Une nouvelle balance de cuisine intègre l’intelligence artificielle pour évaluer le poids des aliments et calculer leur apport calorique. Découvrez le fonctionnement de cet outil innovant, pensé pour simplifier la gestion nutritionnelle au quotidien.
Le magazine 60 Millions de consommateurs vient de publier son classement des meilleurs robots pâtissiers du marché. Spoiler : le plus performant n’est pas le plus cher.
C’est devenu un réflexe pour de nombreux Français : sortir le robot pâtissier dès qu’il faut pétrir une pâte ou monter des blancs en neige. Depuis la crise sanitaire, cet appareil s’est imposé comme un incontournable de la cuisine maison. Mais entre les modèles à 700 € qui misent tout sur le design et ceux à 90 € plus discrets, difficile de savoir où donner de la tête. Pour y voir plus clair, 60 millions de consommateurs a testé dix références représentatives du marché. Résultat : certaines surprises qui pourraient bien bousculer vos envies.
Premier du banc d’essai, le Bosch MUM 5XW20/06 a décroché la meilleure note avec un 17,5/20. Vendu 319 € (ou 420 € selon les enseignes), ce modèle est salué pour sa discrétion, sa polyvalence et sa robustesse. Il excelle dans toutes les préparations de bases crues, selon les testeurs du magazine. Son bol inox, ses trois accessoires classiques (fouet, feuille, crochet) et sa praticité d’usage en font un robot complet et fiable sur le long terme.
Et en plus il est design !
Un outsider à moins de 100 € crée la surprise
Mais la véritable révélation du comparatif, c’est le Electrolux EKM800, vendu à moins de 100 € (120 € sur Amazon). Avec une note de 16/20, il s’impose comme le meilleur rapport qualité/prix de la sélection. Léger, peu bruyant, suffisamment puissant pour les préparations courantes : il coche toutes les cases pour une utilisation domestique sans se ruiner. Pour les amateurs de gâteaux, brioches ou pâtes à pizza, c’est un excellent choix sans tomber dans la surenchère marketing.
Les autres modèles bien notés
Le classement réserve aussi une place au Kenwood kMix KMX75 (299,99 €, 16,5/20), apprécié pour son efficacité et son look rétro. Le KitchenAid Artisan 5KSM175, souvent perçu comme une icône de la pâtisserie, obtient la même note (16,5/20), mais son prix allant de 300 € de 1000 € le rend moins compétitif pour un usage courant.
Le test le confirme : dépenser plus ne garantit pas de meilleures performances. Si certains modèles haut de gamme brillent par leur design ou leur longévité, les performances en cuisine sont souvent comparables à celles d’appareils trois fois moins chers. Le Electrolux EKM800 en est la preuve : il remplit parfaitement sa mission pour un budget maîtrisé. À l’heure où l’on cherche à mieux consommer, ce type de recommandation peut faire toute la différence.
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La marque américaine dévoile le Ninja CRISPi™, une friteuse sans huile qui promet de cuire, conserver et transporter vos repas. Mais ce nouveau venu vaut-il vraiment le détour ?
Derrière ce nom à consonance TikTok, le Ninja CRISPi™ s’annonce comme le nouvel OVNI de la famille Air Fryer. Moins imposant qu’un four, plus pratique qu’un micro-ondes, cet appareil veut séduire les amateurs de batch cooking, les travailleurs nomades… et tous ceux qui rêvent de manger croustillant au bureau. Mais derrière l’effet d’annonce et les verres trempés TempWare™, que vaut vraiment ce nouveau Ninja ? On l’a épluché sous toutes ses coutures.
Un concept hybride entre Air Fryer et bento chauffant
À première vue, le CRISPi™ reprend tous les codes d’un Air Fryer classique. Il chauffe à 1 500 W, frit sans huile, et mise sur la technologie d’air pulsé. Mais ici, pas de tiroir à insérer. À la place, deux plats en verre (1,4 L et 3,8 L), pensés pour passer du frigo au plan de travail, sans transvaser quoi que ce soit. On prépare, on stocke, on chauffe. Le tout avec un couvercle chauffant amovible – le fameux PowerPod – qui fait office de module de cuisson.
Sur le papier, l’idée est séduisante. Plus besoin de multiplier les contenants. On cuisine en avance, on conserve au frais, puis on clipse l’appareil pour une cuisson express. De quoi alléger la vaisselle et les allers-retours en cuisine.
Une portabilité discutable
C’est l’argument marketing mis en avant : le CRISPi™ serait « portable ». En réalité, il faut tout de même transporter le plat + le couvercle chauffant + trouver une prise de courant à proximité. Oubliez donc l’idée de le sortir dans un parc ou de l’utiliser en voiture. C’est davantage un appareil compact que véritablement nomade. Et avec un poids de plus de 3 kilos, ce n’est pas non plus le compagnon idéal du sac de bureau.
Ça nous paraît quand même compliqué à transporter…
Autre limite : la température maximale plafonne à 185 °C, bien en dessous des modèles plus classiques de la marque qui montent à 240 °C. Résultat : certaines cuissons, notamment les préparations épaisses, peuvent manquer de régularité. Le dessus grille, mais l’intérieur reste tiède.
Un appareil pensé pour le batch cooking… mais pas pour tous
Là où le CRISPi™ marque un vrai point, c’est sur le batch cooking. Les plats sont compatibles congélateur, réfrigérateur et lavage à la main (pas au micro-ondes ni au four). On peut même acheter des plats supplémentaires pour organiser ses repas de la semaine. C’est là que l’appareil prend tout son sens : chez soi, sur le plan de travail, pour réchauffer au dernier moment un plat déjà préparé.
En revanche, son prix interroge. Annoncé à 179 € en France, il apparaît déjà sur Amazon à plus de 470 € chez des revendeurs tiers. Un tarif difficile à justifier pour un appareil présenté comme simple et “portable”, surtout face à des Air Fryers classiques deux fois moins chers et souvent plus puissants.
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Après plusieurs mois de bons et loyaux services, mon Easy Fry Max a laissé place à l’Easy Fry Silence de Moulinex. Plus silencieux, mieux équipé, mais aussi plus ambitieux côté cuisson : voici mon retour après plus d’un mois de tests intensifs.
Quand on goûte au confort de la cuisson sans huile, difficile de revenir en arrière. Pendant longtemps, mon Easy Fry Max a trôné fièrement sur mon plan de travail, enchaînant les fournées de frites et les repas du quotidien.
Mais quand l’occasion s’est présentée de tester l’Easy Fry Silence de Moulinex, affiché comme un modèle plus silencieux et mieux pensé, je n’ai pas hésité une seconde. Même si j’étais amplement satisfaite de mon modèle actuel. Mais ça c’était avant. Avant de tester ce petit bijou.
Et si vous vous posez la question : oui, je teste plusieurs produits Moulinex. Mais bien avant tout ça, la marque faisait déjà partie de ma cuisine. Le Easy Fry Max en est d’ailleurs la preuve. Mon avis reste donc totalement impartial : ici, je juge uniquement ce que j’ai entre les mains, au quotidien.
Depuis plus d’un mois, je l’utilise presque tous les jours, dans ma vraie vie, sans ménager l’appareil. Et autant vous dire que les différences sautent aux yeux… et aux oreilles.
Design, praticité, bruit, cuisson, consommation : je vous raconte tout ce qu’il faut savoir sur ce nouvel Air Fryer, et surtout, si le changement vaut vraiment le coup.
Ce que dit la marque du Easy Fry Silence
Avec son Easy Fry Silence, Moulinex promet un appareil capable de cuire des aliments croustillants, savoureux… et tout ça dans un silence presque religieux. Le message est clair : il s’agit d’un Air Fryer nouvelle génération, pensé pour réduire drastiquement le bruit sans sacrifier la performance.
Le Air Fryer le plus silencieux, doté de la technologie Silence exclusive de Moulinex pour cuisiner en toute sérénité. Ecoutez le son du silence : Easy Fry Silence de Moulinex garantit des résultats plus croustillants que jamais dans un silence absolu. Profitez d’une cuisson sans stress grâce au air fryer le plus silencieux. Il est équipé de la technologie exclusive Silence de Moulinex pour une expérience de cuisson inégalée, de 10 programmes intuitifs et de la technologie Extra Crisps
Moulinex
Parmi les grandes promesses mises en avant par Moulinex, on retrouve :
Une technologie Silent qui réduit le bruit du moteur et de la ventilation,
Un mode Extra Crisp pour des cuissons ultra croustillantes,
10 programmes automatiques adaptés aux frites, viandes, poissons, tartes, yaourts et même la déshydratation,
Une capacité de 5 litres, idéale pour 2 à 6 personnes,
Une cuve détachable avec couvercle pour conserver les aliments directement au frigo,
Une consommation d’énergie jusqu’à 70 % inférieure à celle d’un four classique (ce chiffre est une estimation fournie par la marque. Aucun test indépendant ne vient le confirmer à ce jour).
Le tout, sans oublier l’application MyMoulinex qui propose une bibliothèque de recettes pour ceux qui manqueraient d’idées au moment du dîner. En résumé : un appareil silencieux, pratique, et capable de tout cuisiner. Sur le papier, ça donne envie.
Un petit point sur la marque Moulinex
Impossible de parler de cuisine sans évoquer Moulinex. Présente dans nos cuisines depuis des générations, la marque française s’est construite autour d’une seule promesse : rendre la cuisine accessible à tous. Que ce soit avec ses robots multifonctions, ses multicuiseurs (comme le Cookeo 9-en-1 que j’ai aussi testé) ou ses grille-pains, Moulinex a toujours misé sur la simplicité d’usage, l’innovation pratique, et la durabilité.
Aujourd’hui encore, la marque continue de se renouveler avec des appareils pensés pour faciliter le quotidien, sans tomber dans le gadget inutile. D’après le marque, certains de leurs appareils sont réparables pendant 15 ans via leur réseau de plus de 6 000 centres agréés en Europe. À vérifier sur le site officiel.
Bref, Moulinex, c’est un peu cette vieille connaissance qu’on n’a jamais vraiment quittée. Et avec des produits comme le Easy Fry Silence, elle montre qu’elle sait encore parler à ceux qui veulent cuisiner vite, bien… et sans avoir besoin de sortir les bouchons d’oreilles.
Unboxing du Moulinex Easy Fry Silence
À la réception du colis, première impression : il en impose. J’ai reçu le modèle gris, une finition qui, il faut le dire, claque sur un plan de travail. Seul petit bémol pour les maniaques de la propreté : les traces de doigts et de gras se voient vite. Rien de dramatique, mais c’est à noter pour ceux qui aiment que tout soit nickel au quotidien.
Unboxing de la bête.
À l’ouverture, bonne surprise aussi côté accessoires. Ici, on est clairement mieux servi que sur le Easy Fry Max. La vraie nouveauté qui change la vie : la cuve détachable du reste de l’appareil (vous verrez sur les photos). Un détail qui fait toute la différence : on peut y glisser des restes directement, refermer avec le couvercle fourni, et mettre le tout au frigo. Même pour le nettoyage, c’est ultra pratique. Plus besoin de jongler avec tout l’appareil, on lave juste la cuve. Gros, gros point positif (même si le reste est aussi à nettoyer attention).
La cuve qui se détache de la poignée et la plaque gril.
Autre nouveauté que je n’avais pas sur mon ancien modèle : la grille intégrée. Elle permet de griller viandes et poissons directement dans l’Air Fryer, sans avoir à repasser par la poêle. Encore une fois, on sent que Moulinex a vraiment réfléchi à rendre l’appareil plus polyvalent.
Côté interface, la petite roulette combinée à une commande tactile modernise l’ensemble. Et gros soulagement : il y a enfin un bouton tactile ON/OFF. Fini le temps où il fallait systématiquement débrancher l’appareil pour l’éteindre comme sur le Easy Fry Max. C’est peut-être un détail pour certains, mais en usage quotidien, ça change tout.
Le couvercle disponible pour mettre les restes au frigo.
Bref, dès l’unboxing, on sent clairement qu’on est monté d’un cran par rapport à l’ancien modèle. Et ça, c’est plutôt de bon augure pour la suite du test.
À savoir : L’Easy Fry Silence pèse environ 5 kg. Cela reste maniable, mais si vous comptez le ranger après chaque utilisation, c’est un critère à prendre en compte.
Premiers pas et découverte des programmes
Avec ses dimensions de 28 x 39,5 x 35 cm, l’Easy Fry Silence reste relativement compact pour une capacité de 5 litres. Un bon compromis pour ceux qui manquent de place sur le plan de travail.
Dès les premiers instants d’utilisation, la différence avec mon ancien modèle saute aux yeux. L’interface a été repensée pour gagner en simplicité et en efficacité. Entre la petite roulette pour naviguer et les commandes tactiles bien réactives, prendre en main l’Easy Fry Silence se fait naturellement, sans avoir besoin de passer par la case mode d’emploi.
Les différents modes s’affichent sur l’écran.
Côté programmes, là aussi, on passe clairement un cap. En plus du mode manuel que l’on connaît bien, le menu propose une quantité astronomique de cuissons prédéfinies :
Frites
Potatoes
Viandes
Poissons
Tartes
Pizzas
Fruits et légumes
Snacking frits
Déshydratation
Yaourts maison
Et surtout, le fameux mode Extra Crisp, qui mérite vraiment son nom. Utilisé notamment pour les frites, ce mode apporte un croustillant impressionnant, digne d’une vraie friteuse, sans avoir à plonger ses aliments dans un bain d’huile.
Petite révolution aussi pour les amateurs de cuisine maison : la possibilité de réaliser des yaourts directement dans l’Air Fryer. Un mode que je n’ai pas encore eu l’occasion de tester, mais qui élargit encore un peu plus les possibilités de l’appareil.
L’appareil ne nécessite pas de préchauffage systématique, mais comptez environ 3 à 4 minutes si vous le souhaitez pour atteindre 180°C. À noter que certains programmes l’intègrent automatiquement.
En résumé, entre les nombreux modes automatiques, la facilité de navigation et l’ergonomie revue, le Easy Fry Silence coche toutes les cases pour simplifier la cuisine du quotidien.
Tests en conditions réelles : est-ce qu’il tient vraiment ses promesses ?
Après plus d’un mois d’utilisation intensive, autant dire qu’on l’a passé à la moulinette ce Easy Fry Silence. Entre frites surgelées, cordons bleus, tartes, cakes et même quelques ratés bien utiles pour tester ses limites, l’appareil a eu droit à son vrai crash-test en cuisine du quotidien.
Les frites surgelées : la révélation
On a commencé par les basiques : les frites surgelées. Avec le mode Extra Crisp, la différence est flagrante par rapport au Easy Fry Max. Les frites sont bien plus croustillantes à l’extérieur, tout en restant moelleuses à l’intérieur. Une vraie réussite.
Mêmes frites que celles que je faisais dans l’ancien Air Fryer mais rien à voir en termes de texture. Clairement, ce mode Extra Crisp fait toute la différence.
Les cordons bleus : croustillant garanti
Même constat du côté des cordons bleus : croustillants dehors, ultra fondants dedans. La panure ne ramollit pas et garde son croquant jusqu’à l’assiette. En 10 minutes, c’est prêt, sans avoir besoin de surveiller ni de retourner sans arrêt (s’il y a besoin, l’appareil te le dit).
Cakes et pâtisseries : à peaufiner
Côté cakes, on a tenté quelques recettes (olives-feta-tomates et courgettes-chèvre). Résultat :
Cake olives-feta-tomates : nickel, bien cuit et doré.
Cake courgettes : cuisson moins homogène, avec un dessus bien doré mais un intérieur encore un peu mou.
Clairement, il faut ajuster les réglages selon les recettes et le type de pâte. Mais pour une première, c’est plutôt très prometteur.
Tartes : carton plein
Les tartes, elles, sortent mieux que dans mon ancien Easy Fry Max. Pâte croustillante, garniture bien cuite : un vrai plaisir. Là encore, le mode Extra Crisp fait tout son effet, sans dessécher les aliments.
Et côté bruit ? Une vraie révolution
Soyons honnêtes : c’est LE point qui change tout.
Le Moulinex Easy Fry Silence porte bien son nom. Lors d’une cuisson classique (frites par exemple), on est descendu à 47,3 décibels, soit l’équivalent d’un léger murmure. Pour comparaison, c’est moins bruyant qu’un lave-vaisselle en éco-mode.
Les éléments qui lui permettent d’être silencieux.
En mode Extra Crisp (qui est un peu plus énergique), on monte à 50,4 décibels. C’est encore très raisonnable et ça correspond à l’ambiance d’une maison calme. Rien à voir avec le vrombissement que pouvait faire l’Easy Fry Max.
Comme indiqué sur les différents screens : on est clairement sur un bruit presque insonore.
Honnêtement, il m’est arrivé de devoir me lever pour vérifier si l’appareil tournait vraiment. En termes de confort auditif au quotidien, le saut est énorme.
L’Easy Fry Silence affiche entre 47 et 50 dB selon les tests effectués. On ne peut donc pas parler d’un appareil « insonore » au sens strict, mais plutôt d’un appareil très discret, bien en dessous de la moyenne des Air Fryers.
À noter tout de même : il bip régulièrement. À chaque action, à chaque fin de cuisson, mais aussi pour vous rappeler de retourner ou de mélanger un aliment en cours de préparation. Un détail qui, au final, se révèle plutôt pratique, surtout pour réussir les cuissons homogènes sans avoir à surveiller constamment l’écran.
Consommation électrique : un Air Fryer qui ne plombe pas la facture
Autre point qu’on a scruté de près pendant ce mois de test : la consommation électrique. Et autant dire que le Moulinex Easy Fry Silence est plutôt du genre discret, aussi bien au niveau sonore qu’au niveau de la facture.
Pour un mois d’utilisation presque tous les jours, ça vaut le coup !
En un mois d’utilisation régulière, l’appareil a consommé 3,848 kWh, soit environ 0,85 € avec un tarif moyen de 0,22 €/kWh en 2025. Ce chiffre reste modeste, mais visible à l’échelle de l’année. On peut donc parler de consommation contenue, sans pour autant la qualifier d’« invisible ».
Un résultat logique, puisque l’Air Fryer chauffe rapidement, cuit plus vite qu’un four traditionnel, et reste économe même sur des cuissons longues.
Le Easy Fry Silence au quotidien : ce qu’on en pense vraiment
Depuis plus d’un mois, il tourne quasiment tous les jours dans ma cuisine. Et au fil des utilisations, les petits plus de ce modèle se confirment.
Praticité au rendez-vous
Le fait de pouvoir détacher la cuve est un vrai bonheur :
Pour ranger des restes directement au frigo avec le couvercle.
Pour passer la cuve seule au lave-vaisselle. D’ailleurs, la cuve et la grille passent bien au lave-vaisselle. Le couvercle, lui, est en plastique souple : mieux vaut le laver à la main pour éviter toute déformation.
Pour nettoyer plus facilement, sans devoir manipuler la poignée avec.
À l’usage, c’est vraiment un détail qui change tout.
Une capacité suffisante… mais on en veut toujours plus
Avec ses 5 litres, le Easy Fry Silence permet déjà de cuire de belles quantités : un gros poulet rôti rentre sans aucun problème (test approuvé). Mais honnêtement, vu la praticité de l’appareil, on aurait presque envie d’un modèle encore plus grand, pour pouvoir cuire deux plats à la fois sans jongler. Par exemple, un poulet frites.
La cuve de 5 litres permet de cuisiner pour 2 à 6 personnes. Cela reste suffisant pour la plupart des usages, mais les très grandes tablées pourraient trouver cette capacité un peu juste au quotidien.
Peut-être un souhait pour une prochaine version ?
Ce qu’on a testé (et adoré)
Frites surgelées : croustillantes à souhait, sans une goutte d’huile.
Tartes : une pâte croustillante mieux réussie qu’au four classique.
Cakes : plutôt réussis (même si quelques ajustements de cuisson sont nécessaires selon les recettes).
Restes : réchauffage facile sans dessécher, beaucoup plus agréable qu’au micro-ondes.
Outre tout ça, nous avons obtenu de très bons résultats sur des légumes grillés, des poissons (notamment du merlu ou des poissons panés) mais aussi sur la viande ! Que ce soit des araignées marinées ou encore de la vianderouge. Pour la viande rouge, nous vous conseillons de mettre une sonde au cœur de la viande pour obtenir la cuisson parfaite.
Il reste encore le mode yaourt à tester, qui nous intrigue beaucoup ! Ah et autre gros point fort : il maintient vos repas au chaud. Donc si vous n’êtes pas encore prêt à passer à table, aucun problème. À l’instar du Cookeo, le monsieur garde vos aliments à bonne température le temps de. Le test est validé aussi de ce côté là.
L’application MyMoulinex : une source d’inspiration au quotidien
Quand on tourne vite en rond avec ses recettes du quotidien, l’application MyMoulinex devient un vrai allié. Facile à utiliser, elle propose des centaines de recettes adaptées à l’Easy Fry Silence et aux autres appareils de la marque.
Vous avez l’embarras du choix !
On y retrouve aussi bien :
Des plats classiques (lasagnes, gratins, poulets rôtis).
Des idées plus créatives (cuisine du monde, recettes végétariennes).
Des astuces pour utiliser au mieux les différents programmes, comme le mode yaourt ou la fonction déshydratation.
Le gros avantage : les recettes sont adaptées aux modes de cuisson du Easy Fry, avec les températures et durées directement indiquées. Si vous êtes en panne d’inspiration ou que vous voulez exploiter toutes les possibilités de votre Air Fryer, l’appli est vraiment un bon complément.
Faut-il passer du Easy Fry Max au Easy Fry Silence ?
Après plus d’un mois d’utilisation intensive, le verdict est sans appel : le Moulinex Easy Fry Silence (170€) est vraiment meilleur que l’Easy Fry Max (130€), si vous pouvez permettre la différence de prix, n’hésitez pas !
En termes de silence, de praticité, de polyvalence, et même de consommation électrique, on sent qu’on passe à une vraie gamme supérieure, sans exploser le budget.
C’est un appareil pensé pour simplifier la cuisine au quotidien, sans faire de bruit, sans gaspiller d’énergie, et sans s’imposer dans l’espace.
Les petits bémols ?
Le bip parfois un peu fréquent (mais utile).
L’envie d’un modèle encore plus grand tant il est pratique.
Mais honnêtement, ces détails sont largement éclipsés par tout ce que l’Easy Fry Silence apporte au quotidien.
Ce qu’on retient
Un entretien facilité grâce à la cuve détachable.
Un silence bluffant en fonctionnement classique.
Une vraie évolution en termes de design et de praticité.
Des cuissons encore plus croustillantes avec le mode Extra Crisp.
Une consommation électrique quasi invisible.
Une application riche pour varier les plaisirs.
La possibilité de tester de nouveaux modes comme yaourt ou déshydratation.
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Votre Air Fryer ne fait pas de miracle avec tous les produits sortis du congélateur. Voici ceux qu’il vaut mieux éviter pour ne pas ruiner votre repas, ni votre appareil.
Surgelé ne veut pas dire prêt à cuire dans tous les cas, et encore moins dans une friteuse à air chaud. Si l’Air Fryer s’est fait une place dans les cuisines pour son efficacité sans huile, il a pourtant ses limites. Certains aliments congelés réagissent mal à la cuisson rapide et sèche qu’il propose : texture caoutchouteuse, intérieur glacé, vapeur excessive ou appareil qui dégouline… Résultat : un plat raté et un nettoyage bien moins express. Mieux vaut les connaître pour les éviter.
Ces aliments qu’il vaut mieux décongeler avant cuisson dans l’Air Fryer
Les viandes panées crues (cordons-bleus, nuggets faits maison, poissons panés non précuits) Leur panure absorbe l’humidité du cœur encore gelé, ce qui empêche une vraie cuisson croustillante.
Les légumes riches en eau (champignons, courgettes, tomates cerises) En les mettant congelés, on obtient une purée flasque et détrempée, pas une belle cuisson grillée.
Les fromages panés ou les bouchées au fromage Trop souvent, l’extérieur cuit vite pendant que le fromage reste froid à l’intérieur… ou fuit partout.
Les pâtisseries feuilletées crues (chaussons, croissants surgelés non précuits) Le cœur reste cru, l’extérieur brûle. Mieux vaut les passer quelques minutes au micro-ondes d’abord.
Les plats préparés individuels encore congelés (lasagnes, gratins, croques) Le cœur ne chauffe pas assez vite, et les aliments restent tièdes à l’intérieur alors que la croûte devient dure. Mieux vaut les laisser décongeler quelques instants avant de les passer au Air Fryer.
Les préparations avec une pâte liquide, comme les beignets ou les churros, sont à éviter dans l’Air Fryer. La pâte crue et liquide a tendance à couler à travers le panier de cuisson et à coller aux résistances, créant un véritable désordre à l’intérieur de l’appareil. Si vous tenez absolument à préparer des beignets, optez plutôt pour une pâte déjà figée ou congelée avant de la cuire dans votre friteuse à air chaud .
Après si vous avez envie de passer du temps à nettoyer, faites bien ce que vous voulez !
Vous avez déjà eu un raté avec un aliment congelé dans votre Air Fryer ? Partagez votre expérience en commentaire, ça pourra éviter bien des galères aux autres.
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Fatigué des mites alimentaires qui squattent vos paquets de pâtes ? Il existe une armée microscopique et 100 % naturelle pour les éliminer : les trichogrammes.
Plusieurs friteuses sans huile populaires ont été épinglées dans le dernier comparatif de 60 Millions de Consommateurs. Voici celles qu’il vaut mieux laisser en rayon.
Depuis quelques années, l’Air Fryer s’impose dans nos cuisines. Plus rapide qu’un four, plus économe en énergie, et surtout moins gras qu’une friteuse classique, il coche presque toutes les cases. Résultat : un appareil désormais présent dans près d’un tiers des foyers français, selon NielsenIQ-GfK.
Mais encore faut-il bien le choisir. Dans son dernier comparatif, 60 Millions de Consommateurs a identifié plusieurs modèles à ne pas recommander. Un défaut en particulier a fait pencher la balance… et ce n’est pas celui auquel on pense en premier.
Trois modèles pointés du doigt par les experts conso
Dans leur évaluation de 12 modèles du marché, les experts de 60 Millions ont utilisé un seuil clair : un appareil devient bruyant au-delà de 59 décibels (dBA). Or, trois références dépassent cette limite, rendant leur usage quotidien beaucoup moins confortable :
Cecotec Cecofry Advance 5000 Black – 61 dBA
Moulinex Easy Fry & Grill EZ505D10 – 60 dBA
EssentielB EAF2 (Boulanger) – 60 dBA
Le Cecotec Cecofry Advance 5000 Black.
À première vue, ces modèles ne manquent pas d’arguments : prix accessible, options de cuisson variées, design soigné. Mais à l’usage, leur niveau sonore élevé devient un vrai frein. Quand le ventilateur se met en route, difficile d’avoir une conversation ou de profiter d’un moment au calme. Un détail qui n’en est pas un, surtout en appartement ou dans une cuisine ouverte sur le salon.
Le bruit, un défaut plus gênant qu’il n’y paraît
Dans une cuisine, le bruit est souvent toléré… jusqu’à un certain point. Si un robot culinaire ou un mixeur peut faire du vacarme pendant quelques secondes, un Air Fryer fonctionne en continu pendant 20 à 40 minutes. Ce n’est donc plus un bruit ponctuel, mais une présence sonore constante.
Et contrairement à d’autres appareils, les friteuses sans huile reposent sur une ventilation forcée qui ne s’arrête jamais durant le cycle. Résultat : une sensation de souffle permanent, parfois même plus agressif qu’un aspirateur silencieux. Certains utilisateurs évoquent même une gêne suffisante pour éviter d’utiliser l’appareil en soirée.
Les modèles les plus silencieux du comparatif
Heureusement, certains Air Fryers s’en sortent mieux et parviennent à combiner performance et discrétion. 60 Millions de Consommateurs cite notamment :
Philips Airfryer 2000 Series – 53 dBA
High One (Intermarché) – 53 dBA
EssentielB EAF1 – 53 dBA
Ces modèles affichent un niveau sonore bien plus faible, sans compromis sur les résultats.
Le silence, un nouvel argument marketing
Certaines marques ont déjà saisi l’enjeu. Moulinex, par exemple, a lancé récemment un modèle Easy Fry Silence (que nous sommes en train de tester, et on va pas vous mentir, il fait la diff !), présenté comme plus discret que les précédents. Un repositionnement stratégique qui montre bien que le confort d’usage passe aussi par le niveau sonore.
Et ce n’est sans doute que le début : comme pour les lave-vaisselles ou les aspirateurs, les prochaines générations d’Air Fryers pourraient bien afficher leur niveau de bruit en gros sur l’emballage.
Et vous, le bruit d’un Air Fryer peut-il vous faire changer d’avis ? Dites-le-nous en commentaire.
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Passionnée de pâtisserie, j’ai longtemps hésité avant d’acheter un robot pâtissier. Il paraît que c’est l’allié ultime des amateurs de douceurs maison… Mais en creusant un peu, j’ai découvert quelques désavantages qui m’ont fait réfléchir. Alors, indispensable ou gadget ? Je vous partage mes doutes !
Longtemps considéré comme un indispensable de la cuisine, le four à micro-ondes perd doucement du terrain, en particulier chez les plus jeunes. Une tendance qui interroge sur l’avenir de cet appareil autrefois incontournable.
On l’a tous utilisé un jour pour réchauffer un reste de pâtes, une tasse de café oubliée ou un plat préparé. Le micro-ondes, compagnon discret des pauses déjeuner express, semble pourtant perdre en popularité. Dans les petits logements comme dans les grandes cuisines, il n’est plus systématiquement de la partie. Moins acheté, parfois même boudé par les plus jeunes, il pourrait bien finir par disparaître du quotidien. Faut-il y voir une vraie rupture ou un simple effet de mode ? Les chiffres parlent d’eux-mêmes, et les tendances se dessinent.
Le micro-ondes, un appareil de moins en moins automatique
Dans la cuisine de leurs parents, il trône souvent fièrement sur le plan de travail. Mais chez les moins de 30 ans, le micro-ondes n’est plus aussi présent qu’avant. Si 88 % des foyers français en possédent encore un en 2025 selon Ecologic, ce chiffre marque une baisse par rapport à 2015, où 91 % des foyers étaient équipés. La différence peut sembler minime, mais elle traduit un changement de comportement plus large : les habitudes évoluent, les besoins aussi.
Il n’est plus aussi indispensable sur notre plan de travail.
En parallèle, les ventes de micro-ondes en France sont en recul. En 2023, elles ont chuté de 2,1 % en valeur, selon les chiffres du GIFAM (Groupement interprofessionnel des fabricants d’appareils d’équipement ménager). Une baisse modeste mais continue, qui s’inscrit dans une tendance plus profonde.
Quand le « réchauffer vite » ne séduit plus
Pour comprendre ce désamour naissant, il faut regarder du côté des nouveaux usages. Les jeunes générations cuisinent davantage, privilégient les produits frais, les recettes maison et les modes de cuisson plus « sains ». Le micro-ondes, longtemps associé à la malbouffe et aux plats préparés, perd en attractivité.
Le Air Fryer a largement pris sa place.
Le développement du télétravail a aussi changé la donne. Avec plus de temps à la maison, la pause déjeuner n’est plus forcément synonyme de plat surgelé. Les appareils comme les Air Fryers, les mini-fours et les multicuiseurs comme le Cookeo ont gagné en popularité, reléguant le micro-ondes au second plan.
Un appareil menacé, mais pas (encore) condamné
Pour autant, il serait exagéré d’annoncer la mort du micro-ondes. Il reste présent dans une immense majorité des cuisines, surtout chez les personnes qui vivent seules ou qui cherchent la praticité avant tout. Son usage reste pertinent pour réchauffer rapidement ou décongeler.
Mais la tendance est là : chez les jeunes adultes, on ne l’achète plus systématiquement. Et dans les studios ou les petites cuisines, il est de plus en plus remplacé par des appareils plus polyvalents.
Des marques qui réagissent… doucement
Face à ce recul, les fabricants adaptent lentement leurs modèles. Certains proposent des micro-ondes combinés avec gril ou vapeur comme Whirlpool ou Samsung, ou encore des versions compactes pour les petits espaces.
Mais rien de véritablement disruptif. Les grandes marques misent encore sur les formats classiques, sans prendre de risques sur un segment en perte de vitesse.
Une page qui pourrait se tourner
Le micro-ondes n’a pas encore dit son dernier mot, mais la dynamique n’est plus en sa faveur. Dans une cuisine où chaque appareil doit justifier sa place, il pourrait finir par être remplacé par des équipements plus agiles, plus sains ou plus polyvalents.
Alors, va-t-on voir disparaître le micro-ondes d’ici 10 ou 15 ans ? Difficile à dire. Mais une chose est sûre : il ne fait plus partie des évidences pour toute une génération.
Et vous, utilisez-vous encore votre micro-ondes au quotidien ? Ou l’avez-vous déjà remplacé par un autre appareil ? Dites-le nous dans les commentaires !
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Avec ses roues tout-terrain, sa grande contenance et sa capacité à garder les glaçons intacts pendant plusieurs jours, la nouvelle glacière signée Ninja ne passe pas inaperçue.
On l’a connue bleue, en plastique fin, trimballée à bout de bras sur les parkings de plage. La glacière d’été fait partie du paysage… mais Ninja vient de la réinventer de fond en comble. Avec sa FrostVault, la marque américaine déjà incontournable côté Air Fryer ou extracteurs de jus s’attaque cette fois aux pique-niques, séjours en van et autres barbecues estivaux. Et comme toujours avec Ninja, le résultat ne fait pas dans la demi-mesure : une glacière sur roues, imposante, robuste, et capable de maintenir vos boissons et aliments au frais pendant plusieurs jours, même sans prise de courant.
Pensée pour les grandes escapades, elle s’éloigne clairement du modèle familial basique. À tel point qu’on se demande si elle ne joue pas dans une autre catégorie.
Une glacière qui garde la fraîcheur, même sans électricité
Le cœur de la promesse, c’est ça : garder les aliments et boissons au frais pendant plusieurs jours, sans avoir à la brancher. Selon Ninja, la FrostVault peut conserver les glaçons intacts pendant 4 jours, avec une température ambiante de 25 °C. Un chiffre confirmé par les premiers retours utilisateurs, qui saluent la qualité de l’isolation et la tenue du froid, même après 72 heures d’usage intensif.
La particularité de cette glacière, c’est son tiroir de conservation au sec, qui maintient une température inférieure à 4,5 °C sans être en contact direct avec les glaçons. Pratique pour les aliments sensibles ou les encas à l’abri de l’humidité. Et côté capacité, la version 42 L peut contenir jusqu’à 68 canettes. De quoi alimenter un petit bivouac, un grand pique-nique ou plusieurs jours de road trip sans passage par la supérette.
Pensée pour les baroudeurs (mais pas seulement)
Avec ses roues tout-terrain, son poids de 13,9 kg à vide, sa poignée de traction, et son design à mi-chemin entre l’équipement de camping et le coffre d’expédition, la FrostVault s’adresse clairement à un public mobile. Camping, vanlife, journées bateau, festivals : on sent que Ninja a ciblé les amateurs d’extérieur qui veulent du solide, du pratique, et une vraie autonomie.
Pratique il est vrai pour les familles nombreuses !
Mais elle peut aussi séduire ceux qui organisent régulièrement des grandes tablées en jardin ou en terrasse. Facile à déplacer, utilisable comme assise d’appoint, bien conçue pour être nettoyée rapidement (grâce à un système de vidange intégré), elle coche aussi les cases d’une glacière d’appoint pour les barbecues XXL.
Faut-il craquer pour cette glacière XXL signée Ninja ?
À 299,99 €, la FrostVault version 42 litres n’est pas un petit achat. C’est même un produit de niche, qui n’intéressera pas ceux qui veulent juste garder deux bouteilles fraîches sur la plage. Mais pour ceux qui passent du temps dehors, qui partent souvent en van ou qui veulent pouvoir transporter des aliments sensibles sans prise de tête, elle coche de nombreuses cases.
La glacière FrostVault ne remplacera pas un frigo dans une cuisine. Mais en extérieur, elle en a clairement l’âme.
Et vous, vous la trouvez trop encombrante ou vous êtes prêt à l’embarquer pour vos prochains week-ends d’été ? Dites-le-nous en commentaire.
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Le nouveau Thermomix TM7 fait déjà saliver. Mais votre TM6, lui, a encore plus d’un tour dans son bol. Ces 9 astuces méconnues pourraient bien vous faire patienter un peu plus longtemps.
Le TM7 de Vorwerk débarque avec ses promesses de nouveautés. Écran plus grand, nouveaux modes, design repensé… et une liste d’attente qui s’allonge déjà. Mais avant de mettre 1 500 € dans un robot flambant neuf, posez-vous une question : et si vous ne connaissiez même pas vraiment votre TM6 ?
Fonctions cachées, détournements ingénieux, gestes oubliés ou options jamais testées… Le Thermomix que vous avez déjà chez vous peut encore vous surprendre. Et pas qu’un peu. Voici 9 fonctions que vous n’avez probablement jamais utilisées – mais qui pourraient bien tout changer dans votre routine en cuisine.
1. Le mode sous-vide : pour des œufs parfaits (et bien plus encore)
Oubliez l’eau frémissante et le chrono à la seconde près. Grâce au mode sous-vide, vous pouvez cuire vos œufs à basse température avec une précision bluffante. Pour un résultat “œuf mollet” classique, comptez 13 minutes à 75 °C. Pour une version plus technique — blanc tendre, jaune ultra-coulant façon gastro — testez 45 minutes à 63 °C (c’est long mais ça en vaut la chandelle !). Et ce n’est que le début : cette fonction est aussi redoutable pour cuire à la perfection un pavé de saumon ou des filets de volaille ultra-moelleux.
2. La poignée à double prise : ce détail que vous n’avez jamais vraiment regardé
On l’utilise tous les jours, sans y penser. Pourtant, la poignée du bol TM6 cache une double fonction : la partie haute pour retirer le bol facilement, la partie basse pour verser sans s’éclabousser ni forcer sur le poignet. Testez, vous verrez.
3. La spatule-crochet : votre meilleur allié contre les brûlures
Qui n’a jamais galéré à retirer le panier vapeur encore bouillant ? Enclenchez le petit crochet de la spatule dans l’encoche du panier et tirez doucement. C’est prévu pour, mais personne ne le sait. Résultat : une cuisine plus fluide, moins de jurons.
Simple comme bonjour.
4. Des vidéos intégrées qui montrent tout, mais qu’on zappe (à tort)
Chemiser un moule, foncer une pâte, clarifier du beurre… certaines recettes Cookidoo intègrent des tutos vidéo qu’on peut visionner directement depuis l’écran du Thermomix. Le genre de petits plus qui font la différence entre un plat réussi… et un plat juste “OK”.
5. Cuisiner deux plats en un seul coup de chaud
Pendant que votre soupe mijote dans le bol, pourquoi ne pas cuire du poisson à la vapeur dans le Varoma ? Ou préparer un dessert pendant la cuisson d’un plat salé ? Les possibilités de superposition sont trop peu exploitées. C’est là que le Thermomix montre sa vraie polyvalence.
6. Nettoyage express : on ne le fait pas assez
Un fond d’eau chaude, une goutte de liquide vaisselle, 10 secondes à pleine vitesse. Ce n’est pas magique, c’est mécanique. Mais ça évite de frotter. Le mode Turbo devient alors votre programme de rinçage préféré. À faire juste après usage, avant que ça ne sèche.
7. Le mode fermentation : pas que pour les yaourts
Pain, levain, pâte à pizza… Le mode fermentation maintient la température idéale pour faire lever vos préparations sans changer de récipient. Gain de place, de temps et de vaisselle. Et ça fonctionne même pour le kéfir ou le kombucha si vous êtes tenté.
8. Vos propres recettes, vos propres règles
Vous avez une recette de famille à adapter ? Avec “Mes créations” sur Cookidoo, vous pouvez créer votre version d’un plat, ajuster les quantités, les ingrédients, ou même insérer des étapes perso. C’est votre Thermomix. Faites-le parler comme vous.
9. L’accessoire que tout le monde devrait avoir : la sonde connectée
Peu de gens savent qu’il existe un capteur de température externe qui communique avec le Thermomix. Il permet de surveiller la cuisson hors du bol, dans un four ou une cocotte par exemple. Un accessoire malin pour suivre la température de vos plats, même quand ils cuisent en dehors du Thermomix.
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Attendu depuis des mois, le nouveau Thermomix TM7 est officiellement en vente depuis le 7 avril. Mais il faudra patienter longtemps avant de pouvoir le poser sur votre plan de travail.
C’était l’un des lancements les plus attendus dans l’univers du petit électroménager : Vorwerk a enfin ouvert les commandes de son Thermomix TM7. Après une campagne de teasing bien rodée, le robot multifonction est disponible depuis le 7 avril 2025. Seul hic : les délais d’expédition explosent. Si vous passez commande cette semaine, il faudra attendre jusqu’à 4 mois pour être livré. Une attente qui risque d’en refroidir plus d’un.
Vorwerk a mis fin au suspense : après plusieurs semaines d’annonces distillées au compte-goutte, le TM7 est accessible à tous. Ce nouveau modèle promet des fonctions encore plus avancées que son prédécesseur, le TM6. Interface repensée, cuisson encore plus précise, compatibilité améliorée avec Cookidoo… les promesses sont nombreuses. Le prix aussi évolue : 1 599 € en direct sur le site de Vorwerk, comme pour les précédents modèles au moment de leur sortie.
Mais tout n’est pas aussi fluide qu’annoncé : certaines nouveautés de ces dernières années ne sont pas compatibles avec le TM7. C’est notamment le cas du découpe-minute, lancé en 2024 pour le TM6, qui ne fonctionne pas avec ce nouveau modèle. Un choix surprenant qui risque de faire grincer quelques dents.
Mais attention à ne pas se précipiter si vous êtes pressé. Vorwerk annonce des délais de livraison pouvant aller jusqu’à 16 semaines pour les commandes passées cette semaine. Une estimation confirmée sur leur site officiel, qui précise que pour toute commande effectuée entre le 7 et le 13 avril, la livraison est prévue entre le 28 juillet et le 3 août. Un timing estival qui pourrait freiner l’élan des plus impatients.
Pourquoi de tels délais ?
Vorwerk fonctionne avec un système de production à flux tendu. Pas de stock massif : les robots sont fabriqués à la demande. Une logique compréhensible, mais qui génère forcément des embouteillages quand la demande est aussi forte. Le TM7 étant commercialisé exclusivement par Vorwerk, via son site ou ses conseillers, aucun revendeur tiers ne permet de contourner cette attente.
Avec la sortie du Thermomix TM7, les modèles TM6 se retrouvent massivement sur le marché de l’occasion. Mais attention : entre arnaques, modèles bloqués et accessoires manquants, mieux vaut savoir où vous mettez les pieds avant de craquer pour un robot à prix cassé.
Le Thermomix TM6 est un appareil qui fait rêver. Multifonction, compact, puissant : il a su s’imposer comme la référence des robots cuiseurs, malgré son tarif haut perché. Alors forcément, avec l’arrivée du TM7 et l’agitation qui l’entoure, beaucoup sautent sur l’occasion pour revendre leur ancien modèle. Et d’autres pour tenter de s’en procurer un à moindre coût.
Sur Le Bon Coin, Back Market, Rakuten ou Vinted, les annonces se multiplient. Un Thermomix à moitié prix, parfois même à moins de 500 € : l’affaire semble trop belle. Et c’est bien là le problème. Car comme souvent en matière de seconde main, le diable se cache dans les détails…
Un robot bloqué à distance, une balance qui ne fonctionne plus, un appareil volé ou vendu sans accessoires : les mauvaises surprises ne manquent pas. Voici les cinq points à vérifier impérativement avant d’acheter un TM6 d’occasion.
1. Privilégiez un vendeur identifiable (et idéalement européen)
Avant même de parler de prix ou d’état, commencez par regarder qui vend le robot. Sur le marché de l’occasion, il y a trois circuits principaux :
Le reconditionné par Vorwerk : très encadré, avec une garantie et une remise à neuf, mais encore onéreux (699 à 899 €).
Le reconditionné par des pros tiers : plus abordable, mais avec des disparités selon les vendeurs.
Les particuliers : les plus nombreux… et les plus risqués.
Sur Back Market, la majorité des Thermomix TM6 viennent de reconditionneurs basés en Europe. Mais ce n’est pas automatique. Vérifiez l’origine du vendeur, lisez les avis, et évitez les vendeurs situés hors UE. Cela limite les soucis de douane, de SAV ou de garantie.
2. Examinez l’état réel du robot, pas celui des photos
Un Thermomix d’occasion, c’est comme une voiture : il faut le voir tourner avant de l’acheter. Les plateformes pros proposent souvent un « grade » esthétique, mais cette notation reste subjective. « Très bon état » pour l’un peut signifier rayé et jauni pour l’autre.
Sur les sites entre particuliers, fiez-vous aux photos (pas trop belles pour être vraies), et surtout, privilégiez la remise en main propre. Cela permet de tester l’appareil sur place :
Est-ce que l’écran tactile réagit bien ?
La balance fonctionne-t-elle ? (c’est la panne la plus fréquente)
Le bol est-il bien étanche ?
Le robot chauffe-t-il correctement ?
Un vendeur sérieux acceptera de faire une démo. Dans le doute, passez votre chemin.
3. Vérifiez les accessoires, les vrais oubliés de l’occasion
Ce n’est pas une console de jeu. Un Thermomix fonctionne avec plusieurs pièces amovibles : fouet, varoma, gobelet, panier cuisson, spatule, etc. Si l’un d’eux manque ou est endommagé, cela peut compromettre le fonctionnement du robot… ou vous obliger à repasser à la caisse (parfois plus de 30 € l’unité).
Les accessoires à vérifier absolument.
Sur un appareil d’occasion, la balance est souvent HS, les batteurs sont fragiles, les joints parfois usés. Vérifiez un par un chaque élément, demandez des photos détaillées, ou mieux, testez tout en face-à-face.
4. Demandez (et testez) le numéro de série
C’est un détail que beaucoup oublient, mais qui peut tout changer. Vorwerk a mis en place un outil en ligne pour vérifier un numéro de série. En le renseignant, vous saurez si l’appareil est authentique, bloqué, ou même volé.
Ce contrôle est indispensable si vous achetez à un particulier. Certaines personnes tentent de revendre des appareils achetés à crédit et jamais remboursés — Vorwerk peut alors les désactiver à distance. Et une fois bloqué, Vorwerk ne le déverrouillera pas. Peu importe le prix que vous avez payé.
Demandez au vendeur de vous envoyer une photo du numéro de série, ou vérifiez-le directement sur l’appareil lors de la remise en main propre.
5. Clarifiez la question de la garantie (et des recours)
Sur le marché du reconditionné professionnel, la garantie légale de conformité s’applique : deux ans, comme pour du neuf. En cas de souci, le vendeur est tenu de réparer ou de remplacer l’appareil. C’est rassurant.
Chez un particulier, c’est une autre histoire. Si le robot a été acheté récemment, la garantie Vorwerk peut encore être valable, mais seulement sur présentation de la facture originale. Pensez à la demander. Sinon, aucun recours possible. Si le Thermomix tombe en panne, vous devrez payer les réparations — et le SAV Vorwerk facture au prix fort.
Conclusion : vrai bon plan ou vraie fausse bonne idée ?
Acheter un Thermomix TM6 d’occasion peut valoir le coup. Mais il faut garder la tête froide. Ce robot cuiseur reste un appareil technique, dont le prix neuf n’est pas anodin — et son rachat non plus.
Si vous cochez toutes les cases (vendeur sérieux, état impeccable, accessoires complets, numéro de série OK), pourquoi pas. Sinon, mieux vaut passer votre chemin.
Moulinex, Thermomix, Silvercrest ou Magimix : toutes les marques ne se valent pas en matière de fiabilité. Pour vous aider à choisir un robot de cuisine qui dure, 60 Millions de consommateurs vient de dévoiler son classement. Et il y a des surprises.
Chaque année, de nouveaux modèles de robots cuiseurs envahissent les rayons, promettant de remplacer vos casseroles, gagner du temps et cuisiner « comme un chef ». Mais au-delà des arguments marketing, un critère revient de plus en plus souvent dans les comparatifs : la fiabilité. Un robot à 400 € qui tombe en panne au bout de deux ans, ce n’est pas seulement agaçant, c’est aussi un vrai problème de durabilité. C’est dans ce contexte que 60 Millions de consommateurs a passé au crible les grandes marques du marché, en évaluant leur solidité sur le long terme.
Résultat : un classement qui risque de bousculer certaines idées reçues.
Moulinex en tête du classement
Avec une note globale de 17,2/20, c’est Moulinex qui prend la première place (sans grande surprise de notre côté). La marque française tire son épingle du jeu grâce à un taux de fiabilité impressionnant : 95,5 % des appareils testés n’ont connu aucune panne dans les dix premières années d’utilisation.
Autre point fort : la disponibilité des pièces détachées pendant 15 ans, un critère désormais pris en compte avec l’indice de durabilité obligatoire depuis 2025. Une performance saluée par les experts, qui souligne aussi le bon niveau de satisfaction des utilisateurs.
Le saviez-vous ?
Depuis janvier 2025, l’indice de réparabilité laisse progressivement place à un indice de durabilité, noté sur 10. Ce nouvel indicateur prend en compte non seulement la facilité de réparation, mais aussi la disponibilité des pièces, la robustesse des matériaux et les retours d’expérience sur la durée de vie réelle des produits. Une façon plus concrète d’aider les consommateurs à éviter les achats jetables.
Vorwerk et Magimix ex aequo
Sur la deuxième marche du podium, Vorwerk, célèbre pour son Thermomix, revient en force avec une note de 14,9/20. Critiquée par le passé pour un manque de solidité, la marque allemande semble avoir rectifié le tir avec son dernier modèle.
Elle est suivie de très près par Magimix, qui se distingue surtout par un atout rare : des pièces disponibles jusqu’à 30 ans après l’achat, du jamais vu sur ce segment. Même si son taux de fiabilité est légèrement inférieur à celui de Vorwerk, cet engagement à long terme pèse lourd dans la balance.
Silvercrest, la déception
Présente dans le classement grâce à son Monsieur Cuisine, très populaire dans les rayons de Lidl, Silvercrest n’obtient que 10,4/20. Une note qui s’explique par un manque de transparence sur la disponibilité des pièces détachées. Dommage, car son taux de fiabilité restait convenable. Mais l’impossibilité pour 60 Millions de consommateurs d’obtenir des données fiables sur la réparabilité a clairement pesé dans la note finale.
Pas cher, mais pas très fiable le monsieur.
Un classement qui pousse à réfléchir
Ce classement repose sur trois critères :
Le taux de fiabilité (50 % de la note),
La durée de disponibilité des pièces (30 %),
Et la satisfaction globale des utilisateurs (20 %), basée sur l’encombrement, la facilité de nettoyage ou le bruit.
Alors que l’indice de réparabilité laisse peu à peu place à un indice de durabilité, cette enquête confirme une tendance forte : les consommateurs cherchent des appareils qui tiennent dans le temps. Et certaines marques ont clairement pris de l’avance.
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Avec plus de 30 % des foyers français équipés, les Air Fryers ont changé nos habitudes en cuisine. Mais face à des dizaines de références disponibles, pas toujours simple de choisir un appareil fiable, efficace et durable. Pour répondre à cette question, 60 Millions de consommateurs a passé douze modèles au crible, en analysant leurs performances sur quatre recettes, leur ergonomie, leur niveau sonore ou encore leur consommation électrique.
Résultat : deux appareils se hissent en tête du classement, l’un à simple bac, l’autre à double compartiment.
Le meilleur Air Fryer simple bac : Ninja Air Fryer Pro
Noté 16,1/20, le Ninja Air Fryer Pro arrive en tête du comparatif pour les modèles à bac unique. Il offre :
une cuisson rapide et homogène,
un panier de bonne capacité,
une interface simple et agréable à utiliser.
Le test met en avant sa fiabilité globale, son thermostat précis et son entretien facile. En revanche, il montre ses limites lorsqu’on cherche à cuire plus d’un kilo de frites en une seule fois. Pour un usage quotidien, c’est le modèle à retenir.
Le meilleur Air Fryer double bac : Philips Air Fryer 3000 Series
Avec une note de 15,4/20, le Philips Air Fryer 3000 Series domine la catégorie des modèles à double compartiment. Il propose :
deux bacs indépendants de 6 et 3 litres,
huit programmes automatiques,
une cuisson stable et bien répartie.
Il est jugé très ergonomique et simple à prendre en main, malgré un format assez imposant. Sa seule vraie faiblesse : une notice peu claire. Mais pour le reste, il coche toutes les cases, notamment côté sécurité, consommation et nettoyage.
Quels sont les autres modèles testés par 60 Millions de consommateurs ?
Si les deux références ci-dessus sont les mieux notées, d’autres modèles ont également été évalués dans cette enquête. Voici ceux qui complètent le classement.
Air Fryers simple compartiment :
Philips Essential XL HD9270/90 : apprécié pour sa capacité et sa régularité de cuisson.
Moulinex Easy Fry & Grill EZ505D10 : un modèle 2-en-1, un peu moins convaincant sur les frites.
Cecotec Cecofry Advance 5000 Black : bon rapport qualité-prix, mais des performances inégales.
Tristar FR-6980 Mini Crispy Fryer : format compact, mais peu adapté à une utilisation familiale.
Un des meilleurs Air Fryers selon nous. Et français qui plus est !
Air Fryers double compartiment :
Xiaomi Mi Smart Air Fryer Dual Zone (non classé dans le top 3 mais mentionné) : jugé pratique, mais avec des écarts de température notables selon les recettes.
Ninja Double Stack SL300EU : noté 14,4/20, très bon sur certaines cuissons, plus mitigé sur d’autres.
Essentielb EAF2 : noté 14/20, intéressant pour les petits budgets, mais un peu bruyant et moins précis.
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Déjà convaincue par le My Daily Soup de la marque, j’ai voulu voir ce que valait son grand frère : le PerfectMix Cook. Plus de programmes, plus de puissance, plus de promesses… mais aussi un peu plus de bruit. Entre polyvalence et praticité, voici mon retour après plusieurs semaines d’utilisation.
Je ne vais pas vous mentir, les appareils Moulinex m’ont conquis. Et ce n’est pas juste parce qu’ils trônent déjà dans ma cuisine. C’est aussi une histoire de confiance : celle que j’ai développée au fil du temps, des usages, des plats réussis. Alors quand j’ai reçu le PerfectMix Cook, je l’ai accueilli les bras ouverts.
Je connaissais déjà bien le My Daily Soup, très pratique pour les soupes et compotes. Ici, on passe à un autre niveau. Le PerfectMix Cook, c’est un blender chauffant 2.0, avec 14 programmes automatiques, une application hyper riche et un moteur bien plus puissant (d’où le bruit plus imposant). Mais à vouloir en faire plus, ne finit-on pas par en faire trop ? C’est ce que j’ai voulu vérifier, dans ma petite cuisine de tous les jours.
Ce que dit la marque sur le PerfectMix Cook
Chez Moulinex, on présente le PerfectMix Cook comme le blender chauffant le plus complet de la gamme. Pensé pour « révolutionner » la préparation des repas maison, il promet 14 programmes automatiques, une puissance de 1400 W, des lames Powelix ultra-performantes et une fonction de nettoyage en profondeur.
La marque met aussi en avant :
Une capacité de 2 litres : de quoi cuisiner pour 4 à 6 personnes.
Des recettes variées : chaudes ou froides, sucrées ou salées.
Un engagement de réparabilité 15 ans, au “juste prix”.
Un bol en verre ThermoResist censé résister aux chocs thermiques.
Une simplicité d’utilisation, même pour les débutants.
En somme, Moulinex promet un blender tout-en-un, capable de mixer, chauffer, cuire à la vapeur, préparer des sauces, des laits végétaux ou même des desserts, le tout sans surveillance. Une promesse ambitieuse… que nous avons donc voulu vérifier en conditions réelles.
Le PerfectMix Cook, c’est d’abord un bel objet. Finition métal brossé, bol en verre de 2 L, base stable… l’ensemble respire la solidité. À vide, le bol pèse déjà près de 3 kg. Autant dire qu’une fois rempli, il faut avoir le poignet solide.
Sobre et moderne, le PerfectMix Cook s’intègre bien sur un plan de travail. Il est un peu encombrant (20 x 30 x 40 cm), mais pas plus qu’un robot multifonction.
Côté interface, pas de surprise. Les touches sensitives sont bien lisibles, avec des icônes parlantes. On choisit son programme, on appuie sur Start, et c’est parti. Le couvercle se verrouille facilement, et une sécurité empêche les lames de tourner si tout n’est pas bien enclenché.
Moulinex annonce une réparabilité de 15 ans (comme sur chacun de ses robots), ce qui en fait un appareil qui peut durer. À condition bien sûr de ne pas le laisser tomber, car le verre, même renforcé, reste du verre.
Côté accessoires, le strict minimum est fourni : le panier vapeur, une brosse de nettoyage (un très gros plus), un verre doseur, et évidemment le socle moteur avec son panneau de contrôle tactile. On regrette un peu que Moulinex n’ait pas inclus plus d’ustensiles pour exploiter à fond les 14 programmes disponibles (comme la spatule évoquée dans de nombreuses recettes de l’application mais que nous n’avions pas).
Petit plus : la prise est livrée avec une protection.
Côté design, rien à redire.La petite brosse de nettoyage qui change la donne.
Les programmes proposés
Le PerfectMix Cook embarque 14 programmes préenregistrés :
6 programmes chauds : soupe lisse, soupe avec morceaux, compote, velouté, sauce chaude, lait végétal (oui, oui, vous avez la possibilité de faire votre propre lait, on adore l’idée).
2 modes manuels : mixage à vitesse variable et chauffe contrôlée.
De quoi couvrir la majorité des besoins du quotidien, et même un peu plus.
J’ai personnellement testé les modes suivants :
Smooth Soup.
Pulse.
Blend.
Heat Steam.
Clean.
J’ai aussi réalisé une soupe courgettes kiri (que je réalisais déjà dans le My Daily Soup), une pâte à tartiner maison et du beurre de cacahuète. Le tout très simplement, grâce à l’application MyMoulinex et ses centaines de recettes. On sélectionne, on suit, et c’est lancé.
Simple comme bonjour et surtout délicieux !
Smooth soup : un velouté prêt à déguster
Le mode Smooth Soup a été le premier testé : une soupe maison, faite de A à Z dans le bol. Résultat ? Texture parfaite, bien lisse, température idéale. Pas besoin de surveiller, le blender chauffe, mixe, et garde au chaud. Bien que pour ce mode, le My Daily Soup me suffit largement.
Blend / Pulse : beurre de cacahuètes & pâte à tartiner
Deuxième test : une pâte à tartiner maison (chocolat, noisettes, huile), puis un beurre de cacahuètes 100 % pur. Résultat délicieux dans les deux cas, avec une belle onctuosité. Mais alors le niveau sonore… on y reviendra.
Heat steam : pour les légumes vapeur
Grâce au panier vapeur fourni, j’ai aussi tenté quelques légumes vapeur. Cuisson correcte, pas exceptionnelle. Ce n’est pas un cuiseur vapeur à proprement parler, mais c’est un bonus qui peut dépanner.
Mode Clean : simple, mais pas suffisant
Honnêtement, rien que l’idée de ce mode me bottait. Aucunement présent sur le My Daily Soup, j’étais curieuse de voir ce que ça pouvait donner. Il lance donc un cycle de nettoyage chauffant (très très chaud), idéal pour éliminer graisses et bactéries. Pratique, surtout quand on n’a pas le temps de laver tout de suite. Mais il ne fait pas tout : il faut quand même un petit coup d’éponge ou de brosse pour un nettoyage complet.
La marque précise d’ailleurs à juste titre que ce mode sert à éliminer ce qui pourrait potentiellement rester après le lavage dont les bactéries.
Mais la petite brosse fournie, quant à elle, est très pratique pour nettoyer les lames.
Le test du mode Clean.
Entretien : bien pensé
Le vrai plus, c’est le système de lames amovibles. Un petit bouton jaune sous le bol permet de retirer facilement tout le bloc. Résultat : un nettoyage simple, sans se tordre les poignets ou risquer de se couper.
Les petits leviers jaune et noir qui permettent aisément de retirer et remettre les lames.
Seul bémol : les lames ne passent pas au lave-vaisselle, à cause des composants électriques. Mais vu la facilité de démontage, ça reste très acceptable.
Aussi rapide à enlever qu’à remettre.
Niveau sonore : un vrai point faible
On ne va pas se mentir : le PerfectMix Cook est bruyant. Très bruyant même. J’ai mesuré jusqu’à 96,4 dB en mode Pulse. À titre de comparaison, un sèche-cheveux puissant tourne autour de 80-85 dB. Le mixage en pleine puissance est strident, désagréable sur la durée. Si vous avez un bébé qui dort ou des oreilles sensibles, c’est clairement à prendre en compte.
Même mon My Daily Soup, pourtant déjà bien sonore, paraît discret à côté. Mais pour défendre l’indéfendable, nous sommes ici sur un moteur ultra puissant 30% plus costaud qu’un blender classique. On ne pouvait donc pas s’attendre à autre chose.
Test sur les différents modes de l’appareil.
Consommation électrique : presque rien
J’ai branché le blender sur une prise connectée pour suivre sa conso. Verdict : 0,328 kWh pour 4h30 d’utilisation, soit moins de 0,01 €.
Autrement dit : le PerfectMix Cook est bien plus économique que n’importe quelle plaque de cuisson ou mixeur chauffant classique. À l’heure où chaque kWh compte, c’est un vrai bon point.
C’est pas cet appareil qui va vous coûter cher.
Un point sur l’application MyMoulinex
Autant le dire : l’appli est vraiment bien faite. Une fois le produit enregistré, on accède à un tas de recettes classées par thème (cuisine avec enfants, plats express, cuisine du monde…). Par contre, pas de mode Wi-Fi. Vous pouvez suivre la recette pas à pas sur l’application mais c’est à vous de démarrer le programme sur l’appareil.
C’est un vrai plus, surtout si on débute ou si on veut varier les idées sans se prendre la tête.
Vous aimez cuisiner maison sans y passer des heures.
Vous voulez un blender durable, réparable 15 ans.
Vous êtes friand.e de recettes créatives à tester au quotidien.
Vous avez de la place sur votre plan de travail.
À éviter si…
Vous avez un budget serré : à plus de 150 €, ça reste un investissement.
Vous êtes sensible au bruit ou vivez dans un logement mal isolé.
Vous avez uniquement besoin d’un appareil pour les soupes.
Vous préférez un appareil léger et simple à manipuler.
Alors, on garde le PerfectMix Cook ?
Oui… mais pas pour tout le monde. C’est un excellent blender chauffant, mais qui s’adresse aux personnes qui veulent en faire plus que des soupes ou smoothies. Si vous aimez tester de nouvelles recettes, varier les plaisirs, et que le bruit ne vous fait pas peur, foncez.
Mais si votre usage est limité à deux soupes par semaine, le My Daily Soup reste amplement suffisant (et plus silencieux).
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Avec son tout nouveau modèle de la série 5000, Philips réinvente le Air Fryer familial. Cuisson vapeur, double panier, cuisson synchronisée : la marque frappe fort pour rivaliser avec Moulinex et Ninja.
Dans la grande famille des Air Fryers, chacun y va de sa petite innovation. Moulinex avait déjà intégré la cuisson vapeur à son Easy Fry Grill & Steam. Ninja, de son côté, a misé sur le Combi avec cuisson simultanée et technologie HyperSteam.
Mais Philips, jusqu’ici absent de cette bataille de la vapeur, revient sur le devant de la scène avec un modèle qui coche (presque) toutes les cases : un Air Fryer à cuisson vapeur et double panier.
Une double cuve pour une double efficacité
Premier élément qui change la donne : le modèle NA552/00 est doté de deux paniers de tailles différentes (6 L et 3 L), permettant de cuire simultanément deux plats différents, avec des modes de cuisson adaptés. L’un des deux paniers est équipé pour la cuisson vapeur, une première chez Philips.
Les dimensions de la bête quelque peu imposante. Pas idéale dans une petite cuisine.
L’intérêt ? Cuire des légumes ou du poisson à la vapeur tout en préparant des frites croustillantes ou des nuggets dans l’autre compartiment. Et pour ne rien gâcher, les temps de cuisson sont synchronisés automatiquement, histoire que tout soit prêt en même temps. Fini les accompagnements froids en attendant que le plat principal cuise !
La technologie Air Steam est clairement l’atout principal de ce nouvel appareil. Contrairement à une cuisson à l’eau, elle préserve jusqu’à 87 % de nutriments en plus (selon Philips) et offre une texture moelleuse sans rendre les aliments spongieux. On peut donc y cuire des brocolis, des raviolis, du poisson, du riz ou même réchauffer des restes sans les dessécher.
Autre détail malin : la fonction de nettoyage vapeur automatique, qui facilite l’entretien en décollant la graisse. C’est ce genre de petite chose qu’on apprécie vraiment au quotidien.
19 modes de cuisson, 12 présélections et jusqu’à 1,2 kg de poulet
Côté cuisson, Philips voit large : 19 modes disponibles (grill, rôti, cuisson vapeur, cuisson mixte vapeur+air, wok, réchauffage, maintien au chaud…) avec en prime 12 présélections d’ingrédients pour simplifier la vie des utilisateurs.
Sa capacité totale de 9 litres permet d’accueillir un poulet entier de 1,2 kg, jusqu’à 1,6 kg de légumes ou encore 1,1 kg de frites. Bref, de quoi nourrir une tablée sans stress.
Autres points notables : il est compatible avec le lave-vaisselle, doté d’un rappel de secouage pour un résultat homogène, et permettrait d’économiser jusqu’à 80 % d’électricité par rapport à un four traditionnel.
Verdict : une vraie réussite sur le papier
Avec ce modèle, Philips ne se contente pas de suivre la tendance : il vient clairement jouer dans la cour des grands avec une approche plus complète que ses concurrents. Le combo vapeur + double panier + cuisson synchronisée est rare sur le marché, voire inédit dans cette gamme de prix (comptez 259,99 € pour l’acquérir).
Il faudra attendre les premiers retours sur la durée (et les tests plus poussés) pour confirmer ses performances, mais sur le papier, c’est un appareil malin, bien pensé, et taillé pour le quotidien.
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