Vue normale

Reçu aujourd’hui — 12 novembre 2025

Apple et WhatsApp se battent contre les logiciels espions au milieu de leurs liens avec la Maison Blanche

12 novembre 2025 à 03:24

Avec des préoccupations croissantes concernant la vie privée et la surveillance, les récentes promesses des géants technologiques tels qu’Apple et Meta de protéger les utilisateurs contre les « logiciels espions mercenaires » sont plus pertinentes que jamais. Alors que ces plateformes défendent leurs utilisateurs, les implications de la technologie des logiciels espions dans notre vie […]

Le post Apple et WhatsApp se battent contre les logiciels espions au milieu de leurs liens avec la Maison Blanche est apparu en premier sur Moyens I/O.

Reçu — 10 novembre 2025

Chauffe-eau instantané ou ballon d’eau chaude ? Le choix intelligent des propriétaires !

10 novembre 2025 à 16:06
Une chauffe-eau instantané vs ballon à accumulation

Acheter un logement revient souvent à se poser une question stratégique : comment produire l’eau chaude sanitaire sans plomber le budget ni sacrifier le confort ?

Deux technologies se disputent la place dans votre local technique ou sous votre évier : le ballon d’eau chaude à accumulation (dit « cumulus ») et le chauffe-eau instantané. L’un lisse la consommation dans le temps (notamment en heures creuses), l’autre économise l’espace et les pertes de veille. Tous deux existent en électrique et en gaz, avec des contraintes d’installation et de puissance bien distinctes.

Dans cet article, nous mettons les deux solutions face à face : fonctionnement, puissance et débit, coûts d’achat et d’usage, installation, entretien, ergonomie. À la fin de cet article, vous serez en mesure de choisir une technologie qui correspond à vos habitudes !

Accumulation vs instantané : comment ça marche ?

Un ballon est une cuve isolée, équipée d’une résistance (ou d’un brûleur gaz) et d’un thermostat. L’appareil porte l’eau à une température de consigne — généralement entre 60 et 65 °C — puis maintient ce niveau avec des cycles courts. À l’ouverture du robinet, l’eau très chaude est mélangée à de l’eau froide ; on obtient ainsi un volume utile à ~40 °C supérieur au volume nominal de la cuve. On obtient alors un débit abondant et stable, capable d’alimenter plusieurs points de puisage simultanés. On note toutefois des contreparties telles que l’encombrement, des pertes thermiques (même isolé, un ballon se refroidit lentement) et un certain temps de recharge après de gros puisages.

Schéma ballon d'eau chaude
Schéma complet d’un ballon d’eau chaude ©Selectra

Un chauffe-eau instantané ne stocke pas : une résistance (électrique) ou un échangeur chauffé par un brûleur (gaz) élève la température du courant d’eau à la demande. Les avantages majeurs sont évidemment l’absence de pertes de veille et un format très compact. Cependant la puissance instantané requise pour chauffer l’eau rapidement est élevée, et les kilowatts s’accumulent proportionnellement au débit donné et à la température plus ou moins basse de l’eau d’entrée. En outre, si l’instantané excelle pour un point de puisage à la fois sur des usages espacés, il montre ses limites sur les puisages simultanés ou prolongés, surtout en électrique si la puissance disponible au compteur est modeste.

Coûts généraux : achat, installation, usage

À l’achat, le chauffe-eau instantané paraît souvent séduisant : appareil compact, ticket d’entrée raisonnable, pose simple à proximité du point d’eau. On trouve des modèles 3,5 à 8,8 kW entre 230 et 380 € en négoce (ex. gammes CLAGE chez CEDEO), hors accessoires et pose. Mais il ne faut pas s’arrêter à l’étiquette prix. Sa puissance appelée pour offrir une douche confortable peut grimper très vite ; cela implique parfois de vérifier l’abonnement électrique, le calibre du disjoncteur, la section des câbles et la qualité de la terre. En clair : on paie peu le matériel, mais on peut devoir adapter l’installation pour que l’eau sorte vraiment chaude à un débit suffisant, surtout en hiver lorsque l’eau d’entrée est froide.

Schéma chauffe-eau instantané
Schéma d’un chauffe-eau instantané ©Izi

Le ballon à accumulation, lui, coûte en général plus cher à l’achat et demande un peu plus de logistique : mur porteur ou support adapté, chevilles dimensionnées pour le poids en charge, groupe de sécurité et évacuation. Le marché grand public positionne la plupart des références entre 350 et 700 € selon capacité, niveau d’isolation et fonctions (Wi-Fi, anti-corrosion). La pose prend davantage de place et de temps, mais elle est rarement problématique dans un logement standard. Côté gaz (si l’on compare également cette énergie), l’instantané exige une évacuation des fumées et une ventilation conformes, quand le ballon gaz réclame un volume d’installation plus conséquent : dans les deux cas, un installateur qualifié vérifiera les contraintes réglementaires.

Coût d’usage & rendement

Sur la facture de consommation énergétique, les deux technologies n’ont pas la même philosophie. Le chauffe-eau instantané n’a aucune perte de veille : il consomme uniquement lorsque vous ouvrez le robinet. Pour un jeune couple qui prend ses douches à des horaires décalés, ou pour un point d’eau éloigné qu’on utilise rarement (évier d’appoint, atelier), c’est redoutablement efficace. La contrepartie, c’est la dépendance au couple débit/puissance : plus vous voulez d’eau chaude vite et fort, plus la puissance instantanée grimpe… et plus la consommation au moment du puisage est élevée. Si la puissance disponible au compteur est limitée, on peut devoir réduire le débit ou accepter des fluctuations de température.

Le ballon à accumulation suit l’approche inverse : il maintient un volume d’eau à 60–65 °C et laisse ensuite l’hydraulique faire le travail (mélange avec l’eau froide) pour fournir un débit stable sur plusieurs points à la fois. Oui, il existe des pertes statiques puisque la cuve se refroidit lentement même sans soutirage ; mais ces pertes sont prévues et encadrées par la réglementation (étiquette énergie), et surtout on peut déplacer la chauffe en heures creuses pour abaisser le coût au kWh. Pour des usages intensifs ou simultanés (douches en rafale, cuisine + salle de bains), cette logique “on prépare, puis on pioche” reste très compétitive et confortable.

Nota Bene : l’accumulation ouvre la porte au thermodynamique et au solaire (pré-chauffage), et même pilotage connecté sur les ballons les plus modernes.

Savoir mettre les chiffres en perspective

Vous lirez parfois des promesses du type “>95 % restitué” pour l’instantané. Elles ne sont pas fausses dans l’absolu, mais elles isolent l’appareil de son contexte : température d’eau froide, débit choisi, distance hydraulique, puissance réellement disponible. Certains usages exigent de passer d’un abonnement électrique de 6 à 9, voire 12 kVa et de tirer un circuit adapté pour que l’installation reste fiable et conforme.

Voici comment se passe l’installation d’un petit chauffe-eau instantané…

De l’autre côté, on caricature souvent le ballon comme une “cuve qui gaspille”. Certes, elle subit des pertes statiques (mesurées en kWh/24 h selon l’ErP), inévitables même sans soutirage. En contrepartie, on peut déplacer la chauffe en heures creuses, ce qui réduit le coût au kWh et stabilise le confort multi-points.

Entretien & durée de vie

Côté ballon à accumulation, l’entretien vise surtout à protéger la cuve et à maîtriser le tartre. L’anode (magnésium ou système ACI) préserve l’acier de la corrosion : on la contrôle périodiquement et on la remplace si besoin. La résistance (blindée ou stéatite) et le groupe de sécurité méritent une vérification régulière : on manœuvre la soupape (purge) pour éviter qu’elle ne grippe et on détartre quand l’eau est dure, ce qui limite la perte de rendement et le bruit d’ébullition. Bien entretenu, un ballon tient 10 à 15 ans en moyenne, parfois davantage si l’eau est peu calcaire et l’anode suivie.

Le chauffe-eau instantané a moins d’organes mais est plus sensible au calcaire, qui encrasse rapidement l’échangeur et le capteur de débit. Un détartrage périodique (ou la pose d’un réducteur de pression/antitartre selon la qualité d’eau) préserve la stabilité de température et le débit. Côté gaz, s’ajoutent les points de combustion et d’évacuation des fumées, à faire contrôler par un professionnel pour garantir sécurité et performance. Entretenu correctement, un instantané affiche couramment 8 à 12 ans de service, avec des variations fortes selon la dureté de l’eau et la qualité de pose.

Ce qu’il faut regarder avant de faire un choix

Pour coller à vos habitudes et à votre infrastructures posez-vous trois questions simples :

  • Combien de points d’eau peuvent tirer en même temps chez vous, et pendant combien de temps ?
  • Quelle puissance avez-vous réellement au compteur (et souhaitez-vous l’augmenter) ?
  • L’option heures creuses est-elle accessible et pertinente dans votre cas ?

Si vos tirages sont courts, espacés et non simultanés, et que vous manquez de place, l’instantané minimise les pertes et simplifie l’installation. Si vous anticipez des douches en rafale ou des usages simultanés, et que vous voulez un confort stable tout en exploitant les heures creuses, le ballon reste la valeur sûre. Voici quelques exemples sur lesquels vous appuyer :

  • Studio / T2, une seule salle de bain, peu de puisage simultané : instantané ;
  • Famille, 2 salles de bain, douches en rafale : accumulation(200–300 L) ;
  • Maison avec projet PAC ou solaire : accumulation ;
  • Point d’eau isolé (atelier, cuisine éloignée) : petit instantané d’appoint.

Êtes-vous d’accord avec ce comparatif ? Avez-vous déjà dû effectuer ce type de travaux ? Quelles erreurs avons-nous oublié de mentionner ? Dites-nous tout en commentaires !

💾

Profitez des vidéos et de la musique que vous aimez, mettez en ligne des contenus originaux, et partagez-les avec vos amis, vos proches et le monde entier.
Reçu — 8 novembre 2025

Canapé et fauteuil convertibles en bois et rotin de chez Homary : style moderne, montage éclair et confort assuré !

8 novembre 2025 à 16:36
avis canapé rotin convertible homary

Avec leur design soigné et leurs finitions prometteuses, le canapé et le fauteuil convertibles en rotin Homary attirent au premier coup d’œil. Mais qu’en est-il réellement du confort et de la qualité à l’usage ? Nous avons mis ces deux modèles à l’épreuve dans des conditions réelles, avec un regard à la fois technique et critique. Découvrez notre verdict !

Nous avons eu un coup de cœur immédiat pour ce canapé à la fois esthétique et fonctionnel fourni par le site marchand Homary ! Mais, entre la promesse visuelle séduisante et l’usage du quotidien, le fossé peut être grand. Nous avons reçu deux des produits phares de la marque, issus de la gamme Canapés Convertibles : un canapé convertible 2 places et un fauteuil 1 place transformable en lit simple. Leur promesse : un design soigné, un véritable gain de place, un confort modulable grâce aux différentes positions du dossier et à la conversion en lit. Le tout avec un montage simple, sans perçage ni outils complexes. Nous avons testé ces arguments pour vous.

Première impression : Un design scandinave coup de coeur 

C’est la première chose qui frappe : le style est maîtrisé. Homary propose ici un hommage assumé aux meubles designs scandinaves des années 60, remis au goût du jour avec des lignes nettes et un look aéré. Bois clair apparent (frêne), dossier légèrement incliné, accoudoirs épais en rotin et tissu texturé : rien ne semble laissé au hasard côté esthétique.

Les deux modèles sont disponibles en tissu effet lin ou en velours, et présentent une finition particulièrement soignée : coutures régulières, assise bien tendue, rembourrage homogène. Une fois assemblés, ils dégagent une impression de qualité équivalente, voir supérieure à celle que l’on rencontre habituellement dans cette gamme de prix inférieure à 1 000 €.

Nous avons vérifié l’ensemble des données techniques annoncées par Homary et celles-ci sont cohérentes avec les fiches techniques de la marque.

Caractéristique TechniquesFauteuil en rotin Homary
Dimensions en version fauteuil82 x 64 x 80 cm (l × P × H)
Hauteur du dossier version assise46 cm 
Dimensions en version couchage192 x 64 x 30 cm (l x P x H)
Largeur version couchage60 cm
Hauteur des pieds20cm
Hauteur accoudoirs30 cm (option avec ou sans tissu)
Structurebois de frêne + contreplaqué
Poids total26,5 kg
Charge maxnon précisé sur la fiche produit 
Mécanismedossier inclinable 3 positions
Housselavable, non déhoussable entièrement
Nettoyageà sec avec chiffon humide et propre
Assemblagepieds et dossier à visser (environ 15 minutes, 1 personne)
SKUJJE80335G0
Garantie légale de conformité2 ans (UE/France) 
Garantie commerciale Homary1 an
Prix559,99€
dimensions fauteuil 1 place homary rotin beige lin convertible
Dimensions du fauteuil.
dimensions canape lit convertible homary rotin beige lin
Dimensions du canapé.
Caractéristique TechniquesCanapé en rotin Homary
Dimensions en version canapé152 × 62,5 × 87 cm (l x P x H)
Hauteur du dossier version assise46 cm 
Dimensions en version lit 2 places145 × 196 × 31 cm (l x P x H)
Largeur version couchage145 cm
Hauteur des pieds20cm 
Diamètre de la table pivotante35 cm
Hauteur accoudoirs30 cm (option avec ou sans tissu)
Structurebois de frêne + acier au carbone + ressorts hélicoïdaux
Poids total49kg
Charge maxnon précisé sur la fiche produit 
Mécanismedossier réglable 3 positions
Housselavable partiellement
Nettoyageà sec avec chiffon humide et propre 
Assemblagepieds et dossier à visser (environ 30 minutes, 1 personne)
SKUJJA8U01697
Garantie légale de conformité2 ans (UE/France)
Garantie commerciale Homary1 an
Prix959,99€

Un montage rapide, à condition d’ignorer la clé fournie

Homary tient ses promesses : les 2 meubles arrivent sur palette dans des colis très bien emballés. A l’ouverture du colis, les meubles arrivent bien protégés accompagnés d’une petite boîte dans laquelle vous trouverez la visserie, une paire de gants et une notice claire. Aucun outil électrique n’est requis, même si la petite clé fournie s’avère peu pratique. Avec un tournevis standard et un embout adapté, le fauteuil se monte seul en une quinzaine de minutes. Le canapé demande un peu plus de temps et de manipulations, mais reste tout à fait réalisable seul en 30 minutes, sans effort.

Montage du canapé convertible Homary.
Montage du fauteuil convertible Homary.

Lors de l’installation, la petite table pivotante du canapé peut être positionnée à droite ou à gauche (à vous de choisir), les fixations sont prévues des 2 côtés. Enfin, on apprécie le format des colis, relativement compact (126 cm pour le fauteuil et 150 cm pour le canapé) qui permet de les faire entrer sans difficulté dans un ascenseur standard par exemple.

La table pivotante du canapé.

Confort : usage hybride et assise ferme

Homary mise ici sur un confort ferme et un maintien équilibré, au service d’un design soigné. Avec ses lignes épurées et son style scandinave affirmé, il s’impose comme une véritable pièce déco. Son atout principal : une esthétique suffisamment élégante et polyvalente pour trouver sa place aussi bien dans un salon contemporain que dans une chambre ou même un espace d’accueil chic et moderne.

Le design réussi du canapé Homary.

Le canapé, en particulier, s’adresse à ceux qui recherchent avant tout un sofa au design contemporain. Son assise, ferme mais bien calibrée, est modulable en 3 positions. La présence de ressorts hélicoïdaux améliore nettement le soutien et le confort assis. La petite table pivotante constitue également un atout appréciable. Pour passer en mode lit, rien de plus simple : il suffit d’ouvrir les deux petites fermetures et de tirer sur le pied. L’opération inverse permet de revenir en mode canapé; il suffit de tirer à nouveau pour débloquer le pied et le replier. Une fois déplié, le couchage offre une surface homogène, parfaitement adaptée pour un usage ponctuel.

Passage du mode canapé au mode couchage.

Le fauteuil, quant à lui, se révèle aussi pratique comme solution d’appoint pour 1 personne. Avec un dossier également modulable en 3 positions, il se transforme aussi en lit 1 place. Une chauffeuse élégante et parfaitement adaptée pour un invité ou pour un usage occasionnel dans un bureau ou une chambre d’amis.

Plusieurs retours d’utilisateurs confirment nos observations :

“Très beau rendu visuel, montage simple. En lit, il fait parfaitement l’affaire pour un invité.” ; “Bon compromis, même si l’assise est un peu ferme les premiers jours.” – avis clients.

Le design du fauteuil Homary.

Robustesse, entretien, service client : est-ce bien sérieux ?

Les matériaux utilisés sont cohérents avec la gamme de prix : bois de frêne contreplaqué pour les pieds, cadre mixte bois/métal, mousse à densité correcte. Pas de grincement, pas de jeu après quelques semaines d’usage. Les tissus semblent résistants et faciles à entretenir avec un simple chiffon humide.

La garantie commerciale chez Homary est d’un an, et vous disposez également de la garantie légale de conformité de 2 ans . Cela étant dit, l’assistance Homary répond rapidement et propose le retour gratuit sous 30 jours si besoin. Un service “gants blancs” (montage à domicile) est aussi proposé, en option.

Avis clients de Homary.com - Trustpilot
Avis clients de Homary.com – Trustpilot

Vous ne connaissez pas la marque Homary ?

Si le nom commence à circuler sur YouTube et dans quelques articles, Homary reste encore méconnue du grand public français. Et pour cause : la marque est née en 2012, aux États-Unis, avec une stratégie centrée sur la vente directe via son propre site. Leur promesse : du mobilier au design affirmé fabriqués en Chine sans intermédiaire, ce qui permet à la marque d’afficher des prix souvent 20 à 30 % inférieurs aux marques de déco traditionnelles. Homary s’est d’abord imposée aux États-Unis avec des meubles de salle de bain et d’éclairage, avant d’étendre son offre à la literie, aux canapés et à la décoration. En France, le site fr.homary.com est actif depuis 2021, avec une logistique qui repose sur des entrepôts européens (Pays-Bas et Allemagne) pour éviter les délais interminables.

  • Des produits stylés à bon rapport qualité-prix,
  • Livraison gratuite,
  • 30 jours pour changer d’avis.

Faut-il acheter ces 2 produits convertibles Homary ?

Ce duo canapé + fauteuil convertibles est pensé pour :

  • Les petits espaces : salon d’appoint, chambre d’amis, studio, espace d’accueil; 
  • Ceux qui veulent un design affirmé et scandinave sans exploser le budget;
  • Les utilisateurs occasionnels ou temporaires (location meublée, logement étudiant).

Ce ne sont pas des meubles de salon adaptés pour une famille nombreuse, ni des couchages permanents. Mais ils remplissent parfaitement leur fonction dans les contextes cités.

Le duo Homary coche beaucoup de cases pour du mobilier compact, beau et fonctionnel. C’est un excellent choix pour équiper un petit espace sans compromis esthétique, à condition d’accepter une fermeté d’assise et des réglages simplifiés.

Vous possédez un canapé ou un fauteuil Homary ? Votre retour peut enrichir ce test : partagez votre avis ou vos questions en commentaire. Si vous avez relevé une information manquante ou inexacte, signalez-le pour qu’on améliore l’article.

Reçu — 1 novembre 2025

Stormbags : un sac anti-inondation « actif » et réutilisable pour protéger sa maison

1 novembre 2025 à 09:00
Des sacs pour former une barrière de protection en cas d'inondation.

Et si un simple sac suffisait à protéger votre maison d’une inondation ? StormBag promet de le faire sans sable, sans effort et sans stress.

L’article Stormbags : un sac anti-inondation « actif » et réutilisable pour protéger sa maison, rédigé par Nathalie Kleczinski, est apparu en premier sur NeozOne.

Reçu — 27 octobre 2025

Ces mini maisons futuristes livrées « clé en main » débarquent en Europe

27 octobre 2025 à 11:01
Une habitation modulable de Caslua de nuit.

Design, domotique et installation en seulement 30 jours : la société espagnole Caslua Import lance une tiny house futuriste prête à poser, qui fait rêver les amateurs d’habitat minimaliste.

L’article Ces mini maisons futuristes livrées « clé en main » débarquent en Europe, rédigé par Nathalie Kleczinski, est apparu en premier sur NeozOne.

Reçu — 24 octobre 2025
Reçu — 23 octobre 2025

L’entreprise française Greenkub dévoile une petite maison en bois à moins de 100 000 €

23 octobre 2025 à 07:00
La terrasse de la maison sur pilotis avec une vue imprenable.

Écologique, élégante et rapide à construire, la petite maison en bois Greenkub de 40 m² sur pilotis offre un séjour nature à prix accessible dans l’Hérault.

L’article L’entreprise française Greenkub dévoile une petite maison en bois à moins de 100 000 € est apparu en premier sur NeozOne.

Reçu — 1 octobre 2025

Test du chauffage Dreo 714S : un vrai chauffage d’appoint pour toute une pièce ?

1 octobre 2025 à 16:01
Test Dreo Chauffage électrique 714S

Le Dreo Whole Room Heater 714S veut se faire une place dans nos intérieurs comme chauffage d’appoint. Compact, rapide à mettre en route et pensé pour diffuser la chaleur de manière homogène, il promet de transformer le salon ou la chambre en cocon en quelques minutes. Mais derrière son design sobre et ses promesses connectées, tient-il vraiment la distance face aux premiers froids ?

Dreo débarque en France avec un solide pedigree : déjà numéro 1 des ventes de ventilateurs et radiateurs sur Amazon UK deux années de suite, la marque a vu son chiffre d’affaires bondir de près de 70 % entre 2023 et 2024. Pour accompagner son expansion européenne, elle lance en France sa gamme hiver 2025, dont ce le Whole Room Heater 714S, un chauffage d’appoint vendu 109,99 € sur Amazon.fr. Son ambition ? Réchauffer toute une pièce de manière homogène, sans zones glaciales ni surchauffe localisée. Reste à voir, après plusieurs jours de test, si ce discret appareil de 2000 W tient ses promesses et peut devenir un incontournable de l’automne-hiver.

Design et prise en main

Format tour discret, finitions propres, affichage lisible. L’oscillation horizontale + verticale fait tout l’intérêt du produit : le flux se répartit mieux qu’un soufflant classique. La poignée permet de le déplacer facilement et le câble de 1,80 m donne un peu de liberté d’implantation.

Dreo Whole Room Heater 714S posé sur le sol
Rien à redire sur le design.
aperçu du câble du Dreo Whole Room Heater 714S
Le câble d’1,80m est plutôt pratique.

On regrette l’absence de logement pour la télécommande et la prise non plate qui gêne derrière un meuble.

prise du Dreo Whole Room Heater 714S
Prise simple mais pas plate.
Dreo Whole Room Heater 714S branché
Difficile à caler derrière un meuble.

Appli Dreo : simple, mais quelques manques

L’app (iOS/Android) prend en charge l’appairage, la température de consigne, les oscillations, les minuteries et la planification. Le tutoriel de démarrage en français est clair.

app dreo sur iOS
Interface iOS
app dreo sur iOS
Le dit « chauffage » un peu trop simplet.
app dreo sur iOS
@Meilleure-Innovation
app dreo sur iOS
Paramètrages sur iOS.
app dreo sur iOS
@Meilleure-Innovation

Deux angles morts : pas de FaceID lors de nos essais et un libellé trop générique (“chauffage”) pour identifier précisément le modèle si vous avez plusieurs appareils. À l’extinction, l’écran déclenche un refroidissement de 30s avant l’arrêt complet : pratique et rassurant.

Chauffe : des degrés qui montent vite

En H3, on gagne ≈ +2 °C en moins de 5 minutes dans une pièce moyenne, oscillations activées. La sensation est plus homogène qu’avec un soufflant fixe : pas besoin de se placer “dans l’axe” pour en profiter.

Côté bruit, nos relevés donnent ≈33 dB (H1), ≈43 dB (H2) et ≈50 dB (H3). En pratique, H2 devient le réglage du quotidien : on entend l’air sans couvrir une discussion ou la TV.

Dreo Whole Room Heater 714S sur le sol
@Meilleure-Innovation
app Dreo Whole Room Heater 714S
Le mode H3, le plus élevé.
app Dreo Whole Room Heater 714S en mode eco
Mode ECO qui limite la conso

Dreo parle de sa technologie HyperSilent™, associée à un moteur CC sans balais et à des pales redessinées pour limiter le bruit. Dans les faits, cela permet au chauffage de rester discret sur les deux premiers niveaux, même si le mode H3 se fait forcément entendre.

Dreo Whole Room Heater 714S posé au sol

Le constructeur met aussi en avant sa technologie Hyperamics™ avec un élément chauffant PTC de grande taille et une structure brevetée Heat Booster. Ce système vise à accélérer la montée en température et à améliorer la diffusion de la chaleur dans toute la pièce.

Mode ventilateur : service minimum

Le mode FAN existe, mais il n’est pas le point fort. F1 est discret mais souffle très peu, F2 tourne autour de ≈48 dB pour un débit juste correct, F3 passe à ≈55 dB avec un bruit trop présent pour remplacer un vrai ventilateur. Pour se rafraîchir, il faudra un appareil dédié. Ici, c’est un appoint ponctuel.

Consommation électrique et usage

Lors de nos relevés, le chauffage a consommé environ 950 watts en mode H1 et jusqu’à 1 819 watts en H3. En mode ventilateur F2, la dépense est négligeable, autour de 6 watts.

Concrètement, le 714S fonctionne comme la plupart des tours céramiques de cette gamme : il faut l’utiliser à pleine puissance pour réchauffer rapidement une pièce, puis basculer sur les niveaux inférieurs pour maintenir la température sans alourdir la facture. Cette gestion par paliers permet de profiter de sa rapidité de chauffe sans tomber dans la surconsommation.

Un mode ECO est également proposé. Il ajuste automatiquement la puissance pour maintenir la température ambiante tout en limitant la consommation électrique, un bon compromis pour un usage prolongé.

Sécurité : les distances à respecter

La documentation comme les pictogrammes présents sur l’appareil sont sans ambiguïté. Le chauffage doit être placé à au moins 0,9 mètre des murs & meubles ( que ce soit à l’avant, à l’arrière ou sur les côtés ) et à un mètre minimum des textiles ou rideaux situés face à la sortie d’air.

Ces distances sont indispensables pour éviter tout risque de surchauffe. L’appareil rappelle aussi clairement qu’il ne doit pas servir de sèche-linge : il ne faut rien poser dessus ni le recouvrir.

Au-delà de ces consignes, le 714S intègre huit protections de sécurité : coupure en cas de basculement (45°), protection contre la surchauffe, verrouillage enfant, isolation thermique et boîtier froid au toucher. Le produit bénéficie en plus d’un boîtier ignifuge classé V-0 et d’une certification ETL, gages de fiabilité.

Au quotidien

L’utilisation est simple. On allume l’appareil, on choisit la température de consigne, puis on active l’oscillation 3D qui répartit l’air chaud dans la pièce.

La télécommande fournie, avec sa pile incluse, se révèle pratique, même si l’absence de logement pour la ranger peut vite devenir agaçante.

Le design discret permet d’intégrer facilement le chauffage dans un salon ou une chambre. En revanche, la prise électrique, qui n’est pas plate, peut gêner si l’appareil doit être branché derrière un meuble.

Positionnement

Avec un prix de lancement fixé à 109,99 €, le Dreo 714S se positionne comme une alternative crédible aux chauffages soufflants d’entrée de gamme. Il se distingue surtout par sa connectivité, sa capacité à diffuser la chaleur de manière rapide, plus homogène grâce à l’oscillation verticale, un détail qui change l’usage au quotidien. L’application apporte un vrai confort, notamment pour programmer les horaires ou contrôler l’appareil à distance.

En revanche, le mode ventilateur reste trop bruyant pour remplacer un vrai modèle dédié. Ce produit s’adresse donc avant tout à ceux qui cherchent un chauffage d’appoint efficace, et non un appareil polyvalent pour l’été.

Reçu — 11 septembre 2025

MOVA à l’IFA 2025 : l’expansion touche toute la maison (ménage, cuisine, beauté). Écosystème cohérent ou empire boulimique ?

11 septembre 2025 à 15:36
stand mova ifa berlin 2025

À Berlin, dans les allées de l’IFA, les curieux se pressaient devant le stand MOVA. Entre un robot aspirateur équipé de bras articulés, un module qui hisse la machine dans les escaliers et une tondeuse qui coupe l’herbe à 1,5 cm des bordures, la marque chinoise a transformé son espace en laboratoire du futur !

C’est le slogan de l’année : « Step Up, Move Ahead ». En clair : passer à l’étape suivante, et laisser les concurrents courir derrière.Mais au-delà de l’effet “waouh”, l’ambition est ailleurs : mailler toute la maison. Ménage, pelouse, piscine, cuisine, beauté, hygiène dentaire… en une douzaine de gammes, MOVA dessine un empire indoor-outdoor où chaque appareil promet d’être plus intelligent que le précédent.

Une stratégie totale qui pose la vraie question de cet article : assiste-t-on à la naissance d’un écosystème cohérent, capable de simplifier le quotidien de bout en bout, ou à une dispersion où l’on collectionne les produits plus vite qu’on ne garantit leur suivi, leur fiabilité et leur intégration ?

mova fresh 20 vision brosse a dents
mova lidax robot tondeuse
mova m50 ultra aspirateur balai laveur
mova zeus 60 escalier robot aspirateur
mova diver a10 robot piscine

Une stratégie offensive : l’écosystème total

Née en 2024 dans l’orbite de Dreame — la marque a même été présentée comme sous-marque lors de lancements fin 2024 — MOVA se positionne en 2025 comme marque à part entière dans sa communication officielle, même si plusieurs médias continuent de la décrire comme liée à Dreame. Autrement dit : des liens industriels historiques, mais une identité désormais affichée comme autonome.

Ambitions de MOVA sur grand écran
©Meilleure-innovation.com

À l’IFA 2025, MOVA a dévoilé un écosystème complet couvrant 12 gammes indoor + outdoor : robots aspirateurs (dont Sirius/Zeus/Mobius), wet & dry (M50), tondeuses (LiDAX), robots piscine (Rover X10), lave-vitres (N1), mais aussi des segments “hors ménage” comme cuisine (cafetières), beauté (sèche-cheveux, lisseurs), hygiène dentaire (Fresh 20 Vision), et animaux (fontaine/distributeur, litière autonettoyante). Un périmètre large confirmé par les comptes-rendus de salon et les démonstrations sur stand.

Sur place, un “cabinet de curiosités” taille XXL

À Berlin (Hall 9, stand H9-103), le stand MOVA a joué la carte du spectaculaire et du “tout-maison”. Un espace très vaste et très diversifié, où l’on passait d’un bassin pour voir les robots piscine à l’œuvre à des zones beauté avec sèche-cheveux et stylers que les visiteurs pouvaient essayer, en passant par une rangée de purificateurs d’air dont le souffle se faisait franchement sentir au bord du stand. 

MOVA IFA 2025
©Meilleure-innovation.com

L’affluence était également notable côté cuisine (machines et cafetières) et animaux (fontaines, distributeurs, litière autonettoyante). Une mise en scène qui raconte l’ambition de la marque : couvrir la maison de la cave au jardin.

Les annonces indoor : là où MOVA joue à domicile

Dans la maison, c’est le terrain de jeu favori de MOVA — celui où la marque s’est déjà faite remarquer au printemps avec des références comme le Z50 Ultra, le V50/V50 Ultra et l’aspirateur-balai X4 Pro. À l’IFA, elle revient sur ce noyau dur avec des idées plus radicales : bras qui saisissent, module escalier et station MopSwap™ qui change elle-même ses patins. Qu’ont-ils donc ajouté de vraiment nouveau là où ils étaient déjà plus que crédibles ?

Sirius 60 : l’aspirateur qui a des bras

Présenté à l’IFA comme prototype, le Sirius 60 embarque deux bras extensibles : un bras-balai pensé pour aller chercher la poussière dans les recoins, et un bras préhenseur capable de saisir/déplacer de petits objets (démonstrations jusqu’à environ 800 g). L’idée : réduire les “angles morts” des robots classiques et commencer à interagir avec l’environnement domestique, ce qui rapproche l’appareil d’un assistant plus que d’un simple aspirateur.

MOVA Sirius 60 à l'IFA 2025
©Meilleure-innovation.com

À ce stade, pas de prix ni de calendrier : il s’agit d’un concept en démonstration à Berlin, et non d’un modèle commercialisé. On peut donc parler d’une des premières propositions grand public d’un prototype intrigant de robot de sol avec bras articulés, en attendant des précisions sur la sécurité, la vitesse d’exécution et la fiabilité des bras en usage réel.

Zeus 60 : le casse-tête des escaliers enfin résolu ?

Présenté à l’IFA comme module porteur, le Zeus 60 soulève les robot-aspirateurs MOVA et les dépose marche par marche jusqu’au palier suivant. Les démonstrations évoquent des marches jusqu’à 25 cm, avec un fonctionnement “pas-à-pas” qui tranche avec les concepts à chenilles montrés par d’autres marques au salon. À ce stade, il s’agit d’une démo : ni prix ni calendrier annoncés.

ZEUS 60 en action
©MOVA

Selon MOVA, ce serait leur premier module remplaçable de ce type (technologie interne dite CloudLift, revendication du constructeur) et il viserait la compatibilité avec la plupart des futurs robots de la marque. Promesse intéressante pour les maisons à étages ; à vérifier en tests : vitesse, sécurité sur nez de marche, gestion des paliers étroits et intégration avec les différents modèles.

Mobius 60 : MopSwap™, le dock qui change les patins

Sur les robots laveurs, les patins (les “lingettes” de serpillage) finissent vite sales et beaucoup d’appareils se contentent de les laver puis de repartir… au risque d’étaler de l’eau grise. Le Mobius 60 introduit MopSwap™ : une station haute qui stocke trois patins à l’intérieur et utilise un bras pour présenter au robot le patin magnétique le plus adapté (par exemple selon le type de sol). Objectif annoncé : un nettoyage plus hygiénique et mieux ciblé, en remplaçant le patin plutôt qu’en repartant avec le même.

Mova Mobius 60 vu de loin
©MOVA

À ce stade, c’est une démo IFA : MOVA n’a pas détaillé la disponibilité ni précisé si la station lave/sèche aussi les patins en interne (ou seulement les échange). L’idée est prometteuse pour l’entretien courant ; on attend des infos concrètes sur la vitesse du changement, la durabilité des textiles et l’entretien de la station.

Z60 Ultra Roller Complete : déjà en vente

Ici, on ne parle plus de démo IFA : le Z60 Ultra Roller Complete est commercialisé en Europe début septembre. Sa particularité par rapport aux robots “classiques” à patins ? Un rouleau alimenté en eau claire en continu pour laver sans réutiliser une lingette déjà souillée, et un système MaxiReach qui pousse le rouleau et la brosse latérale jusqu’aux bords pour mieux longer les plinthes.

Z60 Ultra Roller Complete en action
©MOVA

La puissance d’aspiration annoncée (28 000 Pa) est une donnée constructeur issue de tests internes : on la cite comme telle. Le modèle a, par ailleurs, été récompensé aux IFA Innovation Awards 2025.

M50 Ultra : l’aspirateur-balai Wet & Dry pliable

Le M50 Ultra n’est pas un robot mais un aspirateur-balai laveur (il aspire et lave). Son intérêt pour un foyer ? Son manche pliable et extensible qui permet d’aller sous les canapés et lits sans se contorsionner, et l’approche EdgeCoverage AI pensée pour longer les plinthes proprement. La marque revendique un “premier au monde” pour cette combinaison d’ergonomie. Nous, on attend de tester après le Tineco S9 Artist !

Stand MOVA M50
©MOVA

À surveiller : l’autonomie réelle en mode lavage, le séchage du rouleau après usage (odeurs), la facilité d’entretien du circuit d’eau et la disponibilité des pièces/consommables (rouleau, filtres).

Côté outdoor : la même recette… au grand air

Après s’être faite un nom à l’intérieur, MOVA passe la porte-fenêtre. Comme d’autres acteurs récents, la marque attaque le jardin et les vitrages avec des produits qui visent le haut du panier : tondeuses LiDAX Ultra (cartographie LiDAR + caméra), robot piscine Rover X10 et lave-vitres N1. L’ambition est offensive — inquiéter les historiques du secteur — mais cohérente avec sa formule maison : perception 3D, décisions dopées à l’IA, promesse de moins de charge mentale.

LiDAX Ultra : la tondeuse qui vise la bordure au millimètre

Pour situer : la plupart des robots-tondeuses exigent encore un fil périphérique enterré ou une station GPS/RTK. La série LiDAX Ultra mise au contraire sur une perception 3D (LiDAR 3D + caméra HDR) pour cartographier et naviguer sans fil ni station GPS, avec une promesse de carto jusqu’à 2 000 m² et une coupe au plus près des bordures (< 1,5 cm). L’objectif est de réduire les retouches manuelles le long des murs/allées.

Stand MOVA robots-tondeuses
©Meilleure-innovation.com

Une variante AWD (transmission intégrale) est pensée pour les terrains complexes (pentes importantes, sols irréguliers) et a été distinguée comme Honoree aux IFA Innovation Awards 2025 — un signal d’intérêt, sans préjuger des performances en conditions réelles. À noter : disponibilité et prix France à confirmer (démo salon pour l’instant). Côté historique, MOVA avait déjà lancé des séries 600/1000 ; LiDAX Ultra s’inscrit donc dans une montée en gamme plutôt que dans un coup isolé.

Rover X10 : le robot piscine polyvalent

Le Rover X10 est présenté comme un modèle sans fil capable de couvrir fond, parois, coins et même la ligne d’eau, avec 7 modes de nettoyage annoncés. Il a été montré sur le stand à l’IFA ; l’idée est d’offrir un nettoyage “tout-en-un” sans tuyaux ni câbles. 

MOVA robot-piscine
©Meilleure-innovation.com

Le Rover X10 paraît solide, mais il déclenche moins le “wahou” que d’autres robots piscine que nous avons déjà testés. L’absence de chiffres clés (hormis un débit de 60 600 LPH) nous laisse surtout avec une promesse générale — fond, parois, ligne d’eau — sans particularité notable. Aucune date ni de de prix n’ont encore été communiqués pour la France. 

Diver A10 à l'IFA 2025
©Meilleure-innovation.com

À côté du Rover X10, MOVA a aussi teasé un second robot piscine, le Diver A10, présenté sur les réseaux de la marque comme un modèle plus accessible. Pour l’instant, pas de fiche technique ni de prix officiels : on le classe donc comme entrée de gamme probable, en attente de détails (surface couverte, filtration, autonomie, date FR).

N1 : le lave-vitres à ultrason

Autre nouveauté, plus discrète : le N1, un lave-vitres compact avec pulvérisateur ultrason intégré. Surprise, oui… mais pas un OVNI : l’idée est de nébuliser une fine brume qui pénètre mieux dans les petits interstices des baies vitrées qu’un simple jet. C’est cohérent techniquement, et plusieurs comptes-rendus mentionnent précisément cette approche “ultrason + format compact” pour viser les zones étroites.

MOVA lave-vitre N1
©MOVA

Côté innovation de marché, ce n’est pas totalement inédit : des acteurs spécialisés utilisent déjà des buses ultrason sur leurs robots lave-vitres. Là où MOVA peut se distinguer, c’est par l’intégration (compacité, app commune, IA de navigation). Mais à ce stade, c’est une démo sans fiche technique (autonomie, type d’adhérence/sécurité, finesse de pulvérisation, modes sur châssis sans cadre). Prudence donc : on attend des spécifications et des tests terrain pour juger face aux références établies.

Les autres catégories : beauté, cuisine et hygiène

Après son cœur de métier côté ménage, MOVA étire sa formule à des terrains plus hétéroclites — beauté, hygiène dentaire, cuisine, pet care. L’idée : transposer ses recettes (capteurs, un peu d’IA, promesse d’une app commune) à des objets du quotidien. 

MOVA lisseur à cheveux
©MOVA

Sur le stand, beaucoup de démos et des gammes encore jeunes : intéressant à regarder comme laboratoire d’expériences, moins comme des game changers immédiats. On fait donc le tri entre ce qui intrigue vraiment, ce qui relève surtout du marketing, et ce qui devra être éprouvé chez nous.

Beauté (sèche-cheveux / stylers)

MOVA pousse une ligne “haircare” avec des modèles comme Master 10, mis en avant à l’IFA et distingué aux IFA Innovation Awards (cat. Beauty & Personal Care). Promesses : la reconnaissance d’embout et des réglages auto, logique “smart” pour adapter chaleur et débit. 

Stand MOVA beauté
©MOVA

C’est intéressant pour l’usage quotidien… mais on manque de mesures normalisées (bruit en dB, température réelle, débit d’air) et de tests indépendants pour objectiver la perf. On le classe donc côté curiosité prometteuse, en attendant des bancs d’essai.

Hygiène dentaire (Fresh 20 Vision)

La Fresh 20 Vision revendique un système “plaque visible” : caméra endoscopique 300 000 px + fluorescence à longueur d’onde dédiée, avec cartographie en temps réel de la plaque dans l’app MOVAhome. Une fonctionnalité encore rare, même chez Oral-B ou Philips.

MOVA brosse à dent vision
©MOVA

Sur le papier, c’est assez remarquable pour un produit grand public. En pratique, on reste sur une annonce constructeur sans données publiées sur la précision, ni sur la confidentialité/stockage des images, ni sur la conformité médicale.

Cuisine (cafetières)

MOVA montre des cafetières (segments grand public / “semi-pro”). Le marché est très concurrentiel et dominé par des spécialistes ; à l’IFA, on n’a pas vu de mesures techniques détaillées (température d’extraction, stabilité, lait, mouture), ni de retours indépendants. Selon les observateurs sur place, la qualité reste en retrait face aux ténors italiens, mais la foule sur le stand montrait malgré tout un certain intérêt (le café, c’est sacré !). 

Quoi qu’il en soit, à ce stade, on est clairement sur une tentative d’extension d’écosystème que sur une volonté de prise de leadership — à suivre quand des specs et tests sortiront.

Animaux (fontaine, distributeur, litière autonettoyante)

La gamme pet care couvre la fontaine à eau (ex. WF10 Pro, 1,5 L, filtration multi-couches, 30 dB annoncés), des distributeurs connectés et une litière autonettoyante déjà exhibée/teasée en vidéo et qui a amusé les visiteurs. Là encore, la valeur se jugera sur la fiabilité (capteurs, anti-fuite), le bruit réel et l’entretien (consommables). 

Litière autonettoyante à l'IFA 2025
©MOVA

Pour l’instant, on a surtout des fiches marketing et des démos : intéressant dans une logique “maison connectée complète”, mais en attente de tests pour se positionner face aux leaders du segment.

Boulimie ou écosystème sain ? Les vraies questions

Au-delà du show IFA, MOVA affiche une ambition claire : un smart living continu, de l’indoor à l’outdoor, porté par la perception 3D et des automatismes “qui réduisent la charge mentale”. Sur le papier, l’histoire est cohérente. Dans la pratique, un écosystème se prouve sur la durée.

Ce qui plaide pour la cohérence : 

  • Un socle commun de techno (détection, navigation, IA “maison”) qui irrigue les catégories.
  • Des produits indoor déjà datés et vendus (ex. Z60, M50) : de la promesse qui arrive dans les foyers, pas seulement sur un stand.
  • Une logique d’app unique annoncée : promesse d’une expérience continue (profils, scénarios, mises à jour).

Ce qui peut virer à la dispersion : 

  • SAV/entretien éclaté (patins, rouleaux, filtres, lames, consommables “pet care”) : disponibilité et coût à suivre.
  • Cadence d’OTA et suivi logiciel multi-catégories (robot de sol ≠ tondeuse ≠ litière…) : risque de fragmentation.
  • Vie privée & caméras (brosse dentaire, robots à vision) : où vont les données ? quelles options de contrôle local ?

Distribution France : pour l’instant, seules certaines références ont un calendrier clair ; le reste est démo/TBA.

Notre verdict provisoire : on veut y croire !

 MOVA raconte une vision crédible et avance des produits tangibles côté maison. Côté extensions (beauté, cuisine, animaux) et outdoor, on reste surtout sur des avant-premières : intéressant, mais il faudra juger sur disponibilité, suivi et expérience réelle. Autrement dit : l’écosystème paraît prometteur, la preuve se fera à l’usage — régularité des mises à jour, qualité du SAV, pérennité des pièces, et vraie simplicité au quotidien.

Ce que ça change pour le marché dans un avenir proche

En un an, MOVA est passée de challenger à menace sérieuse pour Roborock, Dreame et Ecovacs. Là où les concurrents empilent des watts et des Pa, MOVA propose des réponses concrètes à nos irritants quotidiens : escaliers, serpillages sales, bords mal nettoyés, contrôle visuel du brossage. Si la distribution suit en France, on pourrait voir émerger un nouveau géant du smart home, indoor comme outdoor. 

©MOVA

Côté maison, certains produits arrivent vraiment (Z60 dès septembre, M50 annoncé), signe d’une offensive crédible. Côté prototypes (bras, module escalier, MopSwap™, tondeuses LiDAX, robot piscine, lave-vitres), l’idée est forte mais la preuve reste à faire : disponibilité, suivi logiciel, pièces et qualité d’usage dans le temps.

Cet article vous a intéressé ? Dites-nous ce que vous pensez : les bras articulés sont-ils utiles ou gadget ? Les escaliers, un vrai problème chez vous ? Et la brosse à dents Fresh 20 Vision avec caméra intégrée, innovation pertinente ou gadget ? Partagez vos expériences et vos avis en commentaire. Et si vous repérez une info manquante ou erronée, signalez-le : on mettra l’article à jour.

Reçu — 8 septembre 2025

Duux Elevate : un ventilateur colonne silencieux avec ioniseur intégré

8 septembre 2025 à 17:10
Duux Elevate dans un salon.

L’été touche à sa fin après des chaleurs une nouvelle fois suffocantes et vous ne voulez plus revivre cette épreuve dans les années à venir. Voici votre ticket de sortie : le Duux Elevate, un ventilateur colonne (ou tour) silencieux doté de fonctionnalités intéressantes.

Imaginez qu’à la tombée de la nuit, vous vous glissez dans votre lit, prêt à sombrer dans le sommeil. Un geste vers la télécommande, et soudain, un souffle discret, presque inaudible, vous enveloppe. Ce n’est pas le fracas d’un climatiseur, mais bien le Duux Elevate, un ventilateur tour silencieux qui ne dépasse pas 25 à 31 dB en vitesse basse. C’est un allié de confort pour travailler, se détendre ou dormir sans être dérangé.

Caractéristique Techniques
Rafraîchissement Rayon de 8 mètres avec un débit d’air de 500 m³/h
OscillationHorizontale à 80°
Vitesses12
Télécommande Oui
Poids3,7 kg.

Minimaliste, mais pas simpliste

Avec sa silhouette élancée en blanc ou gris mat, l’Elevate s’intègre naturellement dans un intérieur moderne. Il se distingue par son panneau LED central discret, qui affiche uniquement l’essentiel, sans effet tape-à-l’œil. Résultat, une élégance sobre et mesurée.

Comme beaucoup de ventilateurs colonnes, il peut sembler un peu massif pour disparaître totalement dans le décor. Mais il joue la carte de la discrétion là où certains concurrents misent sur l’ostentation. À l’opposé, le Shark TurboBlade adopte un look futuriste avec un design sans pales, des têtes pivotantes, une oscillation jusqu’à 180° et un prix qui dépasse souvent les 250 €. Un objet pensé pour être montré, là où le Duux préfère tenter de se faire oublier. Le design du Duux Elevate est soigné, mais il reste trop volumineux pour jouer la carte de l’effacement total, et en même temps pas assez audacieux pour devenir un objet déco à part entière.

Duux Elevate
Duux Elevate

Léger, malin et facile à installer

Avec ses 3,7 kg, le Duux Elevate se transporte d’une main. Le montage est simplissime. Il suffit de deux pièces à emboîter, sans vis ni outils. La télécommande trouve sa place dans un logement intégré qui sert aussi de poignée. Une idée pratique, même si l’on regrette qu’elle ne soit ni magnétique ni rétroéclairée.

Duux Elevate pieds et base

Un flux d’air puissant et homogène

Derrière son design discret, l’Elevate cache 12 vitesses et délivre un débit d’air de 500 m³/h. Sa large oscillation horizontale de 80° assure une couverture uniforme, capable de rafraîchir efficacement jusqu’à 8 mètres de distance. Résultat, un rafraîchissement homogène qui enveloppe toute la pièce.

Duux Elevate

Ventilateur tour silencieux pour chambre

C’est sur le silence que l’Elevate se démarque vraiment, comme l’ensemble des ventilateurs Duux. À vitesse 4, il se limite à 31 dB(A), soit l’équivalent d’un chuchotement. Nos tests indiquent aussi 45 décibels à vitesse 8 sur 12. Le mode nuit ajoute un confort supplémentaire. Le souffle s’atténue, et l’éclairage LED s’éteint… parfait pour dormir au frais, sans être dérangé.

Ioniseur intégré : un air plus sain

Autre rareté sur ce segment, l’ioniseur intégré. En chargeant négativement les particules fines, il les fait retomber plus vite. Poussières, pollens, allergènes… l’air de la pièce est plus respirable, un vrai plus pour les personnes sensibles ou les adeptes de bien-être intérieur.

Ioniseur : il libère des ions négatifs qui chargent électrostatiquement les particules en suspension (poussières, pollens…), les alourdissent et les font retomber, mais ne les élimine pas définitivement de l’air.

Purificateur d’air : grâce à des filtres (comme HEPA ou charbon actif), il capture physiquement et retient les polluants (particules fines, allergènes, COV…), purifiant ainsi réellement l’air.

Duux Elevate

Commandes tactiles et simplicité assumée

Les touches tactiles apportent une touche premium, mais deviennent peu pratiques dans l’obscurité. La télécommande compense, mais l’absence de connexion Wi-Fi ou d’application mobile pourra frustrer les plus connectés.

Duux Elevate

Ventilateur éco-responsable et économe

Grâce à son moteur DC, l’Elevate ne consomme que 4 W en vitesse basse d’après la marque, c’est à dire moins qu’une ampoule LED. Même à pleine puissance (40 W), sa consommation reste modeste au regard de la fraîcheur apportée. Un ventilateur qui rafraîchit efficacement sans alourdir la facture d’électricité.

Une volonté de se démarquer de la concurrence

Comme on vous le disait, le Duux Elevate se distingue avant tout par son silence et son ioniseur intégré, là où ses rivaux misent sur d’autres forces. Le Rowenta Eole Home joue la carte de la puissance et de la fiabilité. Son moteur Effitech peut souffler jusqu’à 7,6 m, mais il se montre plus bruyant, entre 40 dB en vitesse basse et 55 dB en vitesse haute. Le Dreo Pilot Max S, de son côté, mise sur la connectivité : Wi-Fi, application mobile et commande vocale, associés à une oscillation de 120°. Il reste aussi silencieux que le Duux (≈ 25 dB), mais son design plus massif en fait un choix moins discret.

Le Duux Elevate incarne une philosophie rare, celle d’un ventilateur qui rafraîchit efficacement sans jamais s’imposer par le bruit. Discret, élégant et attentif à la qualité de l’air grâce à son ioniseur intégré, il s’adresse à celles et ceux qui veulent un confort invisible mais bien réel. Reste une question : préférez-vous le silence et la sobriété du Duux Elevate, ou les options connectées et le design audacieux de ses concurrents comme Rowenta ou Dreo ? Et vous que pensez vous de ce ventilateur êtes vous sensible aux ventilateurs silencieux. N’hésitez pas à nous le dire dans les commentaires.

💾

Profitez des vidéos et de la musique que vous aimez, mettez en ligne des contenus originaux, et partagez-les avec vos amis, vos proches et le monde entier.
Reçu — 29 août 2025

Textiles techniques, ces matériaux souples qui réinventent l’habitat de demain

Par :Louisa
28 juillet 2025 à 04:18
118667901 3343801698996412 7529335594275422191 oOn parle beaucoup de capteurs, de thermostats connectés ou d’enceintes intelligentes. Mais une maison innovante, ce n’est pas qu’une affaire d’électronique. Les matériaux eux-mêmes évoluent, et certains, comme les textiles techniques, trouvent une place inattendue dans nos logements.

9 astuces pour optimiser l’aménagement de votre studio étudiant à petit prix

Par :Louisa
23 juillet 2025 à 03:10
d3b8d528 5280 4760 8e16 2a53ab7a1e0cOptimiser un studio étudiant de moins de 30 m² demeure l’un des plus grands défis rencontrés par la génération actuelle. Face à la réduction constante de l’espace urbain et à la flambée des loyers, réussir un aménagement harmonieux, fonctionnel et esthétique, sans exploser son budget, est presque devenu un art en soi. Pourtant, avec des […]

💾

Je vous partage 4 principes clés d&#039;aménagement intérieur pour gagner de la place chez vous. 4 astuces d&#039;optimisation d&#039;espaces que j&#039;utilise dans la plupart ...
Reçu — 21 août 2025
Reçu — 14 août 2025

Retour en stock : le ventilateur Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 enfin dispo à prix cassé

14 août 2025 à 17:01
Ventilateur et couple.

L’été continue et les nuits chaudes aussi… Si vous cherchiez un ventilateur silencieux, efficace et connecté, le Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 est de retour en stock avec une offre rare, 71,99 € au lieu de 79,99 €, grâce à un coupon de –10 % (et -10€ de plus grâce au parrainage). Ce qui en fait l’une des meilleures offres du moment.

Design épuré et pensé pour l’intérieur

Avec son style minimaliste typique de Xiaomi, ce ventilateur s’intègre aussi bien dans un salon scandinave que dans une chambre moderne. Il utilise un système de pales doubles (7 + 5) conçu pour produire un flux d’air régulier et doux. Le Mi Smart Standing Fan 2 peut être entièrement contrôlé via l’application Mi Home (iOS et Android), avec jusqu’à 100 niveaux de vitesse, oscillation horizontale automatique, minuterie et mode brise naturelle. Il est également compatible avec Google Assistant et Amazon Alexa (appareil tiers requis). Pour ceux qui préfèrent la simplicité, des boutons physiques permettent un usage complet sans smartphone.

Silence et efficacité énergétique

Ce ventilateur offre un débit d’air maximal de 20 m³/min en mode direct vitesse 4. Sa consommation est très basse avec seulement 1,4 W au niveau 1 (soit environ 1 kWh pour 90 jours à raison de 8 heures par jour) et 13,8 W au niveau 4 (environ 9,94 kWh sur la même période). Côté bruit, il affiche seulement 30,2 dB(A) en mode « brise naturelle « niveau 1, et monte à 55–58 dB(A) à pleine vitesse. Son moteur DC (Direct Current) sans balais le rend plus durable et silencieux qu’un modèle à moteur AC classique. L’oscillation horizontale atteint jusqu’à 140° via l’application, tandis que l’inclinaison verticale est réglable manuellement (+23° vers le haut et –16° vers le bas). La grille et les pales peuvent être démontées pour un nettoyage rapide et hygiénique, prolongeant ainsi la durée de vie de l’appareil.

Ventilateur Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 dans un salon.
Ventilateur Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 dans un salon.

Le Mi Smart Standing Fan 2 est un modèle filaire, il doit donc être branché sur secteur. Sa puissance reste inférieure à celle de certains ventilateurs haut de gamme comme le Rowenta Turbo Silence. Quelques utilisateurs rapportent également des vibrations à grande vitesse, un souci généralement résolu par un échange produit. Compact, il mesure 343 × 330 × 1 000 mm pour un poids de 3,0 kg et peut être réglé en hauteur. Léger et facile à déplacer, il s’adapte à toutes les pièces de la maison.

Pourquoi c’est un bon plan maintenant ?

Ce ventilateur revient en stock après plusieurs semaines d’indisponibilité. Avec son prix réduit à 71,99 €, son fonctionnement ultra-silencieux, sa faible consommation et sa compatibilité avec le contrôle à distance, il représente un excellent rapport qualité-prix. Son design sobre et robuste en fait un choix aussi esthétique que pratique pour affronter les chaleurs estivales.

Si vous hésitez encore avant de vous décider sur l’achat de ce ventilateur, sachez que vous pouvez bénéficier de 10 € de réduction supplémentaire via notre parrainage : cliquez sur ce lien pour obtenir directement le bon de réduction sur votre première commande.

En résumé, le Xiaomi Mi Smart Standing Fan 2 coche presque toutes les cases pour qui cherche un ventilateur connecté à la fois discret, élégant et économe. Sa connectivité avancée, son faible niveau sonore et son prix promotionnel en font une opportunité intéressante à saisir. Certes, il n’atteint pas la puissance de modèles haut de gamme et sa base pourrait gagner en stabilité, mais son rapport qualité-prix reste difficile à battre dans sa catégorie. Si vous cherchez à rafraîchir vos journées et vos nuits sans alourdir votre facture d’électricité, c’est sans doute le bon moment pour passer à l’action. Un appareil idéal pour vous aider à passer la fin de l’été et les prochaines canicules sans vous ruiner.

Reçu — 13 août 2025

Ventilateur et canicule : ce que personne ne vous dit sur la consommation réelle

13 août 2025 à 17:00
Une personne dort à côté d’un ventilateur.

Face aux fortes chaleurs les ménages français sont de plus en plus nombreux à s’équiper en ventilateurs ou climatiseurs. Néanmoins s’il est important de rester au frais, attention à ne pas enflammer la facture d’électricité.

Il est 3 h du matin. Impossible de dormir, l’air est lourd, étouffant. Un simple clic et le ventilateur se met à tourner, offrant enfin un semblant de fraîcheur. Mais à l’heure où la chaleur bat des records et où les factures d’électricité grimpent, une question se pose : combien coûte vraiment ce petit luxe nocturne ? 

Quelle est la consommation énergétique d’un ventilateur ?

La nuit, un ventilateur domestique consomme en moyenne entre 45 et 70 watts, selon sa taille et sa vitesse comme l’explique le fournisseur d’énergie Butagaz. La consommation d’énergie peut aussi varier selon le type de ventilateur (plafond, colonne, sur pied, sans pales, etc.) sa puissance et son efficacité énergétique, aujourd’hui notée de A (la plus économe) à G (la plus énergivore) selon le nouvel étiquetage européen en vigueur depuis 2021. À noter que les ventilateurs ne sont pas tous soumis à ce barème.

Sur 8 heures d’utilisation, cela représente 0,36 à 0,56 kWh, soit environ 0,09 à 0,14 € (calcul basé sur un prix moyen de 0,25 €/kWh au tarif réglementé en 2025) selon Expertise Énergie.

Sur un mois complet de canicule, la dépense reste faible. Comptez 2,70 à 4,20 € pour dormir au frais. Si le ventilateur reste allumé jour et nuit, la consommation passe à 1,08 à 1,68 kWh par jour. Sur un mois complet, cela représente 32,4 à 50,4 kWh, soit 8,10 à 12,60 € en conservant le même tarif de 0,25 €/kWh TTC (tarif réglementé en vigueur en août 2025).

Ce n’est pas exorbitant, mais c’est trois fois plus qu’une utilisation limitée aux nuits. Un ventilateur consomme la même puissance quel que soit le moment de la journée ou de la nuit, seule la durée d’utilisation ou un éventuel tarif heure creuse change le coût.

Classement énergétique et ventilateur.
Classement énergétique et ventilateur

Comment connaître sa consommation d’énergie ?

Pour en savoir plus sur votre consommation, regardez attentivement le type de ventilateur (sur pied, en colonne, de plafond, sans pales, etc.) sa puissance électrique (exprimée en watts) et l’efficacité énergétique, lorsqu’elle est indiquée, classée de A (la plus économe) à G (la plus énergivore). Si vous voulez calculer la consommation de votre ventilateur voici la méthode de calcul :

  • Multipliez la puissance (en watts) par le nombre d’heures d’utilisation,
  • Divisez le résultat par 1 000 pour obtenir des kWh,
  • Multipliez le résultat par le prix du kWh indiqué sur votre facture d’énergie.

Quelles sont les bonnes astuces pour économiser de l’énergie avec un ventilateur ?

Pour réduire sa consommation d’énergie tout en maintenant une sensation de fraîcheur voici quelques habitudes à prendre :

  • Limiter l’utilisation au sommeil nocturne pour réduire la consommation et rester confortable.
  • Éteindre le ventilateur en cas d’absence, afin d’éviter toute dépense inutile.
  • Soulager le réseau électrique lors des pics de chaleur en réduisant la demande.
  • Adopter une consommation intelligente pour préserver le confort tout en évitant de surcharger le système.

J'ai lu sur le site du gouvernement canadien que placer un ventilo devant une fenêtre ouverte en le dirigeant vers l'extérieur à la tombée de la nuit rafraîchit la pièce, on a testé hier soir et c'est efficace ET rapide (l'affaire d'une dizaine de minutes)

— 🕷 (@Darchen_) July 18, 2022

Quelle est la différence de consommation énergétique entre un ventilateur et une climatisation ?

Plusieurs estimations (Ecojoko, Total Énergie, Butagaz) indique que selon les usages, la consommation annuelle d’un ventilateur peut varier de 8 kWh (usage ponctuel) à plus de 50 kWh (usage quotidien en été). Par exemple, sur un mois de canicule à raison de 8 heures par nuit, elle atteint déjà 10,8 à 16,8 kWh. Un chiffre qui même en usage intensif reste nettement inférieur à celui de la consommation annuelle d’une climatisation qui atteint les 304 kWh à usage modéré et 1200 kWh en utilisation intensive. À usage comparable, un ventilateur consomme environ 18 à 27 fois moins qu’une climatisation pour le même nombre d’heures d’utilisation. Selon les valeurs du tableau comparatif ci-dessous, pour 8 heurs par nuit pendant 30 jours, une climatisation consomme 18 à 27 fois plus d’électricité qu’un ventilateur.

CritèreVentilateurClimatisation
Puissance moyenne (W électriques consommés)45 à 70500 à 1 200 500 à 1 200 W selon qu’il s’agisse d’un climatiseur mobile monobloc ou d’un modèle split de petite à moyenne puissance, en fonctionnement continu.
Consommation mensuelle (kWh)10,8 à 16,8192 à 288
Coût mensuel (€)2,70 à 4,2048 à 72

Si les deux appareils affichent une consommation d’énergie très différente, ils n’apportent pas le même confort. Contrairement à la climatisation, un ventilateur ne baisse pas la température ambiante. Il améliore seulement la sensation de fraîcheur en favorisant l’évaporation de la sueur. Comme tout appareil électrique, l’énergie consommée par le moteur se dissipe aussi sous forme de chaleur, ce qui peut légèrement réchauffer la pièce. Résultat, le laisser tourner dans une pièce vide est inutile et gaspille de l’électricité.

En résumé, un ventilateur allumé toute la nuit coûte peu à l’échelle d’un foyer, mais il devient un sujet d’optimisation quand la canicule dure et que le réseau électrique chauffe lui aussi.
Dans le fond, le vrai enjeu est collectif, et consiste à réduire la demande aux heures critiques tout en restant au frais. Et ça, ça ne tient parfois qu’à un bouton OFF. Cet article vous a été utile ? Votre avis nous intéresse. Partagez vos retours, astuces ou expériences en commentaire. Si vous repérez une inexactitude ou souhaitez proposer une amélioration, signalez-le-nous.

❌