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Détecteur de particules, large réservoir, bonne autonomie : enfin un aspirateur-balai sans compromis chez Dyson ? Le V16 Piston Animal nous donne la réponse !
“Tu testes une nouvelle œuvre d’art ?” C’est ce que notre colocataire nous a demandé en nous voyant déballer le V16 Piston Animal, nouveau venu chez Dyson. Et c’est vrai que ce dernier modèle est typique de la DA de la marque : haut en couleurs et en dorures. Après le V15 detect absolute puis le Gen5 detect, puissants, pratiques, légers, intelligents, … qu’a-t-il à nous proposer ?
Nous avons fait le tour de la question et de notre appartement, équipé de cet appareil qui représente l’ensemble du savoir-faire Dyson en 2025. À quelles performances s’attendre ? Nous avons bien notre petite idée. Quelles innovations à découvrir ? Là, on est un peu moins certain de la réponse… Ergonomie, polyvalence, autonomie, rapport qualité/prix : voici donc notre rapport complet sur le V16 Piston Animal !
Caractéristique Techniques | |
---|---|
Dimensions | 129,8 x 25,9 x 25 cm |
Poids | 3,4 kg |
Filtre | Multicyclonique, Mousse, HEPA 99,9 % à 0,1 micron |
Moteur | Hyperdymium 900 W |
Temps de charge | 3h30 |
Durée de fonctionnement | entre 15 et 75 min |
Contenance du collecteur | 1,3 L |
Puissance d’aspiration | 315 AW |
Modes aspirations | 3 (éco, auto et boost) |
Volume sonore | 72 dB – 81 dB (mesurés) |
Application | Dyson (iOS et Android) |
Indice de réparabilité | 7,9/10 |
Garantie | 2 ans |
Prix | standard : 849 € kit d’accessoires en sus : 899 € version submarine : 999 € |
Dans l’ensemble, la fiche technique est à la hauteur d’un flagship Dyson. Le collecteur est vraiment grand, l’aspiration puissante (240 AW et 280 AW pour les V15 detect absolute et Gen5 detect) et le poids correct, lequel se situe entre le V15 (3,1 kg) et le Gen5 (3,5 kg). Le temps de charge se réduit aussi d’une heure par rapport à ses aînés, et son indice de réparabilité augmente légèrement. En somme, le fabricant a décidé de placer la barre un peu plus haut.
Nous avons reçu le pack standard à 849 €, lequel se présente ainsi :
Nous retrouvons la sempiternelle station murale à vis et les accessoires de base pour faire les coins, les voitures, escaliers étroits, etc. Et puis c’est tout. Pour 50 € de plus, vous aurez le “kit de nettoyage minutieux” lequel se résume à trois embouts supplémentaires (brosse anti-rayure, tuyau flexible et un suceur qui se plie à 22°). Where is the adaptateur (l’articulation qui permet de passer plus facilement sous les meubles bas) ? Nulle part, c’est 45 € à part… À côté d’un Shark PowerDetect Clean (avec station d’auto-vidange), on commence à froncer un peu les sourcils…
La version Submarine existe aussi, à 999 €, qui intègre seulement la brosse lavante au pack de base, sans dock de charge ni même d’autonettoyage. Et là, c’est notre Tineco S9 Artist qui pouffe. Est-ce que la marque se repose sur son image premium pour contenir sa générosité ?
Le petit coup de gueule passé, on peut s’attarder un peu sur l’appareil en lui-même. Comme mentionné en intro, il est clinquant, avec de très belles finitions, bref : on a hâte de s’en servir, pour sûr !
On remarque que le bloc principal de l’aspirateur embarque son propre mini-tube d’aspiration : c’est un petit plus pour attraper au vol quelques miettes sur une table ou autres débris de petite taille. La nouvelle brosse conique attire l’attention : elle est épaisse et munie de fibres qui accrocheront les poils et les cheveux ; elles devraient également pouvoir racler la poussière des tapis. Elle est munie d’un éclairage LED vert très efficace – et désormais centré – pour faire ressortir les saletés sur sol dur.
Nota Bene : pour retirer la brosse sans vous baisser, le tube principal est muni d’une collerette de déverrouillage qui permet d’activer à distance le bouton du bas. Tirez vers vous en gardant le pied sur la All Floors Cones Sense et elle se désolidarisera de l’ensemble.
On apprécie toujours autant la batterie amovible, extrêmement pratique pour la charger en la séparant de l’appareil. On peut en acheter une autre pour alterner et bénéficier d’une autonomie quasi infinie.
Le support mural intègre deux ports d’accessoires, très pratiques pour les ranger au même endroit et ne jamais les perdre au fond d’un placard.
Quant au panneau de commandes, il est composé d’un écran LCD et de deux boutons. Le rouge sert de marche/arrêt, le gris de changement de mode d’aspiration. Pas de gâchette, donc : il faudra utiliser les deux mains pour faire fonctionner l’appareil, car le pouce ne suffira pas à aller chercher les boutons de commande. Enfin, l’écran LCD reprend les fonctionnalités qu’on lui connaissait jusqu’à présent :
Et c’est là qu’on lâche un second (léger) soupir…
L’interface de l’écran vous encourage à télécharger l’application et à activer le Bluetooth de votre téléphone pour procéder à un appairage comme sur les aspirateurs-robots. Vous pouvez passer cette étape en appuyant simplement sur le bouton gris. Sélectionnez la langue (appuyer rapidement = modifier ; appuyer longtemps = valider) et vous pouvez utiliser l’appareil normalement.
Si vous avez envie de vous la jouer “connecté”, rendez-vous sur l’Appstore ou Google Play (ou bien utilisez le QR code qui s’affiche à l’écran) et téléchargez l’appli. Pas besoin de code Wi-Fi, la connexion Bluetooth suffit. Gardez le téléphone proche de l’aspirateur et attendez que l’appairage se fasse. Il y aura des mises à jour à effectuer : mettez votre smartphone sur le Wi-Fi domestique, branchez le Dyson V16 à une prise, vérifiez qu’il soit à 20% de batterie ou plus et lancez la mise à jour. Vous avez le temps de vous faire un potit café avant de vous lancer dans le ménage proprement dit.
L’application Dyson vous donne accès :
Nota Bene : malgré nos mises à jour et l’activation du module “détection d’une tâche”, le suivi de nos sessions ne s’est jamais activé.
Non, ce n’est pas totalement inutile, mais ce n’est évidemment pas sur ce point que vous en aurez pour votre argent, vous en conviendrez. Alors passons.
3,4 kg, ce n’est pas le plus léger que l’on trouve sur le marché, certes. Mais à regarder la taille de la brosse, l’autonomie et la puissance du moteur, on peut estimer que l’on s’en sort plutôt bien. En outre, entre le corps et la brosse, le poids se répartit convenablement, donc on peut le manier sans peine. Bien sûr, le système de commandes rend plus difficile une aspiration fractionnée, là où une gâchette verrouillable aurait permis une plus grande flexibilité.
La brosse pivote à près de 180° au gré de vos déplacements tout en restant facile à maîtriser. En revanche, l’accroche du rouleau conique imprime une légère résistance au moment d’accélérer le geste. La sensation est moins agréable sur sols durs que la Fluffy d’un V15 detect. On sent clairement que son terrain de prédilection se situe surtout au niveau des tapis et des moquettes.
En dépit de l’absence d’une articulation supplémentaire, il est assez aisé de passer sous les meubles avec une marge de 9,5 cm. Il faudra juste se baisser un peu et profiter des LEDs pour voir un peu mieux ce que l’on aspire. Comme ses prédécesseurs, il ne profite pas d’une position parking par défaut, ce qui nous oblige à le poser au sol lorsqu’on veut déplacer une chaise, afin de ne pas risquer qu’il ne glisse et percute le carrelage ou le plancher.
En mode aspi-main, il pèse environ 2,15 kg, ce qui le rend tout à fait manoeuvrable sur toutes les surfaces, qu’importe l’accessoire choisi. La mini-brosse motorisée est toujours la bienvenue pour passer sur les tissus de canapé ou de banquette automobile. Le tube long suceur et la brosse fixe sont réservés aux recoins où la poussière peut avoir tendance à s’accumuler, plutôt que de jouer du plumeau.
Le V16 Piston Animal suit une tendance plutôt bienvenue dans la technologie Dyson : automatiser certains réglages en fonction des besoins de l’utilisateur en temps réel. Cette perspective concerne :
Il est possible de tout mettre en mode éco par défaut (vitesse faible, éclairage éteint), ou de pousser à fond tous les curseurs, ce qui aura évidemment un impact non négligeable sur l’autonomie.
Sur le papier, le V16 Piston Animal est l’appareil le plus puissant commercialisé par Dyson à ce jour, avec ses 315 AW. Qu’à cela ne tienne, nous allons lui faire manger du carrelage et du tapis à gogo. Pour notre test, nous utiliserons, comme d’habitude, un mélange de 50 g de grains de riz et 50 g de café.
Sur sol dur, nous l’avons mis en mode éco : il s’est acquitté de sa tâche à 100 % en 1’26’’. Quelques grains se font éjecter s’ils ne sont pas pris correctement dans la brosse, mais on les récupère tout de suite après.
Sur tapis à poils court, nous avons enclenché le mode “auto”, tant pour l’aspiration que pour la vitesse de la brosse. Le 100 % a été atteint après 1’07’’. Le problème d’éjection reste le même, bien que très marginal, mais la sensation d’adhérence est vraiment meilleure que sur sols durs.
Nota Bene : un capteur piézo compte les particules et les classe par taille dans un histogramme des plus petites (à gauche) aux plus grosses (à droite). La couleur des bandes et de l’anneau évolue en fonction de la quantité aspirée, se rapprochant du rouge à mesure qu’elle augmente.
Enfin, le test ultime : nous avons parachuté les 100 g de grains dans la jungle de notre bon vieux tapis à poils longs et épais. Pour les débusquer, le V16 a eu plus de mal : il lui a fallu plus de cinq minutes pour en venir à bout. L’une des causes est que l’appareil considérait qu’il était obstrué, soit au niveau du filtre, soit au niveau de la brosse ou des tuyaux.
Dans ces cas-là, l’aspiration cesse automatiquement et il faut reprendre l’aspiration après quelques secondes de pause (ou intervenir si le problème subsiste). En conséquence, le plus efficace a été d’activer le mode éco pour récupérer un maximum de grosses particules sans saturer l’appareil, puis repasser en mode automatique pour aller chercher les derniers grains de riz emprisonnés dans la fibre et, accessoirement, toute la poussière fine accumulée depuis plusieurs semaines.
Nota Bene : le mode Boost revêt un intérêt très limité par rapport au mode Auto qui ajuste très bien la puissance de l’appareil en temps voulu. Le conserver est rassurant psychologiquement, mais à l’usage, on a plutôt tendance à pester lorsque l’on tombe dessus par accident.
Franchement, après l’avoir vu récurer nos tapis, difficile de demander mieux. Et même pour les sols durs : avant de passer la serpillère, c’est agréable d’avoir un carrelage bien net, sans particules volantes.
La brosse All Floor Cones Sense y est pour beaucoup, mais nous avons relevé un minimum de 72 dB en mode Éco (mesuré au sonomètre à un mètre de l’appareil) et un maximum de 81 dB en mode Boost. Ce n’est pas insupportable, mais on s’en lasse tout de même assez vite. En Auto, il oscille autour des 75 dB. Bien sûr, c’est sur tapis qu’il est le plus bruyant. En aspi-main, on descend à 69 dB, au grand soulagement de nos tympans délicats.
Plusieurs facteurs vont contribuer à vider la batterie du Dyson V16 Piston Animal : le choix de la brosse, l’éclairage et la vitesse du All Floor Cones Sense lorsqu’il est installé, évidemment le mode d’aspiration. En mode aspi-main sans aucune brosse motorisée, on dépasse les 75 minutes d’utilisation.
Avec la brosse principale, le mode éco permet de toucher du doigt les 70 minutes. En mode auto, selon le degré de saleté au sol, comptez entre 30 et 50 minutes. Enfin, le Boost pur a beau afficher plus de 20 minutes au départ, tablez plutôt sur un bon quart d’heure de fonctionnement ininterrompu. Quant à la durée de charge, elle a été de 3h20 environ, ce qui est légèrement inférieur à la valeur annoncée, alors on prend.
Le V16 est doté d’un dispositif de compactage de poussière (CleanCompaktor™), lequel permet de contenir jusqu’à 30 jours de poussière selon l’usage. Pour s’en servir, il suffit de faire coulisser le loquet rouge afin que tout le contenu se tasse contre la trappe, activable dans un second temps au moyen du loquet gris. Il est préférable de l’ouvrir en le plaçant tout près de la poubelle, sans quoi vous risquez de voir la poussière la plus volatile s’éparpiller autour.
Les moutons emmêlés aux cheveux s’accrochent parfois au bord de la fermeture : faites coulisser le levier plusieurs fois d’affilée pour les faire lâcher prise. Il peut arriver de devoir y mettre les doigts, mais c’est plus rare que pour le traditionnel Point&Shoot.
Nota Bene : si vous avez oublié de remonter le loquet rouge (ça va vous arriver !), l’aspirateur considérera que le collecteur est plein et bloquera automatiquement son activation. Vous n’aurez qu’à remonter le poussoir pour remédier au problème.
L’écran LCD va également jouer un rôle clé dans la maintenance du V16. En effet, non content de vous prévenir en cas d’anomalie, il affiche à répétition de mini-tutoriels muets pour vous mettre sur la voie de la marche à suivre. Avec un peu de chance, vous n’aurez pas à consulter le manuel pour vous en sortir.
Comme mentionné plus haut, l’application est très fournie en guides vidéo pour prendre soin de votre agent de nettoyage express impliquant des gestes tels que :
En somme, une documentation assez complète et facile à trouver vous aide à vraiment choyer votre aspirateur-balai de luxe. Chaque tuto dure entre 30 secondes et 2 minutes, comprenant des images et des sous-titres en français. Chaque geste à effectuer est donc on-ne-peut-plus clair. Pour nous, c’est le réel point fort de l’appli.
On termine avec une bonne note, puisque Dyson a pu développer une boutique bien fournie et accessible pour customiser ses flagships.
On ne va pas en rajouter une couche sur le prix de chaque kit ou accessoire, vous avez compris l’idée… Au moins, vous pourrez faire votre propre équipement en fonction de vos besoins réels plutôt que de vous retrouver avec trop de morceaux de plastique renforcé superflus sur les bras.
Nota Bene : Dyson est régulièrement en rupture de stock mais propose de vous prévenir lorsque le magasin est réapprovisionné.
Concernant les pièces détachées, vous en trouverez certains directement dans la boutique principale (chargeur, batterie, filtre, brosse All Floor Cones Sense, etc.). Pour trouver des composants plus confidentiels, vous devrez consulter la page consacrée aux pièces de rechange afin de commander précisément l’élément qui vous fait défaut. C’est cohérent avec l’indice de réparabilité, même si nous ignorons pendant combien de temps les pièces seront disponibles.
Nota Bene : chaque pièce dispose d’une garantie de 12 mois indépendamment de l’ensemble.
Au quotidien, le Dyson V16 Piston Animal coche les cases du flagship : puissance mesurée très haute (315 AW), autonomie solide, compaction du bac efficace et tête anti-emmêlement vraiment pertinente pour les foyers avec animaux. Sur tapis surtout, il envoie — et c’est clairement là qu’il brille chez nous.
Mais stratégiquement, Dyson donne l’impression de capitaliser un peu trop sur son aura. Outre sa bonne (très bonne) performance, les autres avantages du produit (appli, écran LCD, détecteur de particules, compresseur de déchets) ne sont pas assez décisifs pour justifier automatiquement le prix face à des rivaux très malins côté confort. On pense notamment au Shark Detect Pro / PowerDetect Clean & Empty, lequel mise sur l’auto-vidange (dock) à un prix plus agressif. Moins premium dans la finition, il reste très convaincant en perfs globales.
La version Submarine peut lui rapporter des points, bien sûr, mais face à l’avancée d’aspirateurs-laveurs plus aboutis comme les derniers modèles de Tineco (S7 Switch à 499 et S9 Artist à 649 €), il y a vraiment de quoi hésiter à prendre ce tout-en-1 qui va demander a minima 200 € d’achat d’accessoires supplémentaire pour un usage vraiment confortable.
Néanmoins, on lui reconnaîtra de supplanter le Gen5 detect (899 €) sans faire s’envoler davantage les prix, et même de tenir tête à un Samsung Bespoke Jet AI Ultra (1350 €), certes plus léger et plus discret, mais dont l’autonomie est bien faible et le système de vidange (station + sacs) finalement moins astucieux selon nous, bien qu’un peu plus hygiénique sur le papier.
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Razer continue de montrer ses accessoires pour bureau et a là encore de quoi habiller votre setup pour l’automne. Après la barre lumineuse Aether Monitor Light Bar, qui se positionne clairement sur le segment premium, vendue en moyenne autour de 150 €, on se retrouve pour le test des Aether Standing Light Bars. D’ailleurs si vous l’avez raté, le test de l’Aether Monitor Light Bar est ici.
Nos barres lumineuses du jour se trouvent elles au prix de 100$ sur le store US de la marque. Alors, ici, simple gadget ou must-have ? Place au test !
La boîte des Aether Standing Light Bars adopte le style sobre aux couleurs noirs et vertes propres à Razer. La face avant montre clairement les deux barres en action dans un setup coloré, accompagnées du logo Chroma RGB. À l’arrière, on retrouve les principales fonctionnalités mises en avant, avec un accent sur la synchronisation et l’immersion lumineuse. Les côtés indiquent les caractéristiques techniques essentielles, tandis que le dessus affiche le nom du produit et le dessous regroupe les mentions légales et codes-barres.
Dimensions de l’article L x l x H | 32 x 440 x 32 millimètres |
Marque | Razer |
Couleur | Noir |
Facteur de forme | Barre |
Position de la pièce | Partie frontale |
Composants inclus | Razer Aether Light Stand |
Poids de l’article | 800 Grammes |
Niveau de résistance à l’eau | Non étanche |
Nombre de pièces | 1 |
Type d’adaptation | Ajustement universel |
Installer les Standing Light Bars est simple et rapide. Les socles se fixent facilement, les barres tiennent bien en place et peuvent être disposées aussi bien verticalement qu’horizontalement selon la configuration souhaitée. Leur format compact permet de les placer derrière un écran, de chaque côté d’un bureau ou même sur une étagère pour créer une ambiance plus diffuse.
L’alimentation en USB-C simplifie l’intégration, et comme toujours, la gestion logicielle passe par Razer Synapse. Un choix qui ravira les habitués de l’écosystème Chroma, mais qui peut rebuter ceux qui préfèrent le plug-and-play.
Après avoir présenté l’Aether Monitor Light Bar, Razer complète sa nouvelle gamme d’éclairage connecté avec les Aether Standing Light Bars, deux colonnes lumineuses conçues pour accompagner vos sessions gaming, vos films et même vos moments de détente. Le but est simple : offrir une meilleure immersion grâce à un éclairage dynamique et personnalisable, tout en s’intégrant parfaitement dans l’écosystème Razer Chroma RGB.
Positionnées comme des concurrentes directes des Philips Hue Play, ces Standing Light Bars veulent séduire les joueurs déjà conquis par l’univers Razer et ceux qui cherchent une solution élégante pour transformer l’ambiance de leur bureau. Mais tiennent-elles leurs promesses ?
Côté éclairage, force est de constater que Razer a soigné son travail. La lumière diffusée est homogène, fluide et puissante sans jamais être agressive. Le diffuseur adoucit parfaitement les transitions de couleurs, ce qui évite l’effet « néon trop marqué » que l’on retrouve parfois chez des concurrents moins haut de gamme.
En duo, les barres placées derrière un moniteur ou de chaque côté de l’écran apportent une véritable sensation d’ambi-light, renforçant l’immersion dans les jeux et les films. La synchronisation avec Chroma RGB est l’un des gros points forts : vos barres peuvent s’illuminer au rythme de vos périphériques Razer, ou réagir en temps réel à certains jeux compatibles. Explosion de couleurs dans un MMO, rouge sanglant pour un survival-horror, ou encore ambiance douce orangée pour une soirée cocooning : les possibilités sont quasi infinies.
L’intérêt ne se limite d’ailleurs pas au gaming. Les Standing Light Bars peuvent aussi être utilisées en lumière d’ambiance, par exemple en mode blanc chaud pour lire ou travailler, ou en lumière tamisée pour accompagner une playlist chill. Leur polyvalence permet de passer d’un bureau de travail sobre à une salle gaming immersive en un clic.
Cependant, comme souvent avec Razer, le prix est le premier frein. Les Aether Standing Light Bars se positionnent clairement dans le haut de gamme, au niveau voire au-dessus des Philips Hue Play, qui dominent déjà le marché. On paie ici le design soigné, la qualité de fabrication et l’intégration poussée à l’écosystème Chroma.
L’autre contrainte reste la dépendance à Synapse. Sans le logiciel, les barres fonctionnent, mais impossible de profiter pleinement de la personnalisation, de la synchronisation ou des effets dynamiques. Pour les utilisateurs déjà équipés Razer, ce n’est pas un problème, mais pour ceux qui cherchent une solution simple et universelle, cela peut être un frein.
Enfin, si l’effet immersif est excellent, la surface couverte reste limitée. Deux barres suffisent pour un bureau ou un petit salon, mais pour un rendu plus panoramique, il faudra multiplier les éléments de la gamme Aether.
Les Razer Aether Standing Light Bars sont une réussite. Design premium, installation simple, qualité d’éclairage impeccable et immersion au rendez-vous : elles remplissent parfaitement leur rôle et vont bien au-delà d’un simple gadget RGB. Dans un setup déjà équipé de périphériques Razer, elles trouvent immédiatement leur place et renforcent la cohérence de l’ensemble.
Leur prix élevé et la dépendance à Synapse les réservent cependant à un public déjà conquis par la marque ou prêt à investir dans un écosystème complet. Si vous cherchez une solution accessible et universelle, il existe des alternatives moins coûteuses. Mais si vous voulez le nec plus ultra de l’éclairage gaming-cocooning, les Standing Light Bars sont un choix presque incontournable.
Test – Aether Standing Light Bars de Razer a lire sur Vonguru.
Présentation, déballage, montage, prise en main du générateur électrique portable VTOMAN Jump 2200, voic mon avis après un test complet.
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Le postérieur, l’arrière-train, le séant, l’assise, le popotin, la lune… autant de mots pour désigner les fesses, mais bien peu d’entrain quand il s’agit de les montrer. C’est du moins l'orientation que l'on pourrait attribuer aux développeurs du remaster de Final Fantasy Tactics, qui paraissent décidés à dissimuler celles du héros principal.
Aujourd’hui, on vous dévoile une nouveauté annoncée à l’IFA 2025 et qui est sortie dans nos contrées le 26 septembre dernier, l’aspirateur laveur M50 Ultra de MOVA. Il s’agit d’ailleurs de la toute première fois que nous testons cette marque !
Si vous en avez assez de jongler entre aspirateur et serpillière, le MOVA M50 Ultra pourrait bien être la solution. Ce dernier combine aspiration puissante et lavage des sols en un seul geste, avec un design moderne et un manche pliable qui facilite vraiment la vie. Voyons maintenant ce qu’il vaut dans la pratique !
À l’heure où ses lignes sont écrites, il est disponible en promotion sur Amazon au prix de 499 €. Place au test !
Sur la face avant, le M50 Ultra trône en grand, mis en scène avec son nom bien en évidence et son bras flexible, sans oublier sa puissance d’aspiration. À gauche et à droite, le packaging met l’accent sur ses atouts principaux, illustrés par quelques visuels montrant l’aspiration et le lavage combinés. Nous y reviendrons plus en détails peu après.
À l’arrière, on retrouve les détails pratiques comme les caractéristiques clés et les accessoires inclus, mais aussi quelques mentions de conformité et des informations techniques obligatoires.
Marque | Mova |
Caractéristique spéciale | Bras et poignet pliable et extensible |
Sans fil | Oui |
Capacité | 750 Millilitres |
Produit | Aspirateur laveur |
Couleur | Noir |
Dimensions du produit | 32L x 33,2l x 124H centimètres |
Niveau sonore | 55 dB |
Corps principal
Poignée
Base de chargement
Baguette désodorisante
Solution de nettoyage
Brosse
Rouleau de brosse
Filtre
Quand on parle d’aspirateurs laveurs, il est assez rare de tomber sur un appareil qui tente le défi de réunir puissance, confort ET innovation. Le MOVA M50 Ultra essaie pourtant de faire cela. Dès le premier déballage, on comprend que l’appareil n’a pas été conçu à la légère. Son design moderne et élégant attire l’œil, et la qualité des matériaux se ressent, même s’il faudra voir sur la durée. Le manche, baptisé FlexMaster Pro, est pliable et réglable, ce qui change radicalement l’expérience du nettoyage. Fini de se pencher ou de se contorsionner pour atteindre les coins difficiles : le M50 Ultra s’adapte à toutes les tailles et à toutes les situations, que ce soit pour passer sous un canapé ou atteindre un mur derrière un meuble.
La première utilisation est presque ludique. Le glissement sur les sols est fluide, et l’aspiration, d’une puissance annoncée à 22 000 Pa, ne laisse rien derrière elle. On remarque très vite que les miettes, la poussière et même les poils d’animaux disparaissent presque instantanément. Mais ce qui rend vraiment le M50 Ultra impressionnant, c’est sa capacité à laver les sols en profondeur. La brosse chauffée à 100°C n’élimine pas seulement la saleté, elle détruit aussi bactéries et mauvaises odeurs, un vrai plus pour ceux qui ont des enfants ou des animaux. La technologie EdgeCoverage permet de nettoyer jusqu’au bord des murs et dans les coins, là où les aspirateurs traditionnels laissent souvent des traces voire des résidus.
En parlant d’hygiène, MOVA a pensé à tout. L’entretien du M50 Ultra est étonnamment simple pour un appareil aussi complet. Le réservoir d’eau propre se remplit en un clin d’œil et le réservoir d’eau sale se vide sans effort, même si j’ai trouvé la contenance de ce dernier un peu limité. La brosse se nettoie presque toute seule grâce au système automatique, et le filtre HEPA intégré capture les particules fines et les allergènes, ce qui en fait un bon choix pour les personnes sensibles à la poussière. Après quelques jours d’utilisation, on apprécie particulièrement cette combinaison de performance et de praticité, surtout avec des animaux et des enfants. L’aspirateur reste puissant et hygiénique sans nécessiter un entretien quotidien fastidieux, ce qui est souvent le talon d’Achille de ce type d’appareils.
L’autonomie est un autre point fort du M50 Ultra. Comptez environ 60 minutes en mode standard, ce qui est suffisant pour nettoyer un appartement ou plusieurs pièces d’une maison. J’utilise surtout ce type d’appareil dans la cuisine et le salon, moins à l’étage où le robot aspirateur fait le travail tout seul tous les jours. En mode boost, la batterie tient relativement bien, et la recharge complète se fait en environ quatre heures. Je noterai également un bruit de grincement ou de vibration basse fréquence, notamment lors de l’utilisation de la fonction de lavage. J’ai notamment ce souci sur mes sols carrelés. Ce n’est pas gênant mais cependant notable.
Au-delà des performances techniques, l’expérience d’utilisation est agréable. Attention cependant ! Le poids de l’appareil est légèrement plus élevé que certains modèles concurrents, mais il est équilibré, ce qui rend la manipulation beaucoup plus confortable qu’on pourrait le penser au premier abord. Le bruit est présent, mais relativement contenu par rapport à d’autres aspirateurs puissants.
Nous allons maintenant furtivement le comparer au dernier modèle concurrent que nous avons testé, à savoir le H15S de Dreame, afin de vous donner une idée des petites différentes entre deux modèles très récents. Par exemple, le M50 Ultra se distingue par sa puissance d’aspiration de 22 000 Pa, son manche pliable et réglable, et son système de brosse chauffée à 100 °C pour un nettoyage en profondeur et hygiénique. Le Dreame H15S propose une aspiration proche (21 000 Pa) et un bras robotisé efficace pour atteindre les bords et les coins, mais son manche est plus classique et sa brosse ne chauffe pas autant. En résumé, le M50 Ultra mise sur l’innovation et la praticité, tandis que le H15S privilégie une approche plus traditionnelle avec un bon rendu sur les contours.
Bien sûr, tout cela a un prix. Le M50 Ultra se positionne dans le haut de gamme, et son tarif est élevé mais reste dans la moyenne quand on le compare à la concurrence. On notera également sur les consommables se trouvent facilement directement sur le site de la marque, ce qui fait là aussi un bon point pour notre modèle du jour.
Pour conclure, le MOVA M50 Ultra ne se contente pas d’aspirer ou de laver : il propose une approche complète et réfléchie du nettoyage. Il séduit par sa technologie avancée, son design ergonomique et sa facilité d’entretien. Pour ceux qui cherchent un aspirateur laveur capable de gérer à la fois la poussière, les taches tenaces et les sols difficiles d’accès, tout en offrant une utilisation confortable et intelligente, le M50 Ultra est un investissement qui en vaut clairement la peine. C’est un appareil pensé pour simplifier la vie et rendre le ménage plus efficace et rapide.
On rappellera qu’à l’heure où ses lignes sont écrites, il est disponible en promotion sur Amazon au prix de 499 €.
Test – Aspirateur laveur M50 Ultra de MOVA a lire sur Vonguru.
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