Elles semblent fixes dans notre ciel. Pourtant, toutes les étoiles sont en mouvement. Et deux d’entre elles ont rendu une visite à notre Soleil. C’était il y a plus de 4 millions d’années. Mais les traces sont toujours là…
Lancé pour deux ans en 1995, SoHO aura passé trois décennies à photographier chaque souffle du Soleil. La mission s’arrêtera le 31 décembre 2025, laissant une moisson scientifique unique.
Synchroniser les horloges entre la Terre et Mars sera indispensable pour les futures missions habitées. Mais la relativité complique sérieusement l’exercice : en raison des champs de pesanteur différents et de leurs vitesses orbitales, les horloges martiennes avancent d’environ 477 microsecondes par jour. Un écart qui varie en plus au fil de l’année martienne.
L'arrivée de l'hiver ne facilite pas les longues sorties nocturnes, mais il faut rester motivé en décembre 2025 pour observer le ciel (ou bien le regarder en restant au chaud, à travers sa fenêtre). Deux essaims d'étoiles filantes et une comète méritent d'être admirés.
Depuis 1995, SoHO observe le Soleil sans relâche et a révélé une étoile bien plus active qu’on ne l’imaginait. À la fin de 2025, l’observatoire mettra un point final à une mission devenue essentielle.
En plus de son origine lointaine, la comète interstellaire 3I/Atlas a une autre particularité remarquable : elle projette d'énormes jets de glace lors d'éruptions qualifiées de volcaniques. Cela a surpris les scientifiques.
La comète interstellaire 3I/Atlas a été observée pour la première fois en juillet dernier. Depuis, il semble que les astronomes lui découvrent une caractéristique inattendue à chaque fois qu’ils pointent un instrument sur elle. Cette fois, des volcans en éruption…
Des étincelles minuscules ont été enregistrées au cœur des tourbillons de poussière martiens. Captés par le microphone du rover Perseverance, ces signaux révèlent l’existence de décharges électriques dans l’atmosphère de Mars. Une découverte qui éclaire la chimie, le climat et même l’habitabilité de la planète rouge.
La sonde européenne Solar Orbiter a observé ce qu’aucun instrument n’avait pu contempler avant elle : le pôle sud de notre étoile. Or les images montrent que dans les régions polaires, le champ magnétique se comporte de manière très différente de ce que les scientifiques imaginaient.