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Reçu hier — 13 mai 2025

Tous les êtres vivants émettent de la lumière : l’incroyable découverte de scientifiques canadiens

Les êtres vivants émettent, en permanence, une lueur plus ou moins forte. C’est ce que des chercheurs avaient annoncé il y a plus de 15 ans. Aujourd’hui, une équipe apporte la preuve que cette lueur est liée à la vie. Ou presque…

Reçu avant avant-hier

« Nous sommes partis à la rencontre du plancton et nous avons fait des découvertes passionnantes. »

Pour nous, mammifères terrestres, il est parfois difficile de se sentir proche de ceux, végétaux ou même animaux, qui vivent dans l’eau. Mais certains scientifiques ont le don de réveiller cette complicité perdue dans la nuit des temps. Et Éric Karsenti est incontestablement l’un d’eux. Il nous...

microbewiki

22 avril 2025 à 13:58

MicrobeWiki est une ressource wiki gratuite sur les microbes et la microbiologie, rédigée par des étudiants de nombreux collèges et universités.

Les pages curatées, telles que celles liées à l'index taxonomique, sont révisées et mises à jour par des microbiologistes du Kenyon College.

Les pages rédigées par les étudiants de manière indépendante ou dans le cadre de leurs cours ne font l'objet d'aucune autre surveillance. Les lecteurs intéressés sont encouragés à ajouter des informations, après avoir créé un compte gratuit.


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New Constraints on DMS and DMDS in the Atmosphere of K2-18 b from JWST MIRI - IOPscience

17 avril 2025 à 21:39

La frontière sous-Neptune a ouvert une nouvelle fenêtre sur la riche diversité des environnements planétaires au-delà du système solaire. La possibilité de mondes océaniques, avec des océans à l'échelle de la planète et des atmosphères riches en H2, élargit et accélère considérablement la recherche d'environnements habitables ailleurs.

La récente spectroscopie en transmission du JWST du monde océanique candidat K2-18 b dans l'infrarouge proche a permis de détecter pour la première fois les molécules carbonées CH4 et CO2 dans son atmosphère, dont la composition est conforme aux prédictions de conditions océaniques.

Les observations ont également fourni une indication provisoire de sulfure de diméthyle (DMS), un gaz biosignature possible, mais l'inférence était de faible signification statistique.

Nous rapportons un spectre de transmission dans l'infrarouge moyen de K2-18 b obtenu à l'aide de l'instrument MIRI LRS du JWST dans le domaine ∼6-12 μm. Le spectre montre des caractéristiques distinctes et est incompatible avec un spectre sans caractéristiques à 3,4σ de signification par rapport à notre modèle canonique.

Nous constatons que le spectre ne peut pas être expliqué par la plupart des molécules prédites pour K2-18 b, à l'exception du DMS et du disulfure de diméthyle (DMDS), également un gaz biosignature potentiel.

Nous rapportons de nouvelles preuves indépendantes de la présence de DMS et/ou de DMDS dans l'atmosphère à 3σ de signification, avec une abondance élevée (≳10 ppmv) d'au moins l'une des deux molécules.

D'autres observations sont nécessaires pour augmenter la robustesse des résultats et résoudre la dégénérescence entre le DMS et le DMDS. Les résultats soulignent également la nécessité de travaux expérimentaux et théoriques supplémentaires pour déterminer les sections efficaces de gaz biosignatures importants et identifier les sources abiotiques potentielles. Nous discutons des implications des résultats actuels pour la possibilité d'une activité biologique sur le K2-18 b.


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Le télescope James Webb aurait détecté des «indices» liés à la vie sur une exoplanète – Libération

17 avril 2025 à 19:41
> K2-18b, exoplanète située à 124 années-lumière de la Terre, dans la constellation du Lion, fait l’objet de débats animés au sein de la communauté scientifique, qui se demande si elle pourrait être un monde océanique susceptible d’abriter une vie microbienne. Ce jeudi 17 avril, une équipe de chercheurs américano-britanniques a annoncé avoir détecté, en utilisant le télescope spatial James Webb, dans son atmosphère des signes de composés chimiques longtemps considérés comme des «biosignatures» d’une possible vie extraterrestre – le sulfure de diméthyle et le disulfure de diméthyle, qui sur Terre sont uniquement produits par des organismes vivants, principalement du phytoplancton.

Depuis que j'ai lu la trilogie du [problème à 3 corps][1] de Liu Cixin, j'ai *très peur* de l'existence d'une potentielle vie extra-terrestre (lisez-le, vous comprendrez - attentions, pavés).

[1]: https://www.sammyfisherjr.net/blog/spip.php?article457
(Permalink)

Le télescope James Webb aurait détecté des «indices» liés à la vie sur une exoplanète – Libération

17 avril 2025 à 19:41
> K2-18b, exoplanète située à 124 années-lumière de la Terre, dans la constellation du Lion, fait l’objet de débats animés au sein de la communauté scientifique, qui se demande si elle pourrait être un monde océanique susceptible d’abriter une vie microbienne. Ce jeudi 17 avril, une équipe de chercheurs américano-britanniques a annoncé avoir détecté, en utilisant le télescope spatial James Webb, dans son atmosphère des signes de composés chimiques longtemps considérés comme des «biosignatures» d’une possible vie extraterrestre – le sulfure de diméthyle et le disulfure de diméthyle, qui sur Terre sont uniquement produits par des organismes vivants, principalement du phytoplancton.

Depuis que j'ai lu la trilogie du [problème à 3 corps][1] de Liu Cixin, j'ai *très peur* de l'existence d'une potentielle vie extra-terrestre (lisez-le, vous comprendrez - attentions, pavés).

[1]: https://www.sammyfisherjr.net/blog/spip.php?article457
(Permalink)

Les émissions dues aux formes. Entretien avec Jacques Ravatin - 3e millénaire - Spiritualité - Connaissance de soi - Non-dualité - Méditation

22 mars 2025 à 23:39

Jacques Ravatin nous a quitté en Mars 2011. C’est par cet entretien de 1978 – ci-dessous – que nous l’avons découvert. Il était la continuation et la synthèse d’une longue lignée de chercheurs et de scientifiques d’avant-garde qui, à la fois, pratiquement et théoriquement étudiaient les liens du visible et de l’invisible, de leurs implications et de la possibilité de changer de conscience. Son œuvre reste relativement méconnu et il est dommage que plusieurs farfelus s’en inspirent. Ravatin continua ses travaux avec sa fondation Ark’all et publia de nombreuses études, parfois sous le pseudonyme de Vladimir Rosgnilk. Ses thèses restent à être vérifier par une communauté plus large de chercheurs…

(Revue Psi International. No 7. Octobre-Novembre-Décembre 1978)

Une nouvelle approche de l’Univers… Un reportage de Joël André

Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».

Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.

Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.

L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.

Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !

Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…

On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.

On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.

Mais alors, fallait-il publier ces propos, ou encore n’était-il pas trop tôt pour le faire ?

De deux choses l’une : ou bien les affirmations de Jacques Ravatin sont exactes et les recherches de son groupe sont en passe de révolutionner la science actuelle. Il serait alors impardonnable de faire obstacle à leur diffusion et à leur libre appréciation par tous. Ou bien elles relèvent d’un enthousiasme exagéré et d’un manque total de prudence scientifique, auquel cas, selon la formule consacrée, elles n’engagent que leur auteur, sa bonne foi et ses compétences universitaires.

Dans un cas comme dans l’autre, Jacques Ravatin nous a paru capable de prendre ses responsabilités. Sa carrière universitaire (après un doctorat en physique mathématique, il enseigne aujourd’hui cette discipline à l’Université d’Amiens) ne le laisse pas sans répondant sur le plan polémique. Sa pratique expérimentale (il fut également ingénieur-chimiste au C.N.R.S.) laisse espérer qu’il a su garder les yeux ouverts lors de ses investigations. L’assurance avec laquelle il se propose d’opérer les principales transformations physico-chimiques connues par des voies entièrement ignorées de nos laboratoires serait insensée si elle ne reposait sur un acquis vérifiable. Les thèses et brevets se multiplient d’ailleurs autour des travaux du Groupe Ark’All et l’industrie privée leur accorde déjà un soutien non négligeable.

Mais supposons que les propos qui vont suivre ne relèvent que d’extrapolations sans fondement ou encore d’observations réelles mais hâtivement généralisées, bref d’un abus d’interprétation. Il n’en serait pas moins nécessaire de les lire et de les relire. Einstein ne disait-il pas avoir recueilli certaines idées majeures de ses théories à la lecture… d’ouvrages de science-fiction !


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🌱 [Pierre-Henri Gouyon] Effondrement de la biodiversité : pourquoi on a tout faux ! - YouTube

1 février 2025 à 07:46

Pierre-Henri Gouyon est vraiment passionnant !

Quand il dit qu'il est venu faire une conf il y a 20 ans, je me demande si ce n'est pas la première que j'avais vu de lui.

Il avait fini par me convaincre de faire un master physique du vivant et de m'intéresser à la biologie. Et ce sans s'adresser à moi directement, un génie donc.

Les sujets sont passionnants et c'est grand public.
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