J’ai refusé de nourrir mes beaux-enfants avec de la malbouffe, et maintenant on me prend pour la méchante
Être belle-mère, c’est comme marcher sur un fil tendu entre l’amour, la loyauté et les règles de quelqu’un d’autre. Quand les enfants de mon mari sont venus vivre chez nous, j’ai voulu leur donner de vrais repas plutôt que le fast-food que leur mère leur servait chaque jour. Ils ont adoré mes plats, jusqu’au lendemain, quand tout s’est effondré.