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Reçu aujourd’hui — 2 août 2025

Bounce A Brainrot Codes : Mises à jour et guides d’août 2025

2 août 2025 à 03:08

Mise à jour : vérifié pour de nouveaux codes Bounce A Brainrot le 1er août 2025 Tous les nouveaux codes Bounce A Brainrot Si vous recherchez les derniers codes Bounce A Brainrot, vous n’êtes pas seul. Actuellement, il n’y a aucun code actif disponible dans le jeu. Cependant, le jeu dispose d’un système de codes […]

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Reçu hier — 1 août 2025

Comment bien choisir un robot piscine en 2025 ? Le guide (vraiment) complet

1 août 2025 à 17:52
Sirène et robots de piscine en action

Vous avez déjà entendu cette phrase : « mon rêve, là maintenant, c’est une piscine creusée dans mon jardin ». Un an plus tard, la même personne : « si j’avais su l’entretien qu’il faut se coltiner… » Ce dramatique scénario n’est plus une fatalité en 2025 ! Il suffit de bien s’équiper.

Entre les feuilles, les algues, le pollen, et les insectes suicidaires, la piscine se mue continuellement et petit à petit en marais. Pour inverser le processus de verdification, le plus simple est de sortir le robot-piscine pour accompagner le chlore choc qui va bien. Aujourd’hui des modèles, il en existe des dizaines, avec ou sans fil, filtre ultra-fin, panneau solaire même ! Comme pour la plupart de ces appareils innovants, il peut être difficile de distinguer la promesse marketing des véritables améliorations qui font la différence.

Voici notre guide d’achat 2025 des robots autonomes, conçus pour aspirer un maximum d’eau de piscine et un minimum de monnaie !

Robots hydrauliques : la vieille école qui a encore sa place

Ces modèles-là, c’est un peu les grands-pères du robot-piscine moderne. Pas d’électronique, pas de batterie, pas même un interrupteur : ils fonctionnent par aspiration, en se branchant directement sur le skimmer ou la prise balai. La pompe de filtration crée un flux d’eau, qui entraîne à son tour une turbine interne ou un système à membrane : et hop, le robot se met à avancer tout seul, au rythme de vos cycles de filtration.

Intex ZX300 dans une piscine
Version édulcorée des robots les plus récents…

Côté budget, ils sont imbattables (200 à 500 €), ne consomment aucune électricité et ne nécessitent quasiment aucun entretien électronique. Un tuyau, un clapet, et ça tourne.

Pour qui ?

  • Petites piscines hors-sol (Intex, Bestway…) jusqu’à 8 × 4 m environ.
  • Ceux qui ne veulent pas s’embêter avec une appli ou une base de charge.
  • Les propriétaires de filtration à sable assez puissante (au moins 0,75 CV/550 W).

Comment ça marche concrètement ?

Le flux d’eau aspire les débris, qui finissent dans le filtre principal de votre piscine. Le robot se déplace au hasard, souvent avec un petit “cliquetis” à chaque changement de direction.

Le revers ?

Les robots hydrauliques ont quelques limites à bien garder en tête. Leur trajectoire est totalement aléatoire, ce qui peut laisser certaines zones du bassin inexplorées, surtout dans les angles ou les piscines de forme complexe. Contrairement aux modèles électriques, ils ne grimpent pas aux parois : ils se contentent de nettoyer le fond, et uniquement le fond. Leur efficacité dépend par ailleurs entièrement de la puissance de la pompe de filtration (au moins 0,75 CV recommandée – soit 10 m3/h environ), ce qui peut poser problème sur les installations modestes. Enfin, en envoyant tous les débris vers le filtre principal, ils accélèrent son encrassement.

Quel entretien ?

L’entretien d’un robot piscine hydraulique est simple et peu contraignant. Un rinçage à l’eau claire après chaque usage suffit généralement, accompagné d’un contrôle visuel régulier des clapets, membranes ou turbines. Pas de bac à vider : les saletés sont envoyées directement vers le filtre principal de la piscine, qu’il faudra donc nettoyer plus souvent.

Hayward Pool Vac Ultra vu de près
Sous vos yeux ébahis : le Hayward PoolVac Ultra

Il est aussi recommandé de vérifier les tuyaux et de les stocker à l’ombre pour prolonger leur durée de vie. Bon point : les pièces détachées (membrane Zodiac, roues, clapets…) sont faciles à trouver et peu chères. En bref, c’est un système rustique, mais durable.

Quelques modèles de référence

  • le Zodiac T3 / T5 Duo, avec un système à membrane souple, ultra-simple à entretenir ;
  • le Hayward PoolVac Ultra : au design plus large pour une bonne couverture du sol.
  • l’Intex ZX300, parfait pour les piscines de la même marque, selon un rapport qualité-prix redoutable.

Robots à pression : le poids lourd du nettoyage

Moins connus du grand public que les robots électriques ou hydrauliques, les robots à pression (ou « robots à surpresseur ») sont pourtant de vrais costauds. Ils fonctionnent grâce à un jet d’eau sous pression, généré par un surpresseur (une pompe secondaire dédiée), qui propulse le robot dans le bassin tout en alimentant ses buses de nettoyage.

Polaris 3900 Sport devant bassin
Petit mais puissant, le 3900 Sport

Résultat : ils avancent avec vigueur, brassent l’eau et récupèrent les gros débris dans un sac filtrant intégré, sans saturer le filtre principal de la piscine. Prix de départ : 800 à 1 500 €, sans compter l’installation du surpresseur.

Pour qui ?

  • Propriétaires de piscines enterrées de grande taille, exposées à beaucoup de végétation.
  • Ceux qui cherchent à soulager le filtre principal.
  • Baignades fréquentes, entretien régulier avec gros volumes de feuilles ou brindilles.

Comment ça marche concrètement ?

Le surpresseur envoie de l’eau sous haute pression dans le robot via un tuyau dédié. Ce jet propulse des buses mobiles à l’arrière, qui assurent la mobilité et le brassage. Un sac filtrant amovible récupère les déchets solides (feuilles, glands, gros insectes, etc.).

Le revers ?

Les robots à pression nécessitent l’installation d’un surpresseur, ce qui implique une intervention professionnelle et un coût énergétique supplémentaire non négligeable. Comme les modèles hydrauliques, ils se concentrent uniquement sur le fond du bassin, sans pouvoir grimper aux parois. Leur utilité est donc assez réduite dans les petites piscines ou celles qui restent propres la majeure partie du temps. Enfin, leur efficacité sur les particules fines est souvent inférieure à celle des robots électriques, car leur système de filtration repose sur un simple sac dédié aux gros débris.

Quel entretien ?

L’entretien d’un robot à pression doit être régulier. Il faut vider et rincer fréquemment le sac filtrant, où s’accumulent feuilles, insectes et autres débris. Un contrôle des buses et des roues, souvent à jet rotatif, est recommandé pour éviter tout encrassement ou blocage.

BlueFury® de Pentair devant piscine
Le bluefury et son câble d’alimentation

Il est également important de vérifier le bon fonctionnement du surpresseur, indispensable à la propulsion du robot. En contrepartie, ces modèles comportent peu de composants électroniques, ce qui leur confère une excellente longévité lorsqu’ils sont bien entretenus.

Quelques modèles de référence

  • Polaris 280 ou 3900 Sport : véritables classiques du genre, robustes et puissants.
  • BlueFury de Pentair

Robots électriques filaires : le roi polyvalent

Autonomes, intelligents, hyper-performants, les robots électriques filaires sont capables de nettoyer tout le bassin : fond, parois et ligne d’eau. Ils embarquent leurs propres moteurs, leur système de filtration (souvent jusqu’à 50 microns, voire 3 microns pour les plus qualitatifs), parfois même une forme de cartographie intelligente. Branchés sur secteur via un transfo basse tension (pour la sécurité), ils enchaînent les cycles programmables – express, complets ou ciblés – sans dépendre du système de filtration.

Zodiac Alpha iQ sorti de l'eau
Zodiac, une marque fiable pour des robots robustes.

Les prix ? Entre 900 et 2 500 €, avec des références haut de gamme capables de scanner la piscine en 3D et d’optimiser chaque passage. 

Pour qui ?

  • Propriétaires de piscines enterrées ou grandes piscines aux formes complexes.
  • Utilisateurs exigeants recherchant un nettoyage complet (fond, parois, ligne d’eau).
  • Ceux qui souhaitent programmer des cycles précis (rapide, complet, zone ciblée…).

Comment ça marche concrètement ?

Une fois branché sur une prise secteur, le robot est plongé dans la piscine, où il se déplace de manière autonome grâce à ses moteurs électriques. Il scanne le bassin à l’aide de capteurs pour optimiser son trajet (selon les modèles, gyroscope, IA, ou algorithmes de navigation). Une pompe interne aspire l’eau, tandis qu’un ou plusieurs filtres retiennent les saletés, des feuilles aux microparticules. 

Le revers ?

Vous le voyez venir : le principal inconvénient des robots électriques reste leur câble. Même avec un système anti-torsion, il peut s’emmêler ou gêner les déplacements dans certains bassins. Ils nécessitent un entretien régulier, notamment du filtre interne, qui doit être vidé et rincé après chaque cycle. Enfin, vous aurez besoin d’une prise électrique extérieure à proximité de la piscine, ou bien d’une rallonge pour alimenter le robot.

Quel entretien ?

Il faut vider, rincer et nettoyer les filtres internes après chaque cycle, surtout si l’eau contient beaucoup de particules fines ou d’algues. Le câble doit être déroulé correctement pour éviter les torsions, et stocké à l’abri du soleil.

Dolphin M 600 sorti de l'eau
Avec le Dolphin, le le nettoyage c’est carré !

Enfin, un contrôle ponctuel des brosses et des chenilles est recommandé, notamment en début de saison. Bien entretenus, ces robots affichent une durée de vie solide, souvent supérieure à 5 ans.

Quelques modèles de référence

  • Dolphin E30  ou IO (Maytronics) : excellent rapport qualité-prix, filtration fine, cycles efficaces sur fond, parois et ligne d’eau. L’IO scanne la piscine en 3D et adapte sa trajectoire.
  • Zodiac Alpha iQ™ : modèle haut de gamme connecté, cartographie intelligente, aspiration puissante, nettoyage complet et réglages via appli.
  • Hayward TigerShark QC : réputé pour son efficacité, notamment sur les grandes piscines. Cycle rapide (Quick Clean) en 90 minutes.

Robots sans fil : la liberté (presque) totale

Les robots de piscine sans fil séduisent par leur simplicité : pas de câble à démêler, pas de prise secteur à sécuriser, juste une batterie interne, un bouton, et c’est parti. Autonomes, souvent programmables via une appli, ils offrent une vraie liberté d’usage, notamment dans les piscines loin de toute prise ou avec une forme complexe.

Aiper Scuba X1 vu sous l'eau
On l’a testé celui-ci ! Avec filtre ultra fin et station de charge, le Scuba X1 performe.

En plus de grimper aux parois, les meilleurs savent nettoyer la ligne d’eau, ou stationner au bord une fois leur cycle terminé. Côté prix, comptez de 300 € à 2 500 € selon les fonctionnalités, avec une montée en gamme rapide si vous voulez une navigation intelligente et une aspiration musclée.

Pour qui ?

  • Ceux qui veulent un robot simple à manipuler et éviter les câbles qui traînent et les prises à proximité du bassin.
  • Propriétaires de piscines de taille moyenne à grande, souvent utilisées en été.
  • Piscines récentes sans prise balai ou installation électrique adaptée.

Comment ça marche concrètement ?

Les robots sans fil embarquent une batterie rechargeable (généralement lithium-ion). Une fois plongés dans la piscine, ils s’activent automatiquement ou via une application mobile. Le moteur de déplacement les propulse dans les bassin, tandis qu’une pompe aspire l’eau et les débris, stockés dans un bac ou un panier filtrant interne. Leur navigation repose sur divers capteurs (gyroscopiques, pression, infrarouge, etc.) voire sur une cartographie intelligente.

Le revers ?

En plus d’être onéreuses à remplacer (environ 250 à 500 € au bout de 3-5 ans), les batteries peuvent présenter une autonomie relativement limitée : certains modèles tiennent 60 à 90 minutes, d’autres jusqu’à 4 heures, mais rarement plus (le Beatbot AquaSense 2 Ultra chatouille les 5h en nettoyage du fond). En cas de piscine très sale ou de grande taille, plusieurs cycles peuvent être nécessaires, sauf qu’une recharge prend généralement plusieurs heures. Autre limite : une fois immergés, ils ne communiquent plus avec l’application (hormis l’exception Wybot S2). Enfin, leur puissance d’aspiration ou leur précision de navigation peut être inférieure à celle des modèles filaires, surtout sur les entrées de gamme. 

Quel entretien ?

Les robots sans fil requièrent un peu plus d’attention que leurs homologues filaires. Bien sûr, après chaque cycle, on vide et rince soigneusement le panier de filtration, mais il faut également surveiller le bon fonctionnement de la batterie : ne pas laisser l’appareil déchargé trop longtemps, et éviter les charges incomplètes répétées qui pourraient l’endommager sur le long terme.

Wybot Solar S2 filtre sorti
Le Wybot S2 Solar, plutôt ergonomique !

Enfin, il est conseillé de vérifier l’état des chenilles, des brosses, et de garder les capteurs propres pour maintenir la qualité de navigation. 

Quelques modèles de référence

  • Aiper Scuba X1 : modèle vedette de 2025, sans fil, avec navigation intelligente, très bon débit d’aspiration (25 000 L/h), ligne d’eau incluse.
  • Dreame Z1 Pro : robot innovant avec capteurs multiples, autonomie jusqu’à 4h, télécommande LiFi, parfait pour les piscines de 8 à 10 m.
  • Wybot M1 Ultra : bonne alternative au Scuba X1, avec cartographie, cycles personnalisables, et performances convaincantes sur bassins moyens à grands.

Robots solaires : le petit plus malin

Encore rares, mais franchement malins : les robots de piscine solaires misent sur l’énergie du soleil pour recharger leur batterie… directement dans l’eau. Le principe ? Une station flottante équipée d’un panneau solaire, parfois intégrée au robot lui-même, qui capte l’énergie pendant la journée. Résultat : moins de recharges manuelles, zéro câble, et une autonomie qui se régénère toute seule entre deux cycles de nettoyage. Idéal dans les régions très ensoleillées ou pour les utilisateurs qui veulent minimiser les contraintes.

Comptez entre 500 et 1000 € pour un modèle sérieux.

Instapark Betta SE dans une piscine
Là on est plus sur « boîte à pizza tombée dans la piscine »… Mais efficace quand même.

Pour qui ?

  • Propriétaires de petites à moyennes piscines, bien exposées au soleil.
  • Utilisateurs recherchant un complément d’entretien régulier entre deux nettoyages complets.
  • Personnes sensibles à l’écologie ou au design innovant qui veulent limiter leur consommation d’électricité ou éviter les recharges manuelles.

Comment ça marche concrètement ?

Les robots solaires flottent à la surface de l’eau et captent l’énergie du soleil grâce à un panneau photovoltaïque intégré. Cette énergie alimente un moteur d’aspiration et de petites hélices qui les déplacent à la surface. Leur mission principale : collecter les débris flottants (feuilles, insectes, pollen…) avant qu’ils ne coulent. Les saletés sont stockées dans un petit bac ou panier amovible, qu’il suffit de vider manuellement. 

Le revers ?

Les robots solaires sont avant tout des collecteurs de surface. Ils ne nettoient ni le fond, ni les parois, et ne remplacent donc pas un véritable robot-piscine autonome. Leur efficacité dépend de l’ensoleillement : sans lumière directe, ils cessent de fonctionner ou deviennent très lents. De plus, leur petit panier se remplit vite, obligeant à des vidanges fréquentes. Enfin, ils peuvent rester bloqués dans les coins du bassin ou par des objets flottants, faute de navigation intelligente.

Quel entretien ?

Leur bac de récupération doit être vidé et rincé régulièrement pour éviter l’accumulation de débris organiques (feuilles, insectes, pollen). Les panneaux solaires doivent rester propres pour garantir une bonne charge : un coup de chiffon doux humide suffit en général.

Il est aussi conseillé de vérifier que les roues ou pales de propulsion ne sont pas obstruées par des saletés ou du calcaire. 

Quelques modèles de référence

  • Aiper Seagull SE : récupère efficacement les feuilles et débris flottants. Simple, autonome et abordable.
  • Instapark Betta SE : design fermé contre les insectes et les feuilles, propulsion par hélice, panneau solaire de bonne qualité, très peu d’entretien.
  • Solar-Breeze Ariel : autonomie solaire fiable, filtration de surface continue, idéal pour maintenir une eau claire entre deux nettoyages en profondeur.

À quoi faire attention avant d’acheter ?

  • Taille et forme de la piscine : au-delà de 12 m ou avec un fond en pointe de diamant, préférez un robot haut de gamme doté d’algorithmes intelligents et d’une puissance accrue.
  • Type de revêtement : carrelage glissant, liner, PVC, coque polyester, etc.
  • Débris dominants : feuilles, terre, sable, pollen, algues pour choisir un panier à la bonne taille et la finesse de filtration adaptée.
  • Système de filtration existant : pour un hydraulique ou à pression, vérifiez la puissance et la compatibilité (prises, surpresseur).
  • Budget et coûts cachés : usure des pièces, batteries à remplacer, accessoires à rajouter, etc.

Les innovations 2025 : entre gadgets et vraies révolutions

  • IA et cartographie 3D : certains modèles détectent les zones les plus sales et adaptent leur temps d’action. Coup de cœur : des robots capables de distinguer types de débris (feuille de palmier vs chêne) et d’adapter la puissance d’aspiration.
  • Connectivité avancée : application mobile, démarrage à distance, notifications en cas de bac plein. La piscine se gère presque comme une Tesla. Le vrai plus ? Pouvoir lancer le cycle avant de rentrer d’un week-end.
  • Fonctions « Pick Up » et station d’accueil : un appui sur l’appli et le robot remonte se « garer » sur le bord pour se faire attraper. Un petit luxe facilement addictif.

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Roblox Codes Inutiles – Mise à jour de juillet 2025 et guides

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Mise à jour : ajouts de nouveaux codes UnExceptional le 31 juillet 2025 Avez-vous déjà imaginé ce qui se passe lorsque le monde chaotique d’UnOrdinary entre en collision avec le combat intense de Kengan Ashura ? Ajoutez une pincée d’énergie Skywalker, et vous obtenez UnExceptional sur Roblox. Ce n’est pas qu’un simple jeu de boutons, […]

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Dossier AppData sur Windows : à quoi sert-il ? Comment y accéder ?

31 juillet 2025 à 14:44
Vous avez sans doute déjà entendu parler du dossier AppData, que ce soit en suivant un tutoriel, en installant un mod pour un jeu comme Minecraft ou en cherchant à résoudre un problème avec une application. À juste titre, vous pouvez poser beaucoup de questions à son sujet : Dans cet article, je vais vous … Lire la suite

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Dossier ProgramData sur Windows : à quoi sert-il ? Comment y accéder ?

31 juillet 2025 à 10:19
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Fichiers Prefetch sur Windows : à quoi servent-ils ? Peut-on les supprimer ?

30 juillet 2025 à 14:03
Vous avez peut-être déjà remarqué un dossier « Prefetch » en fouillant dans la partition système (C:) de Windows, ou bien peut-être en avez-vous entendu parlé sur un forum avec des conseils vous suggérant de le vider pour accélérer votre PC. Mais qu’en est-il vraiment ? Est-ce une bonne idée de supprimer les fichiers (avec l’extension .pf) … Lire la suite

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Vous hésitez sur la conduction osseuse ? Voici tout ce qu’il faut savoir.

26 juillet 2025 à 18:28
Ecouteurs à conduction osseuse guide

Fatigué des écouteurs qui tombent ou qui vous isolent complètement ? La conduction osseuse est peut-être la solution inattendue à vos besoins audio en 2025. Encore peu connue du grand public, cette technologie séduit de plus en plus les sportifs, les personnes malentendantes ou celles qui veulent rester connectées à leur environnement tout en écoutant leur musique. Tour d’horizon d’un concept audio à part.

Une technologie ancienne… remise au goût du jour

Le principe de la conduction osseuse a été illustré de façon empirique au XVIIIe siècle, notamment à travers l’anecdote de Beethoven, qui aurait perçu les vibrations de son piano en mordant une tige métallique. Ce principe aujourd’hui repris dans les casques audio à conduction osseuse, permet de transmettre le son par les os du crâne, sans passer par le tympan.

Longtemps réservée à l’armée, à la plongée ou à des usages médicaux, cette technologie se démocratise enfin. En 2025, des marques comme Shokz (anciennement AfterShokz), ou Creative proposent des modèles plus légers, plus endurants et plus accessibles.

Quand Beethoven est devenu sourd, il a découvert qu'il pouvait entendre sa musique en mordant une barre de métal fixée à son piano pendant qu'il jouait. Il entendait grâce aux vibrations transmises par sa mâchoire. Cela s'appelle la conduction osseuse. https://t.co/rQSwu8Z2s6 pic.twitter.com/HoqdGoClDL

— Norbert explique nous (@NorbertExplique) September 27, 2020

Comment ça marche les écouteurs à conduction osseuse ?

L’utilisation d’écouteurs à conduction osseuse est un sujet qui intrigue. C’est un écouteur (ou un casque) qui ne se place pas dans l’oreille, mais juste au-dessus.  Il émet des vibrations qui sont ressenties par les os et sur les tempes. Le son est transmis directement à la cochlée via l’os, sans passer par le tympan ni les osselets.

Ecouteurs à conduction osseuse technologie comment ça marche

Quels sont les avantages des écouteurs à conduction osseuse ?

C’est un système qui peut contourner certaines pertes auditives liées à l’oreille externe ou moyenne, comme les surdités de transmission (tympan endommagé, canal auditif obstrué, otites chroniques…) En transmettant directement les vibrations à l’oreille interne, la conduction osseuse peut permettre une perception sonore efficace, sans passer par le tympan. Elle peut également, dans certains cas, aider des personnes atteintes de surdité mixte légère, mais ne remplace pas une évaluation médicale ni un appareil auditif dédié.

L’usage des écouteurs à conduction osseuses a démontré son utilité par bien des aspects. Tout d’abord d’un point de vue sécuritaire. Ne bouchant pas l’entrée du canal auditif, il vous permet d’être toujours alerté à ce qu’il se passe autour de vous (voiture qui klaxonne ou autre…) En terme d’hygiène cela permet d’éviter la transpiration dans des embouts intra. C’est également un accessoire utile pour certaines personnes malentendantes ou souffrant d’infections chroniques du conduit auditif. Enfin et c’est peut-être le premier critères qui vous intéressera, ils tiennent bien en place pour le vélo, la course, la marche rapide et la natation pour les écouteurs étanches.

Nageur avec Open Swim Pro.
Open Swim Pro, Image générée avec IA

Quelles sont les limites à connaître ?

Ces casques ne remplacent pas des écouteurs hi-fi. Ils sont conçus pour la praticité, pas pour la précision sonore. Le rendu sonore est centré sur les tons médiums. Les basses profondes et les aigus détaillés sont atténués. Si le fait d’entendre des bruits externes vous permet d’être plus averti de ce qu’il se passe autour de vous, cela rend ce que vous écoutez parfois moins audible ou compréhensible. Le son peut aussi être audible par l’entourage et donc moins privé. Toutefois, ce type d’écouteurs est moins intrusif que des écouteurs à conduction aérienne. Lorsque le volume est élevé, certaines personnes peuvent ressentir une gêne liée aux vibrations mécaniques. Souvent considérés comme moins néfastes pour l’audition que des écouteurs classiques, certains audiologistes comme le Dr Cory Portnuff alertent néanmoins sur les risques pour la santé :

« Les utilisateurs (d’écouteurs à conduction osseuse) risquent de subir des lésions cochléaires en cas de surutilisation, quel que soit le type d’écouteur » expliquait-il déjà le 4 juin 2012 dans un article pour The Hearing Journal.

Pourquoi acheter des écouteurs à conduction osseuse ?

Ce type d’écouteurs n’est pas fait pour plaire à tout le monde, en particulier les audiophiles. Mais c’est idéal pour une écoute mobile, une pratique sportive ou multitâche. Pour les activités sportives comme le running, le vélo ou les entraînements en salle, ils offrent une bonne stabilité, une bonne autonomie et permettent de rester attentif à l’environnement sonore. Un atout pour la sécurité. En natation, certains modèles comme les Shokz OpenSwim Pro sont certifiés étanches (IP68) et intègrent une mémoire MP3, indispensable puisque le bluetooth ne fonctionne pas sous l’eau.

Ils peuvent également convenir à certaines personnes présentant des déficiences auditives, par exemple en cas de tympan perforé ou de conduit auditif bouché, en permettant une transmission du son directe vers l’oreille interne.

Outlier Free Pro, Creative
Outlier Free Pro, Creative

Quelles sont les marques phares de ce marché ?

Dans le commerce de ce type de produits, on retrouve des acteurs bien différents des mastodontes tels que Apple, Beats Electronics ou encore JBL. Aujourd’hui, il n’y a réellement que 3 marques qui dominent le secteur.

  • Creative : marque singapourienne pionnière de l’audio numérique depuis les années 80, qui mise aujourd’hui sur l’innovation avec sa propre gamme d’écouteurs à conduction osseuse. Une alternative aux prix inférieurs à ceux de Shokz mais dont la variété de produit est également moins importante.
  • Shokz (ex-AfterShokz) : le leader incontesté qui propose notamment les modèles OpenRun pour le jogging et OpenSwim pour la natation. Si la marque ne détaille le bilan de ses ventes produit par produit, elle revendique avoir vendu plus de 15 millions d’écouteurs ou casques à ce jour.
  • Suunto : marque finlandaise emblématique dans l’univers des montres sportives et instruments outdoor, s’aventure désormais sur le terrain de l’audio avec une gamme de produits à conduction osseuse. Fidèle à son ADN axé sur la performance, la robustesse et l’exploration, Suunto propose des écouteurs pensés pour les sportifs exigeants, alliant confort, sécurité et résistance aux éléments.
Open Run Pro 2 de Shokz.
Open Run Pro 2 de Shokz, image avec IA

À quoi faire attention avant d’acheter ?

Avant de vous lancer dans l’achat de votre écouteur à conduction osseuse, voici quelques questions que vous devriez vous poser pour trouver le modèle qui vous convient.

  • Usage principal : sport ? ville ? natation ? bureau ?
  • Autonomie : de 8 à 14 heures selon les modèles.
  • Connectique : préférez l’USB-C à la charge propriétaire.
  • Étanchéité : vérifiez l’indice IP (IP55 à IP68 selon vos besoins).
  • Poids et confort : certains modèles peuvent serrer ou vibrer trop fort selon les morphologies.
  • Prix : comptez entre 60 et 200 € selon les fonctionnalités.
Jogger muni d’écouteurs à conduction osseuse.

Les casques à conduction osseuse ne sont pas un gadget. Ils offrent des avantages réels en matière de confort, de sécurité, d’accessibilité et de sport. À condition de bien connaître vos besoins, vous trouverez un modèle qui vous correspond.

Vous utilisez déjà un casque à conduction osseuse ? Partagez votre expérience en commentaire ! Une question ou une nouveauté à signaler ? Écrivez-nous pour enrichir ce guide.

Les 4 meilleurs logiciels de sauvegarde pour PC Windows (gratuits) en 2025

24 juillet 2025 à 14:05
Vous avez peur de perdre vos données à cause d’une panne, d’un virus ou d’une mauvaise manipulation ? Vous cherchez un moyen simple et fiable de sauvegarder vos fichiers ou votre système d’exploitation Windows ? Vous avez bien fait de cliquer sur cet article ! Aujourd’hui, les risques de perte de données sont partout : … Lire la suite

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Windows 11 : quelle est la configuration minimale requise ?

15 juillet 2025 à 16:00
Vous avez entendu dire que Windows 11 impose des exigences matérielles plus strictes que Windows 10, et vous cherchez à savoir si votre PC est compatible ? Vous êtes au bon endroit. Depuis l’annonce du nouveau système d’exploitation de Microsoft, une question revient souvent : « Est-ce que mon ordinateur est compatible avec Windows 11 … Lire la suite

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Comment bien choisir son Aspirateur Laveur ?

9 juillet 2025 à 16:37
Personne faisant le ménage avec trois types d'aspirateurs-laveurs Quel aspirateur-laveur vous ressemble ? Pas besoin de tous les essayer ! ©meilleure-innovation

Parfait hybride entre balai, serpillière et aspirateur, l’aspirateur laveur fait de plus en plus d’adeptes. Et pour cause : il aspire, lave et sèche en un seul passage, avec une efficacité redoutable sur les sols durs. Mais tous les modèles ne se valent pas. Balai, robot, traîneau ? Avec ou sans vapeur ? Autonomie, puissance, maniabilité… voici notre guide 2025 pour choisir sans se tromper.

Aspirer et laver : un deux-en-un qui change la donne

Adieu la corvée en deux temps : d’abord passer l’aspirateur, puis sortir le seau et la serpillière. L’aspirateur laveur fait les deux en même temps. Il projette de l’eau, frotte avec un rouleau (ou plusieurs) et aspire les saletés liquides et solides d’un seul geste. Résultat : un sol propre et presque sec en un seul passage, sans effort physique, ni flaques résiduelles.

Dans une cuisine, après le repas, il avale miettes, éclaboussures et taches de sauce en un clin d’œil. Dans une salle de bains, il aspire cheveux mouillés et traces de dentifrice. C’est aussi un allié redoutable pour les foyers avec enfants ou animaux, où les salissures sont (très) fréquentes.

Balai, robot ou traîneau : à chaque usage son format d’aspirateur-laveur

Le balai laveur sans fil : champion du quotidien

C’est le format préféré des citadins. Léger, maniable, rapide à dégainer, il se range dans un placard et se glisse sous les meubles. Parfait pour un nettoyage express dans un appartement ou une maison de taille moyenne. Limite : autonomie restreinte (30 à 60 min) et petit réservoir d’eau.

aspirateur laveur Tineco Floor One S5
Un balai aspirateur-laveur Tineco rangé sur sa base de stationnement

On pense notamment à des modèles tels que le Roborock F25 ACE, le Dreame H14 Pro, le Tineco Floor One S7 Pro ou encore les nombreux modèles de la marque Bissel.

Idéal pour : petits et moyens logements, foyers pressés.

Le traîneau : la force brute

Plus proche du nettoyeur pro, il offre une puissance généralement supérieure, une capacité XXL (plus de 1,5 L) et peut parfois embarquer la vapeur. En contrepartie : un gabarit imposant, souvent filaire, et un poids conséquent (jusqu’à 8 kg).

polti vaporetto aspirateur-laveur  traîneau fonction vapeur
La vapeur est plébiscitée pour son efficacité contre les taches.

On pense notamment au Polti Vaporetto Lecoaspira FAV30 ou au Thomas Aqua+ Pet & Family.

Idéal pour : grandes surfaces, tapis, nettoyages profonds.

Le robot aspirateur laveur : l’assistant autonome

Il cartographie, évite les obstacles et lave pendant que vous regardez Netflix. Les modèles haut de gamme vont plus loin : station de vidange, lavage et séchage de serpillière. Moins puissants que les modèles manuels, mais terriblement pratiques.

test serpillère J15 Pro
Les robots aspirateurs-laveurs sont de plus en plus puissants… La preuve en image !

Il en existe pléthore, comme le Mova Z50, le Roborock S7 MaxV Ultra, le Freo X Ultra de Narwal ou même le J15 Pro Ultra d’Eureka, pour citer quelques marques testées dans nos labos.

Idéal pour : entretien régulier automatisé, mobilité réduite.

Les critères qui font la différence pour l’achat de votre aspirateur-laveur

Type de sol

Carrelage, parquet, béton ciré, vinyle : les aspirateurs laveurs excellent sur les sols durs. Mais sur la moquette ou les tapis, attention : tous ne sont pas efficaces. Vérifiez la présence d’un mode moquette, d’une brosse adaptée ou d’une fonction d’injection-extraction, comme le Thomas Aqua+ Pet & Family.

exemple d'injection-extraction
L’injection-extraction n’est plus l’apanage des shampouineuses !

Autonomie

Pour les modèles sans fil, une autonomie de 30 à 45 minutes est un minimum. Méfiez-vous des chiffres gonflés : ils sont souvent donnés en mode « éco ». En mode intensif, certains modèles tiennent à peine 15 minutes.

Astuce : privilégiez les batteries amovibles ou achetez-en une deuxième.

Capacité des réservoirs

Un bon aspirateur laveur embarque deux réservoirs : eau propre (souvent 500 à 800 ml) et eau sale. En-dessous de 400 ml, attendez-vous à devoir faire des pauses pour remplir ou vider. Vérifiez aussi qu’ils soient amovibles : c’est bien plus pratique.

Puissance d’aspiration

Elle se mesure en airwatts ou en Pascal (Pa). Pour du carrelage, 500 W suffisent. Pour décrasser une moquette avec poils de chien, mieux vaut viser 800 à 1000 W, ou un robot à 10 000 Pa minimum. Regardez aussi la brosse : un rouleau motorisé, voire double, booste nettement l’efficacité.

Les détails qui changent tout

  • Fonction vapeur : parfaite pour désinfecter sans détergent. Idéale pour les allergiques.
  • Capteurs de saleté intelligents : adaptent automatiquement puissance et débit d’eau.
  • Séchage rapide : certaines machines soufflent de l’air chaud ou aspirent intensément l’eau pour un sol sec en moins d’une minute.
  • Brosse spéciale poils d’animaux : indispensable si vous avez un Golden Retriever ou un Maine Coon.
  • Connectivité et applis : pratique pour programmer ou piloter à distance les robots. Certains aspirateurs balais haut de gamme embarquent même le Wi-Fi ou du Bluetooth, quoiqu’un peu moins utile sur ce type d’appareil.

Niveau sonore : attention aux décibels

Un bon aspirateur laveur, c’est aussi un appareil qui ne vous casse pas les oreilles. Les modèles balais et traîneaux peuvent atteindre 75 à 80 dB en mode Max (équivalent à une rue très passante), tandis que les plus discrets tournent autour de 65 dB.

Bon à savoir : certains modèles adaptent automatiquement le niveau sonore selon l’environnement ou proposent un mode « silencieux ».

Poids et maniabilité

  • Balais : 4 à 5 kg à vide (réservoirs pleins = +1 kg),
  • Traîneaux : 8 à 10 kg,
  • Robots : poids négligeable à l’usage, mais prévoyez de la place pour la base (40 x 50 cm).

Des roulettes bien pensées, une tête ultra-plate ou un bras articulé font une vraie différence. Si vous vivez en étage, le poids devient un critère décisif.

Fonctionnalités et accessoires utiles

  • Mode auto-nettoyage des rouleaux,
  • Écran LED ou LCD (voire vocal),
  • Brosses interchangeables pour moquette ou tissus,
  • Capteurs de sol intelligent,
  • Station multifonction pour les robots : vidange, lavage, séchage.

Faites la liste de ce qui compte pour vous, car certains accessoires sont vraiment utiles… d’autres relèvent plus du gadget.

A-t-on besoin d’un deuxième aspirateur ?

Un aspirateur laveur peut remplacer un aspirateur classique sur les sols durs. Mais dans certains cas, il montre ses limites, notamment avec :

  • les moquettes épaisses (spécialité des shampouineuses et des aspirateurs-traîneaux)
  • le nettoyage des canapés, des escaliers, voire du plafond (que les aspirateurs-balais peuvent atteindre) ;
  • aspiration express sans eau (la carte maîtresse des aspirateurs-balais)

Selon Consumer Reports, beaucoup de foyers conservent un petit aspirateur à main ou balai complémentaire, pour les zones non accessibles à l’aspirateur laveur.

Combien coûte un aspirateur avec fonction lavage ?

Les prix 2025 sont très variables :

  • Entrée de gamme (balai) : 150 à 250 €.
  • Milieu de gamme : 300 à 500 €.
  • Haut de gamme / vapeur : 600 à 800 €.
  • Robots avec base auto : 800 à 1 200 € et +.

Un tarif élevé ne garantit pas tout, mais il rime souvent avec autonomie, puissance, confort d’usage… et durée de vie.

Quel modèle d’aspirateur-laveur pour quel profil ?

ProfilRecommandation
👶 Famille avec enfantsBalai puissant, mode vapeur, grand réservoir
🐕 Animaux domestiquesBrosse spéciale poils, filtre HEPA, forte aspiration
🧓 Personnes âgéesRobot autonome ou balai léger ≤ 4 kg
🏙 Petits logementsBalai compact, autonomie 20-30 min, entrée de gamme
🏡 Grande maisonCombo traîneau + robot, gros réservoirs ou batterie longue durée

Ce qui change en 2025 ?

  • Stations multifonctions : vidange, fonction auto-nettoyante, séchage automatique
  • Lavage à l’eau chaude (55 °C), rinçage des brosses à 85 °C,
  • Navigation IA / LIDAR, détection d’obstacles en temps réel,
  • Écrans vocaux, capteurs intelligents, applis mobiles,
  • Silence et design enfin pris au sérieux.

Conclusion : le bon choix, c’est le vôtre

Il n’y a pas de meilleur modèle universel. Le bon aspirateur laveur est celui qui colle à votre quotidien. Citadin pressé ou parent épuisé, maniaque du propre ou allergique à la corvée, il existe une solution adaptée.

Prenez le temps d’évaluer vos besoins, vos sols, vos habitudes, votre budget. Et si vous visez un modèle intelligent, silencieux et performant, la corvée de ménage pourrait bien devenir un geste aussi simple que… passer un coup de fil.

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Comment bien choisir son Aspirateur Balai ?

28 juin 2025 à 09:46
Guide d'achat aspirateur-balai

Les aspirateurs-balais ont séduit le public par leur grande praticité : maniables, généralement sans fil et souvent 2-en-1, ils permettent de gagner de la place dans un studio et de servir d’appareil d’appoint pour l’étage des grandes maisons. Bien sûr, un grand nombre de marque sont entré dans l’arène après Dyson : Eureka, Dreame, Shark, Rowenta, etc.

Mais comment s’y retrouver dans cette jungle de modèles aux promesses souvent trop brillantes ? Voici un guide clair pour choisir le bon appareil, selon vos véritables besoins.

Pourquoi choisir un aspirateur balai ?

L’aspirateur balai, c’est un peu le couteau suisse du ménage moderne. Sans fil, léger, souvent convertible en aspirateur à main, il séduit par sa grande flexibilité. Il permet de s’émanciper du gros traîneau que l’on doit brancher, rebrancher, traîner à bout de bras en se coltinant un tintamarre à plus de 80 dB. En 2025, il existe même des balais capables de rivaliser avec des traîneaux haut de gamme, du moins en termes de puissance. Certains… Mais pas tous !

Les 9 principaux critères à examiner lors de votre achat.

1. L’autonomie : combien de temps pouvez-vous nettoyer sans recharger ?

C’est l’un des points faibles généralement relevés sur les aspirateurs-balais. Certes, les meilleurs modèles offrent entre 45 et 70 minutes d’autonomie en mode éco, comme le Rowenta X-Force Flex 14.60.

Une femme passe l'aspirateur
L’articulation inversée est encore clairement sous-côté…

Cependant, en mode boost, cette durée peut chuter à 10-15 minutes. Pour les grandes maisons, le mieux reste d’opter pour une batterie amovible et de s’offrir une seconde batterie pour doubler l’autonomie, comme pour le Dyson V7 . Cela vous coûtera entre 30 et 50 €.

Astuce : vérifiez le temps de recharge, généralement entre 3 et 5 heures selon les modèles.

2. La puissance d’aspiration : l’élément central

Exprimée en Air Watts (AW), la puissance traduit la capacité à décoller les saletés, surtout dans les tapis. En dessous de 120 AW, l’aspiration sera limitée. À partir de 175 AW, on parle de modèles très performants, comme le Tineco Pure One A50S ou le Dreame T30. Pensez aussi au bruit : autour de 70 dB, c’est confortable. Au-dessus, ça devient vite agaçant.

Bonus 2025 : de plus en plus de modèles adaptent automatiquement la puissance selon la saleté détectée.

3. L’ergonomie : votre poignet vous dira merci

Un bon aspirateur balai, c’est un appareil bien équilibré, facile à manier, avec une tête pivotante et inclinable à 180°, parfois un tube flexible pour passer sous les meubles sans avoir à se plier en deux. Certaines marques comme Dyson et Rowenta proposent une articulation en accessoire supplémentaire pour augmenter votre portée sous les meubles sans vous baisser.

aspirateur seul Tineco sur tapis
Même des aspirateurs-balais tout simples peuvent se doter de LED.

Astuce : privilégiez les modèles avec éclairage LED ou laser à l’avant, ce qui permet de visualiser la poussière, même dans les coins sombres.

4. Le poids : le nerf de la guerre pour les escaliers et les séniors

Comptez entre 1,5 kg pour les ultra-légers et supérieur à 4 kg pour les plus costauds. Les modèles les plus puissants sont souvent plus lourds. Si vous avez une grande maison avec des escaliers ou des soucis de mobilité, visez moins de 3,5 kg (Shark IZ140C, Dyson Detect Absolute). Au-delà de 5 kg, attention à la tendinite, surtout si vous avez beaucoup de surface à aspirer !

5. La filtration : indispensable pour les allergiques

Le standard en 2025, c’est le filtre HEPA 13 ou 14, capable de bloquer 99,95 % à 99,995 % des particules fines. Idéal pour les foyers avec animaux ou enfants en bas âge. Les meilleurs modèles intègrent des systèmes totalement étanches, évitant les rejets de poussières fines dans l’air.

Nettoyer filtre Hepa Dyson
Le filtre lavable, c’est le nec plus ultra ! À laisser sécher 24 heures à l’air libre ! ©Dyson

Privilégiez les filtres lavables, qui limitent les coûts d’entretien tout en assurant une efficacité durable. Pensez aussi à vérifier si le système de filtration est facilement accessible pour un nettoyage régulier sans perte de performance.

6. L’entretien : comment vider le bac et à quelle fréquence ?

L’autre défaut majeur des aspirateurs-balais, ce sont leurs collecteurs assez réduits, pouvant contenir de 0,3 à 1,2 L seulement. Le Dyson V15 à 0,76 L, le Rowenta X-Force Flex 15.60 à 0,9 L et l’Ultenic U16 à 1,2 L figurent parmi les plus intéressants du marché sur ce point. À titre de comparaison, les aspirateurs traîneaux sans sac ont une capacité de 1 à 2 L. Ceux avec sac s’équipent de réservoirs allant de 3 à 5 L.

Samsung Bespoke Jet Plus et Tineco Pure ONE Station 5
L’avenir des aspirateurs-balais haut-de-gamme ? ©Samsung et ©Tineco

Au-delà de la taille, regardez la facilité de vidange. On pense déjà au fameux dispositif « Point and Shoot » présent sur la plupart des modèles Dyson. Certaines marques proposent même une station d’accueil avec vidange automatique, comme le Samsung Bespoke Jet Plus. Plus besoin d’ouvrir le bac : l’appareil se vide tout seul dans un sac scellé. Ultra hygiénique, mais souvent réservé aux modèles premium.

7. Niveau sonore : attention aux oreilles sensibles

Le bruit émis par un aspirateur balai varie généralement entre 60 et 80 décibels (dB) :

  • 60 à 70 dB : modèles relativement silencieux, adaptés à une utilisation prolongée.
  • 70 à 80 dB : niveau sonore standard, comparable à une conversation animée.

Il est important de noter que le niveau sonore peut augmenter en mode turbo ou avec certaines brosses motorisées

8. Les accessoires : le vrai bonus pour gagner en polyvalence

Les aspirateurs balais sont souvent livrés avec une gamme d’accessoires pour s’adapter à différents besoins :

  • Suceur plat : pour les recoins et plinthes .
  • Brosse douce : pour les meubles et surfaces délicates.
  • Tube flexible : pour atteindre les zones difficiles d’accès.

Un modèle 2-en-1 qui se transforme en aspirateur à main est presque devenu un standard. Certains aspirateurs-balais haut de gamme proposent également des stations de charge avec rangement intégré pour les accessoires !

9. Connectivité et fonctions intelligentes : gadgets ou vraie valeur ajoutée ?

Écran LCD avec niveau de batterie, détection automatique de poussière, suivi via appli mobile, compatibilité domotique… Tout cela existe. C’est plaisant pour les technophiles, certes, mais clairement secondaire si vous cherchez surtout efficacité et simplicité d’usage.

aspirateur balai en train d'aspirer
La quintessence de la fonctionnalité bling-bling ! ©Dyson

Nota Bene : on apprécie néanmoins le suivi d’usure des brosses et des filtres lorsqu’il est indiqué sur l’écran ou l’application (Samsung Bespoke AI Jet Ultra, Dreame Z20 Station, Dyson V12 Detect Slim).

Prix : quelle gamme pour quel budget ?

En 2025, les aspirateurs balais couvrent une large gamme de prix :

  • Entrée de gamme (100 à 200 €) : modèles simples, adaptés aux petites surfaces et à un usage occasionnel.
  • Milieu de gamme (200 à 500 €) : meilleur équilibre entre puissance, autonomie et accessoires.
  • Haut de gamme (500 € et plus) : performances optimales, fonctionnalités avancées et accessoires complets.

Quel modèle selon votre profil ?

  • En appartement : privilégiez un modèle compact, maniable, silencieux. L’autonomie de 30 min suffit souvent.
  • Grande maison : misez sur la puissance, l’autonomie longue durée et les accessoires pour les escaliers. Sans être indispensable, une station de vidange automatique est recommandée.
  • Avec animaux : brosse spéciale poils, filtre HEPA, vidange facile, collecteur de 0,55 L minimum. Vous allez aspirer souvent !
  • Personnes âgées : priorité à la légèreté, à la simplicité (pas de gâchette à maintenir), et à un entretien minimaliste.
  • Famille avec enfants : puissance, endurance, niveau sonore réduit, et accessoires variés pour traquer les miettes sur toutes les surfaces !
  • Jeune actif pressé : format compact, recharge rapide, un peu de tech (écran LCD, appli connectée) pour le petit goût de luxe.

Les nouvelles fonctionnalités à considérer en 2025

  1. Détection intelligente de la saleté : certains modèles haut de gamme, comme le Dyson Gen5 Detect, sont équipés de capteurs piézoélectriques qui ajustent automatiquement la puissance d’aspiration en fonction de la quantité de poussière détectée. C’est amusant, mais ça ne va pas révolutionner votre manière de faire le ménage.
  2. Éclairage laser pour une visibilité accrue : la brosse Optic Fluffy de Dyson utilise un laser vert pour rendre visibles les particules de poussière invisibles à l’œil nu sur les sols durs.
  3. Stations d’accueil multifonctions : le Tineco PURE ONE Station 5, présenté au CES 2025, dispose d’une station 3-en-1 permettant l’auto-nettoyage, la recharge et le rangement simplifié de l’aspirateur.

Conclusion : il n’y a pas de modèle parfait, mais il y a un modèle parfait pour vous.

Choisir un aspirateur balai en 2025, c’est faire le tri entre besoins concrets et promesses marketing. Posez-vous une seule question : de quoi ai-je besoin pour nettoyer sans galérer ? Ensuite, appuyez-vous sur les critères essentiels : puissance, autonomie, poids, filtration, ergonomie. L’intelligence artificielle, c’est bien. Un sol propre sans effort, c’est mieux !

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