Si vous habitez près d’une forêt ou d’un maquis, il ne s’agit plus seulement de tondre la pelouse, mais de respecter la loi… ou d’ouvrir votre portail au voisin !
Après l’événement récent du Marché d’Automne, le jeu Grow a Garden prend un nouveau tournant avec l’introduction de l’événement Seed Stages. Cet ajout excitant apporte des graines évolutives, un fantastique Season Pass, et des cosmétiques uniques qui garderont tous les joueurs engagés. Pour gagner des récompenses exclusives liées à cet événement, les joueurs doivent se […]
Bienvenue à l’étape Seed Stage dans Grow a Garden—un événement palpitant où vous trouverez des graines fraîches, des plantes vibrantes, des animaux de compagnie adorables et des équipements innovants ! Cet événement introduit une fonctionnalité excitante qui vous permet d’améliorer des graines en plantes plus rares, améliorant ainsi votre expérience de jeu. Si vous êtes […]
L’événement Grow a Garden Seed Stages a introduit un nouveau contenu excitant, y compris l’inestimable Jungle Egg. Cet œuf de haute rareté est rempli d’une variété d’animaux de compagnie qui peuvent améliorer considérablement votre expérience de jardinage. Dans ce guide, nous allons explorer diverses façons d’obtenir l’œuf de la jungle et plonger dans les animaux […]
Des nouvelles passionnantes pour les amateurs de jardinage dans Grow a Garden ! La boutique de graines de Sam a récemment introduit une rareté connue sous le nom de graine de Crimson Thorn. Cette rareté Transcendante a rapidement capté l’intérêt des joueurs, non seulement pour son charme esthétique mais aussi pour son potentiel à générer […]
Êtes-vous prêt à élever votre expérience de jardinage ? Grow a Garden est ravi de vous présenter l’événement Seed Stages, qui propose une sélection passionnante de graines évolutives qui occuperont votre pouce vert. Cette mise à jour apporte également un Season Pass qui permet aux joueurs de gagner le pack de graines exclusif Prime Seed […]
Il vrombit, bourdonne et se gave de fleurs, mais ne fabrique pas de miel : que cherche vraiment le bourdon ? Découvrez le rôle secret de ce poilu volant.
C’est un concours unique en France qui a lieu ce week-end à la Roche-sur-Yon, en Vendée : le concours national des légumes géants. Ce dimanche 28 septembre, des potirons gigantesques, dont le poids est compris entre 400 kg et possiblement plus d’une tonne, s’affronteront pour peut-être, battre...
Êtes-vous prêt à élever votre expérience de jeu dans Grow a Garden ? Parmi les graines et plantes passionnantes disponibles, les Graines Transcendantes se démarquent en tant que collectibles les plus rares et les plus précieux. Non seulement ces graines peuvent vous aider à réaliser vos rêves de jardinage, mais elles peuvent également vous rapporter […]
Suivre les mises à jour de Grow a Garden peut être un véritable périple, mais les récompenses valent indéniablement l’effort. Les développeurs déploient constamment de nouveaux contenus, introduisant généralement des fonctionnalités passionnantes chaque semaine. Les joueurs ont l’opportunité de gagner de nouvelles graines, des animaux de compagnie adorables et des mutations de cultures innovantes en […]
De nouveaux robots promettent un désherbage ciblé, avec le moins d’agression chimique possible. Une possible amélioration pour les robots-tondeuses qui vadrouillent déjà dans bien des jardins ?
En combinant caméras, capteurs et algorithmes, de nouvelles machines ont appris à distinguer les plantes “indésirables” avant de les neutraliser mécaniquement, thermiquement, électriquement… voire au laser !
Comment sommes-nous arrivés à ce niveau de précision ? Quelles marques sont concernées ? Quel est le degré de maturité de cette technologie ? Voyons ça rapido !
Agir au millimètre, c’est déjà possible ?
Comme pour les humains, la vue (ou la vision caméra), ne sert pas qu’à se repérer dans l’espace pour se déplacer, mais à identifier les éléments qui nous entourent. Les fabricants n’auront pas mis longtemps avant d’entraîner les IA intégrées aux algorithme à reconnaître une plante grâce à sa forme et à sa couleur (un peu à la manière de Google Lense).
Pour désherber, le GPS et les capteurs guident la trajectoire, puis l’outil (lame, brosse, pince, jet, chaleur ou laser) élimine la mauvaise herbe sans abîmer la flore environnante. De cette façon, on espère diminuer drastiquement l’usage d’herbicides, tout en préservant le dos des propriétaires de jardins.
Chez les professionnels, trois approches de désherbage se concurrencent déjà !
Parmi les variations montantes du désherbage automatique, on trouve actuellement :
le désherbage laser (plein champ), avec notamment le LaserWeeder G2, est la méthode la plus onéreuse. L’appareil identifie et “mitraille” au laser les mauvaises herbes grâce à une IA entraînée sur des centaines de modèles de plantes. La nouvelle génération revendique une précision sub-millimétrique et des vitesses d’élimination très élevées, avec plusieurs tailles d’outils (tractés) pour s’adapter aux exploitations.
le micro-pulvérisateur de précision : chez Ecorobotix, la rampe ARArepère chaque mauvaise herbe et ne pulvérise que la cible, à la goutte près. Résultat annoncé : jusqu’à –95 % de produits toxiques par rapport à une application classique, tout en maintenant l’efficacité du contrôle. C’est une voie médiane entre le “zéro chimie” et le “tout mécanique”, plébiscitée par des producteurs qui combinent binage mécanique + micro-pulvérisation pour optimiser coûts et efficience.
le désherbage mécanique autonome (maraîchage & vignes) avec les robotsNaïo Technologies (par ex. Oz) lesquels travaillent le sol entre les rangs, sarclent, binent et soulagent les exploitants sur les cultures spécialisées. Le segment progresse — avec des hauts et des bas côté business — mais reste une solution concrète pour le désherbage “zéro phyto” en petites et moyennes surfaces.
Dans tous les cas, on compte sur une amélioration de la qualité agronomique : intervenir chirurgicalement, en polluant le moins possible et sans asphyxier le sol ni agresser les plantations.
Et pour le jardinier amateur ?
Côté grand public, Tertill (robot solaire pour potager) avait sorti un modèle pour aider les jardiniers à raser les jeunes pousses indésirables en continu à l’aide d’un coupe-fil et de roues qui déracinaient les plantules.
RIP Tertill mais des pistes restent à explorer grâce aux dernières améliorations de l’IA !
Malheureusement, cette initiative a périclité en 2017 à cause d’une efficacité très conditionnelle. Elle dépendait en effet d’une mise en place rigoureuse (bordures, paillage, plantes assez hautes) et d’un entretien trop régulier.
Encore des limites à surmonter
Toutefois, comme les technologies encore jeunes, le désherbage automatique rencontre déjà certaines limites : les robots peu assurés travaillent lentement par excès de prudence, et certaines racines très coriaces peuvent résister à leurs interventions.
En outre, certaines techniques comme le laser exigent des protocoles stricts (sécurité, risque feu en conditions sèches) et le rendement varie selon la luminosité, l’enherbement, l’humidité, etc. Enfin, cette fonctionnalité de luxe coûte évidemment plutôt cher.
C’est pourquoi les principaux acteurs de cette innovation doivent redoubler d’efforts pour devenir viables sur le marché.
À quand le robot-tondeuse option désherbage ?
Les robots désherbeurs existent déjà et ils sortent des labos pour briller dans les champs comme au potager avec des technologies déjà bien maîtrisées : laser, vision + micro-pulvérisation ou cueillette mécanique : ces trois voies complémentaires sont tout à fait prometteuses ! Le grand public a déjà pu tester des gadgets au potager, mais les tentatives restent encore discrètes à ce sujet, tandis que les pros peuvent déjà compter sur des modèles plutôt aboutis. Quoi qu’il en soit, il est fort possible que les robots-tondeuses, de plus en plus sophistiqués en 2025 (comme en témoigne notre test du Yuka mini de Mammotion), embarquent bientôt des fonctionnalités de cet ordre !
Et vous ? Pensez-vous que l’IA a sa place dans les cultures ou que cela peut être dangereux ? Est-ce un vrai gain anti-pollution ? Quid d’autres techniques sans technologie avancée comme la permaculture ? Dites-nous ce que vous en pensez en commentaires !
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Les mauvaises herbes adorent vos graviers, mais inutile de sortir l’artillerie chimique. Le purin d’ortie, simple et naturel, pourrait vous sauver l’été.
Un adolescent américain a mis au point un robot capable d’éliminer les mauvaises herbes grâce à l’IA. Une invention qui pourrait aider à se passer des pesticides dans le secteur agricole.
Anti-moustique efficace, borne design, appli connectée… le piège anti-moustiques CO₂ Willo de la société Wiliv coche (presque) toutes les cases. Voici notre test complet.
Chaque été, c’est la même rengaine. Les soirées sur la terrasse virent au combat contre des dizaines de moustiques, malgré les bougies à la citronnelle et les sprays répulsifs. Pour beaucoup, les solutions classiques ne suffisent plus. C’est là que la borne Willo de la marque Wiliv entre en jeu. Ce piège connecté made in France, lancé en 2024 par la société Ma Boite à Moustique, promet de réguler la population de moustiques sans produits chimiques ni insecticides. Et surtout, sans compromis sur le design.
Pensée comme un véritable objet de jardin, la borne Willo joue la carte de la discrétion : un habillage anthracite en métal époxy, une lumière douce qui fait office de veilleuse… et un piège redoutable pour les moustiques, basé sur le biomimétisme. CO₂, attractif olfactif et système d’aspiration ciblée : le trio qui reproduit le souffle et l’odeur humaine pour les piéger efficacement.
Cette nouvelle version 2025 tient-elle ses promesses ? On l’a testée chez nous, moustiques compris.
Adieu moustiques, bonjour terrasse
Ils avaient fait parler d’eux l’an dernier avec une première version prometteuse. Cette année, Wiliv revient avec une borne anti-moustiques repensée de fond en comble : aspiration plus large, design plus robuste, diffusion de CO₂ optimisée et compatibilité avec l’appli mobile pour piloter tout ça à distance.
Nous avons testé la version 2025 du piège connecté Willo, et on peut le dire : la marque a appris de ses débuts.
Une borne repensée jusque dans les détails
La Willo version 2025 ne se contente pas de corriger ses petits défauts : elle va beaucoup plus loin. On remarque d’abord une bouche d’aspiration plus large, désormais aimantée. Une amélioration simple mais efficace, qui facilite l’entretien. Le bloc technique a lui aussi été revu pour mieux guider le câble de rallonge, avec une encoche élargie et une forme renforcée qui résiste mieux à l’usage.
Esthétiquement parlant, il n’y a pas grand chose à redire.
Côté diffusion du CO₂, on remarque plusieurs améliorations notables. La butée intégrée pour la bouteille évite les erreurs de placement, le positionnement du diffuseur a été modifié pour maximiser l’attrait, et le contenant de l’attractif a été repensé pour éviter les gouttes qui nuisaient à la ventilation.
Bloc technique
Bref, c’est une mise à jour pensée pour les utilisateurs exigeants.
Une application qui fait (presque) tout
La borne Willo peut fonctionner seule, mais c’est via l’appli que l’expérience devient vraiment intéressante. Elle permet de :
Programmer les plages horaires de diffusion du CO₂,
Suivre la consommation de gaz et d’attractif pour éviter les périodes “off” en pleine saison,
Obtenir des conseils et informations,
Activer ou désactiver la LED intégrée.
Reste qu’on aurait aimé aller encore plus loin : pouvoir désactiver le CO₂ automatiquement en cas de pluie ou de vent fort (grâce à un capteur ou une connexion Wi-Fi). Peut-être pour une version future ?
Une installation simple… à condition d’être bien équipé
La borne arrive sans bouteille de CO₂ ni rallonge. Il faudra donc prévoir :
une rallonge d’extérieur de type IP44 (on recommande par exemple les modèles Lidl, Amazon ou Action en 10-15 m),
une bouteille de CO₂ de 5 kg compatible avec le détendeur fourni (chez un revendeur : 85€ de consigne + 21,5€ par recharge, ou en ligne : co2bio.com),
un sachet d’attractif spécifique à renouveler toutes les deux à trois semaines. Le plus simple étant de le changer en même temps que la bouteille.
Une fois ces éléments en main, l’installation est bien pensée : on glisse la rallonge à travers la base, on branche, on positionne la bouteille et le filet, et c’est parti.
Même de nuit, la borne a son charme.
Mention spéciale pour l’application qui guide pas à pas et pour les LED sur le boîtier interne : elles indiquent si le piège est actif, connecté, ou en défaut.
« Nous avons fait le choix du format de bouteille de 5 kg (14 kg quand la bouteille est pleine) compte tenu de retours clients sur la difficulté de porter/manipuler des bouteilles de 10 kg pleines de gaz (26 kg quand elles sont pleines). Willo se veut pratique et très facile à installer, porter, déplacer, … peu importe l’âge et la « force » du client. » selon Wiliv.
Et sur le terrain, ça donne quoi ?
Pendant notre test, la borne a capturé une bonne quantité de moustiques (lors de notre test de l’année dernière : environ 40 moustiques par jour ; cette année beaucoup moins : environ 5 par jour, car nous avons vraiment beaucoup moins de moustiques de manière générale). Il faut dire que le taux d’aspiration est bon, et que les moustiques sont attirés par le combo CO₂ + attractif odorant. L’aspiration continue 24h/24, même sans diffusion de gaz, permet de piéger les moustiques en transit.
Le bon positionnement de la borne est primordial. Une image vaut mieux que mille mots.
Côté bruit, nos mesures sont les suivantes : le ventilateur produit 46 dB à 1 mètre, 39 dB à 3 mètres et 37 dB à 5 mètres. Suffisant pour être entendu, mais pas gênant si on le place un peu à l’écart.
Justement, il est conseillé de ne pas forcément coller la borne à sa terrasse, au risque d’attirer les moustiques là où vous êtes. On la positionnera plutôt entre la végétation (zone de repos) et l’espace de vie extérieur.
Si vous voulez la housse de protection pour l’hiver, il faut ajouter 79€. Cet accessoire de grande qualité, en toile polyester enduit PVC imperméable (très longue durée de vie), est confectionné en France.
Faut-il craquer pour la borne Willo ?
Ce piège n’est pas le meilleur rapport qualité / prix du marché, mais son positionnement en termes de prix nous semble cohérent vis à vis de son design unique, de sa fabrication et de ses caractéristiques. Un bon rapport qualité / prix se situerait selon nous sous la barre des 800€.
Si vous cherchez une solution anti-moustiques efficace et sans pesticides la Willo coche presque toutes les cases. Elle nécessite un investissement initial et un peu de rigueur dans l’installation, mais en retour, elle permet de réduire significativement la population de moustiques dans un jardin.
Le rapport qualité/prix peut prêter à débat. Si l’on compare Willo à d’autres solutions du marché, comme le piège Biogents — vendus deux fois moins cher (kit C02 & timer inclus) pour une efficacité comparable — elle n’est pas la plus accessible. Cependant, il est important de distinguer les pièges « intégrés » (avec bouteille de CO₂ à l’intérieur de la borne), catégorie dans laquelle Willo reste la meilleure option sous la barre des 900 €. Ce piège s’adresse à ceux qui veulent une solution design, robuste et clé en main. Son tarif s’explique également par plusieurs points différenciants :
Une fabrication 100 % française, de la carte électronique à la tôlerie.
Un design unique, avec lumière intégré et connexion bluetooth,
Le seul piège durable en métal actuellement sur le marché.
Un système 100 % intégré, avec la bouteille de CO₂ dissimulée à l’intérieur du boîtier.
Un service client réactif et accessible.
Pensez à anticiper l’achat de la rallonge et de la bouteille de CO₂ pour éviter les mauvaises surprises lors de l’installation. Enfin, pensez à suivre les actions préventives de l’application et pensez à activer la borne en tout début de saison pour maximiser les résultats.
Vous avez déjà testé la borne Willo ? Partagez aussi votre avis en commentaire !
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On a tellement l’habitude de se le faire becter par les oiseaux, guêpes et frelons que je me suis emballé hier et avons récolté du raisin un peu tôt.
D’un autre côté, on a regardé les prunes pousser, on ne les a pas mangées. Idem pour un des noisetiers.
Donc, entre mon raisin rouge encore à 80% vert et un reste de pommes (du commerce, ici elles sont encore bien vertes), j’ai préparé un crumble aux pommes et raisin !
Et les poules vont pouvoir s’amuser avec les déchets des deux
Ma recette (y’en a sans doute autant que de personnes qui en font) :
130Gr de sucre ; je mets de la cassonade par préférence et « beaucoup » pour contrer l’acidité du raisin,
100 + 20Gr de beurre,
140Gr de farine de blé,
80Gr de poudre d’amandes,
4-500Gr de raisin,
4 à 5 pommes, dépend de leur taille.
Le plus long étant de trier les grains les plus mûrs… Les laver rapidement, réserver.
S’occuper des pommes : les peler et couper grossièrement. Merci à la personne qui a inventé l’épluche pommes !
Mélanger sucre, farine et poudre d’amandes. Ajouter ensuite 100Gr de beurre et malaxer pour obtenir une pâte homogène. Vive les gants !
Si comme moi le beurre sort juste du réfrigérateur, le passer 20 secondes au micro-ondes. Et réserver.
A la pôele, 20Gr de beurre, pour que ça n’accroche pas ici et moins dans le plat au four.
Faire revenir le raisin à feu doux, qu’il se colore. 8 minutes au gaz par exemple.
Quand il change couleur, ajouter les pommes, mélanger et couvrir pour laisser couffiner 5/6 minutes jusqu’à prendre la couleur du raisin.
Une fois prêt, mettre dans un plat (non beurré vu que les fruits le sont) et couvrir avec la pâte.
Enfourner 30-35 minutes à 180°.
Et ne faites pas comme moi : pensez à étaler correctement la pâte