La Norvège possède 1300 bus électriques, dont 850 d'une marque chinoise. Ils ont découvert une carte SIM cachée qui permet au fabricant chinois de désactiver les bus ou les mettre à jour à distance.
Ils considèrent cela comme un risque de sécurité et une faille dans leur souveraineté et ils ont raison.
Ce qui est bien, c'est de se dire que même si la boîte chinoise n'est pas malveillante (on en sait rien), ce contrôle à distance offre une possibilité de piratage.
Et comme dit l'adage "Toute machine est une machine à fumée si on s'en sert suffisamment mal", j'imagine qu'en piratant et reprogrammant les batteries y'a moyen de foutre le feu ou - potentiellement - faire exploser le truc.
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