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Mini bloc central, mini bail gouvernemental, les 14 heures d’une mini France… !

7 octobre 2025 à 04:35

Recherche désespérément la confiance… des Françaises et des Français !

Décidément, la disparition du « Fait majoritaire » en juin 2022 n’a pas été digérée par les partis politique de la majorité présidentielle comme de l’opposition dans toute sa diversité. Cahin-Caha, de nombreuses lois ont été votées durant ces deux années, mais la réforme des retraites et l’utilisation pléthorique du 49-3, pour faire passer les budgets 2023 et 2024, ont exaspéré la classe politique, tout comme les Françaises et les Français. 

Presque sans surprise, le suffrage universel a traduit ce mécontentement dans les urnes au moment des élections européennes en juin 2024. A l’issue de ce scrutin, le parti présidentiel est sanctionné sévèrement ! Chacun connaît la suite avec une dissolution incomprise, et même avec une censure programmée potentiellement en octobre 2024, par la population française. 

Depuis ce retour aux urnes en juin 2024 et un résultat où personne n’a gagné véritablement, même si certains ont perdu réellement par ailleurs, mais au bout du bout le respect du plus petit dénominateur politique commun enregistré dans les urnes n’a pas été au rendez-vous. Depuis, les chefs du Gouvernement, Michel Barnier, François Bayrou, et Sébastien Lecornu, ont essayé de trouver un compromis avec quelques subterfuges politiques. Rien n’y fait, la température de la population française est élevée et il faut un remède démocratique rapidement !

Ce jeudi 09 octobre 2025, dans la grisaille républicaine, l’arrivée au Panthéon de Robert Badinter va constituer une éclaircie durant une semaine qui fera date dans notre 5ème République. Retour aux affaires courantes de la politique française dès le vendredi 10 octobre 2025…, très enthousiasmant !

Daniel Carlier

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En cas de législatives, la gauche promet d’être aussi décevante qu’à son habitude

4 septembre 2025 à 14:28

La gauche a tenu à rassurer ses électeurs : en cas de dissolution du gouvernement, elle saura se montrer à la hauteur de leurs pires craintes. Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste, s’y est engagé : “Nous ne briserons pas la confiance des électeurs : nous échouerons, cette fois encore, à trouver un accord pour unir tous les partis de gauche !”

Pourtant, le risque de voir un candidat accéder au pouvoir à l’issue des législatives est réel. “On n’est pas à l’abri qu’Emmanuel Macron écoute les Français”, craint Yannick Jadot. Si une telle situation devait se présenter, les partis de gauche se sont engagés à rester divisés sur tous les sujets y compris, bien évidemment, sur la question du budget. Avec un objectif clair : rappeler aux électeurs l’incapacité de la gauche à s’unir, en particulier en cas de crise.

Du côté du RN, on se frotte les mains. “Pour les électeurs, ce sera probablement la déception de trop”, prédit un cadre du parti. De quoi offrir un pont d’or au parti d’extrême droite qui pourra enfin démontrer la totale vacuité de son programme en matière d’économie, de justice, de politique extérieure, d’éducation, de santé, d’emploi, de défense, de culture et d’écologie.

En attendant une possible dissolution, la gauche ne cache pas sa principale ambition : terminer en 5e position des élections présidentielles 2027.

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