièce par ChatGPT. “Le Premier ministre a dû faire un nouveau gouvernement en 48 heures, c’est impossible. Comme il sait pertinemment que son gouvernement tiendra au plus quelques semaines, il sait dit que le temps qu’il soit démasqué, il ne serait déjà plus chef du gouvernement” admet une source proche du dossier.
D’autres utilisations de l’IA en politique
Si cette initiative du Premier ministre peut surprendre, il faut savoir que ce n’est pas la première fois que des personnalités politiques utilisent l’intelligence artificielle. En effet, l’ancien Premier ministre Michel Barnier avait également utilisé ChatGPT pour se générer une page Wikipédia, pour faire croire qu’il avait eu une vraie carrière.
Cette technique d'analyse approfondie des écrits d'une personne a permis de confondre le terroriste américain Ted Kaczynski, alias Unabomber, en 1996. Aujourd'hui, c'est l'affaire Grégory qui pourrait connaître un nouveau rebondissement grâce à l'expertise de dizaines de textes liés à cette affaire criminelle. Explications.
À l’ère du numérique, nos appareils Apple sont devenus de véritables prolongements de notre vie quotidienne. Que ce soit un iPhone pour rester connecté, un MacBook pour travailler ou un iPad pour se divertir, ces outils technologiques représentent un investissement considérable. Face à une panne ou un dysfonctionnement, la question se pose inévitablement : faut-il tenter une réparation soi-même, remplacer l’appareil ou faire appel à un professionnel qualifié ?
L’écosystème Apple : une technologie sophistiquée qui nécessite une expertise
Les produits Apple se distinguent par leur design élégant et leur intégration matérielle-logicielle poussée. Contrairement à de nombreux appareils électroniques grand public, les iPhone, iPad et MacBook sont conçus avec une architecture interne complexe où chaque composant est optimisé pour fonctionner en parfaite harmonie avec les autres. Cette sophistication technique, si elle garantit des performances exceptionnelles, rend également les interventions de réparation particulièrement délicates.
Les circuits imprimés miniaturisés, les composants soudés en surface et les systèmes de sécurité intégrés requièrent des compétences spécialisées et un outillage professionnel. Une manipulation inappropriée peut non seulement aggraver le problème initial, mais également endommager irrémédiablement d’autres composants sensibles. C’est pourquoi la réparation Apple devrait être confiée à des techniciens formés et expérimentés.
Quand faut-il envisager une réparation plutôt qu’un remplacement ?
Les pannes courantes qui justifient une réparation
Certaines défaillances techniques sont parfaitement réparables et ne nécessitent pas l’achat d’un nouvel appareil. Parmi les problèmes les plus fréquents, on retrouve l’écran fissuré ou cassé, qui représente environ 70% des réparations d’iPhone selon les statistiques du secteur. Le remplacement d’un écran par un professionnel coûte généralement entre 150 et 400 euros selon le modèle, soit bien moins que l’achat d’un appareil neuf.
La batterie défectueuse constitue également un motif de réparation très courant. Avec le temps et les cycles de charge, la capacité de la batterie diminue naturellement. Lorsque votre iPhone ou MacBook ne tient plus qu’une demi-journée alors qu’il offrait auparavant une autonomie d’une journée complète, le remplacement de la batterie s’impose comme une solution économique et écologique. Cette intervention, réalisée par un professionnel, redonne une seconde jeunesse à votre appareil pour une fraction du coût d’un remplacement.
Autres pannes fréquemment réparables :
Problèmes de charge ou connecteur Lightning/USB-C défectueux
Boutons d’alimentation ou de volume qui ne répondent plus
Caméra floue ou qui ne fonctionne pas correctement
Haut-parleurs ou microphone défaillants
Dégâts des eaux avec intervention rapide
Problèmes logiciels nécessitant une restauration approfondie
Évaluer le rapport coût-bénéfice
La décision de réparer ou remplacer doit prendre en compte plusieurs facteurs. L’âge de l’appareil constitue un critère déterminant : un iPhone de moins de trois ans ou un MacBook de moins de cinq ans mérite généralement d’être réparé, surtout si la panne est localisée. La valeur de revente potentielle entre également en ligne de compte. Un appareil réparé professionnellement conserve une valeur marchande supérieure à un appareil défectueux.
Le coût de la réparation ne devrait idéalement pas excéder 50 à 60% de la valeur actuelle de l’appareil. Au-delà de ce seuil, il peut être plus judicieux d’envisager un remplacement. Néanmoins, cette règle admet des exceptions, notamment lorsque l’appareil contient des données importantes ou présente des configurations spécifiques difficiles à recréer.
Les risques de la réparation amateur et des solutions non professionnelles
L’attrait des tutoriels en ligne et des kits de réparation à prix réduit peut sembler tentant pour réduire les coûts. Cependant, les risques associés aux réparations non professionnelles sont nombreux et souvent sous-estimés. La manipulation d’appareils Apple requiert non seulement des outils spécifiques, mais également une compréhension approfondie de leur architecture interne.
Les batteries lithium-ion, par exemple, présentent des dangers réels si elles sont manipulées incorrectement. Un perçage ou une déformation peut provoquer un incendie ou une explosion. De même, l’utilisation de pièces détachées de contrefaçon ou de qualité inférieure peut compromettre les performances de l’appareil, voire présenter des risques pour la sécurité. Ces composants non certifiés peuvent provoquer des courts-circuits, endommager la carte mère ou affecter d’autres fonctionnalités.
Par ailleurs, toute intervention non autorisée annule généralement la garantie constructeur ou AppleCare+. Même si votre appareil n’est plus sous garantie, une réparation amateur mal exécutée peut rendre impossible toute intervention professionnelle ultérieure, transformant un problème mineur en perte totale de l’appareil.
Les avantages de faire appel à un professionnel certifié
Garantie de qualité et expertise technique
Les professionnels de la réparation Apple disposent d’une formation spécialisée et d’une expérience concrète sur des centaines, voire des milliers d’appareils. Cette expertise leur permet de diagnostiquer rapidement la source exacte du problème et d’identifier d’éventuels défauts connexes qui pourraient passer inaperçus pour un non-initié. Ils utilisent des équipements de diagnostic professionnels et des outils calibrés pour garantir une intervention précise et sécurisée.
Un réparateur certifié utilise exclusivement des pièces détachées d’origine ou certifiées compatibles, garantissant ainsi la qualité et la longévité de la réparation. Ces composants sont testés selon les standards d’Apple et assurent une compatibilité parfaite avec votre appareil. De plus, les professionnels offrent généralement une garantie sur leurs interventions, vous protégeant contre d’éventuels défauts de fabrication des pièces ou erreurs de manipulation.
Gain de temps et tranquillité d’esprit
Confier son appareil à un professionnel, c’est aussi s’épargner des heures de recherche, de démontage hasardeux et de stress. Alors qu’une réparation amateur peut s’étendre sur plusieurs jours entre les commandes de pièces, les erreurs et les recommencements, un professionnel qualifié effectue généralement l’intervention en quelques heures ou, au maximum, en quelques jours pour les réparations complexes.
Cette efficacité permet de minimiser la période sans votre appareil, particulièrement critique pour les professionnels qui dépendent de leur iPhone ou MacBook pour leur activité. Certains prestataires proposent même des services express ou des appareils de prêt pour garantir la continuité de votre usage numérique.
L’aspect écologique et économique de la réparation
Au-delà des considérations purement techniques, faire réparer son appareil Apple plutôt que de le remplacer systématiquement présente des avantages environnementaux considérables. L’industrie électronique génère chaque année des millions de tonnes de déchets électroniques, dont seule une fraction est correctement recyclée. Selon l’ONU, prolonger la durée de vie des appareils électroniques constitue l’une des actions les plus efficaces pour réduire l’empreinte écologique du secteur numérique.
La fabrication d’un smartphone nécessite l’extraction de métaux rares, une consommation énergétique importante et génère une empreinte carbone significative. Réparer plutôt que remplacer permet d’éviter ces impacts environnementaux tout en réalisant des économies substantielles. Un iPhone réparé pour 200 euros offre les mêmes fonctionnalités qu’un modèle neuf à 1000 euros, représentant une économie de 80%.
Cette démarche s’inscrit dans une logique d’économie circulaire encouragée par les politiques publiques européennes. Le droit à la réparation, progressivement renforcé par les législations nationales et européennes, vise à favoriser la réparabilité des appareils et à lutter contre l’obsolescence programmée. En choisissant la réparation, vous participez activement à ce mouvement en faveur d’une consommation plus responsable et durable.
Comment choisir le bon professionnel pour sa réparation Apple ?
Les certifications et agréments à vérifier
Tous les réparateurs ne se valent pas, et il convient d’être vigilant dans le choix de votre prestataire. Les centres de services agréés Apple (Apple Authorized Service Provider) bénéficient d’une formation directe du constructeur et utilisent exclusivement des pièces d’origine. Ils représentent l’option la plus sûre, bien que souvent la plus coûteuse.
Les réparateurs indépendants qualifiés constituent une alternative intéressante, offrant généralement des tarifs plus compétitifs tout en maintenant un niveau de qualité élevé. Vérifiez que le professionnel dispose de certifications reconnues, de bonnes évaluations clients et qu’il offre une garantie sur ses interventions. La transparence sur les pièces utilisées et les tarifs pratiqués constitue également un indicateur de sérieux.
Les questions à poser avant de confier son appareil
Avant de laisser votre précieux appareil entre les mains d’un réparateur, n’hésitez pas à poser des questions essentielles : quel est le délai d’intervention ? Quelle garantie est offerte sur la réparation ? Les pièces utilisées sont-elles d’origine ou certifiées ? Le devis est-il gratuit et sans engagement ? Ces interrogations légitimes vous permettront d’évaluer le professionnalisme du prestataire et d’éviter les mauvaises surprises.
Assurez-vous également que le réparateur respecte la confidentialité de vos données. Un professionnel sérieux s’engage à ne pas accéder à vos informations personnelles et vous recommandera toujours d’effectuer une sauvegarde avant toute intervention. Certains proposent même de signer un accord de confidentialité pour les professionnels manipulant des données sensibles.
POST est le premier et le seul opérateur de téléphonie mobile en Europe à effectuer directement en interne des réparations certifiées et approuvées par Apple, sans avoir recours à des sous-traitants. Plus d’infos sur www.post.lu/reparation #Luxemourg#POSTLuxembourg#Apple#AppleRepair
Conclusion : la réparation professionnelle, un choix intelligent
Face à un appareil Apple défaillant, la tentation du remplacement immédiat ou de la réparation amateur peut sembler séduisante. Pourtant, confier son iPhone, iPad ou MacBook à un professionnel qualifié s’impose comme la solution la plus sage à bien des égards. Cette approche conjugue expertise technique, garantie de qualité, économies financières et responsabilité environnementale.
Les produits Apple sont conçus pour durer et offrir des performances optimales pendant de nombreuses années. Une réparation professionnelle permet de prolonger significativement leur durée de vie, tout en préservant leur valeur et leurs fonctionnalités. À l’heure où la surconsommation électronique pose des défis environnementaux majeurs, choisir de réparer plutôt que de remplacer devient un geste citoyen autant qu’une décision économique rationnelle.
N’attendez pas qu’un petit problème devienne une panne majeure : consultez un professionnel dès les premiers signes de dysfonctionnement. Votre appareil, votre portefeuille et la planète vous en remercieront.
L’Internet des Objets transforme progressivement notre quotidien, créant des ponts entre le monde physique et numérique. Pourtant, le chemin qui mène d’un prototype connecté prometteur à une application mobile pleinement fonctionnelle reste semé d’embûches techniques et stratégiques. Cette transformation exige une compréhension approfondie des enjeux technologiques, des besoins utilisateurs et des contraintes de production.
L’IoT : bien plus qu’une simple connexion
La définition de l’Internet des Objets (IoT) englobe l’ensemble des dispositifs physiques capables de collecter, transmettre et échanger des données via Internet. Cette définition, apparemment simple, cache une réalité bien plus complexe. Derrière chaque objet connecté se dissimule un écosystème technique sophistiqué composé de capteurs, de protocoles de communication, de plateformes cloud et d’interfaces utilisateurs.
L’enjeu principal ne réside plus dans la capacité à connecter un objet – cette technologie est désormais mature – mais dans la création d’une expérience utilisateur fluide et intuitive. Un thermostat connecté qui nécessite dix manipulations pour ajuster la température ou une montre intelligente dont l’application mobile se déconnecte régulièrement ne répondent pas aux attentes des utilisateurs contemporains, habitués à l’immédiateté et à la simplicité.
Le défi de la transition : du laboratoire au marché
Transformer un prototype IoT fonctionnel en produit commercial représente un défi considérable. En phase de prototypage, les équipes se concentrent légitimement sur la preuve de concept : démontrer que la technologie fonctionne. Cependant, cette phase ne constitue que le premier jalon d’un parcours bien plus long.
La transition vers le produit fini nécessite une industrialisation rigoureuse. Les composants électroniques doivent être sourcés de manière pérenne, les coûts de production optimisés, et la fiabilité garantie sur des milliers d’unités. Parallèlement, l’infrastructure logicielle doit évoluer d’un environnement de développement vers une architecture scalable capable de gérer des centaines de milliers de connexions simultanées.
C’est précisément à ce stade que l’expertise d’Openium, expert en développement d’applications mobiles, devient déterminante. La conception de solutions connectées exige une vision holistique où le hardware, le backend et les applications mobiles sont pensés comme un ensemble cohérent plutôt que comme des composants isolés.
L’architecture technique d’un écosystème connecté robuste
Un écosystème IoT performant repose sur plusieurs piliers technologiques interdépendants. Au niveau matériel, le choix des protocoles de communication constitue une décision stratégique majeure. Bluetooth Low Energy, Wi-Fi, LoRaWAN, Sigfox ou encore les réseaux cellulaires LTE-M présentent chacun des avantages et des limitations en termes de portée, de consommation énergétique et de débit de données.
La couche backend joue un rôle central dans la gestion des flux de données. Elle doit assurer la réception des informations transmises par les objets, leur traitement en temps réel, leur stockage sécurisé et leur mise à disposition via des APIs performantes. Les architectures basées sur des services cloud comme AWS IoT Core, Azure IoT Hub ou Google Cloud IoT offrent la scalabilité nécessaire, mais leur configuration optimale requiert une expertise pointue.
L’application mobile constitue la vitrine de tout l’écosystème. Elle doit offrir une interface intuitive, des temps de réponse rapides et une synchronisation fiable avec les objets connectés. La gestion des états de connexion, la mise en cache intelligente des données et la résilience face aux interruptions réseau représentent autant de défis techniques à surmonter.
La sécurité : un impératif non négociable
La multiplication des objets connectés s’accompagne d’une augmentation exponentielle des surfaces d’attaque potentielles. Chaque dispositif IoT représente un point d’entrée possible pour des acteurs malveillants. Les exemples de caméras de surveillance piratées ou de thermostats utilisés dans des attaques DDoS ne manquent malheureusement pas.
Une stratégie de sécurité robuste doit être intégrée dès la conception du prototype. L’authentification mutuelle entre l’objet et le serveur, le chiffrement des communications via TLS, la signature des mises à jour firmware et la gestion sécurisée des identifiants constituent le socle minimal. Au niveau applicatif, l’implémentation de mécanismes d’authentification forte, comme l’authentification biométrique ou à deux facteurs, renforce significativement la protection des données utilisateurs.
La conformité au RGPD ajoute une dimension supplémentaire, particulièrement pour les objets collectant des données personnelles sensibles. Le principe de minimisation des données, la transparence sur leur utilisation et la possibilité pour l’utilisateur d’exercer ses droits d’accès et de suppression doivent être intégrés nativement dans l’architecture.
L’expérience utilisateur comme facteur différenciant
Dans un marché IoT de plus en plus saturé, la qualité de l’expérience utilisateur devient un avantage compétitif décisif. Les utilisateurs ne tolèrent plus les interfaces complexes ou les processus d’installation laborieux. L’onboarding – la première prise en main de l’objet et de son application – doit être pensé avec un soin particulier.
Les meilleures applications IoT guident l’utilisateur pas à pas dans le processus de configuration, utilisent la détection automatique des périphériques Bluetooth ou Wi-Fi, et proposent des tutoriels interactifs contextuels. L’objectif consiste à réduire le temps entre le déballage du produit et sa première utilisation effective à quelques minutes.
Au-delà de l’installation initiale, l’interface quotidienne doit privilégier la clarté et l’efficacité. Les tableaux de bord surchargés d’informations laissent place à des visualisations épurées qui mettent en avant les données essentielles. Les notifications push, lorsqu’elles sont utilisées, doivent être pertinentes et contextuelles, au risque d’être désactivées par des utilisateurs saturés.
L’intelligence artificielle au service de l’IoT
L’intégration de l’intelligence artificielle et du machine learning ouvre des perspectives considérables pour les objets connectés. Au-delà de la simple collecte de données, les systèmes deviennent capables d’apprentissage et d’adaptation aux habitudes des utilisateurs.
Un thermostat intelligent moderne n’attend plus que l’utilisateur programme manuellement ses préférences. Il analyse les patterns de présence, les ajustements manuels effectués et les données météorologiques pour anticiper les besoins et optimiser automatiquement la température. Cette intelligence peut être déployée directement sur l’objet (edge computing) pour des réponses ultrarapides, ou dans le cloud pour des analyses plus complexes.
Les assistants vocaux comme Alexa ou Google Assistant s’intègrent naturellement dans cet écosystème, offrant une interface conversationnelle qui simplifie radicalement l’interaction. La commande vocale devient particulièrement pertinente pour les objets domotiques, permettant un contrôle mains libres naturel et intuitif.
La gestion du cycle de vie produit
Un aspect souvent sous-estimé concerne la maintenance et l’évolution post-lancement. Un objet connecté n’est jamais véritablement “terminé”. Les mises à jour firmware permettent de corriger des bugs, d’améliorer les performances et d’ajouter de nouvelles fonctionnalités. L’application mobile évolue parallèlement pour rester compatible avec les dernières versions des systèmes d’exploitation mobiles.
Cette dynamique d’amélioration continue nécessite une infrastructure de déploiement OTA (Over-The-Air) robuste. Les mises à jour doivent être déployées progressivement, avec des mécanismes de rollback en cas de problème. La télémétrie embarquée permet de monitorer la santé du parc d’objets déployés et d’identifier rapidement les dysfonctionnements émergents.
La collecte et l’analyse des données d’usage fournissent des insights précieux pour orienter la roadmap produit. Quelles fonctionnalités sont réellement utilisées ? Où les utilisateurs rencontrent-ils des difficultés ? Ces questions guident l’évolution du produit vers une valeur utilisateur maximale.
L’interopérabilité : vers un écosystème ouvert
L’avenir de l’IoT réside dans l’interopérabilité. Les utilisateurs ne veulent plus gérer dix applications différentes pour leurs dix objets connectés. Les standards émergents comme Matter (anciennement Project CHIP) promettent une compatibilité native entre les dispositifs de différents fabricants.
Cette ouverture représente un défi technique mais aussi une opportunité stratégique. En adhérant aux standards industriels, les fabricants facilitent l’intégration de leurs produits dans des écosystèmes plus larges. Un capteur de qualité d’air compatible Matter peut ainsi être intégré dans des scénarios domotiques complexes orchestrés par n’importe quelle plateforme certifiée.
Les APIs ouvertes et bien documentées permettent également à des développeurs tiers de créer des intégrations innovantes. Cette approche “plateforme” démultiplie la valeur du produit en l’insérant dans un réseau d’interactions plus vaste.
Le modèle économique des solutions connectées
Le développement d’un écosystème IoT complet représente un investissement conséquent. Au-delà des coûts de R&D et de production, l’infrastructure cloud génère des coûts récurrents proportionnels au nombre d’utilisateurs actifs. Cette réalité économique influence profondément les modèles commerciaux.
Certains fabricants optent pour un modèle freemium où les fonctionnalités de base restent gratuites, tandis que des fonctionnalités avancées (analyse historique des données, automatisations complexes, stockage cloud étendu) sont proposées via un abonnement mensuel. D’autres privilégient un modèle d’achat unique, mais doivent alors dimensionner leur infrastructure pour absorber les coûts opérationnels sur la durée de vie du produit.
La monétisation des données, lorsqu’elle est réalisée dans le respect de la vie privée et avec le consentement explicite des utilisateurs, peut constituer une source de revenus complémentaire. Les données agrégées et anonymisées sur la consommation énergétique, par exemple, intéressent les fournisseurs d’énergie pour optimiser leurs réseaux.
La scalabilité : anticiper la croissance
Un prototype validé avec cent utilisateurs beta testeurs doit pouvoir évoluer pour servir cent mille utilisateurs, voire davantage. Cette scalabilité ne s’improvise pas et doit être anticipée dès les phases de conception architecturale.
L’utilisation de conteneurs Docker et d’orchestrateurs comme Kubernetes facilite le déploiement et la gestion d’infrastructures élastiques qui s’adaptent automatiquement à la charge. Les bases de données doivent être choisies en fonction de leurs capacités de scaling horizontal. Les files d’attente de messages (RabbitMQ, Apache Kafka) permettent de gérer les pics de trafic sans perte de données.
Les tests de charge deviennent essentiels avant tout lancement commercial significatif. Ils permettent d’identifier les goulots d’étranglement et de valider que l’infrastructure tiendra sous une charge réelle. L’observabilité – la capacité à comprendre l’état interne du système à partir des données qu’il génère – constitue un prérequis pour opérer efficacement un service à grande échelle.
L’accompagnement utilisateur et le support
Même la solution la plus intuitive génère inévitablement des questions et des demandes de support. La mise en place d’un système d’assistance efficace participe directement à la satisfaction utilisateur et à la réputation du produit.
Une base de connaissances exhaustive, régulièrement mise à jour, permet aux utilisateurs de trouver des réponses aux questions fréquentes de manière autonome. Les tutoriels vidéo complètent utilement la documentation écrite en offrant des démonstrations visuelles des procédures complexes.
Pour les cas plus complexes, un système de ticketing bien organisé avec des temps de réponse garantis rassure les utilisateurs. L’intégration d’un chatbot intelligent en première ligne permet de traiter automatiquement les demandes simples et de qualifier les demandes plus complexes avant de les router vers des agents humains.
La vision d’Openium : une approche intégrée
La réussite d’un projet IoT repose sur une vision intégrée où chaque composant est pensé en fonction des autres. L’objet connecté ne peut être conçu indépendamment de son application mobile, qui elle-même doit s’appuyer sur une infrastructure backend robuste et évolutive.
Cette approche holistique nécessite une équipe pluridisciplinaire réunissant des compétences en hardware, firmware, développement backend, développement mobile, design UX/UI, et devops. La coordination entre ces différentes expertises constitue souvent le facteur limitant dans les projets IoT complexes.
L’agilité méthodologique permet de naviguer dans l’incertitude inhérente à l’innovation. Des cycles itératifs courts, avec des validations régulières auprès d’utilisateurs réels, permettent d’ajuster rapidement le tir et d’éviter les écueils coûteux d’une mauvaise orientation prise trop tardivement.
Vers l’avenir de l’IoT
Les prochaines années verront l’émergence de technologies qui transformeront encore davantage le paysage IoT. Les réseaux 5G apporteront des débits considérablement accrus et une latence réduite, ouvrant la voie à des applications temps réel exigeantes. L’edge computing déplacera une partie croissante du traitement vers les périphériques eux-mêmes, réduisant la dépendance au cloud et améliorant la réactivité.
La convergence entre IoT et blockchain pourrait résoudre certains défis de sécurité et de traçabilité, particulièrement dans les chaînes d’approvisionnement connectées. Les jumeaux numériques – répliques virtuelles d’objets physiques – permettront des simulations et des optimisations sophistiquées avant tout déploiement réel.
L’Internet des Objets continue sa maturation, passant progressivement du statut de technologie émergente à celui d’infrastructure essentielle de notre quotidien. Les acteurs qui sauront maîtriser la complexité de l’écosystème complet – du prototype à l’application mobile en passant par toutes les couches intermédiaires – seront les mieux positionnés pour capitaliser sur cette révolution connectée qui ne fait que commencer.
La technique de la téléphonie mobile a troublé les débats pendant le procès de Cédric Jubillar : la défense a affirmé que le téléphone de Donat-Jean M., l’amant de Delphine Jubillar, aurait "borné" à proximité du domicile du couple. Le gendarme en charge de ce volet de l'enquête a finalement avoué une erreur de "copier-coller". Mais même sans une erreur humaine, le bornage téléphonique est-il totalement fiable ?
Le top départ des Happy Hours est lancé sur Darty. Pour quelques heures seulement, la célèbre enseigne vous offre 30 € en carte cadeau tous les 200 € d’achat. Mais attention, cette offre n’est valable que de 19h à 9h...
Compatible avec les iPhone 12 à 17, cette nouvelle batterie magnétique signée UGREEN promet une recharge rapide et stable grâce à la nouvelle norme Qi2. Nous l’avons testée dans plusieurs situations. Voici ce qu’elle vaut vraiment.
Les batteries externes MagSafe ne manquent pas sur le marché. Mais avec l’arrivée de la norme Qi2, les promesses changent : plus de vitesse, plus de stabilité, et surtout, moins de câbles à transporter. UGREEN fait partie des premières marques à proposer une batterie magnétique certifiée Qi2 25W, capable de recharger un iPhone 17 à 50 % en 38 minutes, sans aucun fil.
Déjà bien installée dans l’univers des accessoires de recharge, la gamme UGREEN MagFlow s’adresse ici aux utilisateurs d’iPhone 16 (avec iOS 26) et 17, mais aussi à ceux qui cherchent une batterie fiable pour plusieurs types d’appareils, qu’ils soient Apple ou Android (seul le Pixel 10 Pro XL est compatible Qi2 à 25W ; les autres se limitent à 15W).
Après plusieurs jours d’utilisation à la maison, au bureau et en déplacement, on vous dit tout : est-ce que cette batterie MagFlow vaut son prix ? Et surtout, est-elle vraiment taillée pour l’iPhone 17 ?
Design & format : une batterie pensée pour les usages quotidiens
Dès la première prise en main, la batterie externe magnétique UGREEN MagFlow 10 000mAh 25W donne le ton : compacte (110,8 x 70 x 21 mm), un format rectangulaire arrondi qui tient bien en main, un design sobre et solide, et surtout, une vraie impression de fiabilité. Sur la balance, elle affiche 255 grammes, soit un peu plus que certaines concurrentes MagSafe. La batterie affiche une capacité totale de 10 000 mAh (37Wh), sans précision sur le nombre de cellules. Mais de quoi recharger sans problème votre smartphone.
Charge simultanée : oui, mais avec des limites
Le modèle que nous avons testé promet jusqu’à trois appareils rechargés, une puissance filaire de 30W. Mais est-ce vraiment le cas ?
Nous avons testé avec des iPhone 14 Pro, iPhone 13, iPhone 11 Pro et AirPods Pro (ainsi que d’autres produits Apple) : dans aucun cas la batterie n’a permis de recharger trois smartphones simultanément.
Le fabricant précise que la configuration prévue est de pouvoir charger un iPhone, une Apple Watch et des AirPods en même temps. Néanmoins, la batterie peut alimenter deux smartphones maximum par câble.
En résumé : la batterie gère jusqu’à deux sorties filaires simultanées, ou une charge sans fil unique. Le triple chargement n’est possible que pour un smartphone + 2 accessoires à faible puissance (montre, écouteurs…).
Un câble USB-C intégré bien pensé
Le câble USB-C intégré, qui fait aussi office de sangle de transport, est une excellente idée. Il permet à la fois de recharger la batterie rapidement (30W max) et de l’utiliser pour alimenter d’autres appareils filaires si besoin. À l’usage, ce câble est solide, pratique, et tient bien en place une fois replié. Côté recharge sans fil, la promesse est claire : 25W en Qi2 pour les iPhone 16 et 17, et 15W max pour les modèles précédents compatibles MagSafe (iPhone 12 à 15). La batterie adapte automatiquement la puissance selon l’appareil, y compris pour les AirPods ou d’autres appareils certifiés Qi.
L’autre point fort de cette MagFlow, c’est son affichage numérique, placé discrètement sur le côté. Il indique le pourcentage de batterie restant avec une bonne lisibilité, même en plein jour. Et contrairement à certaines concurrentes qui misent sur 4 petits points LED (trop vagues), ce choix de l’affichage précis est appréciable au quotidien.
Un aimant puissant pour fixer votre smartphone
Enfin, l’aimantation est solide : avec une force de 9N, l’iPhone reste bien collé à la batterie même si vous le manipulez. En revanche, attention à l’utiliser sans coque ou avec une coque MagSafe. Les coques épaisses ou non compatibles font vite perdre le contact magnétique.
Compatibilité avec les iPhones et smartphones Android
iPhone 17 / 17 Pro / 17 Pro Max : Qi2 25W natif + MagSafe 25W.
iPhone 16 Plus / 16 Pro Max : Qi2 25W avec iOS 26.
iPhone 16 / 16 Pro : Qi2 22W avec iOS 26.
iPhone 12 à 15 : Qi2 15W (avec MagSafe).
Google Pixel 10 Pro XL : Qi2 25W.
Google Pixel 10 / 10 Pro / 10 Pro Fold : Qi2 15W.
Usage au quotidien : ressentis & limites
Nous avons utilisé la batterie Power Bank MagFlow pendant une semaine complète, dans des situations classiques : une journée de télétravail, une escapade en train, des déplacements en ville, et même une soirée sans prise à proximité. Résultat : elle tient le choc, avec une vraie polyvalence au quotidien.
Premier constat : le magnétisme est efficace, mais pas trop intrusif. L’iPhone 17 se fixe instantanément et reste bien maintenu, même dans un sac à main ou pendant une consultation prolongée à la verticale. On peut répondre à des messages, lancer une vidéo ou scroller sur Instagram sans voir l’iPhone glisser.
Recharge de l’iPhone avec écran numérique sur le côtéRecharge des écouteurs sans fil@Meilleure-Innovation
Performances de recharge sans fil : nos mesures
La recharge sans fil est fluide, rapide quand on est sur un iPhone 16 ou 17, plus modérée (15W) sur les générations précédentes.
Dans nos tests, un iPhone 17 Pro Max est passé de 5 à 50 % (+45%) en 35 minutes sans surchauffe notable. On sent que la norme Qi2 fait la différence ici, en évitant les variations de puissance qu’on observe souvent sur d’autres batteries sans fil. Par contre, sur un iPhone 14 Pro, on est passé de 40 à 70% (+30%) en 38 minutes, c’est 30% de mieux que ce que nous avons observé sur le concurrent Anker MagGo Qi2 d’une autonomie et poids similaire (253g). Enfin, sachez que nos confrères de Macworld ont relevé 32 minutes pour passer de 0 à 50% de recharge sur un iPhone 16 Pro et 44 minutes pour la même chose sur un iPhone 15 Pro.
Selon les tests internes réalisés par le fabricant, les temps de charge observés sont les suivants :
iPhone 17 : 46 % en 30 minutes, 50 % en 33 minutes
iPhone 17 Pro : 42 % en 30 minutes, 50 % en 36 minutes
iPhone 17 Pro Max : 50 % en 30 minutes
Le constructeur précise que ces résultats ont été obtenus dans un environnement de laboratoire à 25 °C, et que les performances peuvent varier selon la température ambiante et celle du téléphone. Une température trop élevée, par exemple si l’on recharge un smartphone juste après un usage intensif ou une session de jeu, peut activer un mécanisme de protection qui réduit automatiquement la puissance de charge.
Pro tip : l’usage d’une coque de protection sur votre smartphone peut ralentir la recharge par induction jusqu’à 50 % !
Autonomie & capacités filaires : ce qu’il faut retenir
La capacité de 10 000 mAh est suffisante pour 1 à 1,5 recharge complète d’un smartphone récent, voire plus si vous rechargez des AirPods ou un appareil moins énergivore. Lorsqu’on branche un appareil en USB-C, la batterie bascule en charge filaire à 30W, ce qui permet de recharger une tablette ou même un petit MacBook en dépannage. Le passage du sans-fil au filaire se fait automatiquement, sans manipulation.
À noter que l’Apple Watch ne se recharge pas directement via Qi/Qi2, sauf en branchant un module certifié MFi via USB-C.
Temps de recharge de la power bank
Côté recharge de la batterie elle-même, comptez environ 2 heures pour une charge complète via le câble intégré, à condition d’avoir un adaptateur secteur 30W compatible. Et si vous êtes pressé·e, les premiers 50 % sont atteints rapidement, ce qui peut sauver une journée.
L’encombrement (11 × 7 × 2 cm) et le poids (255 g) ne la rendent pas la plus compacte du marché, même si cela reste acceptable pour une power bank magnétique 25W. On notera également l’absence de support intégré pour tenir le téléphone en mode portrait ou paysage.
Batterie externe UGREEN MagFlow : on recommande ?
Si vous cherchez une batterie magnétique compatible Qi2, la Power Bank UGREEN MagFlow Batterie externe Magnétique 10 000mAh 25W coche (presque) toutes les cases. Elle se distingue par sa vitesse de recharge réelle sur iPhone 16 et 17, son design bien pensé (affichage, câble intégré, finition propre), et sa polyvalence filaire / sans fil sans compromis.
Et si vous hésitez entre les différents modèles de produits UGREEN MagFlow, on vous recommande de jeter un œil à notre article dédié ci-dessous !
Profitez des vidéos et de la musique que vous aimez, mettez en ligne des contenus originaux, et partagez-les avec vos amis, vos proches et le monde entier.
Le Shift Project alerte sur un quadruplement des besoins en électricité des datacenters d’ici 2035 en France. Si rien n’est fait d’ici, le pays s’expose à un risque de conflits d'usages.
La connexion est toujours trop lente ? Flemme de changer de fournisseur ? Devolo, marque venue d’Aix-la-Chapelle, vous donne la solution avec son nouvel adaptateur CPL !
Du Wi-Fi, toujours plus de Wi-Fi ! C’est la tendance à laquelle nos activités nous poussent : télétravail la journée avec moult réunions visio, le streaming en 4K sur grand écran, le gaming en ligne sur le dernier MMORPG sorti… Nous y sommes, à l’ère de l’ultra-connexion. Sauf que les routeurs Wi-Fi peuvent observer des latences, un signal qui passe mal à travers les murs, surtout dans les immeubles anciens, les maisons à plusieurs étages ou les zones isolées.
Mais qu’avons-nous ouï dire ? Que Devolo élargissait sa gamme CPL en sortant son nouveau fleuron, le Magic 2 WiFi 6 next, afin de pulvériser les limites du Wi-Fi domestique ? Mais alors, qu’est-ce qui change vraiment ? À qui cette technologie s’adresse-t-elle ? On a épluché le dossier, chiffres et retours à l’appui !
Oui (y compris l’équité du temps d’antenne, le pilotage de la bande, le pilotage du client, etc.)
Ports LAN
2x Gigabit Ethernet par adaptateur
MU-MIMO
Oui, bidirectionnel
OFDMA
Oui
Formation de faisceaux
Oui
Pilotage des points d’accès
Oui
Fonctions d’économie d’énergie
Technologie PowerSafe
Puissance Wi-Fi amplifiée au niveau premium
Pour répondre au mieux à nos besoins croissants de bande passante sur des applications de plus en plus gourmandes, la boîte de ce nouvel adaptateur CPL G.hn promet une connexion sans fil allant jusqu’à 3 000 Mbps. À titre de comparaison, le précédent était à 1 800 Mbps grand maximum ! Niveau stabilité, le Magic 2 serait 10% plus performant que son aîné, permettant de profiter de votre meilleur réseau domestique sans interruption.
Le Wi-Fi maillé : la technologie qui optimise votre connexion
La commodité du maillage consiste à s’appuyer sur des technologies intelligentes pour optimiser automatiquement le flux de données pour un degré de fluidité maximal. Vous pourrez compter sur la stabilité de vos appels vidéo, les latences sur les jeux en ligne ne sont plus qu’un mauvais souvenir, et vos soirées cinéma pourront se faire en 4K voire en 8K : la fonction est entièrement automatique.
CPL et Wi-Fi 6 : comment ça marche ?
Les plafonds, les murs et même les conduites d’eau ralentissent considérablement les solutions Wi-Fi classiques. Pour éviter cela, le principe est le suivant : le CPL (incluant la norme « Homegrid », également appelée norme G.hn) contourne les obstacles via les prises électriques, tandis que le mesh Wi-Fi 6 (standard 802.11ax) gère la couverture et fait “roamer” les appareils vers le meilleur point d’accès (band steering, airtime fairness, client/AP steering, MU-MIMO, OFDMA, WPA3).
Pour assurer cette fonction, le module de pilotage de bande assure que l’adaptateur CPL bascule automatiquement entre les bandes de fréquences 2,4 GHz et 5 GHz.
“On avait un vrai souci dans le bureau sous les combles. Depuis, plus une coupure, même en visio et streaming UHD en simultané”, raconte Sophie, utilisatrice à Lille.
En somme, les utilisateurs bénéficient d’une connexion sans fil, mais le réseau domestique sous-jacent fonctionne de la même façon qu’une connexion par câble. Des coins quasi injoignables retrouvent une bande passante de niveau fibre. Le beurre et l’argent du beurre, ça s’appelle !
Installation : la simplicité ou rien !
Oubliez les notices indigestes et les installations à rallonge ; vous n’avez besoin d’aucune connaissance technique particulière pour installer et utiliser l’appareil. En effet, Devolo joue la carte du “plug & play” :
branchez l’adaptateur principal sur une prise électrique et reliez-le au routeur,
connectez les autres modules dans les pièces souhaitées,
en moins de deux minutes, les adaptateurs se synchronisent d’eux-mêmes,
le signal internet atteint désormais tous les appareils !
L’application devolo Home Network (iOS/Android) vous guide tout au long du processus grâce à un assistant d’installation. Elle sert ensuite à surveiller et optimiser votre réseau. En outre, le Magic 2 Wifi 6 est conçu pour fonctionner en parfaite harmonie avec les autres produits de la série Magic, afin de fournir un Wi-Fi encore plus rapide sur votre réseau domestique.
“J’ai mis moins de dix minutes pour couvrir trois étages. Pas besoin d’être ingénieur, c’est pensé pour monsieur tout-le-monde”, témoigne David, en test sur une vieille bâtisse bretonne.
Enfin, deux ports Gigabit Ethernet sont implantés sur chaque module ; vous pourrez ainsi choisir d’alimenter un appareil (console, TV, etc.) à partir de l’un de ses deux ports ou par le biais du Wi-Fi maillé.
Sécurité et gestion de la consommation
Le Magic 2 WiFi 6 next se distingue aussi par une gestion intelligente de la consommation, notamment grâce à la fonction « Target Wake Time », qui met les appareils en veille plus longtemps lorsqu’ils n’ont pas besoin d’une connexion sans fil constante.
De plus, les adaptateurs Magic 2 repassent automatiquement en mode économie d’énergie dès qu’ils ne sont plus en service. Côté sécurité, les utilisateurs bénéficieront d’un chiffrement WPA3 des données !
Pour qui et quelle disponibilité ?
À l’usage, le Magic 2 WiFi 6 next s’adresse principalement aux maisons à étages, logements anciens ou grandes surfaces où le réseau classique est en souffrance. Pour ceux qui jonglent avec plusieurs appareils et souffrent de zones mortes, c’est souvent le seul remède vraiment efficace. Comptez 270 € le kit de base, jusqu’à 470 € pour le pack multiroom chez la plupart des grands distributeurs !
Si vous vivez en appartement récent, un mesh Wi-Fi standard suffira très probablement. Un adaptateur pour la mise à niveau depuis la version précédente coûte 210 €.
Vous avez testé ce type de solution ou vous hésitez à franchir le pas ? Pensez-vous que cette technologie puisse solutionner tous les problèmes des gamers et des télétravailleurs ? De quel équipement vous êtes-vous dotés ? Dites-nous tout en commentaires !
Ils ne font pas (encore) partie des marques les plus connues du grand public, et pourtant, UGREEN s’impose peu à peu comme un acteur solide dans l’univers de la recharge.
Au programme : trois accessoires sans fil, tous compatibles Qi2, conçus pour recharger un iPhone jusqu’à 25W sans passer par la case câble Lightning ou USB-C. À l’heure où Apple lance iOS 26 et les iPhone 17, ces nouveaux produits tombent à pic. Mais que valent-ils vraiment ? Et peuvent-ils faire mieux que les stations MagSafe classiques ? On fait le point.
Qi2, iPhone 16 et recharge magnétique : le bon timing pour UGREEN
Le timing est bien choisi. Alors qu’Apple a dévoilé iOS 26 et sa nouvelle génération d’iPhone, la technologie Qi2 arrive à maturité. Basée sur la même architecture que MagSafe, elle permet une recharge rapide jusqu’à 15W sur les modèles compatibles, et même jusqu’à 25W sur les iPhone 17 (et iOS 26), selon les premiers tests.
Contrairement aux chargeurs sans fil classiques, Qi2 repose sur un alignement magnétique plus précis, une efficacité énergétique accrue et une meilleure gestion thermique. De quoi accélérer la charge sans surchauffe, tout en gardant l’avantage du sans fil. UGREEN saisit cette opportunité pour lancer MagFlow, une série d’accessoires conçus pour tirer parti de ce nouveau standard.
Voici les compatibilités de puissance de recharge maximum par smartphone :
25W : iPhone 16 Plus / 16 Pro Max (sous iOS 26) + iPhone 17 / 17 Pro / 17 Pro Max (Qi2 25W & MagSafe 25W) + Google Pixel 10 Pro XL.
22W : iPhone 16 / 16 Pro.
20W : iPhone Air (Qi2 20W & MagSafe 20W).
15W : tous les iPhones 12 à iPhones 15 + Google Pixel 10 / 10 Pro / 10 Pro Fold.
Premier produit de la gamme : une batterie externe compacte, aimantée, certifiée Qi2. Elle permet de charger un iPhone 16 jusqu’à 22W (et 25W pour les iPhone 17) en mobilité, tout en conservant une bonne prise en main. L’esthétique rappelle les batteries MagSafe d’Apple, mais avec un design plus anguleux et une finition mate.
Le port USB-C permet aussi une recharge filaire classique, et la LED latérale indique le niveau de batterie restant. Une solution bien pensée pour les utilisateurs d’iPhone récents, mais aussi rétrocompatible avec les modèles Qi2 et Qi standards (charge à 15W max dans ces cas-là).
2 – Un chargeur sans fil 2-en-1, pour recharger 2 appareils en simultané : UGREEN MagFlow Chargeur Sans Fil Magnétique 2-en-1 25 W
Deuxième accessoire : une station d’accueil 2-en-1, idéale pour la table de nuit ou le bureau. Le socle magnétique accueille l’iPhone en position verticale, tandis qu’un second point de charge est prévu pour les AirPods (ou tout autre appareil compatible Qi).
La recharge monte ici aussi jusqu’à 22W sur les iPhone 16, et 15W sur les autres. Le format reste compact et discret, avec un design pliable pensé pour le transport. UGREEN vise clairement les utilisateurs Apple et Google Pixel souhaitant remplacer les stations MagSafe plus onéreuses… ou simplement fatigués des câbles emmêlés.
3 – Un chargeur 3-en-1 plus complet pour recharger jusqu’à 3 appareils : UGREEN MagFlow Chargeur de Bureau Sans Fil Magnétique 3-en-1 25 W
@Meilleure-Innovation@Meilleure-Innovation@Meilleure-InnovationRien à redire du côté du design ni du fait qu’il ne prenne pas de place ! @Meilleure-Innovation
Enfin, UGREEN propose une version 3-en-1 plus ambitieuse, capable de recharger simultanément un iPhone,une Apple Watch etdes AirPods. Le tout en sans-fil, sans surchauffe, et avec la promesse de performances constantes grâce à la technologie PowerBoost intégrée.
Le support pour iPhone est inclinable, celui pour l’Apple Watch escamotable. L’ensemble reste sobre, avec une baseantidérapante et un système d’aimants puissant pour assurer la stabilité. Sur le papier, c’est le produit le plus complet de la gamme MagFlow et le plus susceptible de rivaliser avec les stations de marques premium, à un tarif souvent plus doux.
Notre avis sur ces produits UGREEN MagFlow
Avec cette gamme MagFlow, UGREEN tape dans le mille. La marque anticipe bien le virage Qi2, en misant sur une compatibilité maximale et une montée en puissance bienvenue (jusqu’à 25W). Les trois produits ne cherchent pas à révolutionner le marché, mais à offrir des alternatives accessibles, bien pensées et compatibles avec l’écosystème Apple. On apprécie particulièrement le souci du détail dans le design, la compacité des formats et le bon rapport puissance/prix.
Et vous, vous attendez quoi d’un chargeur sans fil en 2025 ? Puissance, compacité, design, prix… dites-nous ce qui compte vraiment pour vous en commentaire.
On adore la technologie, mais soyons clairs : parfois, les prix atteignent un niveau complètement délirant. En 2025, certaines marques nous proposent des joujoux incroyables, mais qui coûtent l’équivalent d’un bon salaire annuel (voire plus). Alors oui, c’est beau, c’est puissant, c’est luxueux… mais faut pas pousser non plus. Voici une sélection de gadgets de rêve, que je ne verrai probablement jamais autrement qu’en photo.
Une télé gigantesque de 115 pouces avec une technologie micro-RGB de dernière génération. Qualité d’image bluffante, IA intégrée, design ultra-fin… mais sérieusement, qui a un salon de 50 m² juste pour coller un écran ?
Là, on entre dans la stratosphère. Cet écran MicroLED, c’est le top du top. Netteté absolue, couleurs parfaites, taille démesurée. Le genre de télé qui coûte plus cher qu’un appartement.
Des écouteurs ? Non. Une expérience sensorielle ultime. Ce casque audiophile électrostatique avec ampli en marbre est une œuvre d’art. Mais à ce prix-là, je préfère un concert privé de mon groupe préféré.
La carte graphique la plus puissante jamais conçue. Capable de faire tourner n’importe quel jeu en 16K (oui oui). Problème : tu dois vendre un rein pour l’acheter.
Encore plus fin, encore plus puissant, et toujours pliable. Oui, c’est futuriste. Mais à plus de 2 000 €, c’est un peu comme plier ton portefeuille en deux… pour ne plus jamais le rouvrir.
Apple n’a pas encore confirmé, mais on sait déjà que si un iPhone pliable sort, il coûtera un bras. Et un bras Apple, c’est plus cher qu’un bras normal.
Le PC portable gamer le plus puissant (et le plus cher) de 2025. Carte graphique dernier cri, écran 18 pouces, design premium… C’est un avion de chasse.
Apple a eu une super idée : doubler le stockage et presque doubler le prix. Voilà donc un iPhone qui coûte deux fois plus qu’un bon ordinateur portable.
C’est la tablette Android ultime de 2025. Mais certaines éditions limitées avec accessoires premium peuvent facilement faire grimper la facture.
FAQ
Quel est le produit High-Tech le plus cher de 2025 ? Le téléviseur Samsung MICRO-LED MS1C 114″, avec un prix autour de 140 000 €, bat tous les records.
Est-ce que ça vaut la peine d’acheter ces produits ? Honnêtement ? Non. À moins d’être ultra-riche, la différence avec des modèles plus abordables ne justifie pas l’écart de prix.
Quel smartphone 2025 est le plus cher ? Probablement l’iPhone pliable, estimé à plus de 2 500 €.
Y a-t-il des alternatives plus raisonnables ? Oui. Tous ces produits ont des versions “standard” beaucoup plus accessibles. On paie ici le luxe, pas seulement la technologie.
On pensait que l’OLED était le graal des téléviseurs, mais une nouvelle technologie arrive pour rebattre les cartes : le RGB Mini LED. Dévoilée par Hisense lors des salons CES et IFA, cette innovation promet une luminosité record, une colorimétrie jamais vue et des téléviseurs plus fins et plus économes en énergie. De quoi changer durablement le marché des écrans dès 2025.
Qu’est-ce que le rétroéclairage LCD et pourquoi le Mini LED a marqué une évolution ?
Contrairement aux téléviseurs OLED qui produisent leur propre lumière pixel par pixel, les écrans LCD nécessitent un rétroéclairage. Sans lui, la dalle LCD resterait noire.
Le rétroéclairage LCD classique
Les téléviseurs LCD ne produisent pas de lumière par eux-mêmes, contrairement aux OLED. Ils ont donc besoin d’un rétroéclairage placé derrière ou sur les côtés de la dalle pour afficher une image. Ce rétroéclairage est composé de LEDs blanches qui diffusent une lumière uniforme à travers plusieurs filtres pour créer les couleurs visibles.
Deux grandes méthodes de rétroéclairage
Edge LED (LED sur les bords) : les LEDs sont placées uniquement sur les côtés de l’écran. La lumière est ensuite diffusée sur toute la dalle à l’aide de plaques optiques.
Avantage : fabrication moins coûteuse, écrans plus fins.
Inconvénient : luminosité moins homogène, fuites de lumière fréquentes.
Direct LED (ou Direct Dimming) : les LEDs sont installées directement derrière la dalle LCD.
Avantage : meilleure répartition de la lumière, gestion possible par zones.
Inconvénient : téléviseurs plus épais, noirs encore imparfaits.
Le principe du rétroéclairage par zones
Avec le Direct LED, les constructeurs ont introduit le local dimming, c’est-à-dire un rétroéclairage par zones indépendantes. Cela permet d’éteindre une partie des LEDs dans les zones sombres de l’image et de laisser les autres allumées dans les zones lumineuses. Résultat : un contraste plus élevé qu’avec un rétroéclairage uniforme. Mais comme les zones restent relativement larges, on observe souvent un phénomène de halo lumineux (blooming) autour des objets clairs sur fond noir.
Limites de ce système
Les noirs ne sont jamais totalement profonds, car une LED allumée derrière la dalle laisse passer un peu de lumière.
Les angles de vision sont limités : les couleurs et la luminosité se dégradent lorsqu’on n’est pas en face de l’écran.
La colorimétrie dépend fortement de filtres et de films optiques qui transforment la lumière blanche en rouge, vert et bleu, ce qui entraîne une perte de précision et de luminosité.
En résumé, le rétroéclairage LCD classique a permis la démocratisation des grands téléviseurs abordables, mais il reste limité dès qu’il s’agit de rivaliser avec des technologies plus avancées comme l’OLED ou, plus récemment, le Mini LED.
L’arrivée du Mini LED (2018)
En 2018, le Mini LED a marqué une véritable rupture dans le domaine du rétroéclairage LCD. Il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie d’écran à proprement parler, mais d’une évolution majeure du rétroéclairage, qui améliore considérablement les performances des téléviseurs LCD traditionnels.
Des LEDs beaucoup plus petites et plus nombreuses
La principale différence vient de la taille des diodes. Les Mini LEDs mesurent entre 100 et 200 micromètres, soit bien plus petites que les LEDs classiques. Cette miniaturisation permet d’en placer des milliers derrière une dalle, contre seulement quelques centaines auparavant. Résultat : le téléviseur peut contrôler la lumière de manière beaucoup plus fine et précise.
Une gestion plus granulaire des zones de rétroéclairage
Avec les anciennes générations de LED, le rétroéclairage fonctionnait par grandes zones, parfois limitées à quelques dizaines. Cela entraînait souvent un problème de blooming (halo lumineux autour des objets clairs sur fond sombre). Avec le Mini LED, on parle désormais de plusieurs centaines, voire milliers de zones de contrôle. Chaque zone peut être allumée ou éteinte indépendamment, ce qui améliore nettement la qualité d’image, notamment dans les scènes sombres ou à fort contraste.
Des noirs plus profonds et un contraste renforcé
Grâce à ce contrôle par zones plus précis, les téléviseurs Mini LED offrent des noirs plus profonds que les LCD classiques. Bien sûr, ils ne rivalisent pas encore totalement avec l’OLED (où chaque pixel peut s’éteindre individuellement), mais ils s’en rapprochent nettement tout en conservant une luminosité supérieure. Le contraste global est donc beaucoup plus élevé, un point essentiel pour profiter des contenus HDR.
Une meilleure compatibilité avec le HDR
Le HDR (High Dynamic Range) repose sur deux éléments : un fort contraste et une luminosité maximale élevée. Les Mini LEDs, plus nombreuses et plus puissantes, permettent d’atteindre des pics lumineux impressionnants (jusqu’à 2000 nits sur certains modèles). Associé à un meilleur contrôle des zones sombres, cela rend les images beaucoup plus réalistes, avec des détails visibles aussi bien dans les zones claires que dans les zones d’ombre.
Mais une limite persistante : la lumière bleue initiale
Malgré tous ces progrès, les Mini LED conservent une caractéristique fondamentale : elles émettent une lumière initialement bleue. Pour obtenir une image en couleur, cette lumière doit passer par des filtres et des quantum dots (nanocristaux qui transforment la lumière bleue en rouge ou en vert). Ce processus fonctionne bien, mais il absorbe une partie de la luminosité et limite la fidélité des couleurs, ce qui laisse encore une marge d’amélioration.
Comment le RGB Mini LED change la donne
Le RGB Mini LED pousse encore plus loin le principe en intégrant directement la gestion des couleurs dans le rétroéclairage.
1. Gestion directe des couleurs
Chaque diode émet déjà du Rouge, Vert ou Bleu, supprimant l’étape de conversion via quantum dots.
Résultat : un rétroéclairage qui « prépare » déjà l’image avant même d’arriver à la dalle.
2. Filtres allégés
Plus besoin de filtres lourds et coûteux.
Seul un filtre léger subsiste pour sublimer les couleurs, sans bloquer la lumière.
3. Colorimétrie inégalée
Atteint 100 % de l’espace colorimétrique BT2020.
Couleurs naturelles, vives et fidèles, jamais vues sur LCD.
Performances visuelles : des chiffres qui impressionnent
Le RGB Mini LED ne se contente pas d’améliorer la qualité d’image, il pulvérise certains records techniques.
Caractéristique
Mini LED classique
RGB Mini LED
Gestion des couleurs
Lumière bleue + quantum dots
Directement RGB
Pic de luminosité
≈ 4000 nits
Jusqu’à 8000 nits
Espace colorimétrique
DCI-P3 étendu
100 % BT2020
Consommation d’énergie
Standard
-40 %
Lumière bleue
Normale
-42 %
Épaisseur TV
Standard
Plus fin
Luminosité hors norme
Jusqu’à 8000 nits en pic de luminosité, soit près du double du Mini LED classique.
De quoi gérer sans effort le HDR et les environnements très lumineux.
Contraste renforcé
Noirs plus profonds grâce à un contrôle ultra-précis des zones de rétroéclairage.
Rapport de contraste encore plus élevé que sur le Mini LED.
Plus de confort visuel
42 % de lumière bleue en moins, limitant la fatigue oculaire.
Consommation énergétique réduite de 40 %, un atout écologique et économique.
Avantages pratiques
La technologie RGB Mini LED n’est pas qu’une prouesse technique : elle apporte des bénéfices concrets pour les utilisateurs au quotidien. Voici les principaux atouts :
Une qualité d’image jamais vue sur LCD
Le RGB Mini LED redéfinit ce qu’un téléviseur LCD peut offrir.
Les couleurs sont plus riches, plus naturelles et mieux équilibrées, grâce à la gestion directe des diodes rouges, vertes et bleues.
L’espace colorimétrique atteint 100 % du BT2020, un standard que même l’OLED peine à couvrir complètement.
L’image gagne en profondeur et en réalisme, ce qui rapproche fortement le LCD des performances visuelles de l’OLED, tout en conservant les points forts propres aux technologies à rétroéclairage.
Une luminosité extrême pour le HDR et Dolby Vision 2
L’un des points forts du RGB Mini LED est sa luminosité record : jusqu’à 8000 nits en pic, soit quasiment le double de ce que propose le Mini LED classique.
Cette puissance lumineuse est idéale pour les contenus HDR (High Dynamic Range), où les zones claires et sombres doivent coexister sans perte de détails.
Dolby a même choisi cette technologie pour son Dolby Vision 2, qui promet d’aller au-delà des normes HDR actuelles. En pratique, cela veut dire que les scènes de films très contrastées (feu d’artifice, couchers de soleil, sports en plein jour) seront plus réalistes et éclatantes.
Moins énergivore et plus respectueux de la vue
Le RGB Mini LED n’est pas seulement plus puissant, il est aussi plus efficace :
La consommation d’énergie est réduite d’environ 40 % par rapport à un Mini LED classique.
L’émission de lumière bleue est réduite de 42 %, ce qui limite la fatigue oculaire, un point crucial pour ceux qui regardent la télévision plusieurs heures par jour. Cela en fait une technologie à la fois plus écologique et plus confortable pour l’utilisateur.
Des téléviseurs plus fins et élégants
En supprimant une partie des filtres lourds nécessaires sur les anciens systèmes, le RGB Mini LED permet de concevoir des téléviseurs plus fins et mieux « designés ».
Moins de couches optiques signifie une épaisseur réduite.
Les constructeurs peuvent ainsi proposer des modèles plus élégants, adaptés à des intérieurs modernes, sans compromis sur la qualité d’image.
Cela rapproche aussi ces TV du style minimaliste des OLED, tout en gardant les avantages du LCD.
Enjeux commerciaux et stratégie de Hisense
Avec le RGB Mini LED, Hisense s’impose comme le premier constructeur à miser sérieusement sur cette technologie. La marque a profité du CES de Las Vegas puis de l’IFA de Berlin 2025 pour présenter ses premiers modèles et démontrer concrètement le potentiel de ce nouveau type de rétroéclairage.
Le calendrier de lancement est désormais clair. Le très grand modèle Hisense 116 UX (116 pouces) est déjà disponible depuis août 2025, mais il s’agit d’un téléviseur vitrine, vendu autour de 30 000 €, destiné à marquer les esprits plus qu’à inonder le marché.
Les modèles plus accessibles, en 55, 65, 75, 85 et 100 pouces, arriveront eux en 2026, avec des tarifs annoncés comme étant comparables à ceux des téléviseurs OLED actuels. Cela positionnera le RGB Mini LED comme une alternative premium mais compétitive, capable de séduire un public large et pas seulement une élite technophile.
L’autre atout stratégique, c’est l’association avec Dolby Vision 2, qui profitera pleinement de la luminosité extrême et de la colorimétrie étendue du RGB Mini LED. Dolby voit dans cette technologie un support idéal pour dépasser les standards HDR actuels, ce qui confère aux modèles Hisense une crédibilité renforcée auprès des amateurs d’image haut de gamme.
FAQ sur la technologie RGB Mini LED
Le RGB Mini LED va-t-il remplacer l’OLED ?
Pas forcément. L’OLED garde l’avantage des noirs parfaits pixel par pixel, mais le RGB Mini LED offre une luminosité bien supérieure et un coût plus accessible.
Quelle est la différence avec le Mini LED classique ?
Le Mini LED classique utilise des diodes bleues et des quantum dots, tandis que le RGB Mini LED gère directement les couleurs au niveau du rétroéclairage.
À partir de quand pourra-t-on acheter des TV RGB Mini LED ?
Hisense prévoit une commercialisation dès 2025 en Europe.
Les téléviseurs seront-ils beaucoup plus chers ?
Non. Les grands modèles serviront de vitrine technologique, mais les tailles courantes devraient rester au prix des OLED actuels.
Le RGB Mini LED consomme-t-il plus d’énergie ?
Au contraire : la suppression des filtres lourds réduit la consommation d’environ 40 %.
Google redéfinit l’approche de l’intelligence artificielle matérielle en abandonnant le concept d’un dispositif unique tout-puissant au profit d’un écosystème interconnecté. Lors du récent événement Made by Google organisé au Brooklyn Navy Yard, la firme de Mountain View a dévoilé sa vision révolutionnaire : Gemini comme élément fédérateur d’une constellation d’appareils complémentaires. Contrairement aux attentes d’un gadget ultime ... Lire plus
En 2025, la grande famille des lunettes intelligentes (ou lunettes connectées) est rentrée dans les mœurs. Entre audio connecté, réalité augmentée et assistants vocaux intégrés, elles s’imposent comme les accessoires high-tech du futur. Découvrez notre sélection des meilleurs modèles du moment, leurs usages et leurs limites.
Le marché des lunettes intelligentes connaît une accélération en 2025. Qu’il s’agisse de modèles audio discrets, de lunettes lifestyle orientées réseaux sociaux ou encore d’expériences immersives XR/AR pensées pour le jeu et la productivité, chaque marque tente de se positionner sur ce futur segment clé. Voici ci dessous une analyse complète par ordre de prix croissant, des principaux modèles annoncés ou déjà disponibles.
Les meilleures lunettes intelligentes pour les gamers : Razer Anzu,
Les meilleures lunettes intelligentes pour le quotidien : Vue Lite 2,
Les meilleures lunettes intelligentes pour l’immersion professionnelle : HTC ViveEagle,
Les meilleures lunettes intelligentes pour la photo : Ray ban Wayfarer,
Les meilleures lunettes intelligentes pour les créateurs de contenu : Snap Spectacle 5,
Les meilleures lunettes intelligentes pour le jeu et le cinéma : Viture XR Pro,
Les meilleures lunettes intelligentes pourl’immersion en réalité augmentée : Rokid AR Spatial.
Razer Anzu : les meilleures pour les gamers
Les Razer Anzu sont des lunettes connectées audio pensées pour les joueurs et les utilisateurs multitâches. Équipées de haut-parleurs open-ear, elles permettent d’écouter de la musique, de répondre à des appels ou de profiter du son d’un jeu sans casque, avec une latence réduite à 60 ms en mode gaming grâce au Bluetooth 5.1. Pour protéger la vue, elles intègrent des verres interchangeables avec un filtre anti-lumière bleue contre la fatigue numérique et une paire solaire pour l’extérieur. Leur autonomie atteint jusqu’à 5 heures, rechargeable en USB-C. Plus proches de lunettes audio comme les Bose Frames que de véritables lunettes AR, elles misent sur confort et praticité plutôt que sur l’immersion visuelle.Légères et proposées en deux tailles, elles disposent de commandes tactiles sur les branches et d’une résistance IPX4 contre les éclaboussures. Pour en savoir plus sur ce que signifie chaque indice d’étanchéité, consultez notre guide.
Caractéristique Techniques
Poids
Environ 45 grammes
Etanchéité
IPX4
Méthode de commande
Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)
5 heures
Connexion
Bluetooth
Vue Lite 2 : les meilleures compagnon connecté du quotidien
Les Vue Lite 2 misent sur la simplicité plutôt que sur l’immersion AR. Elles permettent de passer et recevoir des appels, d’écouter de la musique, de consulter ses notifications et de suivre son activité via l’application compagnon. Leur design sobre les rapproche de lunettes classiques, favorisant une adoption naturelle aussi bien au bureau qu’à la maison.
Côté autonomie, elles offrent jusqu’à 6 heures d’écoute en continu et tiennent jusqu’à 3 jours en veille. Compatibles avec iOS et Android grâce au Bluetooth, elles intègrent des commandes tactiles sur les branches et des microphones pour les appels mains-libres. Résistantes aux éclaboussures (IPX4), elles se positionnent comme une alternative accessible aux Bose Frames ou Razer Anzu, pour découvrir l’univers des lunettes connectées sans se ruiner.
Caractéristique Techniques
Poids
25 grammes
Etanchéité
IPX4
Méthode de commande
Tactile
Autonomie (en utilisation continue)
6 heures
Connexion
Bluetooth
HTC Vive Eagle : les meilleures pour l’immersion professionnelle
HTC a dévoilé le Vive Eagle, une paire de lunettes intelligentes alimentées par IA, conçue pour allier productivité et usages du quotidien. Avec un design très léger, elles embarquent une caméra ultra-grand-angle 12 MP,des haut-parleurs open-ear, et surtout l’assistant Vive AI, compatible avec Google Gemini ou ChatGPT. Les utilisateurs bénéficient ainsi de la traduction instantanée dans 13 langues, d’une autonomie allant jusqu’à 36 h en veille (4,5 h d’écoute musicale ou 3 h d’appels en continu), et d’une charge rapide (50 % en 10 min).
HTC mise aussi sur la confidentialité : données stockées localement, chiffrement AES-256, et enregistrements bloqués si l’indicateur LED est masqué. Les lunettes sont livrées avec des verres solaires ZEISS UV400, et disponibles en 4 coloris. Positionnées comme un concurrent direct des Ray-Ban Meta, elles inaugurent une nouvelle génération de smart glasses axées sur l’IA plutôt que sur l’immersion XR. Les précommandes sont ouvertes à Taïwan, avec une sortie prévue le 1er septembre 2025. Aucune date internationale n’a encore été communiquée. Avec le lancement des Vive Eagle ce n’est pas la première fois que HTC se présente comme un concurrent de Meta puisque la marque est le fabricant du fameux HTC Vive, concurrent principal du casque VR de Meta.
Caractéristique Techniques
Poids
49 grammes
Etanchéité
IP54
Méthode de commande
Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)
4h30
Connexion
WiFi et Bluetooth
Ray ban Wayfarer : les meilleures pour la photo
Successeures des Ray-Ban Stories de 2021, les Ray-Ban Meta Wayfarer conservent la célèbre monture tout en intégrant des fonctions connectées avancées. Elles embarquent une caméra ultra-grand-angle 12 MP (contre 5 MP sur la génération précédente), avec une version double capteur, capable de filmer en 1080p à 30 fps, de capturer des photos et même de diffuser en direct sur Facebook et Instagram.
Pour l’audio, Meta a intégré des haut-parleurs discrets et pas moins de cinq microphones, accompagnés de l’assistant vocal Meta AI. De quoi passer des appels, contrôler sa musique ou obtenir des infos à la voix, sans sortir son smartphone. L’autonomie atteint environ 4 heures en usage continu, extensible jusqu’à 36 heures grâce au boîtier de recharge fourni. En ce qui concerne l’étanchéité, elles disposent de l’indice IPX4. Légères et compatibles avec iOS et Androidvia l’application Meta View, elles s’imposent comme l’accessoire social idéal pour celles et ceux qui aiment capturer et partager chaque instant.
Caractéristique Techniques
Poids
Environ 49 grammes
Etanchéité
IPX4
Méthode de commande
Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)
4 heures
Connexion
Wifi et Bluetooth
Snap Spectacles 5 : les meilleures pour les créateurs de contenus
Avec les Spectacles 5, Snap poursuit son ambition de démocratiser la réalité augmentée créative. Ces lunettes intègrent deux écrans micro-OLED transparents (luminosité jusqu’à 2000 nits) et des caméras frontales binoculaires, capables de superposer en temps réel des effets et filtres AR dans le champ de vision d’environ 46°. Les créateurs peuvent aussi enregistrer jusqu’à 60 secondes de vidéo en mains libres, puis les éditer et les partager via Snapchat.
Conçues pour les créateurs et développeurs AR, elles s’intègrent nativement à Lens Studio, la plateforme de Snap pour concevoir, tester et diffuser des expériences immersives. Leur design futuriste séduit les passionnés de tech, mais leur autonomie reste limitée à environ 30 minutes. Pour l’instant, elles ne sont pas commercialisées en direction du grand public. Snap les distribue uniquement via des programmes développeurs sur invitation.
Caractéristique Techniques
Poids
226 grammes
Etanchéité
Aucune mention officielle à ce jour
Méthode de commande
Tactile et vocale
Autonomie (en utilisation continue)
Environ 30 minutes
Connexion
WiFi et Bluetooth
VITURE XR/AR Pro : les meilleures pour le jeu et le cinéma XXL
Les Viture XR/AR Pro transforment vos yeux en véritable salle de cinéma portable. Dotées d’écrans micro-OLED Full HD (1080p par œil) avec un taux de rafraîchissement de 60 Hz, elles projettent une image équivalente à 120 à 150 pouces. Un format idéal pour le jeu, le streaming ou le travail en mobilité. Compatibles avec PC, smartphones Android et iPhone (via adaptateur), Nintendo Switch et PS5 via Remote Play, elles s’adressent autant aux gamers qu’aux cinéphiles.
Légères, elles intègrent des haut-parleurs directionnels et des verres électrochromiques ajustables pour une utilisation confortable en extérieur. Positionnées sur le segment premium, elles privilégient l’immersion vidéo XR mais n’offrent pas de fonctions AR interactives (pas de spatial mapping ni d’objets virtuels ancrés dans l’environnement). Les VITURE XR/AR Pro ne possèdent pas de batterie intégrée et fonctionnent en connexion filaire via USB-C. Leur endurance dépend donc de l’appareil source (smartphone, PC, console). Proposées à partir de 500 €, elles sont déjà disponibles aux États-Unis et en Europe, et se présentent comme une des alternatives les plus abouties aux casques VR pour un usage quotidien.
Caractéristique Techniques
Poids
77 grammes
Etanchéité
Aucun indice d’étanchéité connu
Méthode de commande
Tactile
Autonomie (en utilisation continue)
Pas de batterie, donc pas d’autonomie
Connexion
Connexion filaire uniquement, USB-C
Rokid AR Spatial : les meilleures pour une immersion en réalité augmentée
Avec les AR Spatial, Rokid confirme son ambition de rivaliser avec les géants occidentaux de la réalité augmentée. Ces lunettes reposent sur des écrans micro-OLED Full HD (1920 × 1080 par œil), un rafraîchissement jusqu’à 120 Hz et un suivi de tête 6DoF, permettant d’afficher et manipuler plusieurs fenêtres virtuelles dans l’espace. Idéales pour la productivité (bureautique, visioconférences), l’éducation ou le divertissement multimédia, elles offrent une expérience AR immersive sans pour autant atteindre les capacités de spatial mapping d’un HoloLens.
Légères, elles intègrent des verres électrochromiques pour s’adapter à la luminosité et sont compatibles avec smartphones, PC et consoles via connexion filaire ou sans-fil. Leur autonomie atteint environ 5 heures d’utilisation continue, rechargeable en USB-C. Si leur écosystème applicatif reste limité hors de Chine, malgré plus de 10 000 développeurs déjà inscrits, les AR Spatial apparaissent comme une alternative crédible aux Xreal Air 2 Pro ou aux projets de Meta, en misant sur un design pratique.
Caractéristique Techniques
Poids
Environ 75 grammes
Etanchéité
Pas d’indice d’étanchéité connu
Méthode de commande
Tactile et vocale
Autonomie
Environ 5 heures
Compatibilité
WiFi et Bluetooth
Comment fonctionnent les lunettes intelligentes ?
Leur fonctionnement dépend du type de lunettes et des usages visés :
Contrôle : la plupart des modèles intègrent des commandes tactiles sur les branches pour gérer la musique, prendre un appel ou activer certaines fonctions. Certains ajoutent le contrôle vocal via un assistant intégré ou connecté (Meta AI, Siri, Google Assistant…).
Connectivité : pour les modèles audio et sociaux comme Ray-Ban Meta Wayfarer), la liaison se fait généralement en Bluetooth avec un smartphone. Pour les lunettes immersives orientées AR/XR comme Rokid AR Spatial et Viture XR Glasses, la connexion principale passe plutôt par un câble USB-C compatible DisplayPort Alt Mode vers unsmartphone, un PC ou une console. Certaines disposent aussi d’une connexion Wi-Fi pour le streaming ou les mises à jour.
Autonomie : quelques modèles offrent des fonctions semi-autonomes comme par exemple, les Ray-Ban Meta qui peuvent prendre une photo ou lancer un enregistrement sans sortir le téléphone. Mais la plupart restent dépendants d’un appareil compagnon pour les calculs graphiques et les traitements IA.
Quel est le meilleur modèle de lunettes intelligentes ?
Il n’existe pas de “meilleur” modèle universel : tout dépend de vos usages.
Pour l’audio au quotidien : les Vue Lite 2 offrent un design léger, une autonomie d’environ 4 h, une recharge rapide et la possibilité d’intégrer des verres correcteurs. Discrètes et confortables, elles sont adaptées à l’écoute musicale, aux appels mains libres et à l’usage d’assistants vocaux.
Pour un usage social et l’IA : les Ray-Ban Meta Wayfarer permettent de capturer photos et vidéos, de partager instantanément et d’interagir avec Meta AI, capable de traduire ou de décrire une scène en temps réel.
Pour l’immersion AR/XR : les Rokid AR Spatial et les Viture XR Glasses transforment un smartphone, un PC ou une console en écran géant portable. Grâce à leurs écrans Micro-OLED, elles sont idéales pour le multimédia, le streaming et le gaming immersif.
Avant de choisir, définissez vos priorités :
Confort audio discret,
Capture sociale et IA intégrée,
Immersion multimédia et réalité augmentée.
Quelle est la différence entre des lunettes intelligentes et des lunettes IA ?
Lunettes intelligentes (smart glasses) : elles intègrent des composants électroniques comme des haut-parleurs, des micros, des capteurs et parfois de petits écrans. Elles permettent d’écouter de la musique, de passer des appels, de prendre des photos ou d’afficher des informations de base.
Lunettes IA : elles vont plus loin en embarquant directement des fonctionnalités d’intelligence artificielle. Cela peut inclure la traduction instantanée, la description d’une scène, ou encore des réponses vocales personnalisées en temps réel. Les Ray-Ban Meta Wayfarer illustrent cette évolution avec l’intégration de Meta AI.
En pratique, les lunettes IA ne constituent pas une catégorie totalement distincte : ce sont une nouvelle génération de smart glasses, enrichies par l’IA pour offrir des usages plus interactifs et contextuels.
En 2025, les lunettes connectées ne se limitent plus à un gadget pour passionnés. De l’audio discret avec les Razer Anzu, aux usages sociaux et IA des Ray-Ban Meta Wayfarer, jusqu’aux expériences immersives offertes par les Rokid AR Spatial ou les Viture XR Glasses, chaque acteur cherche à séduire son public. La technologie n’est pas encore parfaite : autonomie limitée, écosystèmes fermés et poids parfois élevé freinent encore leur adoption massive. Mais une tendance claire se dessine et les smart glasses s’imposent peu à peu comme un possible relais au smartphone dans notre quotidien. Les prochains mois seront sûrement décisifs, puisque Meta, Snap, HT et Rokid affûtent déjà leurs armes pour démocratiser la réalité augmentée auprès du grand public.Et vous, avez-vous déjà testé des lunettes intelligentes ? Partagez votre expérience en commentaire.
Le serveur VPS (Virtual Private Server) est devenu une solution incontournable pour les entreprises, développeurs et créateurs de contenu qui recherchent un hébergement web performant, flexible et sécurisé. Mais face à la multitude d’offres disponibles, comment s’y retrouver ? Voici un guide complet pour choisir un bon serveur VPS et découvrir les meilleurs fournisseurs du moment. Pourquoi […]
Le serveur VPS (Virtual Private Server) est devenu une solution incontournable pour les entreprises, développeurs et créateurs de contenu qui recherchent un hébergement web performant, flexible et sécurisé. Mais face à la multitude d’offres disponibles, comment s’y retrouver ? Voici un guide complet pour choisir un bon serveur VPS et découvrir les meilleurs fournisseurs du moment. Pourquoi […]
La frustration de voir son ordinateur ou son smartphone rendre l’âme au beau milieu d’une journée. Sans prise électrique à l’horizon, c’est la catastrophe. Pour répondre à ce genre de situations, UGREEN propose la Nexode Power Bank 20000mAh 165W. Une batterie externe puissante taillée pour les utilisateurs exigeants. Plus puissante et plus rapide que la version précédente (130 W), elle apporte en plus un câble USB-C rétractable et un petit écran malin pour tout garder sous contrôle. Le tout proposé à un prix extrèmement agressif sur un tel produit.
Dès la prise en main, on sent qu’on n’a pas affaire à une batterie “basique”. Les finitions sont nettes, le format reste compact pour un modèle aussi puissant. La surface mate lui donne un look premium.
Le câble USB-C rétractable est intégré directement dans le corps de la batterie. Il peut se déployer jusqu’à 0,65 m avec plusieurs crans d’arrêt selon la longueur souhaitée. Le mécanisme est solide : UGREEN annonce plus de 25 000 rétractions et 10 000 pliages sans perte de performance.
Sur la face avant, un écran intelligent indique en temps réel de nombreux paramètres. Notamment la puissance délivrée, la charge restante, ou encore la vitesse de recharge. Un petit détail qui change tout dans l’usage.
Performances de charge
C’est sur ce terrain que la Nexode 165 W fait vraiment la différence.
Charge rapide 100 W via USB-C : assez puissant pour recharger un MacBook Pro 14″ (M4) de 0 à 54 % en seulement 30 minutes.
165 W en double port : idéal pour alimenter simultanément un PC portable et une tablette sans sacrifier la vitesse.
Recharge ultra rapide de la batterie elle-même : grâce à l’entrée 100 W, elle se recharge complètement en seulement 2 heures (contre 65 W pour la génération précédente). En tout, on dispose de 3 ports : le câble USB-C intégré, un port USB-C supplémentaire, et un port USB-A, permettant de charger trois appareils en même temps.
Je recharge ici la Powerbank via son port USB-C avec mon chargeur de bureau UGREEN Nexode 500W. Il est capable de délivrer sur un port jusqu’à 240W grâce à la norme USB Power Delivery (PD) 3.1. Le combo idéal si vous n’avez pas encore de station de charge.
Plusieurs recharges complètes pour un smartphone haut de gamme.
Une charge complète pour la plupart des PC portables.
Une autonomie prolongée pour une console de jeu portable en déplacement.
Les cellules internes sont conçues pour durer : après 1 000 cycles de charge, elles conservent encore 80 % de leur capacité. Côté sécurité, le Thermal Guard System surveille la température 200 fois par seconde, prévenant ainsi la surchauffe et optimisant la durée de vie de l’appareil.
Utilisation au quotidien
Que ce soit pour un déplacement professionnel, un voyage longue distance ou simplement une journée chargée hors du bureau, cette batterie externe est un vrai filet de sécurité. Le câble intégré supprime le besoin d’en transporter un séparément, et la possibilité de charger un ordinateur, un smartphone et une console en même temps rend le tout encore plus pratique. Ajoutez à cela la compacité et l’affichage intelligent, et vous obtenez un compagnon de voyage qui se fait oublier dans le sac… jusqu’à ce qu’il devienne indispensable.
Conclusion et avis global
La UGREEN Nexode Power Bank 20000mAh 165W coche toutes les cases : puissance, vitesse, polyvalence et robustesse. Elle va plus loin que la précédente génération en offrant une recharge plus rapide (dans les deux sens) et un câble rétractable encore plus pratique.
Pour celles et ceux qui ont besoin d’énergie partout et tout le temps, c’est un investissement qui se rentabilise dès les premiers voyages.
Imaginez : vous flânez dans une rue commerçante. Une vitrine s’anime avec une image 4K fluide, un son clair, et un message publicitaire qui capte instantanément votre attention. Quelques secondes suffisent pour comprendre l’offre… et vous pousser à franchir la porte. Ce type de scénario, autrefois réservé à Times Square ou Shibuya, se généralise aujourd’hui en France. Les écrans géants ne sont plus de simples panneaux lumineux : ce sont des vecteurs d’expérience, à la croisée du marketing, du design et de la technologie.
Selon Grand View Research, le marché mondial de l’affichage numérique pourrait atteindre 35 milliards de dollars d’ici 2028, porté par l’essor des LED haute luminosité, des écrans modulaires et des solutions d’affichage éco-énergétiques. En France, le DOOH (Digital Out-Of-Home) représentait déjà 1,5 milliard d’euros en 2024, avec une croissance de 7,6 % sur un an (source).
Pourquoi l’écran géant séduit toutes les industries ?
Plus vivant qu’une affiche papier et réutilisable à volonté, l’écran géant permet de changer un contenu en temps réel : publicité, annonce événementielle, retransmission de match, infos locales… On le retrouve partout :
Retail : vitrines de luxe, centres commerciaux, corners pop-up.
Les écrans transparents, déjà adoptés par Samsung et LG, offrent un design spectaculaire : le produit réel reste visible derrière le contenu vidéo, créant une impression futuriste. Dans le domaine professionnel, des solutions comme l’écran affichage dynamique de Digilor permettent de piloter ces contenus à distance, de programmer des diffusions et d’optimiser l’impact en fonction de l’heure ou de l’affluence.
Les grandes tendances 2025
1. L’ultra-luminosité pour briller en plein jour
En intérieur, une luminosité de 300 nits suffit. Mais en extérieur, il faut monter à 2 000-5 000 nits pour rester lisible en plein soleil. Les modèles premium adoptent des LED à haut rendement, combinant puissance visuelle et économie d’énergie. Par exemple, la place Bellecour à Lyon a récemment accueilli un écran LED 4 000 nits pour un événement sportif, parfaitement visible même en pleine journée.
2. La 4K généralisée… et le 8K qui pointe
La 4K devient la norme pour les écrans publicitaires haut de gamme, avec un rendu précis même à quelques mètres. Certaines marques testent déjà la 8K pour des expériences immersives indoor. L’objectif : l’effet “wow” qui déclenche la prise de photo ou la vidéo à partager sur les réseaux sociaux.
3. Les écrans transparents et modulaires
Les écrans transparents permettent de mixer contenu digital et produit physique, idéals pour les vitrines haut de gamme. Quant aux écrans MicroLED modulaires, ils offrent une flexibilité totale : on compose un mur d’images sur mesure, quelle que soit la forme ou la surface.
4. L’interactivité et l’IA
Les QR codes, capteurs de mouvement et systèmes de reconnaissance (RGPD compliant) transforment le passant en acteur de l’affichage. Par exemple, à Tokyo, une vitrine de sneakers change la couleur affichée selon la tenue de la personne qui s’en approche. Couplé à l’IA, l’écran adapte le contenu en fonction de la météo, de l’heure ou du profil des visiteurs.
Comment choisir son écran géant ?
L’emplacement avant tout
Intérieur : privilégier la résolution (pitch serré), la finesse d’image et la luminosité standard (150-300 nits).
Extérieur : haute luminosité (2 000+ nits), protection contre les intempéries (IP65 minimum), résistance aux UV. En zone à fort trafic, un écran plus grand améliore la visibilité… mais attention au recul nécessaire.
Taille et résolution : le juste équilibre
La lisibilité dépend du pitch, c’est-à-dire l’espace entre deux pixels voisins, exprimé en millimètres. Plus ce chiffre est petit, plus l’image sera précise de près… mais plus l’écran sera coûteux à fabriquer. À titre d’exemple, un pitch de 3 mm signifie qu’il y a 3 millimètres entre le centre de deux pixels : c’est idéal pour un écran visible à environ 10 mètres de distance. Au-delà, l’image paraît floue ; en dessous, vous payez pour une finesse que l’œil humain ne perçoit plus à cette distance.
Comment créer un contenu qui attire et retient l’attention ?
Un écran géant attire l’œil. Mais pour qu’il marque l’esprit :
Message clair et concis : en moins de 5 secondes, l’essentiel doit être compris.
Animation modérée : alterner mouvement et pauses pour éviter la saturation visuelle.
Son maîtrisé : pertinent mais non intrusif.
Interactivité : un QR code ou une animation responsive augmente l’engagement.
Se démarquer dans un océan d’images
Avec la multiplication des écrans urbains, la créativité devient l’arme principale. Voici des stratégies efficaces :
Contenus contextualisés (météo, résultats sportifs, horaires de transports).
Données en temps réel pour créer un sentiment d’actualité permanente.
Campagnes éphémères ou événementielles pour jouer sur l’urgence.
Exemple : Intermarché a déployé plus de 1 350 écrans DOOH pour ses campagnes RSE, en adaptant le contenu selon les régions (source).
En 2025, l’écran géant est une plateforme narrative : il capte, interagit, s’adapte, et raconte une histoire en direct. Sa réussite repose autant sur la qualité technique que sur l’intelligence du contenu. Ceux qui sauront marier les deux marqueront durablement l’espace public… et la mémoire des passants. Cet article vous a éclairé sur le sujet ? Votre avis compte pour enrichir la discussion. Partagez vos idées, vos expériences ou vos interrogations en commentaire. Et si une information mérite précision ou nuance, signalez-le-nous.
On a tous connu cette scène : un sac de voyage bien rangé… jusqu’au moment où on sort les câbles de charge. Nœuds, enchevêtrements et parfois même un câble oublié à la maison.
C’est précisément ce genre de situation que le UGREEN Nexode 65 W veut éviter.
Compact, élégant, et surtout doté d’un câble USB-C rétractable, il promet de rendre la recharge plus simple et plus pratique, où que vous soyez.
Je vous propose de découvrir ce petit chargeur ultra pratique que l’équipe UGREEN m’a fait parvenir pendant les vacances
Dès la prise en main, on sent que le Nexode joue dans la cour des produits bien finis. Son format tient facilement dans la paume et son revêtement lisse « matifié » inspire confiance sur la qualité du produit. Ceci étant ce n’est pas à moi d’être convaincu puisque je fais la promotion des produits UGREEN depuis des années et je sais que c’est toujours excellent.
Le câble rétractable est intégré directement dans le boîtier : il suffit de tirer pour dérouler les 70 cm disponibles selon plusieurs paliers possibles, puis de le ré-enrouler d’un simple geste. Pas de mécanisme qui accroche, pas de sensation fragile. UGREEN annonce d’ailleurs plus de 25 000 cycles de retrait, ce qui laisse de la marge. En complément, deux ports supplémentaires sont présents sur le chargeur : un USB-C et un USB-A, pour brancher d’autres appareils si nécessaire. Il est donc très polyvalent.
Vous pouvez consulter la page officielle de UGREEN pour découvrir tous les produits avec un câbles rétractables proposés, il y a également un batterie externe donc je suis entrain de préparer un article.
Performances de charge
Sous ce petit boîtier se cache la technologie GaN (nitrure de gallium), qui permet d’atteindre jusqu’à 65 W de puissance tout en conservant une taille compacte.En pratique, cela veut dire :
Un ordinateur portable compatible (type MacBook Air) rechargé à 84% en 60 minutes et à 100% en un peu plus d’une heure et demie.
Un smartphone haut de gamme qui passe de 20 % à 80 % en une petite demi-heure.
Une tablette ou une console portable alimentée tout en continuant de l’utiliser.
La répartition de puissance entre les ports est gérée automatiquement : priorité à la charge rapide si un seul appareil est branché, équilibrage si plusieurs le sont.
Aspects pratiques au quotidien
En voyage, c’est le genre d’accessoire qui fait gagner de la place dans la valise. Plus besoin de chercher un câble séparé : il est déjà intégré. Sur un bureau, c’est aussi plus propre, plus net, et on évite le câble qui traîne ou qui s’emmêle derrière l’ordinateur.Et comme il est compatible avec la grande majorité des marques (Apple, Samsung, Lenovo, Nintendo, etc.), il peut facilement remplacer plusieurs chargeurs à lui tout seul.
Sécurité et durabilité
Le Nexode est équipé de multiples protections pour assuré votre sécurité mais aussi pour garantir une longue durée de vie de l’appareil :
Technologie GaNInfinity : rendement jusqu’à 95 %, dissipation thermique puissante, format compact.
8 niveaux de protection : protection contre les surintensités, les surtensions, les courts-circuits, la surchauffe et la surcharge de puissance. Fonction anti-interférences, protection contre la foudre et boîtier ignifuge (matériau résistant au feu, classement V0).
Système Thermal Guard : surveille la température 200 fois par seconde.
Conclusion et avis global
Le UGREEN Nexode 65 W coche beaucoup de cases : compact, performant, pratique, et conçu pour durer. On apprécie particulièrement son câble rétractable, qui règle une bonne fois pour toutes la question des câbles oubliés ou emmêlés. C’est un accessoire pensé pour celles et ceux qui bougent beaucoup, mais aussi pour quiconque veut un bureau mieux organisé. En clair : un petit investissement pour un grand confort au quotidien.
L’ère du smartphone est-elle bientôt révolue ? Selon le dirigeant de Meta Mark Zuckerberg, les portables tels que nous les connaissons aujourd’hui pourraient disparaître dans les prochaines années.
Mark Zuckerberg prédit le remplacement du smartphone à l’horizon 2030
Ils sont des objets essentiels à nos vies. Depuis les années 1980, les téléphones portables accompagnent les utilisateurs dans leur quotidien. Si les prémices du smartphone remontent aux années 90, c’est au début du 21e siècle que les choses s’accélèrent avec l’arrivée de Blackberry puis le lancement de l’iPhone en 2007. Aujourd’hui, les portables sous leur forme actuelle vivent peut-être leurs dernières années. Le PDG de Meta Mark Zuckerberg prédit même la fin des téléphones portables d’ici 2030.
Malgré l’importance sociétale qu’il représente, le secteur de la téléphonie mobile est en berne. Selon les informations deInternational Data Corporation (IDC) le nombre d’expédition de smartphones a connu une baisse de 3,2% en 2023. Cette baisse que les experts ont observé pour la première fois en 2022 se poursuit alors que paradoxalement les smartphones haut de gamme continuent de bien se vendre. Un constat qui s’explique en partie par une diversification des produits proposés. (Exemple :IPhone pro & IPhone Pro Max) Mais au delà de ça le ralentissement du marché est notamment lié au développement de nombreux produits high-tech.
Et si des lunettes intelligentes et des lentilles connectées venaient remplacer nos smartphones ?
Hasard ou non, la mauvaise santé du marché de la téléphonie mobile survient au moment où de nombreux gadgets comme les montres connectées sont apparus. En 2022, le PDG de Meta Mark Zuckerberg a lancé son modèle de lunettes intelligentes les Ray-ban Stories. Il en est persuadé, ces lunettes remplaceront les smartphones.
« Il arrivera un moment où votre smartphone sera dans votre poche plus longtemps qu’il ne le sera à l’extérieur, je pense que cela se produira au cours des années 2030 ».
Mark Zuckerberg n’est pas le seul homme d’affaire à miser sur le développement des lunettes intelligentes. Apple et d’autres grandes enseignes se focalisent aussi sur cette avancée technologique. C’est notamment le cas de Google. Lors de la conférence Google I/O 2025, le géant américain a annoncé le lancement de lunettes intelligentes Android XR, en collaboration avec l’IA Gemini. Cette volonté de Google démontre l’ambition de la multinationale de renforcer sa place sur le marché de la technologie portable et celui de la réalité augmentée. Cependant, les lunettes intelligentes ne sont pas les seuls à potentiellement pouvoir concurrencer le smartphone.
Lunettes Ray Ban Stories, MetaLunettes Android Xr lors de la présentation par Google
Les lentilles connectées encore en phase de test
Si les lentilles de contact connectées ne sont pas encore au même stade d’avancement que les lunettes intelligentes, la question de son arrivée en remplacement du smartphone se pose déjà. Néanmoins cette hypothèse s’inscrit dans une projection à long terme. Plusieurs grandes marques comme Sony ou Samsung ont déposé des brevets. Pour l’instant, le concept est au stade du prototype.
Lentille connectée IA
Les usages permis par les lentilles connectées sont pour le moment la prise de photos, la navigation GPS ou encore la consultation de notifications. Bien qu’elle soit vue comme une avancée en termes de portabilité, elle n’est pour le moment pas prête à remplacer le téléphone portable. Si les lentilles connectées venaient à substituer le smartphone, cela ne devrait pas arriver avant plusieurs années.
✨2027, une année cruciale pour Apple !
Apple prévoit une "renaissance des produits" en 2027 pour contrer les critiques sur le manque d'innovation.
Six produits majeurs sont attendus : un iPhone pliable, un iPhone 20e anniversaire en verre, des lunettes connectées, des AirPods… pic.twitter.com/v7qWxJIXA4
Reste à savoir, si la prédiction de Mark Zuckerberg s’avèrera juste. Le milliardaire avait aussi prédit une révolution de la réalité virtuelle et du Metavers qui pour le moment peine à convaincre. Un autre produit pourrait aussi faire de l’ombre au smartphone, les écrans pliables. Un concept qui en plus des smartphones pourrait également concurrencer celui des tablettes. Affaire à suivre…
Cet article vous a-t-il appris des choses. Vous pouvez nous faire part de vos avis, vos remarques ou vos questions dans les commentaires ci-dessous. Si vous constatez une erreur dans cet article n’hésitez pas à nous le signaler.