Actualité : Netflix serait-il déjà en train d'abandonner le jeu vidéo ? Ces titres quittent déjà son catalogue

A quelques jours du stage de plongée en apnée (en mer) avec Umberto Pelizzari, j’avoue être traversé par des sentiments antagoniques. Il y a l’excitation, l’impatience, la joie de revivre des sensations extrêmes. Mais aussi l’inquiétude. Car on ne peut pas exclure totalement le risque d’accident.
Allongé à la surface de l’eau, ma respiration se calme peu à peu. J’en prends le contrôle. Je ne respire plus par réflexe, mais en le désirant, en prenant conscience de chaque bout d’inspiration et de rejet de l’air. D’une respiration centrée sur les poumons, je passe à une respiration qui alterne respiration thoracique et respiration abdominale. Les bébés respirent en gonflant et vidant leur «ventre». Pas en gonflant leur torse. Ils sont généralement plus détendus que les adultes.
J’observe le fond sans bien le percevoir. Mes yeux vont et viennent, je suis dans une piscine sans fin. L’eau est cristalline. Mon rythme cardiaque se ralentit. Généralement, au repos, je tourne en dessous des 60 pulsations minutes. Je suis probablement plutôt dans les 55 pulsations désormais. J’entame un canard et me voilà parti vers le fond. Je tente de faire le vide dans mon esprit. Ne penser à rien. Pas évident. Notre cerveau a une vie personnelle et il n’est pas certain que l’on puisse lui imposer le silence et le vide. Les mètres défilent. Dix mètres. Tout va bien. 15 mètres, rien à signaler. Dix-huit mètres: mon corps m’envoie soudain mille milliards de signaux hystériques. «Tu vas mourir, respire! Respire! Respire TOUT DE SUITE!». Compliqué alors que 18 mètres nous séparent de la surface.
Mon cerveau reprend les commandes: tu as encore plein de temps. La pression te joue un tour et te fait croire que tu n’as plus de réserves. Détends-toi. OK. On continue. Vingt mètres: mon corps n’est...
Cette technique de manipulation psychologique, qui consiste à tenter de faire porter la responsabilité de ses propres erreurs à autrui en l'accusant de les avoir commises, est utilisée par l'extrême droite dans son grand projet de dédiabolisation. Mais pas seulement. Exemple, avec un des soutiens du C9M.
La petite musique « les antisémites, c'est LFI » et « le RN est le bouclier des Juifs » commence à infuser dans la population. Le travail de sape de CNEWS, Europe1 et toute la galaxie brune fonctionne. C'est une technique très prisée des pervers narciciques qui est ici utilisée par l'extrême droite : l'inversion accusatoire. Cette manipulation psychologique consiste à tenter de faire porter la responsabilité de ses propres erreurs à quelqu'un en l'accusant de les avoir commises.
Sur la base du classique « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose », cette technique un peu plus subtile infuse des idées pourtant saugrenues. Le public le plus incrédule, à force d'entendre un discours martelé sur toutes les antennes, finit par se dire qu'il y a bien une part de vérité, quelque part... Le tour est joué.
Car à bien y regarder, l'extrême droite est le parti de la haine, de l'antisémitisme. Depuis toujours, et encore aujourd'hui. Cela commence à sa création. Jean-Marie Le Pen le crée avec « les anciens Waffen-SS Pierre Bousquet et Léon Gaultier, des sympathisants néonazis tels que François Duprat et des nostalgiques de l'Algérie française, tels que Roger Holeindre, membre de l'Organisation de l'armée secrète (OAS) », comme l'indique Wikipedia.
Aujourd'hui, les articles ne manquent pas pour rappeler les liens entre Marine Le Pen et la galaxie du GUD, lui même...