Samsung Galaxy Tab S10 Lite : une nouvelle fuite dévoile toutes ses coutures
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La visibilité est l’un des enjeux majeurs de la sécurité à vélo, de jour comme de nuit. Trek vient de dévoiler son nouveau kit d’éclairage Ion 200 RT (avant) et Flare RT (arrière), deux lampes compactes conçues pour améliorer la sécurité des cyclistes grâce à une puissance lumineuse optimisée et une connectivité avancée.
Avec cette nouvelle génération d’éclairages, Trek ne se contente pas d’ajouter de la lumière : la marque entend offrir un vrai gain en termes de sécurité active et d’intégration technologique.
Contrairement à de nombreux modèles qui ciblent uniquement l’éclairage nocturne, le kit Trek Ion 200 RT et Flare RT a été pensé pour rendre les cyclistes visibles en plein jour.
Cette approche centrée sur la visibilité diurne répond à une problématique clé : la majorité des accidents impliquant des cyclistes surviennent en journée, souvent à cause d’un manque de perception par les automobilistes.
L’autre force du kit Trek Ion 200 RT et Flare RT réside dans sa connectivité.
Cette connectivité est particulièrement utile en usage sportif ou en longue distance, où l’autonomie et l’efficacité énergétique sont essentielles.
Le design du kit est pensé pour répondre aux besoins des cyclistes urbains comme des amateurs de longues sorties :
Ce côté pratique en fait un choix adapté aussi bien pour le vélotaf quotidien que pour les entraînements et sorties plus exigeantes.
Le kit Trek Ion 200 RT et Flare RT est proposé à un prix public de 104,99 €.
Il se place ainsi sur un segment premium par rapport à certains concurrents, mais justifie son tarif par ses fonctionnalités avancées, notamment la connectivité et le capteur de luminosité.
Les premiers tests réalisés par la presse spécialisée saluent :
La seule réserve concerne parfois le positionnement sur certains vélos, en particulier avec des cockpits intégrés, mais globalement, le produit est jugé hautement recommandable pour améliorer la sécurité des cyclistes.
Avec ce kit, Trek s’inscrit dans une tendance de fond : celle du vélo intelligent et connecté.
Entre les GPS solaires, les casques avec éclairages intégrés et maintenant les lampes connectées, l’industrie cycliste suit de près les innovations automobiles pour offrir plus de sécurité active aux usagers.
L’éclairage vélo Trek devient ainsi un outil central de cette transformation, en combinant performance lumineuse et connectivité intelligente.
Cet article original intitulé Trek Ion 200 RT et Flare RT : le nouvel éclairage vélo connecté pour plus de sécurité a été publié la première sur SysKB.
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Un nouveau film Le Seigneur des anneaux est actuellement en préparation. Prévu pour 2027, il portera sur Gollum, personnage phare de la saga.
En raison de l'arrivée de Superman en SVOD (depuis le 15 août aux États-Unis), Warner Bros. met en ligne les 10 premières minutes du film, réalisé par James Gunn. Une aubaine pour convaincre les quelques indécis.
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Les États-Unis viennent de réussir une saisie de 28 millions de dollars en cryptomonnaies volées par un pirate lié à un ransomware. Une opération menée par le Département de la Justice qui illustre la montée en puissance des autorités dans la lutte contre la cybercriminalité. Au-delà de l’aspect spectaculaire, ce coup porté à l’écosystème cybercriminel révèle de nouvelles tendances dans la lutte contre les ransomwares.
Selon le communiqué officiel, le pirate visé avait amassé des millions de dollars en cryptomonnaies après plusieurs attaques par ransomware. Comme de nombreux cybercriminels, il avait recours à des mixers et à des plateformes d’échange de cryptomonnaies pour tenter de dissimuler l’origine des fonds.
Or, contrairement à l’idée largement répandue, les transactions blockchain, même pseudonymes, laissent une empreinte publique indélébile. Les enquêteurs américains, épaulés par des experts en forensic blockchain, ont ainsi pu reconstituer les flux financiers et remonter jusqu’aux adresses associées aux paiements de rançons. Une fois les fonds identifiés, les autorités ont procédé à leur gel et à leur saisie effective.
Les ransomwares prospèrent depuis plus d’une décennie en raison d’un modèle économique simple : chiffrer les données critiques d’une victime et exiger un paiement en cryptomonnaie, généralement en Bitcoin ou en Monero.
Cette dépendance aux cryptomonnaies constitue aussi une faiblesse structurelle pour les cybercriminels. Les blockchains publiques permettent, avec les bons outils, de suivre les flux financiers, d’identifier des schémas de blanchiment et de localiser des portefeuilles suspects.
L’opération américaine démontre que les cybercriminels, même en multipliant les étapes d’obfuscation, ne sont pas à l’abri d’une enquête de grande ampleur.
La saisie de 28 millions de dollars ne s’explique pas uniquement par la chance ou une erreur du pirate. Elle résulte d’une coopération entre agences fédérales (FBI, IRS, US Secret Service) et de l’adoption d’outils de plus en plus sophistiqués pour l’analyse blockchain.
Des entreprises spécialisées comme Chainalysis, Elliptic ou TRM Labs fournissent des solutions capables de :
Ces technologies donnent désormais aux autorités un avantage significatif, rendant de plus en plus difficile le blanchiment discret de fonds massifs issus de ransomwares.
En communiquant largement sur cette opération, le Département de la Justice américain envoie un signal clair aux acteurs de la cybercriminalité :
aucune transaction n’est réellement à l’abri de l’investigation, et les profits générés par les ransomwares peuvent être confisqués à tout moment.
Cela a plusieurs implications :
Cette saisie record de 28 millions de dollars ne signe évidemment pas la fin des ransomwares. Les cybercriminels innovent constamment, que ce soit en utilisant des cryptos plus anonymes, en exigeant des paiements fractionnés ou en exploitant des services de DeFi (finance décentralisée).
Cependant, la tendance est claire : les États-Unis, suivis par l’Europe, investissent massivement dans les capacités de cybertraçage financier. À moyen terme, il est probable que :
En somme, si les ransomwares restent une menace critique, l’opération américaine prouve qu’un rapport de force technologique est en train de basculer. Les blockchains, longtemps perçues comme un bouclier pour les criminels, pourraient devenir leur plus grande vulnérabilité.
Cet article original intitulé Les États-Unis saisissent 28 millions de dollars en cryptomonnaies volées : un coup de semonce pour les opérateurs de ransomwares a été publié la première sur SysKB.
La compilation Tomb Raider IV-VI Remastered a reçu un patch qui fait scandale en raison du remplacement de certaines lignes de dialogue en français par une IA. La doubleuse Françoise Cadol n'a, semble-t-il, pas été mise au courant.
Nintendo est dans le viseur de la PETA, association qui défend les droits des animaux, à cause de Mario Kart World. En cause : l'anneau porté par la vache.
Renault est en discussions avec le ministère des Armées pour participer à la production de drones en Ukraine, en partenariat avec une PME de défense locale. Si cette initiative représente un tournant industriel majeur, elle expose également le constructeur automobile à un nouveau front : celui de la cybersécurité. Dans un contexte où les cyberattaques se multiplient contre l’industrie des drones, l’éventuelle implication de Renault soulève des enjeux stratégiques bien au-delà du champ militaire.
Les drones sont devenus l’une des armes les plus décisives du conflit russo-ukrainien. Mais leur production est désormais autant menacée par les bombardements physiques que par les attaques numériques. Début août, des hackers ukrainiens affiliés à l’Ukrainian Cyber Alliance et au BO Team ont revendiqué une cyberattaque massive contre Gaskar Group, l’un des principaux fabricants russes de drones. Résultat : plus de 47 téraoctets de données effacés, des systèmes paralysés et une chaîne de production mise hors service.
Ces opérations montrent que les usines et leurs systèmes IT/OT (Information Technology / Operational Technology) sont devenus des cibles prioritaires dans la guerre moderne.
Si Renault s’engage dans la production de drones, il devra faire face à des menaces bien différentes de celles du secteur automobile classique. Les risques incluent :
En clair, Renault devrait se transformer en acteur cyber-résilient, en adoptant une approche de sécurité digne du secteur de la défense.
Au-delà des infrastructures, le facteur humain est central. Les salariés, peu habitués à un contexte militaire, pourraient devenir des cibles privilégiées de campagnes de phishing, de social engineering ou de tentatives de corruption. La réussite du projet dépendra donc autant de l’élévation du niveau de sensibilisation interne que du déploiement de technologies de cybersécurité avancées.
La participation de Renault à un projet de drones en Ukraine serait un tournant historique, plaçant un constructeur automobile civil au cœur d’un écosystème militaire. Mais cette décision ne pourra se prendre qu’en intégrant une dimension essentielle : sans une cybersécurité robuste, toute ambition industrielle pourrait être rapidement compromise par un adversaire numérique.
Cet article original intitulé Renault et le projet de drones en Ukraine : un défi industriel sous le feu de la cybersécurité a été publié la première sur SysKB.
Le coup d'envoi de la saison 2025/2026 du championnat de France de foot signe le lancement de la plateforme Ligue 1+. À cette occasion, elle offre un match, celui entre PSG et Nantes, programmé ce dimanche soir.