Si vous me suivez sur ce blog et/ou sur les réseaux sociaux, vous savez que les LEDS sont un de mes péchés mignon. Je ne résiste pas à ce qui s’allume, clignote, change de couleur… En plus rien de plus agréable que de développer un projet avec des LEDs, on voit tout de suite le […]
Les PC reconditionnés sont une option prisée par les professionnels qui cherchent à combiner performance, durabilité, mais surtout économie. En comparaison à des modèles neufs, ils présentent plusieurs avantages. Cependant, en tant que professionnel, vous devez faire un bon choix afin de profiter de son efficacité. Il s’agit de vérifier son état général, sa durée de garantie, ses caractéristiques techniques, son rapport qualité/prix…
Vérifier l’état général du PC
L’état général d’un pc reconditionné n’est rien d’autre que la qualité de son reconditionnement. Il varie d’un vendeur à un autre en fonction du soin apporté. Si certains se contentent de remettre l’appareil en état de fonctionnement, d’autres s’emploient à le nettoyer complètement. Il peut être aussi utile de remplacer les composants usés.
Entre autres, il sera question d’inspecter l’état de l’écran, du clavier, du châssis et des ports. Assurez-vous que chaque élément fonctionne correctement pour vous procurer une aisance dans l’utilisation. Vous pouvez également faire des tests de performance à divers niveaux. Pour bénéficier de performances accrues au travail, tenez compte des caractéristiques du processeur, de la mémoire, du disque dur, etc.
Faites attention à la garantie
La garantie est l’un des avantages associés à l’achat d’un PC reconditionné. Elle couvre généralement une période allant de 6 à 12 mois, voire plus selon les revendeurs. En tant qu’acheteur, elle vous permet de bénéficier d’une prise en charge plus ou moins gratuite en cas de défaut de fabrication ou de panne.
À l’achat, il est important de vérifier la durée de la garantie ainsi que les conditions associées. Renseignez-vous aussi sur le service après-vente. Le vendeur doit proposer un service client accessible et réactif. Il doit pouvoir intervenir en temps réel pour apporter des solutions à vos éventuels problèmes.
Consultez les caractéristiques techniques du PC
Les caractéristiques techniques de votre PC reconditionné doivent nécessairement s’adapter à vos besoins en termes de performances. C’est pourquoi vous devez opter pour un processeur suffisamment compétitif comme un Intel i5 ou i7. Vous pouvez aussi choisir un AMD Ryzen 5 ou 7. En ce qui concerne la mémoire RAM, un espace de 4 Go peut suffire pour les petites tâches tandis que pour les grandes tâches, vous avez besoin d’au moins 8 Go. La deuxième option convient pour les besoins de montage vidéo, design graphique…
Qu’il soit HDD ou SSD, le stockage est aussi un critère indéniable. Notez qu’un SSD présente une meilleure vitesse de lecture et d’écriture qu’un HDD. Enfin, si vous êtes un professionnel du design, vous avez besoin d’une carte graphique dédiée pour votre PC reconditionné. Autrement, une carte graphique intégrée peut faire l’affaire.
Quid du rapport qualité/prix ?
Les PC reconditionnés se présentent comme une alternative économique pour les appareils neufs. Cependant, leur prix varie en fonction de plusieurs paramètres :
la marque ;
les spécifications ;
l’état général.
Toutefois, la réputation du vendeur peut aussi avoir une influence sur le coût. Un spécialiste qui a de l’expérience dans le reconditionnement peut fixer un prix un peu plus élevé pour ses appareils. N’hésitez pas à lire les avis clients pour avoir une idée réelle de la qualité des produits avant l’achat.
Dans notre quête de compréhension du monde qui nous entoure, nous sommes souvent confrontés à des informations qui remettent en question nos croyances établies. Cependant, il est fascinant de constater que nous avons une tendance naturelle à rechercher et à interpréter les informations d’une manière qui confirme nos convictions préexistantes. Ce phénomène est connu sous […]
Vous rêvez de combattre le crime… informatique ? De devenir le super-héros qui sauvera le monde des méchants cybercriminels ? Bonne nouvelle : Paris est votre Gotham City, et les entreprises de cybersécurité sont à la recherche de leur prochain Batman du code !
Les géants qui font trembler les cybercriminels
Commençons par les mastodontes du secteur, ceux dont les noms font frissonner les hackers malveillants :
Thales : Ce géant de la défense a une division cybersécurité qui recrute comme si c’était Black Friday toute l’année.
Orange Cyberdefense : La branche sécurité d’Orange, c’est comme si votre opérateur téléphonique était aussi un agent secret.
Capgemini : Ils ne font pas que du conseil, ils sont aussi des ninjas de la cybersécurité.
Atos : Ces pros de l’informatique ont un département cybersécurité qui ne cesse de grandir.
Les pépites moins connues mais tout aussi alléchantes
Mais attention, les startups et les entreprises moins médiatisées ont aussi leur mot à dire :
Sekoia : Cette pépite parisienne se spécialise dans la détection des menaces. C’est comme être un détective privé, mais pour les ordinateurs.
Quarkslab : Experts en rétro-ingénierie et en sécurité offensive. Imaginez des hackers éthiques qui jouent aux échecs avec des lignes de code.
Pradeo : Spécialistes de la sécurité mobile. Parce que votre smartphone a aussi besoin d’un garde du corps numérique.
Sentryo : Ils protègent l’Internet des Objets. Oui, même votre frigo connecté a besoin d’être sécurisé !
Les salaires : Combien pour sauver le monde (numérique) ?
Alors, combien ça rapporte de être le James Bond du web ? Accrochez-vous à votre clavier :
Junior (0-2 ans d’expérience) : 35 000 € – 45 000 € par an
Confirmé (3-5 ans) : 45 000 € – 65 000 € par an
Senior (5+ ans) : 65 000 € – 90 000 € et plus
Et pour les vraies rockstars de la sécu, le ciel est la limite ! Certains experts peuvent atteindre des salaires à six chiffres. De quoi s’acheter beaucoup de Red Bull pour les nuits blanches de codage !
Comment sortir du lot : Devenez le Picasso du pare-feu !
Certifications, certifications, certifications ! CISSP, CEH, OSCP… Ces acronymes sont comme des badges de super-héros dans le monde de la cybersécurité.
Participez à des CTF (Capture The Flag) Ces compétitions de hacking éthique sont comme des Jeux Olympiques pour geeks. Une médaille ici vaut de l’or sur votre CV.
Contribuez à des projets open-source Montrez que vous êtes un joueur d’équipe dans la communauté de la sécurité.
Créez un blog technique Partagez vos connaissances. C’est comme être un influenceur, mais pour les nerds (et c’est cool).
Networkez comme un pro Participez aux meetups et conférences. La cybersécurité, c’est aussi une histoire de connexions (humaines, cette fois).
Développez une spécialité Devenez LE spécialiste de quelque chose. L’expert en sécurité IoT pour frigos connectés, pourquoi pas ?
Le modèle de CV qui fera craquer les recruteurs
Parlons un peu de votre modèle de CV. En cybersécurité, votre CV doit être aussi sécurisé que les systèmes que vous protégez :
Mettez en avant vos projets concrets et vos réalisations
Utilisez des mots-clés techniques (mais sans en abuser, on n’est pas dans Matrix)
Incluez un lien vers votre GitHub ou votre blog technique
N’oubliez pas une section “Veille technologique” pour montrer que vous êtes toujours à la page
Pro-tip : Un CV en forme de code source bien commenté, ça peut faire son petit effet !
Le mot de la fin : La cybersécurité, c’est l’aventure !
La cybersécurité à Paris, c’est comme être dans un film d’espionnage, mais avec plus de cafés et de croissants. C’est un domaine en constante évolution où l’ennui n’existe pas. Chaque jour apporte son lot de nouveaux défis et de technologies à maîtriser.
Alors, que vous soyez un Sherlock Holmes du code ou un MacGyver du réseau, il y a une place pour vous dans la jungle cybernétique parisienne. Les entreprises cherchent des talents passionnés, créatifs et un brin geek sur les bords.
N’oubliez pas : dans le monde de la cybersécurité, votre plus grande force est votre curiosité. Continuez d’apprendre, de vous remettre en question, et qui sait ? Peut-être que dans quelques années, c’est vous qui donnerez des conseils aux futurs gardiens du cyberespace.
Alors, prêt à enfiler votre cape de super-héros numérique et à rejoindre la bataille contre les forces du mal informatique ? Paris vous attend, futur sauveur du web !
Quand on parle de configuration pour jouer aux jeux-vidéos, les composants comme la carte graphique ou le processeur sont souvent les premiers à être mentionnés. Pourtant, sans la carte mère, il est impossible d’assurer le bon fonctionnement de ces autres composants. Mais quel est le véritable impact d’une carte mère pour les jeux-vidéos ?
A quoi sert la carte mère de votre ordinateur ?
La carte mère de votre ordinateur a un impact sur la compatibilité de votre PC avec des jeux-vidéos, sur la vitesse et la fluidité de l’action.
Compatibilité et connectivité
Les cartes mères servent de support pour connecter tous les composants d’un ordinateur, comme le processeur, la mémoire vive (RAM), et la carte graphique. Cela signifie que le choix de la carte mère de votre PC détermine quels processeurs, types de RAM, et cartes graphiques vous pouvez installer.
Les cartes mères les plus performantes supportent des processeurs de dernière génération et une grande quantité de mémoire. Malheureusement, d’autres cartes mères n’apportent pas un tel niveau de performance.
Vitesse et fluidité
La carte mère est aussi responsable de la vitesse de transfert des données entre ces composants. Les modèles dotés d’un “chipset” (ou jeu de puces) performant et de “bus” rapides permettent des échanges de données fluides. Cela évite les ralentissements et contribue à améliorer la fluidité des jeux.
Concrètement, si une carte mère possède des bus et des ports rapides, cela réduit les risques de ralentissement des composants. A l’inverse, si la carte mère n’arrive pas à gérer les flux de données qui lui sont transmis, tous les composants sont ralentis.
Quelles sont les fonctionnalités de la carte mère pour le gaming ?
Si les cartes mères sont présentes dans tous les ordinateurs, ces dernières ont des fonctionnalités très différentes selon les usages. Pour les jeux-vidéos, elles permettent de mieux contrôler la température, et apportent des options d’extensions avec des ports.
Contrôle de la température
Pour les gamers, l’overclocking est souvent une manière d’optimiser les performances de leur PC. Cela consiste à augmenter la vitesse à laquelle vos composants vont réaliser des calculs, pour de meilleures performances.
Certaines cartes mères offrent des fonctionnalités très avancées pour faciliter cette pratique. Elles peuvent intégrer des modules de régulation de tension(ou Voltage Regulator Module) qui permettent au processeur et à la carte graphique de fonctionner à des fréquences plus élevées sans surchauffe.
Les cartes mères conçues pour le gaming possèdent aussi des options de gestion de la température, et permettent un contrôle précis de la ventilation. Cela permet de maintenir des performances élevées, sans risquer de surchauffe !
Options d’extension
Une carte mère dédiée au gaming propose souvent de nombreuses options d’extension pour ajouter une autre carte graphique, une carte son, ou d’autres ports USB. Elle peut aussi inclure une connectivité réseau avancée, permettant de stabiliser votre connexion pour jouer en ligne.
Notre verdict sur les cartes mères pour le gaming
La carte mère d’un PC est effectivement un élément essentiel à prendre en compte si vous jouez en ligne. Une mauvaise carte mère peut influencer l’efficacité des composants de votre ordinateur, et par extension la rapidité de votre jeu.
Aujourd'hui, nous allons parler des inserts, ces éléments métallique que l'on "insert" dans une impression 3D (ou un support en plastique). L'insert permet ensuite de visser un élément et de le maintenir en place.
Cet article partage notre expérience sur le sujet
Exemple d'insert
Quelques constations
Avant de me lancer dans les détails, j'aimerais aborder 2 points:
Nombre de sites Maker propose des inserts pour de la visserie M3 ou plus. C'est, selon moi, loin d'être idéal.
J'ai récupéré des inserts & vis de coques de laptops avant leurs mises au rebus. C'est plutôt facile à faire avec un pince coupante. Ces inserts utilisent des vis en M2.
Evitez les inserts Metric 3
Si vous ne faite que des assemblages de pièces imprimées en 3D alors un M3 (ou plus grand) sera parfait/
Si vous faites de l'électronique amateur alors évitez le M3! En effet, les trous de fixations des cartes sont couramment prévu pour du M2 ou M2.5.
Prenez un Raspberry-Pi, les trous de fixation font 2.7mm de diamètre, donc prévu pour un Metric 2.5. Ce cas est loin d'être une exception!
Bien qu'un Metric 2.5 soit parfaitement utilisable dans le cas du Raspberry-Pi, j'ai opté pour des inserts et visserie en M2
Une visserie en M2 sera parfaitement utilisable dans le cas de figure ci-dessus. Elle permettra de compenser les "écarts" lorsque l'insert n'est pas parfaitement positionné sous les trous de la carte!
N'oublions pas que les inserts sont placés à la main et avec un fer a souder... il est donc facile d'être un peu hors d'alignement par rapport au PCB.
Des inserts en Metric 2
Fort de mes essais et expériences avec les inserts récupéré sur des ordinateurs portables, j'ai fini par trouver la ligne de produit de MW Components qu'il est possible de se fournir chez divers distributeurs.
Les inserts de la série H (court) sont très faciles à installer sur une impression 3D. Il faut, bien entendu, réaliser un support d'insertion en suivant les recommandations du fabriquant.
référence fabriquant 256X115H
Visserie M2 en PVC
Une astuce intéressante c'est d'utiliser des vis en PVC!
Je m'explique: si vous utilisez des vis métalliques alors il faut absolument que l'insert soit parfaitement aligné (avec le trou dans le PCB). Ni le PCB, Ni la vis métallique n'offriront l'opportunité de finaliser l'assemblage!
Avec une vis en PVC, celle-ci peut sensiblement se déformer permettant ainsi de réaliser un assemblage dit "plastique". Un petit problème d'alignement n'empêchera pas de placer la vis!
Placement des inserts
La méthode débrouille
Il est très commun d'utiliser une pointe conventionnelle de fer a souder (~200°C sur du PLA).
Pointe de fer a souder conventionnelle (une vieille de préférence)
Utiliser votre pointe de fer a souder présente néanmoins quelques inconvénients:
Guidage difficile (suivant la forme de votre pointe de fer)
Alignement approximatif
Risque de retour de plastique/PLA dans l'insert
Risque d’abîmer le filet de l'insert
Le porte insert
L'idéal est d'utiliser un porte insert en lieu et place de la pointe de fer à souder. Cela évitera tous les problèmes liés à l'utilisation d'une pointe de fer à souder.
Porte insert pour station fer à souder Weller PU81
C'est pratique et facile à utiliser. Une chauffe à 200°C convient pour le PLA.
Plutôt que de passer un temps certain a trouver un porte insert, j'ai plutôt opté pour la fabrication maison d'une pièce sur mesure à partir d'une section en laiton.
Voici les informations nécessaires si vous voulez fabriquer votre propre porte insert.
Une version récente du bootloader en EEPROM a introduit une nouvelle fonction dans le menu de démarrage : une pression sur la BARRE D’ESPACE à la mise sous tension propose à l’utilisateur un menu pour choisir entre plusieurs modes de démarrage. Par exemple, l’utilisateur peut sélectionner le démarrage sur USB (Disque dur, SSD ou clé […]
La semaine dernière c'était la grande messe Raspberry-Pi pour les partenaires de l'aventure... dont fait partie MC Hobby en tant que Revendeur Approuvé.
L'occasion d'améliorer nos connaissances techniques sur les différentes plateformes mais aussi l'opportunité de visiter l'usine Sony à Pencoed (Pays de Galles).
Bien entendu, interdit de filmer, interdit de prendre des photos, interdit de trop traîner et même interdit de prendre un déchet!
Il y avait là un beau PCB Raspberry-Pi 5 au rebus (échec au contrôle)... je me le serait bien ramené comme souvenir... mais pas questions de l'avoir (cela aussi est interdit)!
Mettre un PCB a nu
Je voulais vraiment un PCB de Raspberry-Pi, j'en ai donc fait un a partir d'un Pi défectueux.
J'ai donc sorti ma station à air chaud, mon fer a souder et j'ai commencer à désassembler ma première carte RPi... et voir aussi comment je pouvais m'en sortie.
PI 3 B+ v1.2 - face avant
PI 3 B+ v1.2 - face arrière
C'est une expérience intéressante à réaliser, qui fait par ailleurs appel à de nombreuses techniques.
Le SoC et la RAM sont de loin les éléments les plus longs à dessouder (~5 minutes chacun).
Des connecteurs (voyez cette technique), le RJ45 fût le le plus difficile à enlever... d'où l'éraflure sur le PCB.
Voici quelques informations utiles si vous voulez conduire la même expérience:
Utiliser un tapis silicone (il resiste à la chaleur)
Préchauffer la carte (au four entre 70 et 100°C). Je ne l'avais pas fait et cela aurait été une bonne idée pour dessouder plus facilement les gros composants.
Configurer la station d'air chaud sur 430°C C'est violent mais efficace pour dessouder.
Configurer le fer a souder sur 425°C
Manipuler la carte avec soin (cela va sacrément chauffer)
Utiliser du flux et de la bride à dessouder pour éliminer les excès de soudure
Nettoyages à l'alcool (pour les résidus de flux)
Nettoyage final à l'eau chaude + Liquide vaisselle + Mr Propre.
C'est vraiment très intéressant pour tester et améliorer ses techniques à l'air chaud.
La gamme de graveurs LASER AlgoLaser s’agrandit avec l’arrivée de ce nouveau modèle. L’Alpha MK2 dispose d’un écran tactile couleur, et ses caractéristiques sont très intéressantes. Le châssis rigide garantit de belles gravures et découpes que les tests présentés dans cet article confirment. J’ai testé sur de nombreux supports (CTP, bois, pierre, alu, inox, liège, […]
Après de nombreuses tentatives, j'ai jeté l'éponge et passe donc à la phase de récupération...
Démontage
Comme tous les produits HP, nombre de composants sont difficiles d'accès. Le démontage s'apparente à Trek... il m'a fallut environ 8 heures de démontage.
La dernière publication la table tracante était dans cet état:
Après 8 heures de démontages, je suis arrivé à cela!
Les éléments récupérés sont répartis autour du pied central. L'image ci-dessous montre (près du pied gauche) les divers éléments plastiques non récupérables (tout comme ceux de la coque extérieure).
Eléments récupérés
Voici ce que j'ai eu l'occasion de récupérer.
Motorisation générale
Une telle table traçante ne manque pas de moteurs mais ce qui est le plus intéressant, c'est le couplage avec des engrenages réducteurs et un système optique permettant le positionnement
Dans le disque de positionnement était disposé sur un axe (8mm) avec un engrenage équipé d'un système "torpedo" qui entraîne l'axe dans un seul sens de rotation (et route libre dans l'autre sens). L'optique de lecture est composé de deux éléments... probablement pour détecter le sens de rotation ou augmenter la précision (ce sera pour plus tard)
Ce deuxième moteur et engrenage réducteur est enfermé dans un boîtier avec son disque optique. Cet assemblage est très intéressant mais dispose d'un débrayage mécanique automatique lorsque le moteur inverse son sens de rotation.
Ce qui serait intéressant, c'est de pouvoir neutraliser l'embrayage en fonction des besoins.... a voir.
Ces deux derniers moteurs, toujours avec disque optique et engrenage réducteur. Ils seront d'excellents outils d'apprentissage :-)
Courroie du charriot
Une courroie crantée est utilisée pour la traction du chariot. C'est un élément vraiment très intéressant à récupérer. En sus, Il y a le moteur, la roue libre et le mécanisme de mise-sous-tension.
Ces éléments s'accompagnent du ruban et de l'optique de positionnement du charriot (lecteur sur la carte. L'ensemble accompagné des éléments nécessaires pour la mise-sous-tension du ruban optique.
Pompe à air
Cette imprimante contient une petite pompe utilisée pour injecter de l'air dans les buses durant la phase de nettoyage. Il y a même une valve (à l'extrême gauche de la photo) qui laisse passer l'air lorsque l'on pousse dessus (c'est le chariot qui pousse dessus)
Axes et roulettes
Cette imprimante/table-traçante regorge d'éléments rotatifs.
1) Axe de 6mm 2) axe creux (~40mm) 3) Roulettes de transport du papier sur leur supports 4) Engrenage divers en relation avec l'axe 40mm. 5) Quelques ferrites (pour les rubans conducteurs).
Optique de détection
Il y a aussi l'optique de détection du charriot (qui permet de détecter une surface blanche).
Matériaux
Il y a aussi des matériaux qui peuvent s'avérer intéressants si l'on ne craint pas bricolage plus avancé. Avec un longueur d'un mètre ou plus, ces éléments sauront certainement se montrer utile dans un projet d'envergure.
Nous avons:
1) Pièces métalliques pouvant servir de matière première ou de support à renforcer 2) Axe creux de 10mm 3) Rail de guidage de la tête d'impression sur un support métallique (pas facile à dévisser, je l'ai laissé sur le support pour éviter ma déformation de l'axe). 4) Tablier de l'imprimante. Cette assemblage est d'une rigidité impressionnante et non démontable car il y a du frein-filet partout!. Cet élément, probablement le plus lourd de l'imprimante, sera une excellente base pour la réalisation d'une machine outil maison.
De la visserie, roulement, ressorts, engrenage de tout type et abondante visserie. Des éléments qui seront toujours se montrer utiles.
Voilà, c'était une parenthèse très intéressante dans les articles de MC Hobby.
Les gadgets pour la maison intelligente sont parfaits pour ceux qui veulent plus de confort dans la microgestion et l’automatisation de chaque aspect de leur espace de vie. Grâce à une multitude d’appareils domestiques intelligents abordables qui inondent le marché, vous n’avez pas besoin de débourser des milliers d’euros pour équiper votre maison de périphériques intelligents.
Malheureusement, ce choix supplémentaire peut s’avérer à double tranchant, car vous devrez peut-être installer une multitude d’applications pour régler avec précision tous vos appareils domestiques intelligents. Mais si vous êtes l’heureux propriétaire d’un Raspberry Pi, vous pouvez facilement transformer le SBC en un hub capable de contrôler et d’automatiser tous vos gadgets intelligents.
Revue du Raspberry Pi 5 : Le Saint-Graal des projets de bricolage est encore meilleur (et plus rare)
Le Raspberry Pi 5 est l’un des SBC grand public les plus puissants du marché. Malheureusement, son stock limité signifie que vous aurez du mal à en trouver un.
Ce dont vous avez besoin
Le Raspberry Pi sera au cœur du projet, et vous aurez besoin d’une carte capable si vous envisagez d’exécuter des scripts d’automatisation et d’installer de nombreux modules complémentaires pour tous les périphériques de la maison intelligente. J’ai utilisé un Raspberry Pi 5 pour ce tutoriel car Home Assistant, l’outil présenté dans ce projet, dispose d’une image de système d’exploitation créée spécifiquement pour la carte SBC. Mais vous pouvez descendre jusqu’à un Raspberry Pi 3 si vous n’avez pas peur d’une expérience un peu plus lente.
La prochaine exigence est une carte microSD, où vous stockerez le système d’exploitation ainsi que les modules complémentaires, les scripts et tous les médias (comme les images ou les vidéos) capturés par vos appareils. Je vous recommande donc d’opter pour une carte disposant d’au moins 16 Go d’espace de stockage. Vous devrez également connecter votre Raspberry Pi à un routeur, et je vous conseille d’utiliser une connexion Ethernet plutôt que Wi-Fi pour des performances optimales.
Raspberry Pi 5
SanDisk 256GB Ultra microSDXC card
Installer le système Home Assistant
Une fois que vous avez rassemblé les composants nécessaires, il est temps d’installer Home Assistant sur votre Raspberry Pi. Il y a plusieurs façons de le faire, y compris en l’installant au-dessus d’un système d’exploitation existant. Cependant, il est préférable d’installer l’image de Home Assistant sur une nouvelle carte microSD à l’aide de l’outil officiel Raspberry Pi Imager.- Téléchargez Raspberry Pi Imager depuis le site officiel et installez-le sur votre PC.
-Exécutez l’outil en tant qu’administrateur.
– Appuyez sur l’option Choose Device et sélectionnez votre carte Raspberry Pi.
Cliquer sur Choose OS et aller sur l’onglet Other specific-purpose OS.
Choisir Home assistants and home automation.
Cliquez sur Home Assistant, Et choisir la dernière version ( latest version of the OS )
Choisir le stockage (Choose Storage), prenez la microSD card, et appuyez sur Next.
Appuyez sur Yes quand le Raspberry Pi Imager vous demande la confirmation d’écrire l’OS
Connecter le Home Assistant sur internet
Lorsque le Raspberry Pi Imager a terminé l’installation du système d’exploitation, vous pouvez lancer l’interface web de Home Assistant.- Insérez votre carte microSD dans le Raspberry Pi, branchez les câbles Ethernet et d’alimentation dans le SBC, et attendez quelques minutes pour que le serveur Home Assistant démarre.
– Basculez sur votre PC et collez l’URL suivante dans la barre de recherche de votre navigateur web préféré.
http://homeassistant.local:8123/
Quand le serveur est chargé, lancez Create My Smart Home
Entrez vos noms et mot de passe puis cliquez sur “create account”
Indiquez votre zone géographique geographical location
Acceptez de partager vos données
Ne vous inquiétez pas, vous pouvez choisir de garder vos données privées en laissant les options désactivées et en cliquant sur Suivant.
Finalement cliquez sur Finish pour entrer dans le Dashboard.
Ajout d’appareils intelligents et d’intégrations
Lors du démarrage initial, Home Assistant tente de localiser vos appareils intelligents. Cependant, comme le système d’exploitation peut ne pas détecter tous vos gadgets, vous devrez peut-être les ajouter manuellement à l’aide de l’interface web.
Naviguez dans les Settings et cliquez sur Devices & services.
Dans Device , choisissez Add Device
Bien que la procédure exacte varie en fonction des services et des appareils, les gadgets locaux exigent que vous saisissiez l’adresse IP, le numéro de port et/ou l’identifiant de l’appareil. En revanche, les services en ligne vous demandent d’ajouter vos identifiants de connexion.
Répétez les deux dernières étapes pour l’intégration, sauf que tout doit être fait dans l’onglet Intégration au lieu de la section Appareils.
Une fois que vous avez terminé, vous pouvez cliquer sur le bouton Soumettre pour ajouter l’appareil ou l’intégration au tableau de bord.
Installez les add-ons
En soi, Home Assistant est un outil utile, mais vous pouvez accroître son utilité en configurant des modules complémentaires de première ou de tierce partie.
Cliquez dans Settings et ensuite sur Add-ons.
Entrer dans le magasin des Add-on
Choisissez les add-on et installez-les
Nous utiliserons motionEye, le système d’exploitation et l’application que nous avons utilisés pour transformer le Raspberry Pi en système de surveillance.
Quand il a fini l’installation, cliquez sur “Start”
Automatiser votre serveur Home Assistant
Un tutoriel sur Home Assistant serait incomplet sans l’automatisation de vos gadgets intelligents. L’un des meilleurs aspects de Home Assistant est qu’il propose à la fois une interface graphique intuitive et une approche plus complexe par script de la domotique. Pour la méthode simple,
Aller dans Settings et choisissez Automations & scenes.
Cliquez sur Create Automation et ensuite Create new automation.
Ajouter un Device et Action sous When pour lancer la commande
Finalement choisissez l’ Action que l’assistant doit réaliser et cliquer sur Save.
Vous pouvez aussi rédiger votre propre script.
Transformer votre maison en un paradis de l’automatisation avec le Raspberry Pi
Outre ces paramètres, il existe des tonnes d’autres fonctionnalités que vous pouvez incorporer dans votre serveur Home Assistant alimenté par Raspberry Pi. Pour les add-ons, je recommande d’installer l’Assistant Microphone pour exécuter des commandes vocales en connectant un micro au Raspberry Pi. Duck DNS et Ngnix Proxy Manager sont très utiles si vous souhaitez accéder à vos appareils depuis un autre réseau.
Outre la domotique, vous pouvez concevoir un certain nombre de projets intéressants avec votre Raspberry Pi, notamment une caméra time-lapse, un serveur web ou même une station météorologique à part entière.
Votre PC s’éteint et redémarre sans raison ? Suivez ce guide d’expert informatique
Si votre ordinateur s’éteint de manière inattendue ou redémarre brusquement, cela peut être frustrant, surtout si vous êtes en plein travail, en train de regarder une vidéo YouTube ou de jouer à un jeu vidéo. En tant qu’expert informatique, je vais vous guider à travers les causes possibles et vous donner des astuces pratiques pour résoudre ces problèmes. Voici comment identifier et corriger les causes possibles des extinctions et redémarrages inopinés de votre PC.
État des lieux : identifier les symptômes
Votre PC s’éteint ou redémarre après quelques minutes d’utilisation.
L’ordinateur s’éteint pendant un jeu vidéo ou une tâche exigeante.
Votre PC s’éteint lors du démarrage.
N°1 : La surchauffe du PC
La surchauffe est l’une des principales causes d’arrêt soudain. Si votre PC surchauffe (température dépassant 100°C), une protection thermique s’active pour protéger les composants.
Astuces d’expert :
Vérifiez la température de votre PC avec un outil comme HWMonitor.
Évacuez la poussière de votre ordinateur en nettoyant les composants avec de l’air comprimé et un chiffon.
Assurez-vous d’une bonne ventilation en plaçant le PC dans un endroit aéré. Pour les PC portables, utilisez un tapis de refroidissement.
Avancé : remplacez la pâte thermique du processeur et le ventilateur si nécessaire.
N°2 : Problèmes de mise en veille
Une mise en veille mal configurée peut entraîner des extinctions fréquentes. Adaptez les réglages pour éviter que le PC ne s’éteigne trop souvent.
Comment ajuster les paramètres :
Sur Windows 10 : Paramètres > Système > Alimentation et mise en veille.
Sur Windows 8 et 7 : Panneau de configuration > Matériel et audio > Modifier les conditions de mise en veille.
N°3 : Matériel défectueux
Des composants défectueux peuvent causer des arrêts brusques. Cela peut venir du disque dur/SSD ou d’un périphérique externe.
Si les problèmes persistent, envisagez une réinitialisation complète de Windows.
En suivant ces étapes, vous devriez pouvoir identifier la source du problème et résoudre les arrêts intempestifs de votre PC. Pour plus de détails, consultez notre guide complet sur les solutions aux problèmes d’arrêt de PC.
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Dans cet article, nous allons parler de l'automatisation d'une telle armoire.
Projet mis en place à la demande du Lycée Français Jean-Monnet. L'occasion pour MCHobby de mettre son savoir-faire à l'épreuve
L'armoire Ergotron
Commençons par jeter un petit coup d'oeil sur une armoire Ergotron. Cette armoire dispose de serrures et même d'un anneau pour cadenas.
Itération 1: intégration
Chaque professeur dispose d'une cartes RFID fournie par le lycée. Système largement employé en interne et qui devrait idéalement permettre l'ouverture de l'armoire.
D'un détecteur d'ouverture de porte. Il ne faut pas qu'elle reste ouverte trop longtemps.
D'une interface utilisateur rudimentaire (buzzer, Led Rouge et Verte)
D'un fichier d'autorisation (inclus dans le système)
D'un fichier de log qui a ouvert l'armoire et quand? Quel sont les tentatives infructueuses.
Cette première itération débouche sur une carte de contrôle capable de fonctionner sur une batterie 12V (ou depuis un bloc d'alimentation 12V).
Une carte contrôleur avec le capteur RFID au dessus pour permettre une lecture directe des cartes RFIDs.
Itération 1: RFID + buzzer + LEDs
Au dessous la carte contrôleur présente toute l'électronique nécessaire au contrôle de l'armoire (détecteur de porte, loquet électro-magnétique)
Itération 1: carte contrôleur + détecteur de porte + ouverture de porte
Le loquet électromagnétique permet d'autoriser l'ouverture de l'armoire pendant une dizaine de seconde lorsque la carte présentée sur le lecteur est accepté.
L'image ci-dessous présente la modification nécessaire sur le système de fermeture pour empêcher/autoriser l'ouverture de l'armoire.
Itération 2: support WiFi
Ce qui serait bien maintenant, c'est de pouvoir utiliser une connexion WiFi pour:
mettre à jour le fichier d'autorisation de la carte de contrôle. A intervalle régulier ou sur demande
téléverser les logs sur un serveur
autoriser une ouverture à distance (via requête WiFi).
L'ajout d'un afficheur LCD et d'un clavier numérique permet également de saisir des codes d'ouvertures (code pin) ou d'activer des fonctions spéciales.
Version avec Pico Wireless + LCD + KeyPad
Version avec Pico Wireless + LCD + KeyPad
Cette version WiFi du projet s'accompagne d'une API permettant à l'ensemble d'offrir les services connectés à l'armoire. Cette API est également implémentée à l'aide de Flask et Python mais peut très bien être ré-implémentée sur un autre système/autre langage (ex C#)
L'afficheur LCD (avec rétro-éclairage RGB) sera bien utile pour affichés messages et autorisation d'accès.
Afficheur complémentaire
Information générale
Espace disponible
Statut de la connectivité WiFi
Ligne de statut (indiquant ici la saisir d'un code Pin)
Des caractères personnalisés ajoutés au projet permettent l'affichage de la connectivité WiFi.
Itération 3: détection des ordinateurs
En 3ieme itération, le but est de détecter les ordinateurs présents et absents. Il ne s'agit pas ici de savoir si l'emplacement est occupé ou vide mais bien d'identifier l'ordinateur qui y est inséré!
Pour résoudre ce problème, nous faisons appel à l'impression 3D pour créer un réceptacle pour les ordinateurs.
Cette impression 3D prend place dans les divers emplacement et permet d'insérer un ordinateur tout en le maintenant bien en position. Cette précision est nécessaire pour décoder le pictogramme d'identification apposé sur l'ordinateur, tablette, chromebook.
Ces éléments imprimés en 3D s'accompagnent de cartes d'acquisition (Reader), d'un bus de données blindé et d'une carte contrôleur.
Reader, Bus de données et Controleur
Controleur pour 3 bus de données
On y retrouve encore une fois un Raspberry-Pi Pico qui s'occupe de la gestion des bus et collecte des informations. Le contrôleur met les données à disposition par l'intermédiaire d'une simple liaison série (le protocole est vraiment très simple).
L'intérêt de cette solution réside dans son autonomie car:
Il détecte automatiquement les emplacements (slot) disponibles.
Il détecte les conflits d'adresses sur un bus.
Il est capable de faire l'acquisition des données de la carte d'acquisition sur simple demande.
Voici, par exemple, un extrait d'échange entre un hôte et la carte contrôleur pour lister les emplacements détectés (commande VIEW).
Dans le même temps, le projet principal a bénéficié d'un petit upgrade. Il est maintenant capable d'accepter une double alimentation batterie + réseau électrique. Inutile d'utiliser la batterie si le l'armoire est branchée sur le réseau électrique (ce qui sera forcement le cas lorsque les PCs sont mis en charge).
Connexion
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